- 25/06/2025
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00Ah, oula, il y a beaucoup de sujets, on va en parler dans un instant.
00:03Juste, on va s'arrêter sur ce sondage de petite minute, parce que c'est à peu près le même qu'il y a.
00:07Pour quelle personnalité politique les Français éprouvent de la sympathie et de l'adhésion ?
00:11Ah oui, il y a des gens qui nous appellent aussi déjà pour des petits messages.
00:16Ah, c'est sympa.
00:17Avant la dernière de demain.
00:19Merci les auditeurs.
00:2001, 80, 20, 39, 21, vous pouvez nous appeler, même pour nous dire tout ce que vous voulez aujourd'hui.
00:23Tout ce qui vous passe par la tête, nous appelez.
00:25Ah voilà, qu'est-ce qui se passe, Vertigo ?
00:27Je vais compter à quel moment arrive la gauche.
00:30Ah d'accord, alors le sondage, en 11ème position, c'est François Hollande.
00:35Il attire quand même de la sympathie à chaque fois François Hollande.
00:37Oui, mais là il est 11ème quand même.
00:38Raphaël Glucksmann, 10ème.
00:40Moi je préfère manger avec François Hollande qu'avec Raphaël Glucksmann.
00:42Avec Raphaël Glucksmann, tu ne manges pas, tu dors.
00:48C'est le seul mec que tu l'appelles pour faire une sieste.
00:51Non mais Raphaël Glucksmann, t'es en sieste déjà ou bien on peut se caler un truc ?
00:55Non mais Raphaël Glucksmann, je n'ai jamais vu un mec qui avait deux tensions Paris.
00:58Je ne sais pas comment ça va.
00:59Non, ça ne va pas être très fun.
01:00Ah non, en fait Glucksmann, franchement, c'est le dernier avec qui je partais.
01:05Je n'ai rien contre lui.
01:06Non, non.
01:07Non mais en fait, c'est le mec en classe qui ne sert à rien.
01:11Non mais c'est vrai, c'est le mec en classe qui ne sert à rien.
01:13Tu n'as pas envie de copier sur lui, tu n'as pas envie d'aller faire du sport avec lui,
01:17tu n'as pas envie de lui parler, tu n'as pas envie d'aller le chercher,
01:19tu n'as pas envie de faire la route à l'école.
01:20Mais tu n'as pas envie de te fâcher avec lui non plus, tu n'as pas envie de te fâcher avec lui.
01:25En fait, c'est le mec sur la photo de classe, dix ans après, tu fais, c'était qui lui ?
01:31Mais si, Glucksmann, Raphaël.
01:34Je ne vais jamais parler de l'année.
01:35Je ne vais pas parler de l'année, écoute, excuse-moi.
01:36Excuse-moi, je ne l'ai pas parlé de l'année.
01:38Petit côté transparent.
01:39Non mais ce n'est pas transparent lui, c'est un papier calque.
01:41Franchement, non.
01:43Sa mère s'appelle Claire.
01:48Allez, voilà.
01:50Ça c'est fait.
01:53On passe à François Ruffin, que j'aimais beaucoup, et qui commence à m'agacer.
01:57Pourquoi ?
01:58Je ne sais pas, je trouve qu'il en fait trop.
02:02Il a changé Sarah Salman.
02:04Il a changé Sarah Salman.
02:06Vous savez, il a fait un film avec Sarah Salman.
02:08Il l'a transformé, elle est de gauche.
02:11Sarah Salman a changé, elle n'a pas changé du tout.
02:14Le seul qui a changé.
02:14Non, lui, il a changé.
02:15Je trouve qu'il est devenu un peu plus agaçant qu'avant.
02:17Il se la raconte un peu.
02:19Et moi, je vais vous dire un truc.
02:20Quoi qu'il arrive, de n'importe quel bord que ce soit, je déteste les mecs qui crachent dans la soupe.
02:28Ça, ça me rend fou.
02:30Je préfère qu'ils ne disent rien.
02:32D'Artigol n'a jamais craché dans la soupe.
02:34Jamais, non mais c'est vrai.
02:35Il n'a même jamais craché dans une soupe.
02:37De cours, il la boit la soupe.
02:38Il buvait sa lié biguère.
02:40Non, non mais...
02:42C'est important ce que tu dis.
02:43Et moi, je ne supporte pas ça.
02:45Moi, qu'on aime ou pas Jean-Luc Mélenchon,
02:47qu'on aime ou pas la France insoumise,
02:50moi, les mecs qui crachent dans la soupe derrière,
02:52après avoir été...
02:53Vous attendez la loyauté.
02:55Bah oui.
02:55Au moins, tu ne dis rien.
02:56Tu dis on s'est séparés parce que je sais d'autres choses.
02:59On n'est pas d'accord sur certaines choses,
03:01mais je n'ai rien contre eux.
03:02Ils font leur truc, je fais mon truc.
03:03Mais franchement,
03:04les mecs qui crachent dans la soupe,
03:05moi, je ne supporte pas.
03:06Voilà.
03:06Donc ça, déjà, ça s'est fait.
03:08Donc Ruffin, ça y est.
03:10Pour moi, c'est clair.
03:13C'est fini.
03:14Je l'aimais bien à un moment.
03:15Mais ça y est, je n'aime pas.
