Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • hier
Alors que le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a récemment plaidé pour un moratoire sur l’éolien et le solaire, Emmanuel Macron a affirmé ce jeudi que le pays avait «besoin de renouvelable». La réaction de l'historien Nicolas Baverez : «Ce sont des milliards d'euros d'argent public qu'on dilapide».

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Ce qui est très important c'est qu'on arrive à reconstruire un secteur énergétique qui soit à peu près rationnel.
00:06Donc il se trouve qu'on a quand même de la chance, il y a un groupe dont on parle pas, c'est pas l'électricité,
00:12mais un groupe qui est remarquablement géré, qui est total et qui par ailleurs fait de la transition pour le coup écologique,
00:19intelligente, responsable et financièrement soutenable.
00:23Et pour notre pays, il faut arrêter, là on a vraiment toutes les bêtises de l'économie administrée,
00:31donc évidemment qu'il faut se fixer deux ou trois objectifs, mais ensuite il faut un principe de neutralité technologique,
00:36donc il faut arrêter de dire qu'on veut plus faire de nucléaire parce qu'on veut faire de...
00:39Comme je dis, il y a une place pour le renouvelable, il y a un renouvelable qui est pilotable, qui est l'hydraulique,
00:43tous les autres sont non pilotables et c'est ça qui pose des problèmes.
00:49Il faut par ailleurs laisser le marché fonctionner, arrêter cette aberration.
00:55Le solaire et l'éolien, ce sont des technologies matures, il n'y a aucune raison de subventionner des technologies matures,
01:01c'est complètement idiot.
01:03Donc ce sont des milliards d'argent public qu'on dilapide, on cherche désespérément des économies à faire,
01:09là il y en a beaucoup à faire et qui permettraient de diminuer la facture des Français.
01:19Sous-titrage Société Radio-Canada

Recommandations