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Olivier Pardo : «Aujourd'hui, le peuple français n'a pas idée de ce qu'est la guerre», sur CNEWS. 

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Transcription
00:00C'était au départ le président de la Startup Nation. C'est ça. C'est-à-dire que c'était le président moderne qui arrivait dans un pays pour encore plus le moderniser.
00:09Il a été pris par toute une série d'événements qui sont des événements dramatiques, inattendus, notamment cette guerre.
00:17Et il est obligé de préparer son peuple à l'idée qui n'est pas du tout acquise, parce que ce n'est pas vrai que le peuple français a une idée de ce qu'est la guerre.
00:29Moi, je vis entre deux pays, un pays qui est en guerre, qui est Israël. Je sais ce que c'est un pays qui est en guerre, c'est-à-dire où tout le monde sait que le lendemain, il peut partir, revenir, etc.
00:42C'est tout à fait notre paradigme et tant mieux pour la France. Et à partir de là, il est en train de préparer une population à être capable de se dire les choses vont changer.
00:54Là où on ne peut pas le suivre, c'est que, par exemple, il ne dit pas tous les reculs de la France en Afrique.
01:03En Afrique, recul monumental. Pas recul parce que les Russes sont arrivés.
01:07Ben, si. Si. Si. Non, non, non.
01:09Recule parce que les Russes. Recule parce que les groupes.
01:11Parce qu'à un moment donné, il n'y a pas eu d'adhésion. Il n'y a pas eu d'adhésion de ces pays à l'idée qui était l'idée traditionnelle.
01:20Non, je ne suis pas du tout d'accord avec vous, Olivier.
01:22Attends, je termine. Juste, pourquoi ? Parce qu'à un moment donné, la France était très forte en Afrique.
01:29Très forte. Et petit à petit, on l'a vu sur toute une série de terrains, des reculs, une sorte de...
01:37Par exemple, je vous donne un exemple simple.
01:39Je vous donne un exemple concret. Allez-y, Olivier.
01:40Je vous donne un exemple simple. Vous avez une affaire qui s'appelle les biens mal acquis,
01:45qui a fait que tous les présidents, un certain nombre de présidents africains,
01:49sont vus leur bien saisis en France par la justice française.
01:53À un moment donné, pensez ce que vous voulez des présidents africains.
01:57Ils se disent, attendez, mais nous, on est indépendants.
02:00C'est la justice française qui vient faire la loi chez nous.

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