03:17Il ne fait que de cracher sur ses anciens potes.
03:19Tout ça, ça me dégoûte.
03:20Voilà.
03:21Ça me dégoûte.
03:21En huitième, je l'aurais mis bien plus haut,
03:26moi, bien entendu.
03:27Nicolas Sarkozy, qui est, et je le dis,
03:30parce que j'ai la chance de le connaître,
03:31de passer du temps avec lui.
03:33C'est un vrai gentil.
03:35En tout cas, c'est un vrai sensible.
03:37C'est quelqu'un qui s'intéresse vraiment aux gens,
03:38Nicolas Sarkozy.
03:39Vraiment.
03:40Il s'intéresse aux gens.
03:41Il aime aider les gens.
03:43Il aime s'intéresser à eux.
03:44Il ne pense pas qu'à sa gueule.
03:45Et c'est un type exceptionnel.
03:47Vous le savez, je parle de lui,
03:49je le considère comme un ami.
03:50J'espère que lui aussi,
03:51mais en tout cas, je l'aime beaucoup.
03:52Nicolas Sarkozy, c'est Nicolas Sarkozy.
03:54Et c'est vrai que tout...
03:55Alors, je vais vous dire,
03:56et vous pouvez parler avec n'importe qui,
03:58des mecs de gauche,
03:59des mecs de droite,
04:00des mecs du centre,
04:01quand ils ont rendez-vous avec Nicolas Sarkozy,
04:03ils ont rendez-vous avec Nicolas Sarkozy.
04:05Quand ils l'entrent dans la pièce,
04:05il se passe quelque chose.
04:06Non, mais c'est ça.
04:07Quand ils l'entrent dans la pièce,
04:07il se passe quelque chose.
04:08Quand ils ont rendez-vous avec Nicolas Sarkozy,
04:10c'est sûr.
04:10C'est vrai.
04:11Ils ont rendez-vous avec Nicolas Sarkozy.
04:12Quand ils ont rendez-vous avec Raphaël Glucksmann,
04:15ils oublient de rendez-vous.
04:16Une fois sur deux,
04:17ils font putain, merde !
04:18Putain, j'avais Glucksmann !
04:22Putain de merde !
04:22C'est vrai, mais c'est vrai.
04:23Il se passe quelque chose.
04:25Nicolas Sarkozy, c'est Nicolas Sarkozy.
04:26Qu'on aime ou pas ?
04:27Michel-Edouard Leclerc,
04:28je ne le connais pas du tout.
04:29J'ai juste acheté un jour un paquet de granola.
04:31J'aide.
04:32Non, mais je ne le connais pas.
04:34Je ne le connais pas,
04:35mais comment ça m'a agacé ?
04:37Moi, il m'a agacé.
04:37Moi aussi.
04:38Comment ça m'a agacé ?
04:39Il commence à m'agacer.
04:40Il se la raconte.
04:41Il a attaqué Bernard Arnault.
04:43Il attaque tout le monde.
04:44Il se prend pour le donneur de leçons.
04:46Non, mais sans déconner.
04:46Il vende des princes de lui
04:47et qu'il arrête d'emmerder le monde.
04:49Sinon, je n'ai rien contre lui.
04:51Moi aussi, je trouve ça curieux
04:52d'attaquer Bernard Arnault.
04:53C'est insupportable.
04:55Genre, moi, je suis le patron des pauvres
04:56et lui, c'est le patron des riches.
04:58C'est insupportable, ça aussi.
04:59Combien de familles il y a grâce
05:00au groupe LVMH ?
05:01Il a un petit côté posture.
05:04Moi, je défends la veille d'offrir.
05:05Le groupe LVMH sur le rayonnement de la France,
05:07à mon avis...
05:09Moi, il attaque trop Bernard Arnault.
05:10C'est insupportable.
05:11Non, mais c'est vrai.
05:11Lui, c'est le président des pauvres.
05:12Le riche industriel pauvre.
05:14Mais quand ?
05:15Des pauvres ?
05:15Mais quoi ?
05:16Non.
05:16Quoi ?
05:17Il veut se vendre comme ça ?
05:18Je le sais, mais personne n'y croit.
05:20Bah si, mais à un moment,
05:21il veut se vendre comme ça, mon bébé.
05:22Oui, personne.
05:24J'aurais remarqué que...
05:25Et puis bon, il y va ou il n'y va pas.
05:26Ce n'est pas de deux en disant
05:27non, oui, non,
05:28comme s'il y avait une attente dans le pays
05:29sur sa candidature.
05:30Il n'y a pas d'attente dans le pays
05:31sur sa candidature.
05:33C'est vrai qu'il fait quand même 29%
05:35dans ce sondage.
05:35Oui, c'est assez étonnant, moi, je trouve.
05:37Oui.
05:37Il fait quand même 29%.
05:38Bon, tout ça, de toute façon,
05:39on va se...
05:40Oui.
05:41On va être évacués.
05:42Il n'est pas du tout patron de Leclerc, en plus.
05:44Ah bon ?
05:44C'est pas lui.
05:45Lui, il est directeur de la com, je crois.
05:46C'est ça ?
05:47Directeur.
05:48Oui, mais c'est ça.
05:49Com et administration.
05:50Ah bon ?
05:51C'est le gars, l'attendant, quoi.
