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Polémique sur le rapatriement des Français d’Israël - La directrice du lycée franco-israélien tente de se justifier face à Jean-Marc Morandini qui révèle que l’ambassade a refusé de répondre et de s’expliquer - VIDEO
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Polémique sur le rapatriement des Français d’Israël - La directrice du lycée franco-israélien tente de se justifier face à Jean-Marc Morandini qui révèle que l’ambassade a refusé de répondre et de s’expliquer - VIDEO
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00:00
On va parler d'Israël, si vous voulez bien, maintenant.
00:03
Vous vous souvenez qu'hier, on a eu une dame qui s'appelait Virginie,
00:05
qui nous a parlé de sa fille de 17 ans,
00:08
sa fille qui a essayé de quitter Israël quand la guerre a commencé.
00:11
Dans un premier temps, elle a eu du mal à quitter Israël,
00:14
et puis finalement, elle a dû embarquer dans un avion militaire,
00:17
elle a dû payer 300 euros, elle s'est retrouvée à Chypre,
00:19
elle a été bloquée à Chypre,
00:21
elle n'a pas pu embarquer dans le premier vol direct pour la France,
00:25
elle s'est retrouvée bloquée,
00:26
elle a été hébergée dans une base militaire chypriote le soir même,
00:30
sa mère était très inquiète.
00:31
Alors, on a eu des nouvelles, bien évidemment, on l'a rappelé,
00:33
elle a réussi finalement à rentrer, et ça, c'est une bonne nouvelle.
00:36
Mais visiblement, la directrice du lycée franco-israélien, Mikve,
00:40
voulait nous répondre là-dessus,
00:42
elle s'appelle Ruth Benzmian,
00:46
pardon, je vais mal dire votre nom.
00:48
Bonjour madame, merci d'être en direct avec nous.
00:51
Bonjour.
00:52
Visiblement, ça a été une catastrophe, ces rapatriements ?
00:55
Non, pas tant que ça.
00:56
Les parents étaient tout à fait informés
00:58
de l'attente très longue qu'il y aurait à Chypre.
01:03
On a bien dit à tous les parents, entre 24h et 48h,
01:07
on a en effet essayé de faire rapatrier les enfants
01:10
avec le premier avion qu'il y avait le jour où ils sont arrivés à Chypre,
01:14
mais il y avait des priorités sanitaires qui devaient être passées avant eux.
01:19
– Madame, ce que je le comprends, vous allez parler, ne vous inquiétez pas,
01:23
j'essaie de comprendre élément par élément.
01:25
D'abord, pourquoi est-ce qu'ils se retrouvent à Chypre et pas en France ?
01:28
Moi, jusque-là, les rapatriements, quand on évacue des Français,
01:31
on les ramène en France.
01:32
Pourquoi est-ce qu'ils les ont déposés à Chypre ?
01:34
– Alors, je vais vous l'expliquer.
01:35
– Il faut se remettre dans le contexte.
01:38
À l'époque, on a demandé l'aide au consulat, c'était encore la guerre.
01:41
Il n'y avait pas de couvre-feu et l'espace aérien était complètement fermé.
01:46
Il n'y avait pas d'autorisation pour sortir d'Israël,
01:48
ni un avion civil, ni un avion militaire.
01:51
Donc, il y avait des départs directs de la Jordanie vers Paris,
01:58
mais quand on partait de Tel Aviv, et ce qu'ont fait mes étudiants,
02:02
ils sont partis de Tel Aviv, ils ont été pris en charge à partir du consulat,
02:07
directement à Ben Gurion, et ils ont pu prendre le vol pour Chypre.
02:12
Il n'y avait que cette seule possibilité,
02:15
puisque Chypre étant à entre 30 et 45 minutes de Tel Aviv,
02:20
ils pouvaient ainsi faire beaucoup plus de rapatriements.
02:22
Je pense que c'était la logique du consulat.
