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Transcription
00:01Bolem Sansal n'aurait donc pas reçu la grâce présidentielle, c'est ce qu'affirment plusieurs sources à l'instant, c'est ce que révèle aussi le Figaro.
00:10L'écrivain franco-algérien s'était vu, vous le savez, infliger une peine de 5 ans de prison, il avait été condamné pour atteinte à l'intégrité nationale.
00:19Arthur Delaborde, pour Europe 1, vous êtes avec nous.
00:21Ce qu'espérait en tout cas la France n'a pas eu lieu, il n'y aurait pas eu cette grâce de la part du président Tebboune.
00:31Effectivement, pas de grâce présidentielle a priori pour Bolem Sansal, selon plusieurs sources en tout cas.
00:37L'écrivain franco-algérien condamné à 5 ans de prison le 1er juillet dernier par la cour d'appel d'HD ne fait pas partie des plus de 6500 détenus amnistiés par la présidence algérienne
00:49à l'occasion de la fête de l'indépendance célébrée demain.
00:53Une décision qui met fin à l'espoir de ses proches, qui mettrait fin à l'espoir de ses proches,
00:59qui espérait une mesure de clémence du président Tebboune.
01:02Alors il faut rester prudent à ce stade, pas de confirmation de cette absence de grâce à ce stade, ni de l'Elysée, ni du Quai d'Orsay.
01:11Une décision qui en tout cas constituerait un camouflet pour la diplomatie française,
01:17qui a plusieurs fois envoyé des signaux envers le président Tebboune pour tenter d'obtenir cette grâce présidentielle.
01:25A priori, il ne resterait plus désormais qu'un scénario possible, celui d'une grâce présidentielle décrétée pour raison médicale.
01:33Au moment où le président algérien décidera de lever, Abdelham Al-Jid Tebboune,
01:38qui garderait alors le contrôle total du tempo politique de cette décision,
01:43qui pourrait intervenir à tout moment, sans donner non plus l'impression de céder à Paris.
01:49Merci Arnur Delaborde pour Europe 1.

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