00:00C'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti !
00:30Ouais, ouais, dans la bosse, ça allait trop vite, je montais à ma main, j'ai à peu près mon effort, et ouais, même si j'arrive à rentrer, ils arrivent à vraiment ressortir un gros sprint dans les 200 derniers mètres, moi, je me mets debout, histoire de dire, mais il n'y a plus grand chose dans les jambes.
00:45Tu disais à Marc, à l'instant, qu'elle est décentivement pour arriver à les rejoindre, quand même.
00:50Ouais, ouais, bah je disais qu'en ce moment, c'était un peu ce qui me sauve, entre le Tour de Suisse, où ça m'a sauvé deux fois, et ici, où j'arrive à rentrer grâce aux descentes.
00:56Mais ouais, c'est clair que les suivre à la pédale dans les montées, c'est compliqué, il faut essayer de trouver des alternatives.
01:02Comment tu fais pour être placé ? T'es toujours placé, avec les favoris, là, alors qu'on va être très très vite au moment des dernières difficultés ?
01:09Ouais, bah c'est comme une première arrivée, le placement, c'est quasiment le point le plus important sur des journées comme ça.
01:16Comment je fais ? Bah je m'appuie sur une équipe qui est ultra solide, on a vraiment une équipe ici qui sait faire, qui a de l'expérience dans toutes les sciences du placement,
01:24et je leur fais 100% confiance, et il y a deux jours comme aujourd'hui, c'est eux qui me sauvent.
01:29Mais tu adores de devant, tu as l'impression qu'ils te font ?
01:32Bah, ils me donnent l'impression qu'ils sont au-dessus du lot, tout simplement, ils voltigent, après c'est normal, c'est les meilleurs du monde,
01:39c'est normal qu'ils soient impressionnants, mais ouais, c'est fort.
01:44Est-ce que tu as l'impression d'être un peu dans la forme de ta vie, là, tu sortes d'un gros tour de flux, là, tu fais deux fois quatrième ?
01:50Forme de ma vie, je sais pas, ouais, c'est sûr que je me sens bien, et en tout cas, je suis régulier, quoi, les sensations sont là sur chaque course, donc ça c'est bien.