- 06/07/2025
[#Journal] Le 19H30 du 06 Juillet 2025
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00:00C'est toujours un plaisir d'être en votre compagnie pour la principale édition de ce dimanche.
00:21Dans ce journal, nous reviendrons sur la situation financière de l'entreprise Pizzolub
00:25et notamment de la communication chaotique en son sein.
00:30Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, soyez la bienvenue.
00:35En ouverture, quel est l'état de santé de l'entreprise Pizzolub, leader gabonais en matière de production de lubrifiant ?
00:42Cette question mérite d'être posée au regard des déclarations contradictoires
00:45entre le président du conseil d'administration et le directeur général.
00:49Commentaire.
00:51Discours opposés, chiffres flous et gouvernance contestée.
00:54En l'espace d'une semaine, les déclarations contradictoires du PCA et du DG de Pizzolub
00:59plongent le florent national des lubrifiants dans la confusion.
01:03Alors que Jean-Combi Guilledi évoque une dette insoutenable de 13 milliards de francs CFA
01:08et une possible dissolution juridique,
01:10Ancelandi Ivala assure que l'entreprise est en voie de redressement.
01:14Les discours contradictoires des plus hauts responsables de Pizzolub,
01:18florent gabonais des lubrifiants,
01:19ont semé le trouble quant à la véritable situation financière de l'entreprise.
01:23Le 18 juin dernier, lors d'une audience avec le ministre du pétrole et du gaz,
01:27Sostène Nguemane Nguema,
01:29le président du conseil d'administration Jean-Combi Guilledi
01:31n'a pas mâché ses mots à propos de la situation chaotique de l'entreprise.
01:35Nous étions à 12 milliards de francs CFA de dette, voire 13,
01:38et à 13 milliards, la société logiquement n'existe plus,
01:42puisque la dette dépasse la moitié du capital social,
01:45selon l'article 664 de l'acte uniforme OADA.
01:48Pizzolub devrait être dissoute.
01:50Aujourd'hui, nous avons exposé cette situation au ministre,
01:53a-t-il précisé une déclaration alarmiste
01:55qui jette une lumière crue sur les difficultés financières
01:58d'une entreprise historiquement minée par la mauvaise gouvernance
02:01et l'inefficacité.
02:02Pourtant, cette franchise contraste singulièrement avec la prise de parole
02:06une semaine plus tard du directeur général Ancelandi Ivala,
02:09qui a affirmé que l'entreprise se porte bien
02:11et qu'un retour à l'équilibre financier est prévu
02:14pour, au plus tard, septembre 2025.
02:17Cette divergence de communication laisse entrevoir un malaise profond
02:20au sommet de Pizzolub,
02:22alors même que des mesures de redressement ambitieuses sont en cours.
02:25L'entrée de Gabon Oil Company au capital,
02:27qui porte la participation de l'État à 71%,
02:30ainsi que l'effacement de 12 milliards de francs CFA de dette fiscale
02:34et douanière sont autant d'éléments censés rassurer les partenaires
02:37et les employés.
02:38Nous sommes sur la bonne voie,
02:39et les efforts portent déjà leurs fruits,
02:41a martelé le directeur général,
02:43qui accuse une certaine presse d'avoir amplifié des fausses nouvelles.
02:46Cette version optimiste contraste fortement avec le temps grave du PCA,
02:49qui, lui, semblait mettre en évidence une situation encore préquée.
02:53La cacophonie au sommet de Pizzolub
02:55alimente les doutes sur la sincérité des responsables
02:58et leur capacité à parler d'une même voix face aux enjeux économiques.
03:02Le PCA, en pointant du doigt une dette colossale
03:04qui menace la survie juridique de l'entreprise,
03:06semble vouloir tirer la sonnette d'alarme
03:08afin de forcer des décisions courageuses.
03:11A l'inverse, le directeur général, en minimisant les risques
03:13et en affichant un certain optimisme,
03:15donne le sentiment de vouloir préserver l'image de l'entreprise.
03:19Cette divergence traduit peut-être un désaccord stratégique
03:21sur la manière de gérer la crise qui frappe cette entreprise.
03:24Au-delà de cette rivalité implicite,
03:26c'est toute la question de la transparence
03:28et de la confiance qui est posée.
03:29Les citoyens, déjà échaudés par les scandales financiers
03:32et les promesses non tenues sous l'ancien régime,
03:35pourraient voir dans ces discours dissonants
03:36un nouvel exemple de gestion hasardeuse des entreprises publiques.
03:40La santé financière depuis Zolub,
03:42entreprise vitale pour la souveraineté énergétique
03:44et industrielle du Gabon,
03:46ne saurait se satisfaire de démivérités
03:48ou de querelles internes.