05:53Il s'appelle quand même monsieur Leclerc.
05:54Bah, bien sûr.
05:55Bah, oui, quand même.
05:56Bah, bien sûr.
05:59S'il s'appelait Auchan, à la limite.
06:02S'il s'appelait Butamite.
06:05S'il s'appelait Richard G20.
06:07Je t'aurais dit, bon, oui,
06:08là, il y a un problème.
06:09Ah, mais c'est vrai.
06:10Non, mais pas que moi,
06:11par contre, j'ai eu Caroline Lidl-Price.
06:13Qu'est-ce qu'il est sympa.
06:15Qu'est-ce qu'il est sympa.
06:16Ah non, mais je te dirais,
06:17qu'est-ce qu'il est sympa.
06:18Les mousquetaires intermarchés aussi,
06:20je les adore.
06:21J'adore ces mecs.
06:22J'adore ces mecs.
06:23Et puis, il y a Carrefour.
06:24Régis.
06:25Régis Carrefour.
06:26C'est positif tout le temps, lui.
06:27Oui, toujours.
06:28Dès que je le vois,
06:29il est positif de fou, ce mec.
06:30Non, c'est un ringonnais.
06:31C'est un dingue.
06:32Allez, en sixième position,
06:33Gabriel Attal.
06:35Gabriel Attal, qu'on aime ou pas aussi.
06:37Non, mais les mecs,
06:38tu passes un bon moment
06:39avec Gabriel Attal.
06:40J'ai déjà dîné avec lui.
06:41Voilà, tu passes un bon moment
06:42avec Gabriel Attal.
06:43Il est sympa.
06:43Il est intelligent.
06:44Il est dans l'ambiance.
06:47Il rigole.
06:48Il est sympa.
06:48Exactement, il est sympa.
06:49Et puis, il est tellement sympa
06:50qu'il veut partager sa sympathie
06:51à tout le monde
06:51et même à la France Insoumise
06:53en quatre secondes.
06:56En cinquième,
07:00Gérald Darmanin,
07:01donc le sondage des Français.
07:02Gérald Darmanin,
07:03cinquième position,
07:05qui est très sympa.
07:07On aime ou pas ?
07:07En tout cas,
07:08Gérald Darmanin,
07:09moi, j'aime bien les mecs fiables.
07:10Il m'a dit à chaque fois
07:11qu'il a dit qu'il venait
07:12dans mon émission,
07:12il est venu.
07:13Il n'a jamais rien demandé.
07:15Je ne veux pas poser cette question.
07:16Je ne veux pas qu'on me mette
07:17tel invité.
07:17Et voilà,
07:19il est clean,
07:20Gérald Darmanin.
07:22Sacré politique,
07:23très intéressant
07:24d'échanger avec lui.
07:25C'est un vrai politique.
07:26Très malin.
07:26Très malin, très intelligent.
07:28Et d'ailleurs,
07:28il se débrouille très bien
07:29à la justice.
07:30C'est-à-dire qu'il a compris,
07:31il ne fait pas des promesses
07:32qu'il ne peut pas tenir.
07:33Il ne fait pas du rataillon.
07:34Il promet.
07:35Oh là là là !
07:38Un incident !
07:42Un incident !
07:45Elle avait fait une belle saison.
07:47j'avais fait une belle saison.
07:48On en bat sur le mur.
07:50À la fin dernière !
07:51À la fin dernière,
07:52elle perd tout.
07:53Si proche de la fin !
07:55Fonte,
07:55faonte !
07:56Oh non !
07:57Quelle faute !
08:04C'est un mec,
08:15c'est comme au coucour,
08:16il pique !
08:16Il lui reste la puce,
08:17il est le chemin,
08:18il est le sapot.
08:20C'est un mec,
08:20il était tranquille,
08:21il fait ses tasse sans faute
08:22pour ne travailler
08:22avec un cavalier français.
08:23Il s'explose.
08:24Il s'explose.
08:25Il s'explose sur le dernier obstacle,
08:27c'est horrible.
08:28Non mais je m'explique !
08:30Bruno Botaillot a dit énormément
08:36et sur le papier,
08:38c'était formidable
08:38et on n'a pas vu grand-chose.
08:42Zévald Darmanin a dit beaucoup moins.
08:46Il m'arrête de dire des bêtises.
08:47Mais parce qu'il y a beaucoup plus à faire
08:49à l'intérieur.
08:49C'est raison, merci Olivier.
08:50C'est beaucoup plus compliqué
08:52à l'intérieur qu'à la justice,
08:53arrêtez de dire des conneries.
08:56Merci.
08:59C'est la régie et fort.
09:00Merci Romain.
09:01C'est vrai,
09:02c'est beaucoup plus compliqué.
09:03Les mecs, arrêtez.
09:04Tu peux plus capitaliser
09:06un résultat politique
09:07à l'intérieur qu'à la justice.
09:08Normalement oui.
09:09Normalement oui.
09:10C'est celle-là
09:11où il y a le cas d'Armanin.
09:12Merci Olivier.
09:12Il a énormément capitalisé
09:13Bruno Botaillot
09:14et Gérard Darmanin
09:15est capitalisé aussi
09:17mais c'est plus facile.
09:18La justice,
09:18c'est moins sous le feu
09:19des projecteurs.
09:20Bien sûr.
