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Transcription
00:00Contre les paroles d'un ministre.
00:02Ah, j'aime bien cette image-là.
00:04C'est une image qui m'a marqué quand même.
00:05Ah oui, oui.
00:06Mais voilà, j'aime bien l'image humaine.
00:09Parce que l'image est de ton ton, notre ministre.
00:14C'est-à-dire que mon petit bopon, moi, j'ai eu l'auteur qui a dit ce qu'il a dit.
00:17Et en général, l'image qui a dit c'est qu'il n'y avait pas de milliers de lutteurs.
00:23Ils ont dit ce qu'ils ont dit.
00:24Alors que les gouvernants, ils ont dit qu'ils ont dit qu'ils ont dit.
00:27Une parole publique responsable.
00:28Malheureusement.
00:30Donc, ils ont dit qu'il n'y a pas de milliers de lutteurs.
00:33Ce qui fait que vraiment,
00:36notre ministre, Bérone Toulaye,
00:39j'ai remarqué déjà, j'ai eu quelque chose qui m'a choqué déjà.
00:44Quand j'ai commencé son mandat ministériel,
00:47j'ai eu de tourner au niveau des entreprises minières.
00:50J'étais très content en tant qu'administraliste et tout.
00:53Et recevait, nous avons dit que le fond local,
00:57nous devons verser les localités, les entreprises, les villes, les villes, les villes, la pollution.
01:05C'est une catastrophe humaine.
01:07Le problème de santé publique.
01:09Le centre Saharie, le Sous-Siek, le camion, le Dijar.
01:12Mais sur le plan même foncier, en général,
01:15si nous nous parlais,
01:16nous avons le terme technique encore,
01:20nous devons réhabiliter.
01:21Nous devons laisser les choses.
01:23Je peux te lister des trucs sur le plan purement environnemental, écologique et humain.
01:26Je me disais qu'il a tellement du travail à faire.
01:37Maintenant, il a fait tourner, c'est bien.
01:39Il va constater lui-même tout ça.
01:40Mais il s'est dit que c'est une bironie.
01:41Il a dit que c'était une entreprise minière.
01:45C'était vrai.
01:45Il a appelé les gens pour discuter un peu les conditions.
01:47mais il a humilié le gars, le représentant.
01:53Les travailleurs.
01:54Pas des travailleurs.
01:55C'est au contraire qu'il a fait.
01:57Parce qu'il a dit que ce qu'il a dit,
01:58il a réglé ça.
01:59Après, il a humilié le représentant de l'entreprise.
02:02Il a dit qu'il ne veut pas dire que ça,
02:04qu'il ne veut pas dire que ça,
02:05que tu n'as pas de problème ici,
02:07qu'il ne veut pas le dénoncer ici.
02:08Il a dit que ça, etc.
02:10Après, je dis que ce n'est jamais comme ça qu'un État fonctionne.
02:13Ce sont des pratiques de Poutine.
02:15Voilà.
02:16Il ne veut pas faire ça.
02:18Ça m'a fait tellement choqué.
02:19Moi, je me suis dit qu'il faut le mettre peut-être
02:21au compte de l'inexpérience.
02:24Mais là, même mon inspecteur d'empo domaine là.
02:29Comment ça dit encore?
02:30Bérame Soleil.
02:31Bérame Soleil, ça m'a dit, non?
02:32Oui, bien sûr.
02:32Voilà.
02:33Même client qui n'a pas eu l'impôt ou l'adresse,
02:35il ne doit pas le faire, non?
02:38Même client qui n'a pas eu l'impôt ou l'adresse,
02:39il doit le faire, il doit le faire,
02:41il doit le faire, il doit le faire,
02:43il doit le faire, il doit le faire,
02:43il doit le faire, il doit le faire,
02:45il doit le faire, il doit le faire,
02:46il doit le faire.
02:47Il doit le faire, il doit le faire.
02:49C'est ce qui est le fait.
02:50Quand il y a une entreprise pendant des années,
02:52les Sénégalais sont quand même,
02:53il y a des procédures qui sont connues.
02:58Il y a des procédures qui sont connues.
03:00Après, il y a un ministre qui peut recevoir la direction.
03:03On sait comment ça se passe.
03:05Mais il n'y a pas d'imagine,
03:07il y a des vidéos qui sont là.
03:07Mais vraiment, il y a un truc.
03:09Après, il s'est sorti de la sortie,
03:12je ne sais pas si je ne sais pas,
03:14si je ne sais pas si je ne sais pas,
03:16je ne sais pas si je ne sais pas,
03:16je ne sais pas si je ne sais pas si je ne sais pas.
03:18C'est ce qui est le premier ministre.
03:18C'est ce qui est le premier ministre.
03:19La france salafite, ils ont dit que nous sommes, nous arrivons à un autre pays de la France, et nous sommes.
03:25Mais avant, on n'avait pas de choses à rien, mais nous n'avons pas de choses à faire des choses,
03:30nous n'avons pas de choses à faire des choses à faire des matchs de football.