03:50Comme le résume un expert du secteur,
03:52l'enjeu, ce n'est pas de sauver des apparences,
03:54mais de sauver l'entreprise.
03:56Et puis l'annonce du chantier de l'Axe
03:59Alain Bémicouille a été confirmée
04:01ce vendredi 4 juillet 2025
04:03par le porte-parole de la présidence de la République
04:05Théophane Nzaminze.
04:07Long de 300 kilomètres,
04:09cette infrastructure reliera
04:10cinq provinces du pays.
04:12Suivant cet élément.
04:13Symbole d'une volonté de désenclavement
04:16et d'intégration nationale,
04:17le chantier de la route Alain Bémicouille
04:19a été confirmé ce 4 juillet
04:21par le porte-parole de la présidence.
04:24D'un linéaire de 300 kilomètres,
04:26cette infrastructure stratégique
04:28reliera cinq provinces
04:30grâce à un financement majeur
04:31de la BGFI Banque.
04:34Le Gabon engage une nouvelle étape
04:36dans sa politique d'infrastructure.
04:38À l'occasion d'une conférence de presse
04:40tenue au palais présidentiel,
04:42Théophane Zambiogué,
04:44conseiller spécial et porte-parole
04:45de la présidence de la République,
04:48a annoncé la concrétisation
04:49du projet de route
04:50entre Alain Bémicouille.
04:52Ce tronçon stratégique de 300 kilomètres
04:55confié à l'entreprise
04:56portée au BTP
04:58traversera cinq provinces,
05:00le Moyen-Ogoué,
05:01l'Ogoué-Ivindo,
05:02l'Ogoué-Lolo,
05:02le Hautogoué et l'Angounier.
05:05Ce chantier s'inscrit
05:06dans la volonté du président
05:07de la République
05:08de désenclaver les territoires intérieurs
05:10et d'offrir une alternative crédible
05:12aux transports ferroviaires
05:13actuellement dégradés.
05:15A indiqué Théophane Zambze,
05:17ce projet figure parmi les priorités
05:19du chef de l'État,
05:20Brice Clottero-Liguinguema,
05:22pour renforcer l'unité du territoire
05:24et connecter les pôles économiques
05:26du pays.
05:27Soutenu financièrement
05:28par BGFI Banque,
05:30le projet prévoit
05:31la construction de 26 ouvrages d'art
05:33et près de 6 000 mètres linéaires
05:35d'ouvrages hydrauliques
05:37gage de sa durabilité.
05:39A noter que la route traverse
05:40une zone écologique sensible
05:42inscrite au patrimoine mondial
05:44de l'UNESCO,
05:45ce qui implique des normes
05:46environnementales strictes.
05:47Des mesures de protection
05:49de la biodiversité
05:50seront intégrées
05:51pour minimiser l'impact
05:53sur l'environnement,
05:54a précisé le porte-parole présidentiel.
05:57Ce chantier,
05:58en plus de répondre
05:59à des besoins logistiques
06:00et économiques,
06:01vise aussi à désengorger
06:03les corridors ferroviaires
06:04aujourd'hui vieillissants
06:06et à renforcer la sécurité
06:08des déplacements
06:08à l'intérieur du pays.
06:10Il constituera aussi
06:12un levier majeur
06:13de développement local,
06:14notamment pour les populations
06:16clavées qui pourront accéder
06:17plus facilement
06:18aux services essentiels.
06:20Dans un contexte
06:21où le Gabon multiplie
06:22les réformes économiques
06:24et les partenariats internationaux,
06:26cette infrastructure s'inscrit
06:27dans une dynamique
06:28de relance et d'attractivité.
06:30Il s'agit de bâtir des routes,
06:32mais surtout de bâtir
06:33des ponts entre les citoyens,
06:35entre les territoires,
06:36entre le Gabon d'hier
06:38et celui que nous voulons
06:39pour demain,
06:40a résumé Théophan Zamze.
06:42Alors que le pays
06:44s'apprête à entrer
06:45de plein pied
06:45dans l'organisation
06:46d'élections locale
06:47et nationale,
06:48ce type de projet
06:49contribue à poser
06:50les fondations
06:51d'un développement
06:52plus inclusif et équilibré.
06:54Une vision que Brice Clotaire
06:55ou Liguinguema
06:56entend incarner
06:57en replaçant l'État
06:58au service du territoire
07:00et des Gabonais.
07:01Dans la suite de ce journal,
07:06il s'agit que l'écosystème
07:07forestier gabonais
07:08serait estimé
07:09à 43 milliards de francs CFA.
07:11Une estimation révélée
07:12par la Banque mondiale
07:13dans sa dernière note
07:14de conjoncture 2025.
07:16On regarde.
