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00:00Je suis capable, en fait, de proposer quelque chose de meilleur pour les habitants de Saint-Thusanne
00:08parce qu'il y a un délaissement de l'année depuis beaucoup d'années.
00:13On regardait le taux de chômage dans certains quartiers, surtout pour les jeunes, qui est à plus de 50%.
00:21Le taux de pauvreté dans certains quartiers est à plus de 60%, surtout chez les jeunes.
00:26Et surtout dans les quartiers comme de Bel Air, s'entraînent les villages.
00:30Et le taux de chômage et le taux de pauvreté est quand même assez conséquent.
00:34Donc j'estime que pour beaucoup d'autres actions, que ce soit les routes, que ce soit le développement économique,
00:40que ce soit les actions d'environnement ou autres, j'estime que je suis capable de faire quelque chose de bien pour cette population
00:49qui d'ailleurs a contribué à ce parcours politique.
00:54Parce qu'en fait, il faut que vous sachiez que c'est grâce aux habitants de Saint-Thusanne, aux habitants et aux habitantes
01:00que j'ai pu faire ce parcours parce que j'ai été propulsée grâce à cette population sur la scène politique
01:07dès 1998 en tant que conseillère général de Saint-Thusanne.
01:11Aujourd'hui, vous vous présentez sous l'étiquette de votre parti à NPR, mais avec le soutien de l'UDR,
01:16donc le parti d'Éric Ciotti, dont vous êtes la référente départementale.
01:20Est-ce que vous pensez que c'est un choix qui va être compris par vos électeurs en sachant qu'aux dernières élections,
01:24vous étiez présenté aux législatives sous l'étiquette d'ensemble, étiquette présidentielle ?
01:30Est-ce que c'est un choix que vous pensez qui va être compris par les électeurs ?
01:32En fait, à l'époque, c'était une élection nationale.
01:36Donc, qui dit élection nationale, qui dit en face, qu'est-ce qu'il y avait en face ?
01:40Bon, étant donné que j'ai toujours été neutre, donc c'est vrai qu'à l'époque, il n'y avait resté que les extrêmes,
01:48et puis il y avait les extrêmes et un parti de centre dont faisait partie le parti du président.
01:57Donc, c'est pour ça que j'ai choisi, mais il n'y avait pas que lui, il y avait d'autres partis.
02:01Et à l'époque, l'UDR n'existait pas, d'accord ?
02:03L'UDR, c'est l'union des droites pour la République, ça n'existe pas, et c'est conduit par un soutien.
02:08Donc voilà, c'est pour ça qu'en 2024, effectivement, il faut garder un peu son côté, un peu centre, en fait, pour tout le monde.
02:15Parce que, moi, je dis, que ce soit même des extrêmes qui veulent me rejoindre, il n'y a pas de souci,
02:19parce que moi, je viens faire une politique intègre, une politique de projet,
02:23une politique où j'ai quand même une expérience de par tous mes mandats que j'ai eus.
02:29J'ai aussi, bon, des compétences, parce que c'est vrai que j'ai fait quand même pas mal de formations
02:37pour avoir les outils nécessaires pour proposer.
02:40D'ailleurs, vous savez que c'est grâce à moi qu'il y a eu l'EUTA, je suis en plein pour l'activité des jeunes,
02:44l'aide départementale aux entreprises nouvelles,
02:48qu'il y a eu l'amélioration de l'habitat à la région, maintenant, ça n'existe plus.
02:52On a supprimé la dernière majorité.
02:55Je veux dire, donc, il y a quand même beaucoup d'actions que j'ai menées dans l'intérêt des Réunionnais et Réunionnais.
03:00Voilà.

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