09:21La sécurité,
09:22c'est tout le temps
09:22partout dans la rue.
09:22C'est plus technique.
09:23C'est plus technique la justice.
09:24Tu vas voir des trucs
09:25que tu ne vas pas voir.
09:26Vraiment,
09:26c'est ce que je veux dire.
09:27Ça n'a rien à voir.
09:29Mais franchement,
09:30j'aimerais savoir
09:30ce que pense la régie
09:32de Valérie Bédé.
09:39Attendez,
09:39parce que là,
09:40elle va nous dire
09:40que le quatrième est formidable.
09:41Jamais personne n'a entendu
09:42le son de sa voix.
09:43Ça fait six ans.
09:44Même quand il fait des interviews,
09:45on n'entend pas le son de sa voix.
09:46Mais oui,
09:47regardez.
09:48Il est quatrième.
09:49Il est quatrième,
09:50mais il est derrière Bruno Retailleau.
09:51On va en parler dans un instant.
09:52Et ce touche-touche
09:52Philippe Darmanin-Atal
09:53sur ce qu'on appelle
09:54le socle commun,
09:55c'est intéressant.
09:56Ce touche-touche
09:57Retailleau-Philippe Darmanin.
09:58Attendez,
09:59on n'a pas encore parlé de Bruno.
09:59Mais Retailleau sera candidat.
10:01Édouard,
10:01exactement.
10:02Édouard Philippe
10:02en quatrième position.
10:03Il est sympathique.
10:04Mais Édouard Philippe,
10:05on n'a jamais entendu
10:06le son de sa voix.
10:07Il a été Premier ministre
10:08trois ans.
10:09Mais alors ?
10:10Même quand il était Premier ministre,
10:11la seule chose qu'il disait,
10:12c'est je ne sais pas.
10:20Il faut que tu arrêtes
10:21avec l'argument
10:22j'aime Édouard Philippe
10:23parce qu'il a dit je ne sais pas.
10:24Moi, j'aime bien
10:25quelqu'un qui ne fait pas semblant
10:27de sa voix
10:27et qu'il n'a pas des postures
10:28pour avoir des postures.
10:29C'est comme votre mec
10:29quand vous lui demandez où il va
10:30et il vous dit je ne sais pas
10:31et vous êtes content.
10:32Arrêtez,
10:33Benahim,
10:33ressaisissez-vous.
10:34On va en parler dans un instant.
10:35On va parler du top 3.
10:37Du top 3,
10:37on va reparler d'Édouard Philippe
10:38parce que Valérie Benahim
10:39va nous expliquer qu'il est formidable.
10:40Il est quatrième
10:40donc il y a beaucoup de choses.
10:41Ma quatrième t'as pas de médaille.
10:440-1-80-20-39-21.
10:46Allez,
10:46à tout de suite sur Europe 1.
10:48Appelez-nous
10:48et on va s'occuper de Valérie Benahim.
10:49C'est insupportable.
10:50Tout de suite.
10:51Europe 1.
10:5216h-18h.
10:54On marche sur la tête.
10:55Cyril Hanouna.
10:56Merci aux auditeurs
10:57d'être avec nous.
10:57Vraiment,
10:58vous allez me manquer.
10:59Vous allez me manquer
10:59vraiment.
11:01Mais vraiment.
11:02Vraiment.
11:02Parce que là,
11:03on a passé des moments exceptionnels.
11:05Exceptionnels.
11:05Et les auditeurs,
11:06ils ont fait l'émission.
11:07D'ailleurs,
11:07on va reprendre des auditeurs
11:08dans un instant sur cette affaire
11:10le classement
11:10des personnalités politiques
11:12pour lesquelles
11:13les Français
11:14prouvent de la sympathie
11:14et de l'adhésion.
11:15Donc,
11:16en quatrième position,
11:17on avait Édouard Philippe.
11:19Édouard Philippe.
11:21Qu'est-ce que vous en pensez ?
11:22Il y a un phénomène sondagier
11:24qui se poursuit,
11:26qui s'installe
11:26depuis son départ de Matignon.
11:28Mais il baisse.
11:29Qui est réel.
11:30Il baisse.
11:30Il baisse.
11:30Il baisse.
11:31Mais il se maintient haut.
11:32Il est toujours dans les...
11:34Quelque chose m'échappe
11:35dans le pays réel.
11:37Au-delà de Valérie Benahim.
11:38Faisons comme si Valérie Benahim
11:39n'existait pas.
11:40Merci, Gautier Lomé.
11:41Est-ce que tu rends contre...
11:42Votre monde serait tellement triste.
11:43Oui, mais on veut juste
11:44trouver cet effort mental.
11:45Est-ce que tu les trouves
11:46autour de toi ?
11:46Oui, exactement.
11:47Est-ce que tu te vois
11:48quelqu'un ?
11:48J'adore Édouard Philippe.
11:49Je vais voter pour lui.
11:50J'en ai pas un.
11:51Là, on va voter.
11:54On a de la sympathie.
11:55Non, mais tout ça...
11:55Oui, je vois bien que c'est...
11:57Est-ce que tu dis
11:58qu'il a l'air super sympa
12:00Édouard Philippe ?
12:00Est-ce que tu as déjà entendu ça
12:01en dehors de toi-même
12:02quand tu te réécoutes
12:03mon podcast ?