07:19La Banque mondiale a publié
07:21la note de conjoncture économique
07:22du Gabon pour 2025,
07:25mettant en lumière
07:25la nécessité de réformes
07:27économiques ambitieuses
07:28en faveur d'une croissance
07:29plus résiliente,
07:30inclusive et respectueuse
07:32des enjeux climatiques.
07:34Le document souligne
07:35l'importance
07:35des écosystèmes forestiers
07:37du Gabon
07:37qui constituent
07:38un atout majeur
07:39pour la transformation
07:40économique du pays.
07:42La valeur des services
07:43fournis par les forêts
07:44gabonaises
07:45a presque doublé
07:46entre 1995 et 2020,
07:49atteignant 43 200 milliards
07:51de francs CFA.
07:52Cette performance
07:53est due à des politiques
07:54de gestion durable,
07:55une urbanisation limitée
07:57et une faible densité
07:59démographique
07:59qui ont permis
08:00de conserver
08:01une couverture
08:02forestière intacte.
08:04Le taux de déboissement
08:05du pays
08:05reste l'un des plus faibles
08:07de la région
08:07avec seulement 0,6%
08:10de pertes
08:11sur 25 ans.
08:13Les forêts gabonaises
08:14jouent un rôle crucial
08:15dans la lutte
08:15contre le changement climatique
08:17en stockant
08:18près de 29,9 milliards
08:20de tonnes de CO2,
08:22soit une valeur équivalente
08:23à plus d'un quart
08:24de la richesse nationale.
08:25Cependant,
08:26ce rôle environnemental
08:28n'est pas suffisamment
08:29valorisé sur le plan économique.
08:31Au-delà du carbone,
08:33les forêts offrent aussi
08:34des ressources en bois,
08:36en produits alimentaires,
08:37médicinaux
08:38et des opportunités touristiques
08:40encore largement sous-exploitées.
08:42La Banque mondiale
08:43recommande au Gabon
08:45d'intégrer pleinement
08:46ses services écosystémiques
08:47dans ses politiques économiques
08:49et budgétaires.
08:50Le développement
08:51de financement vert,
08:52la participation
08:53au marché du carbone
08:54et la création
08:55des partenariats internationaux
08:56sont des leviers essentiels
08:58pour renforcer
08:59une économie verte
08:59et durable.
09:01Le Gabon pourra ainsi
09:02transformer son patrimoine
09:03naturel
09:03en véritable moteur
09:05de développement.
09:06Et puis,
09:07qu'en est-il
09:08des opérations
09:09de ramassage
09:09des personnes atteintes
09:10de maladies mentales ?
09:12Ces dernières peuvent être
09:12sources d'insécurité
09:13et d'insalubrité,
09:15mais déambulent
09:15dans les rues de la capitale
09:17sans véritable contrôle.
09:19Commentaire ?
09:20Libreville continue
09:22de faire la chasse
09:23aux occupations anarchiques,
09:25mais un autre phénomène
09:26tout aussi visible
09:27interpelle
09:27la présence massive
09:29de malades mentaux
09:29dans les rues de la capitale.
09:31Une réalité inquiétante
09:32qui pose une double question.
09:34Quand reprendra
09:34le ramassage
09:35et qu'en est-il
09:36de leur prise en charge ?
09:38La dernière opération
09:39officielle remonte
09:40à mai 2022
09:41sous l'impulsion
09:41de l'ancien ministre
09:42de la Santé,
09:43Guy-Patrick Obiongdong.
09:45A l'époque,
09:45plusieurs malades mentaux
09:46errants avaient été transférés
09:47vers le Centre national
09:49de santé mentale
09:50de Meulaine
09:50situé dans le 5e arrondissement.
09:53Mais depuis,
09:54plus rien,
09:55aucun bilan,
09:55aucun suivi
09:56et surtout
09:57une recrudescence
09:58visible dans les rues.
10:00La cause est connue.
10:01Le centre de Meulaine
10:02ne dispose que
10:03d'une centaine de places,
10:04un chiffre dérisoire
10:05pour répondre
10:05à une problématique
10:06aussi vaste.
10:07Faute de capacité d'accueil,
10:08les malades
10:09sont abandonnés
10:10à eux-mêmes,
10:10exposés à la violence
10:12à la faim
10:12et parfois
10:13dangereux pour les autres.
10:15Dans certains quartiers,
10:16ces personnes atteintes
10:17de troubles mentaux
10:17fouillent les poubelles,
10:18renversent des ordures
10:19aggravant l'insalubrité.
10:21L'ancien délégué spécial
10:22de Libreville,
10:23Julie Brahim Rapotchombo,
10:24avait lui-même pointé du doigt
10:25leur impact
10:26sur l'environnement urbain.