02:25
– Avant-hier, ils auraient pu faire le vol vers la France.
02:30
– Est-ce que la guerre était terminée ?
02:34
– Attendez, non, le jour où nous, nous avons réservé,
02:39
c'était la veille du couvre-feu, du cessez-le-feu, pardon.
02:44
C'était la veille du cessez-le-feu.
02:46
Donc non, on avait déjà réservé,
02:47
on n'imaginait pas qu'il y aurait un cessez-le-feu le lendemain.
02:50
– Un vol régulier, non ?
02:52
– Non, il n'y avait pas encore les vols.
02:53
Non, il n'y avait pas encore de vols réguliers.
02:55
– C'est ça, donc c'était un vol militaire.
02:56
– Non, il a fallu attendre 24 heures pour que Ben Gurion aéroport réouvre.
03:01
– Madame, mais juste expliquez-moi, c'est un vol militaire français qu'ils ont pris ?
03:05
– C'est un vol militaire français qu'ils ont pris, c'était les vols qu'ils proposaient.
03:09
– Et donc ce vol militaire français ne les ramène pas en France ?
03:12
Et il les lâche à Chypre ?
03:14
– Non, non, ils ne sont pas lâchés à Chypre.
03:17
– À Chypre, les enfants, ils étaient 12 jeunes, ces 12 jeunes ont été encadrés
03:23
du moment où ils ont quitté le consulat de Tel Aviv jusqu'à Chypre.
03:27
À Chypre, l'ambassadrice avec des agents consulaires et des agents de l'ambassade de France
03:33
ont encadré ces enfants.
03:36
Écoutez, j'ai parlé avec les enfants toute la nuit.
03:38
– Je les ai au téléphone, je vais les voir tout à l'heure.
03:40
Je suis désolé Madame, mais merci de donner, on va dire, la parole à la place de l'ambassade,
03:46
à la place des agents consulaires.
03:49
Je vous ai écouté Madame ?
03:51
La différence c'est que je suis en lien avec eux depuis 3 jours, non-stop,
03:55
2 jours comme de nuit, ok ?
03:57
Il y a des enfants de 15 ans à qui on a demandé de venir avec 300 euros en cash
04:01
pour monter dans le bus à Tel Aviv pour aller à Ben Gurion.
04:04
Ensuite, où ils ont été acheminés, donc c'est une exfiltration en vue d'un rapatriement.
04:09
Il faut employer les bons mots.
04:10
Le rapatriement, c'est quand on rentre dans sa patrie.
04:13
Arriver à Chypre, dans une base militaire, chypriote,
04:15
avec des conditions de dingue, et j'ai là toutes les photos et les vidéos,
04:19
les sandwiches épouvantables, des conditions sanitaires épouvantables,
04:24
je les avais en permanence Madame au téléphone, premièrement.
04:27
Ensuite, vous parlez d'encadrement, c'est faux.
04:29
Il y a une rupture totale du service public, pourquoi ?
04:34
Parce que c'est encadré justement par un droit, c'est un droit.
04:37
On doit avoir déjà un soutien psychologique.
04:40
Il n'a pas eu lieu.
04:40
On a envoyé deux psychologues chypriotes.
04:44
Oui, ils n'ont pas été encadrés Madame.
04:46
Alors, elles vous répondent.
04:47
Elles n'ont pas été informées.
04:49
Je suis désolé.
04:50
Ce n'est pas du tout mon but, c'était d'ajouter des informations.
04:52
Je ne viens pas du tout contredire les dires et le ressenti de la dame qui a parlé hier.
04:57
C'était le ressenti.
04:58
Maintenant, il faut savoir une chose.
05:00
Nous, on a été toute la nuit au téléphone avec les enfants.
05:02
Que ce soit les encadrants de l'internat, que ce soit les professeurs principaux, l'assistante sociale d'Israël.
05:08
Les assistantes sociales à Chypre étaient présentes, il y en avait deux.