12:04Il m'arrête un peu.
12:05Vous êtes la seule.
12:07Moi, je trouve qu'il a
12:08un capital sympa,
12:09cet homme-là.
12:09Vous savez ce que me disent les gens ?
12:10Vous avez la théorie
12:11des deux personnes
12:13avec qui je parle
12:14régulièrement.
12:16Alors, la théorie de ces gens,
12:18c'est...
12:18Les gens disent
12:19Édouard Philippe
12:20pour être tranquille
12:20dans les dîners.
12:21C'est-à-dire qu'Édouard Philippe,
12:22on ne te relance même pas.
12:22Si tu dis
12:23« Ouais, j'aime bien dans Philippe »,
12:23en fait, on s'en fout tellement
12:24que les gens ne te relancent même pas
12:26tu peux manger tranquille.
12:27Non, mais c'est vrai.
12:28Tu dis Gabriel Attal,
12:29on va te dire un truc.
12:30Gabriel Attal, pourquoi ?
12:31Tu dis Gérald Darmanin,
12:32on va te dire un truc.
12:33Tu dis Marine Le Pen,
12:34Jordan Bardella, Bruno Otteno.
12:35Les gens s'en foutent tellement.
12:36Mais comment vous expliquez
12:37qu'ils soient toujours
12:38dans les cinq premiers
12:38dans les sondages ?
12:39Comment vous l'expliquez alors ?
12:41Parce que les gens
12:41ne veulent pas de problème.
12:43Les gens ne veulent pas de problème.
12:43C'est une réponse automatique.
12:45Exactement.
12:46C'est comme Antony,
12:46est-ce que tu trompes ta femme ?
12:48Tu dis non,
12:49Édouard Philippe, c'est pareil.
12:52Il y a bien blanc.
12:55Qui dit ça dans les dîners ?
12:56Qui dit ça ?
12:58Si tu dis oui,
12:59je trompe ma femme,
13:00on va te poser des questions.
13:01Avec qui, comment,
13:02par quel truchement ?
13:03Non, mais voilà.
13:04Bah oui, là au moins,
13:06tu dis non,
13:06ça y est, terminé,
13:07on passe à autre chose.
13:08Édouard Philippe, c'est pareil.
13:09Vous dites truchement, vous, Manon.
13:10Oui, je dis truchement.
13:11Ah, vous, votre vocabulaire.
13:13C'est une expression
13:14qui est utilisée souvent
13:15par un politique.
13:16Qui ?
13:17Qui parle tout le temps
13:18par truchement.
13:19Emmanuel Macron,
13:20il dit tout le temps
13:20par le truchement de.
13:22Ah ouais ?
13:22C'est vrai.
13:23C'est certain ça.
13:24Surprenant.
13:28C'est vrai que je ne le savais même pas.
13:34Ah, je vous jure,
13:35c'est vrai que je ne le savais pas.
13:36Ça fait beaucoup de choses.
13:39À suivre.
13:41Bruno Rotaillon.
13:4533.
13:47On va passer pour le top 3.
13:49Top 3.
13:50Vous avez dû l'écouter quelque part.
13:52Ah, et puis voilà.
13:52C'est tout.
13:53C'est un mot que j'adore depuis des années.
13:56Jamais il a été prononcé depuis septembre.
13:58Il a dû lire ça dans une conférence de presse
14:00que vous les écoutiez.
14:02Plus personne ne dit ça.
14:04Truchement.
14:05Ah oui, je parle qu'elle truchement.
14:06Elle truchement.
14:06Elle truchement.
14:06Elle truchement.
14:07Non, mais c'est franchement,
14:08les mecs, vous abusez.
14:09Non, franchement, vous abusez.
14:11Non, mais on arrêtez.
14:12On arrête.
14:13Non, non, non.
14:14Attention.
14:15Ça me fait plaisir,
14:16votre vocable est enrichi.
14:17Vous allez avoir le temps
14:19de faire des cours de vocabulaire.
14:21En troisième position,
14:23Bruno Retailleau.
14:24Oui.
14:2533% égalité avec Edouard Philippe.
14:26Non, non, mais moi,
14:27ce que je vois,
14:27moi, j'ai juste un constat.
14:29Là, on va s'arrêter deux petites secondes.
14:30On s'arrête.
14:31Prépare-toi, Romain,
14:32parce que si elle parle,
14:33tu vas la calmer.
14:34Romain, c'est notre réalisateur.
14:36Mais je vous le dis.
14:37Prépare-toi, Romain.
14:38Moi, ce que je vois,
14:40c'est qu'il y a énormément de gens,
14:41et même ici,
14:42les Valérie Benahim,
14:43les Géraldine Maillet
14:44qui est partie aux Etats-Unis,
14:45s'exilée,
14:45tellement à la honte
14:46de ce qu'elle a dit.
14:48Je l'embrasse, d'ailleurs.
14:49Non, mais c'est vrai,
14:50tellement à la honte
14:50de ce qu'elle a dit
14:51sur Bruno Retailleau.
14:52On lui l'en sait pas des pierres,
14:52non plus.
14:53Moi, vous savez,
14:54à mon avis,
14:55la by-doe,
14:55je lui ai lancé des chewing-gum.
