Neuf agriculteurs de Charente-Maritime ont été condamnés, le 8 juillet, à plus de 1,5 million d'euros de sanction, dont 400 000 euros pour « préjudice écologique ». Ils avaient utilisé entre 2020 et 2023 des retenues de substitution en s'appuyant sur des arrêtés préfectoraux. Pour la plupart d'entre eux, c'est « une condamnation à mort économique », s'indigne leur avocat, maître Laurent Verdier, qui a aussitôt fait appel, suspendant la condamnation.