05:12
Il y avait deux agents de sécurité de l'ambassade qui étaient à côté d'eux.
05:17
Je peux même vous envoyer les photos.
05:18
L'assistante psychologique, Madame ?
05:19
Attendez, excusez-moi.
05:20
Vous allez me confirmer, donc.
05:22
Ce sera très intéressant parce qu'il faut me dire où elles étaient.
05:24
Parce que les enfants les cherchent encore.
05:26
Dans un rapatriement, il y a une obligation de service public avec une assistance psychologique.
05:31
est-ce que vous affirmez qu'ils étaient là ?
05:35
Absolument, on m'a indiqué qu'il y avait deux assistantes sociales.
05:38
Non, non, écoutez, est-ce que j'entends vous dire, Madame ?
05:40
Excusez-moi, Madame.
05:42
Je répète, est-ce qu'il y avait une assistance psychologique des thérapeutes
05:47
comme il se doit dans tous les rapatriements, surtout en période de guerre ?
05:50
Nous n'oublions pas qu'ils ont vécu des bombardements intenses.
05:54
Certains sont traumatisés.
05:55
Et certains m'ont écrit et témoigneront
05:57
comme quoi le stress post-traumatique qu'ils ont vécu
06:00
de ce faux rapatriement qui est de l'exfiltration
06:03
est bien pire que ce qu'ils ont vécu pendant les bombardements.
06:06
Donc vous affirmez, Madame, on en dirait que c'est enregistré.
06:09
Donc vous allez me dire...
06:10
Je vais en Israël depuis plus de 30 ans.
06:11
Vous allez me confirmer qu'il y a une...
06:13
Laissez-la parler, laissez-la parler.
06:14
Elle vous répond.
06:15
À l'Israël, c'est la première fois qu'Israël est tiré dans ces villes,
06:19
dans ces quartiers.
06:20
Donc non, je ne suis pas d'accord.
06:21
Là, on ne peut pas dire ce que vous dites.
06:23
J'étais en contact avec tous les enfants.
06:25
Alors c'est vrai, il y en a qui ont...
06:26
Dans un monde idéal, on aurait préféré qu'ils arrivent dans un hôtel
06:29
et vous avez parfaitement raison.
06:31
Mais ils étaient encadrés.
06:32
Ils étaient encadrés.
06:34
Nous, on est restés jusqu'à une heure du matin avec eux.
06:36
Bon, écoutez, peu importe.
06:38
Aujourd'hui, ils sont arrivés à bon...
06:40
Mais non, mais parce que vous ne voulez pas me croire.
06:41
Moi, je veux bien continuer à...
06:42
Mais ce n'est pas votre responsabilité, c'est celle de l'État français.
06:45
Là où l'État français a failli, c'est qu'il n'y a pas eu d'assistance.
06:48
Madame, vous le savez très bien.
06:49
Donc vous pouvez les défendre.
06:50
Et c'est d'ailleurs pas bien de leur part qu'ils vous envoient, vous, au casse-fip.
06:54
Ils ne vont pas envoyer.
06:55
C'est moi qui ai demandé à venir.
06:56
Alors, ils devraient vous dire merci, madame.
06:58
Parce que malheureusement, ça ne s'est pas passé comme ça.
07:00
À Paris, des psychologues ont attendu chacun.
07:06
Donc, madame, je suis en train de vous aider à éviter de dire, on va dire, une non-vérité.
07:11
À Paris, peut-être.
07:12
Mais vous savez très bien que c'est dans cette transition, madame.
07:16
Je ne vous ai pas parlé de psychologue.
07:18
Moi, ce que je voudrais que vous sachiez, c'est que quand il a fallu rapatrier après le 7 octobre,
07:23
les enfants diplomates, expatriés, ou les enfants qui ont toutes leurs familles,
07:28
c'était des mineurs, vous avez raison.