14:57Je vous le dis,
14:58Bruno Retailleau,
14:58on a tous dit,
14:59oui, mais pourquoi
15:00il a pas quitté le gouvernement ?
15:02Là, j'imite Valérie Benahim
15:07versus
15:08featuring plutôt
15:10Géraldine Maillet,
15:12les deux comparses.
15:14En attendant,
15:15Bruno Retailleau,
15:16il était où il y a deux ans ?
15:18Il était où, les mecs ?
15:20Il était nulle part.
15:21Il était dans ce cassement,
15:21il était nulle part.
15:24Aujourd'hui,
15:24Bruno Retailleau,
15:25il est troisième.
15:25Il est troisième
15:26et il est troisième
15:27des personnalités politiques
15:29pour qui les Français
15:30pour de la sympathie
15:30et de l'adhésion.
15:32Moi, les mecs,
15:33je ne vois que le résultat.
15:34Vous voyez le résultat
15:35pour Edouard Philippe,
15:35je vois le résultat
15:36pour Bruno Retailleau
15:36qui est passé devant
15:37Edouard Philippe, d'ailleurs.
15:38On n'aurait jamais cru.
15:39Donc,
15:40il faut arrêter
15:41deux petites secondes,
15:41il faut s'arrêter
15:42et il faut se dire
15:43il a quand même
15:44le fait d'activer
15:45d'être ministre.
15:46Il est passé de 20%
15:47de notoriété
15:48à plus de 80%.
15:49Vous avez raison, Cyril,
15:51c'est qu'on a été beaucoup,
15:52j'en fais partie,
15:53à dire plus Bénahim,
15:55à dire,
15:55bon là,
15:55il faut qu'il parte,
15:56il ne peut pas rester.
15:57Moi aussi, je le dis.
15:59Moi aussi, je le dis.
16:01Moi aussi, je le dis.
16:02Il dit aussi
16:02que Sébastien Le Corneur
16:03est le Premier ministre.
16:04Non, mais je crois
16:05que ce qui joue aussi
16:07dans le choix,
16:09c'est la sincérité
16:10ou l'insincérité.
16:11Je pense que les gens,
16:13y compris moi,
16:13par exemple,
16:14qui ne suis pas
16:14une grande fan
16:15de Bruno Retailleau.
16:16Et qui est très insincère.
16:17Et bien non,
16:17justement,
16:18je pense que les gens
16:18pensent que c'est
16:19un homme politique
16:21qui est sincère
16:21et qui est très insincère.
16:23Vous ne pouvez pas
16:24la trouver là-dessus,
16:24elle a dit
16:24qu'il était sincère.
16:26On reprend le début
16:26de la phrase.
16:30Bruno Retailleau,
16:31vous prenez des archives
16:32d'il y a 30 ou 40 ans,
16:33il dit exactement
16:35la même chose.
16:36Et c'est pour ça
16:36que je te dis
16:36que la sincérité
16:37en politique,
16:38c'est un marqueur fort.
16:40Dans les médias aussi,
16:40Béné,
16:41vous trouvez
16:41un peu de la graine.
16:43On l'avait reçu
16:44ici,
16:45et il est vrai,
16:47pour avoir...
16:47Déjà,
16:48il avait dit
16:48qu'il viendrait,
16:49il est venu.
16:49C'est tous les mecs.
16:50Et il est vrai,
16:52Gauthier connaît ça
16:53comme moi,
16:54quand on reçoit,
16:55on interroge
16:56ou on discute
16:56avec des politiques,
16:57l'insincérité
16:59ou la sincérité
17:00se ressent
17:01directement.
17:04Tu as des exemples
17:04d'insincérité
17:05que tu aurais constatés ?
17:06Oui,
17:07beaucoup.
17:07Ah oui ?
17:08Non,
17:08mais je ne veux pas.
17:09Tu veux dire
17:10des politiques
17:10qu'on a reçues
17:11dans cette émission ?
17:12Non.
17:12Non.
17:16Non,
17:16mais il y a des gens
17:17qui...
17:18des politiques
17:18qui impriment moins
17:19et qui,
17:20même s'ils sont sincères,
17:21pour l'opinion publique,
17:22peuvent paraître insincères.
17:24Et là,
17:24tu as des exemples aussi
17:25de personnes
17:25qu'on aurait reçues
17:26dans cette émission ?
17:27Non.
17:27Non.
17:27Non.
17:28Non, mais...
17:29Vous avez l'air
17:32de faire référence
17:33à quelqu'un.
17:34On n'a pas eu
17:34de...
17:35On termine l'année
17:36tranquillement,
17:36gentiment.
17:36Je ne crois pas
17:37qu'il va se référence
17:37à quelqu'un.
17:38Tu ne vois pas
17:39le mal
17:40où il n'y en a pas avant.
17:41Il y en a déjà
17:42assez dans cette émission.
17:44On n'a pas besoin.
17:45Le mal,
17:46il est là.
17:47Il y a Benahim,
17:47la force du mal.
17:50Je trouve qu'elle est
17:51resplendissante,
17:51Valérie,
17:52en ce moment.
17:52Oui, c'est vrai.
17:53Elle est lumineuse.
17:54Il y a la lumière
17:55qui est en train
17:55en studio.
17:55Il sait qu'il ne va plus
17:57voir et qu'il reste
17:58deux jours
17:58pour vous pécho.
