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Stéphanie, la maman du jeune Elias, tué en janvier dernier, est revenue sur le suivi psychologique après la mort de son fils : «Nous tenons grâce à nous-mêmes».

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Transcription
00:00Il n'y en a pas. C'est là où je paye la salle de musculation de mon fils aîné,
00:07je paye les séances de pédopsychiatrie de ma fille.
00:12Et c'est là où, en introduction, j'ai dit qu'on était une grande famille forte et unie.
00:18C'est-à-dire que la famille de la victime, notre famille, nous tenons grâce à nous-mêmes.
00:25Et parfois, on aimerait peut-être que les juges des enfants en ce qui concerne les mineurs délinquants voient le visage des victimes.

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