03:32Et dès que le début, on va voir une finale à nous, nous n'avons pas de travail.
03:36Nous avons vu, je le dis, je savais que je dis, c'est terrible !
03:41Il y a personne à moi qui me dit que, je pense que le casque me semble de très bien.
03:45je ne sais pas, il y a des fournitures scolaires et tout et tout, il est distribué à l'école primaire.
03:51Quand les ministres de Macky faisaient ça, qu'est-ce qu'on disait ?
03:54Khalis, il a fait ça, il a fait ça.
03:57Fondation Maris, enfin, comment est-ce que tu dis ?
04:01Madame Vaisal, c'est bien.
04:03Non, pourtant, madame YI commençait aussi à faire ça.
04:05Et personne ne peut expliquer comment on a pris Khalis.
04:07Parce que personne ne connaît pas Khalis.
04:09On a fait ça, on a des soubis, on a pris ça.
04:12Donc, pour dire que tu es dans l'opposition, tout ce que tu dis, c'est catastrophique.
04:20En termes de manquement par rapport à son statut ou bien ?
04:24A son statut.
04:25Avec Firou Muthol aussi qui sert à l'apaisement.
04:27Moi, je trouve que...
04:29Est-ce que ce n'est pas aussi ces déclarations-là parfois qui font que le travail que le régime est en train de faire,
04:33nous le faisons sur le plan de la communication ?
04:36Parce qu'il y a quand même des actions qui sont en train de se faire.
04:38L'information avec la renégociation.
04:40De 75 % et de 115,4 milliards.
04:43L'électrification, le travail qu'ils sont en train de faire par rapport avec les inondations.
04:47Je pense qu'il y a beaucoup de choses.
04:49Ils pouvaient axer leur communication sur ça et quand même faire profit bas par rapport à ces insanités-là
04:54qui sont en train de polier quand même l'espace public.
04:56Et en plus, effectivement, c'est une erreur de communication grave.
05:01Et en plus, ce n'est même pas cohérent avec ceux qui sont en train de dire.
05:06En particulier, les deux, les présidents et les pré-ministres.
05:09Parce que le président, il a vu que quand il a fait partie de la famille, il a dit par exemple,
05:15« Clivage vituré au maigui, mais il a fait partie de la famille. »
05:18J'ai traduit par « cohésion sociale ».
05:20Donc, il a fait partie de la famille.
05:22Donc, Bachir, notre ministre Birame Soleil,
05:26il a dit que ça ne va pas dans ce sens-là.
05:28Parce que ça, c'est pas quand même la cohésion sociale qui est recherchée.
05:33Alors que le président, il a dit que je veux que le clivage arrêté.
05:36Il a fait partie de la famille.
05:37Alors, même le premier ministre, Oumad Sonko, a dit que je n'ai pas besoin de la famille.
05:42Je n'ai pas besoin de la famille, etc.
05:45Donc, Birame Soleil, ce qu'il a dit,
05:48c'est-à-dire qu'il y a une cohérence par rapport aux deux kilifeux qui sont les présents avec le premier ministre.
05:55Il a dit que Birame Soleil, c'est l'un qui a fait partie de la famille.
05:58Parce que c'est l'un qui a fait partie de la famille.
06:00C'est l'un qui a fait partie de la famille.
06:02C'est l'un qui a fait partie de la famille.
06:04Parce que nous n'avons pas de la famille.
06:06C'est certains responsables facettes qui ont dit ça.
06:09Heureusement qu'il y ait ces gens-là au niveau de Pastef.
06:12Parce que Pastef, c'est l'un qui a dit à eux.
06:14Si on a fait partie de leur famille, ils font des blocs.
06:16Tu es le monstre, tu es le monstre, tu es le monstre, tu es le monstre, tu es le monstre, tu es le monstre, tu es le monstre, etc.
06:21Donc, les gens du Sud, c'est bien justement que nous condamnons les humaines.
06:26C'est extrêmement important.
06:27Maintenant, le régime qui est aussi dérivé de l'homme,
06:29pas moi qui est aussi dérivé de l'homme, les gens condamnés quand même.
06:32Oui, oui, oui.
06:34C'est un peu de l'homme, finalement.
06:35Oui, oui, oui.
06:36On a connu Farba Senghor.
06:37Voilà, oui, oui.
06:39Le Saul qui disait que c'est que c'est que c'est que j'ai pris l'élection pour l'homme.
06:43Il est le monstre.
06:44Oui, nous, nous condamnons.
06:45Donc, on ne va pas dire que c'est que si on a fait dérivé, on ne va pas condamner.
06:50On va condamner.
06:51Maintenant, il est bien.
06:53Il est bien.
06:54Ibrahim,
06:55Birane Souley, est-ce qu'il n'est pas en train de se tromper?
06:58Il parle de quel pays et de quel niveau de responsabilité?
07:01Oui, oui.
07:02Mais Ibrahim,
07:03les gens ne sont pas en train de se tromper.