18:00Mais ça a été
18:01un bonheur
18:01d'être toujours heureux.
18:04Elle est lumineuse,
18:05elle en dirait un néon.
18:05C'est vrai.
18:09J'ai envie de la mettre
18:09sous marron au lit.
18:11Alors qu'Olivier,
18:12ça serait plutôt
18:12une chambre rouge
18:13pour développer des photos,
18:15tu vois,
18:15en termes de lumière.
18:16Ils sont lumineux,
18:17les deux.
18:17Ah non,
18:18il ferait un très beau couple.
18:19Ah bah,
18:19c'est vrai.
18:22Dans cette émission,
18:22je reviens de loin,
18:23moi.
18:24Je vais vous dire la vérité.
18:25Il ferait même,
18:25Gauthier,
18:25je te le dis,
18:26qu'à toi,
18:27et Fabien,
18:28d'Artigol et Benahim
18:29ferait un très beau couple légitime.
18:31Oui, mais enfin,
18:32nous avons des compagnons.
18:33On a pu croire.
18:35Non, mais nous avons
18:36des compagnons
18:37et compagnons
18:37et qui se connaissent.
18:40Qui s'échangent.
18:42Oui,
18:43c'est déjà arrivé
18:44dans les célébrités.
18:45Qui ?
18:45Benjamin Biolet,
18:46Vanessa Paradis.
18:48Ils ont échangé qui ?
18:48Évidemment.
18:49Ils ont échangé leur maman.
18:50Mais au départ,
18:51ils n'étaient pas ensemble.
18:51C'était un couple,
18:52on appelle ça un carré d'as.
18:53C'est deux groupes différents.
18:54À chaque fois,
18:55il nous le dit.
18:55Non,
18:56mais c'est très important,
18:57ça arrive.
18:57C'est Patrick Brouel.
18:58C'est un peu supportable.
19:00Eh bien oui,
19:01parce qu'au départ,
19:03Ben Chetrit n'était pas
19:03avec Vanessa Paradis.
19:05Vanessa Paradis était
19:06avec Benjamin Biolet.
19:08Et puis,
19:09ils ont échangé leur couple.
19:10Et aujourd'hui,
19:11Ben Chetrit vit avec Vanessa Paradis.
19:13Et sa femme vit avec Benjamin Biolet.
19:14Exactement.
19:15Mais moi,
19:15je ne veux pas que Coucou
19:15n'ait pas de touche.
19:16La femme de Ben Chetrit
19:18ne vit pas avec Benjamin Biolet.
19:19Non,
19:19la femme de Ben Chetrit
19:21est partie avec Benjamin Biolet.
19:23Bien sûr.
19:23Ah bon ?
19:23Bien sûr.
19:24Ah non,
19:25certains.
19:27Mais c'est peut-être
19:28plus sa compagne maintenant.
19:29Ah oui,
19:30bien sûr.
19:31Ah oui.
19:32Il ne faut pas dire
19:32des cas.
19:32Il ne faut pas s'arrêter.
19:34Sur un joker.
19:36Mais c'est pro-là.
19:37Tu passes vite
19:38à une paire de deux.
19:42Non mais ça arrive.
19:43Donc Benahim,
19:44tout est possible
19:45avec...
19:45Mais toi,
19:46c'est ton pronostic.
19:47Tu penses qu'ils vont
19:47terminer ensemble ?
19:48Je le pense.
19:48Et même sur un yacht.
19:49Qui va terminer ensemble ?
19:51Olivier et toi.
19:52Mais pas du tout.
19:52Mais moi,
19:53c'est une très belle amitié.
19:54Exactement.
19:55Je vais te dire
19:56où tu te trompes.
19:56Parce qu'il a dit
19:56qu'ils vont terminer ensemble
19:57sur un yacht.
19:58On est sûr déjà
19:58que l'info est faute.
20:01Sur un yacht.
20:04Ça peut être le yacht
20:05d'un ami.
20:06Ils vont terminer,
20:07oui,
20:07mais ils ne vont pas
20:07terminer sur un yacht.
20:08Tu dis d'énormes bêtises.
20:10On ne sait pas.
20:11Quoi ?
20:12Dieu bénisse.
20:14La porte est ouverte.
20:16Attention d'artigole.
20:17Attention d'artigole.
20:18Attention.
20:19Mais non,
20:19mais c'est une très belle amitié.
20:20Et je sais que Cyril
20:20que vous croyez
20:21à l'amitié homme-femme.
20:21Oui.
20:22Moi, oui.
20:24J'y crois, vraiment.
20:25J'y crois.
20:26Vraiment plus j'y crois.
20:27Mais c'est vrai, bien sûr.
20:27J'ai plein d'amis-femmes.
20:29C'est mieux d'être ami
20:30avant de passer à l'amour.
20:31Non, non.
20:32Je n'ai pas d'amis.
20:34Pourquoi vous ?
20:35Moi, j'ai plein d'amis-femmes
20:36et je ne passe pas à l'amour.
20:38Regardez, Benahim.
20:39C'est n'importe quoi.
20:40La fois qu'on a une copine,
20:41c'est pour après avoir
20:42des relations avec elle,
20:43Fabien Lecoeuf.
20:44Sans déconner.
20:45Qu'est-ce que c'est
20:45que ces conneries ?