10:28Mais au-delà de l'image,
10:29c'est la dignité humaine
10:30qui est en jeu.
10:31Bien qu'ayant perdu la raison,
10:32ces hommes et ces femmes
10:33restent des citoyens.
10:35Leur errance dans les rues
10:36n'est pas seulement une gêne,
10:37c'est un drame humain.
10:39La question reste entière,
10:40à quand une vraie politique
10:42de santé mentale ?
10:43Une politique qui alise
10:44soins, structures,
10:45adaptées et accompagnement social.
10:48Car sans volonté politique,
10:50les rues de Libreville
10:51continueront d'être
10:52le dernier refuge
10:53de ces oubliés de la République.
10:56Et puis en santé,
10:56on parle de vin bon marché.
10:58Cette boisson à la coloration rouge
10:59plaît à bon nombre
11:00de citoyens.
11:01Seulement,
11:02ces vins de faible qualité,
11:04en connaissez-vous les dangers
11:05sur votre organisme ?
11:07Les réponses.
11:10Au Gabon,
11:11la consommation de vin
11:12bon marché séduit
11:13de plus en plus de personnes.
11:14en raison de son prix abordable.
11:17Cependant,
11:17ces vins accessibles
11:18peuvent présenter
11:19des risques pour la santé.
11:21Bien que le vin
11:22soit parfois associé
11:23à des bienfaits pour le cœur
11:25lorsqu'il est consommé,
11:26avec modération,
11:28les vins de moindre qualité
11:29contiennent souvent
11:30des substances chimiques
11:31qui échappent
11:32à la vigilance
11:33des consommateurs.
11:35En effet,
11:35le nombre de vins
11:36bon marché
11:36renferme des additifs
11:38et des conservateurs
11:39non mentionnés
11:40sur les étiquettes.
11:41Ces produits
11:42servent à stabiliser
11:43ou améliorer le goût,
11:44mais ils peuvent provoquer
11:45des effets indésirables
11:47comme des maux de tête,
11:48des allergies
11:49ou des troubles digestifs.
11:51Contrairement aux vins
11:51de qualité supérieure
11:53qui respectent
11:53des procédés
11:54de fabrication
11:55plus strictes,
11:56ces vins low cost
11:57compensent leur médiocrité
11:59par des artifices chimiques.
12:01Un autre danger
12:02souvent ignoré
12:03est l'ajout de sucre
12:04pour masquer
12:05les défauts gustatifs
12:06ou accélérer
12:07la fermentation.
12:09Cette pratique
12:09est préoccupante
12:10pour les personnes
12:11souffrant de diabète
12:13ou sensibles
12:14aux variations
12:14de glycémie.
12:16De plus,
12:16la consommation
12:17régulière
12:17de ces vins sucrés
12:18peut favoriser
12:20des maladies
12:20telles que l'obésité
12:21ou des troubles métaboliques.
12:24Les céphalées
12:24fréquemment rapportées
12:25après consommation
12:27peuvent aussi être
12:28le signe
12:28de ces altérations.
12:29Face à ces risques,
12:31il est conseillé
12:32aux consommateurs
12:33gabonais
12:33d'opter pour des vins
12:35de meilleure qualité
12:36même à un prix
12:37légèrement plus élevé.
12:38Une consommation modérée
12:40reste essentielle
12:41pour préserver
12:42sa santé.
12:43S'informer,
12:44lire attentivement
12:45les étiquettes
12:46ou utiliser
12:47des applications
12:48comme Vivino
12:49permet de faire
12:50des choix plus sûrs
12:51et de profiter du vin
12:52sans mettre
12:53sa santé en péril.
12:57Et puis le chiffre
12:58de ce soir
12:59est 2 millions
12:59de 168.592.
13:02C'est le nombre
13:03de prises en charge
13:04strictement gratuites
13:05effectuées
13:06par le SAMU social
13:07gabonais
13:08en 8 ans.
13:09La source
13:09est le SAMU social gabonais.
13:11Le verbatim
13:12EBOMAF,
13:14MICA service,
13:15BGFI,
13:16des accords
13:16de financement
13:17sans appel d'offres.
13:18Quand une oligarchie
13:20se partage
13:20les marchés publics
13:21sous le regard
13:22complice de l'État.
13:23Conflits d'intérêts,
13:25blanchiment,
13:26des risques évidents,
13:27improbables,
13:27développement sauvage.
13:29Ces propos sont
13:30de Alain-Claude,
13:31Billy Binze,
13:31président d'ensemble
13:32pour le Gabon,
13:33la source CX.
13:36C'est tout pour l'actualité
13:37de ce soir.
13:38Merci à vous de l'avoir suivi.
13:40Bonsoir.
13:44Retrouvez JMT TV
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