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  • aujourd’hui
Des plafonds effondrés, des rats dans les cuisines, des prises de courant entourées de champignons... Ces locaitaires n'en peuvent plus.

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Transcription
00:00Est-ce que c'est une statue sociale qui fait que ça n'a pas une queue pour nous ?
00:03Est-ce que vous êtes là juste pour ?
00:04Ben, il est quand même loyer, il est bien que ça, du moment de loyer !
00:16Je peux garder bien pleurs pour promencer, voilà.
00:18Là, quand il pleut, c'est une boussée ici, hein.
00:21Ah oui, là ici, avec...
00:23Il y a un boule frile.
00:27C'est censé être une chambre de petite fille, et voilà.
00:29C'est une chambre.
00:31Ouais.
00:32C'est incroyable.
00:33Comment il veut m'écrier pas ?
00:34Comment il veut m'écrier pas ?
00:36J'ai cru y aller.
00:37Après, on va poursuivir ça.
00:44Là, il y a des rats qui passent par ça, c'est la même.
00:46C'est la même, oui.
00:47Vous voyez tout ça là ?
00:48Laine de verre.
00:50Ça fait depuis le cyclone qui est passé.
00:53Aujourd'hui, vous avez bien compris que les bailleurs ne sont absolument pas du côté de la création.
00:59On le savait.
01:00Mais qui ne sont pas pressés pour les travaux.
01:01Et qu'il faut automatiquement et significativement engager les procédures.
01:04On va également, dans le même temps, demander au maire de Saint-André de faire jouer ce qu'on appelle la police du maire.
01:09C'est-à-dire de passer dans chaque logement afin de faire un constat de chaque logement.
01:17Aujourd'hui, on peut sortir de cette réunion.
01:19L'objectif, c'est que les logements soient mortes.
01:23On va donc.
01:25Il foice.
01:27Parfait.

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