07:30
Personne ne pouvait les accompagner depuis Israël,
07:32
parce qu'il n'y avait pas encore de possibilité de sortir du territoire israélien.
07:37
Nous suivons les consignes.
07:38
Je suis franco-israélienne.
07:40
Nous suivons les consignes du commandement du Front Intérieur.
07:43
On n'avait pas encore la possibilité.
07:45
Ce n'est que le lendemain de notre demande à M. le Consul
07:49
qu'il y a eu le cessez-le-feu.
07:52
Donc, tout avait été fait un petit peu avant.
07:55
Maintenant, je veux bien entendre que les lignes étaient saturées,
07:58
que les personnes, quand ils ont fait un appel individuel,
08:01
ça a été très long et ils n'ont pas eu de réponse.
08:03
Je me suis tournée, après, attendez,
08:05
je me suis tournée au lendemain du 7 octobre,
08:08
j'ai rapatrié tous les enfants qui le voulaient,
08:10
et tout s'est très bien passé.
08:12
Et c'était un rapatriement, comme vous le dites,
08:14
parce que le ciel était ouvert,
08:17
parce que l'espace, eh bien, était ouvert.
08:20
Là, il n'y avait pas d'autres possibilités.
08:24
Juste, madame, merci en tout cas d'avoir été avec nous.
08:27
Je veux juste ajouter quelque chose, quand même.
08:28
C'est que je crois que personne ne vous met en cause, vous,
08:31
parce que ce n'est même pas votre responsabilité.
08:34
Ce qui est très dommage, quand même,
08:35
c'est que ce soit vous qui veniez répondre,
08:38
alors que nous, on souhaitait avoir l'ambassade.
08:39
L'ambassade a renvoyé sur vous.
08:41
Et je trouve que c'est...
08:42
Ah, pas du tout.
08:42
Oui, bah oui, bah écoutez, on l'a vécu.
08:44
Me dites pas, pas du tout.
08:45
On l'a vécu, on les a eu au téléphone.
08:46
C'est eux qui nous ont dit que c'est vous qui alliez parler.
08:48
Je dis ça pour vous aider, madame.
08:49
Excusez-moi, c'est pas contre vous, au contraire.
08:51
Je trouve que vous avez beaucoup de courage de venir,
08:53
de défendre ça.
08:54
Et encore une fois, c'est pas vous qui êtes en cause dans tout ça.
08:57
L'organisation, c'est pas vous.
08:58
C'est l'ambassade.
08:59
Donc, merci, madame.
09:00
Merci à vous.
09:01
Merci, je suis sûre que vous, vous avez fait le maximum.
09:03
Je suis juste une toute dernière phrase.
09:04
Allez-y.
09:05
Les enfants n'ont pas demandé à partir très tôt,
09:08
dans la mesure où ils attendaient de savoir
09:10
s'ils pouvaient continuer les épreuves du baccalauréat.
09:13
Et c'est pour ça que ça a aussi beaucoup traîné.
09:16
Je parle des premières et des terminales.
09:17
Mais encore une fois, madame,
09:18
il n'y a absolument rien contre vous.
09:20
Et encore une fois...
09:21
Ah non, non, mais je me sens...
09:22
Non, non, mais je vous le dis, parce que c'est important aussi
09:24
pour les gens qui nous regardent de dire
09:24
qu'il n'y a absolument rien contre vous.
09:26
Au contraire, je trouve juste dommage
09:28
que l'ambassade de France se défausse
09:29
et vous envoie vous.
09:31
Voilà.
09:31
Mais ça, c'est personnel.
09:32
C'est une question d'invitation, c'est un peu dommage.
09:34
D'ailleurs, la maman a été absolument très gentille
09:38
concernant l'école, l'internat.
09:40
Très gentille, madame.
09:41
Je vous confirme qu'elle est très gentille aussi.
09:42
Je vous dis un merci.
09:43
Merci beaucoup, en tout cas.
09:44
Merci d'avoir été...
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