07:05Ils ne sont pas en train de se tromper.
07:07Ils ne sont pas en train de se tromper.
07:09Mais Ibrahim,
07:10ils ne sont pas en train de se tromper.
07:11Mais c'est des jeunes qui sont dans les pages Facebook et Instagram.
07:14mais ils ne sont pas en train de se tromper.
07:15Ils ne sont pas en train de se tromper.
07:16Ils ne font pas en train de se tromper.
07:17Il y a ça.
07:18Il peut être une personne qui peut parfois.
07:19Mais de façon générale, ce que je veux dire, la classe politique adulte et la société
07:22civile, de façon générale, etc.
07:26Ils nous vont vraiment compter et compter, et les parcours, et les gens qui nous connaissent.
07:32mais en général, ils ne sont pas de saga.
07:36Donc, c'est à dire qu'on ne les parle pas.
07:39Mais, Imam, la question est...
07:41Je sais qu'il y a des télégrammes, des instagrams...
07:42Je sais quoi?
07:43Je veux dire que nous avons tous détails de saga.
07:45Si quelqu'un est de dire tout ce qui est contre ce que le régime est en train de faire,
07:49je pense que...
07:50Parce que quand on a fait saga,
07:51on a eu une arrestation de l'arrestation.
07:53Depuis lors, on parle de saga, de saga d'Ousmane Zonko et de saga d'Ousmane Zonko.
07:56Donc c'est à la limite, c'est partie de ça.
07:59Donc, qu'est-ce qu'ils appellent saga aux justes?
08:03C'est à partir des propos de Badara Gadiac qui disent que leur ministre est en train d'être insulté.
08:08Je ne le pense.
08:09Mais, dans leur rang, dans leur rang,
08:11PASTEF, rang ou PASTEF,
08:12saga d'Ousmane Zonko va faire barri.
08:14On va faire barri.
08:15Ah oui?
08:16Oui.
08:17Barri, on va faire barri.
08:18Tout le monde sait.
08:19Donc, dans la vidéo, il n'y a rien à dire.
08:22Personne n'a échappé à eux.
08:24C'est qu'il faut dire,
08:26Si on a dit qu'il n'y a rien à dire,
08:27je n'ai rien à dire.
08:28Il n'y a rien à dire.
08:29C'est quoi ça?
08:30Babakar.
08:31Babakar Thorey.
08:32La vidéo, ce matin,
08:34je sais comment il est positionné politiquement.
08:37Il a fait une vidéo.
08:39Donc, je n'ai pas eu le temps de savoir.
08:40Car il n'y a rien à dire.
08:41Mais, qui a dit,
08:43nes-là,
08:44c'est que le Sénégal est dit,
08:45si on ne s'en fait pas dans la église,
08:46par exemple,
08:47un abbe ou une soeur,
08:48et pour moi,
08:49je l'as vu que tu as tes collector pour te corromper.
08:52Pour qu'elle s'agene à eux,
08:53à part l'église,
08:54j'ai dit au réunion là-bas.
08:56Vous entendez ça?
08:57Vous entendez ça?
08:58Après vous vérifiez,
08:59ça fait une vidéo.
09:00Ou c'est ça?
09:01Il est très picante
09:02la communauté musulmane.
09:03Oui.
09:04Il a fait le tour de tous les chefs religieux,
09:06de tous les imam,
09:07etc.
09:08Mais bon,
09:09peut-être les religieux qui sont du côté de passer de passer à nion ni ma qui s'allait
09:14mon khalis pour nous pour nous ça donc ne serait ce que vous respectez nionio
09:18rex voir voir ne tout qu'une église ou l'artout ou l'artout ou l'artout ou
09:26qu'une église manetiré mila il a répété magie sale du khalis corromp le
09:32pour le saga wapasif extra qu'on dirait donc pour dire que nion
09:37n'y a pas de sénégal c'est qu'ils ne se comprennent pas ligno ronde et moi
09:46plutôt apaisé l'espace public parce que c'est le qui gouverne le sénégal et donc
09:51qui gouverne l'espace public et politique en particulier d'autres n'y aura tenir
09:57un discours de hauteur des discours citoyens responsables boham ni n'y aura apaisé
10:02l'espace public et l'espace politique malheureusement sorti bien cela dit ça
10:07va dans dans le sens contraire ça va ça vole très bas et que vraiment moi je trouve
10:13même que de forn présente excuse parce qu'en tant que ministre je ne pense pas que
10:17dans un pays normal démocratique où les citoyens réclament qu'on les respecte que
10:23le ministre guénie dit voilà voilà mais bon d'autant plus que le mois non c'est c'est c'est c'est
10:30c'est interdit par la loi parce qu'on incite à ce que les gens mais adopte un nouveau comportement
10:34le procureur pouvait s'autosaisir dans ce sens là pour
10:40pour dire vraiment c'est c'est triste on va continuer à parler de la de la politique
10:48dialogue national du imam d'hierna de même la société civile compte à nous tu y est

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