20:46Avec que des rapports amicaux.
20:48Vous préférez avoir
20:48une soirée avec des femmes
20:50ou des hommes ?
20:51Sur rapport amicaux.
20:53Franchement,
20:54vu mes discussions
20:55de débiles,
20:57je peux faire des hommes
20:58parce que les femmes
20:58sont beaucoup trop intelligentes
20:59pour passer des soirs avec moi.
21:01Non, non.
21:01Franchement, je vous le dis.
21:02Non, non.
21:03Moi, je ne suis pas non plus...
21:05Ça va, c'est pas non plus
21:06un puits de connaissances.
21:07Non, non, non.
21:08Je vais vous dire la vérité.
21:09Est-ce qu'on reste amis ?
21:10Moi, une femme
21:11avec qui je suis amie, c'est fini.
21:12Une fois qu'elle a passé
21:12la friendzone, c'est terminé.
21:14Mais bien sûr.
21:14C'est terminé.
21:15Il n'y a pas de retour en arrière.
21:18C'est terminus.
21:20Complètement d'accord.
21:20Terminus, tout le monde descendait.
21:21Ouais, putain,
21:22ça va terminer.
21:23Non, mais c'est rien.
21:26Non, mais bien sûr,
21:26je suis tout à fait d'accord avec vous.
21:28Gauthier, vous êtes d'accord ?
21:29100%.
21:30Et est-ce qu'on reste amis
21:31avec celles qui ont partagé votre vie ?
21:33Bien sûr.
21:34Totalement.
21:34Bien sûr.
21:35Ça fait des grandes tables à Noël.
21:36Dans le truchement de notre ami,
21:37tu veux prendre...
21:39Ça fait des grandes tables à Noël.
21:41C'est Tomé fou.
21:43Non, mais c'est vrai.
21:44Voilà, il a raison.
21:44Dans le truchement.
21:45Bien sûr.
21:47Allez, on va passer...
21:48Aux deux premiers.
21:49Aux deux premiers.
21:50Il n'y a pas de surprise.
21:51Il n'y a pas de surprise.
21:51Oui, mais c'est pour dans tous les sondages,
21:55quand même, les mecs.
21:56Il faut quand même qu'on s'arrête
21:56de petites secondes
21:57pour nos auditeurs d'Europe 1.
21:58Quelle défaite pour la gauche.
22:00Non, mais c'est incroyable.
22:00Les deux premiers à égalité,
22:02c'est Marine Le Pen,
22:02Jordan Bardella.
22:03Et dans tous les sondages.
22:05Mais la sympathie,
22:06l'adhésion...
22:07Comment vous expliquez ça,
22:08Gauthier Laubry ?
22:09À part, évidemment,
22:10la popularité
22:11de ces deux leaders
22:12du Rassemblement national.
22:14C'est ceux qui caracolent
22:14en tête dans tous les sondages
22:16sur les intentions de vote
22:17qu'on teste Marine Le Pen
22:18ou qu'on teste Jordan Bardella
22:19dans l'option
22:20où elle est rendue inéligible.
22:22Et donc, logiquement,
22:23les électeurs du Rassemblement national,
22:26quand ils répondent
22:27à ce classement,
22:28ils sont les plus nombreux.
22:29Et une nouvelle fois,
22:30Marine Le Pen et Jordan Bardella
22:31se retrouvent en tête.
22:33Quand on regarde le classement,
22:34c'est ce que disait déjà Olivier hier
22:35sur celui avec qui on a envie
22:36de partir en vacances,
22:37on retrouve ceux
22:38qui, globalement,
22:39font les mêmes scores
22:41dans les intentions de vote.
22:42Alors, parfois,
22:42il y a des scores plus élevés là,
22:43par exemple pour Darmanin
22:44ou pour Attal,
22:45mais Bardella, Marine Le Pen,
22:46c'est les archi-favoris
22:48de la prochaine présidentielle,
22:49que ce soit elle ou lui.
22:51Bien sûr.
22:51Voilà.
22:52La question, en fait,
22:52la vraie question,
22:53c'est elle ou lui.
22:54Ils ne pourront pas être à égalité
22:56en tout le temps.
22:57Je pense que Marine Le Pen,
22:58tout ce qui lui est arrivé,
23:00ça lui a fait énormément de bien.
23:01Je pense que là,
23:02il y a quand même un truc
23:03qui est de sympathie,
23:05je vous parle.
23:05Ah oui, c'est ça.
23:06Vous voulez dire que ça,
23:07là, on parle déjà de renforcer.
23:08Par rapport au sondage, etc.
23:09Bien sûr.
23:10Parce que, je vous dis franchement,
23:11dans ces sondages-là,
23:13Jordan était souvent
23:14très, très en tête
23:15par rapport à Marine Le Pen.
23:17Et là, maintenant,
23:17les deux sont très, très hauts,
23:18en fait.
23:20Non, mais c'est vrai.
23:21Et c'est vrai que là,
23:21ils ont le choix
23:21entre deux candidats, en fait.
23:22Les Français n'aiment pas l'injustice
23:24et n'aiment pas l'acharnement.
23:25Non, mais ce qui est fou,
23:25c'est que ce soit les deux
23:26du même parti
23:27qui sont en tête
23:27largement.
23:30C'est-à-dire 36, 36%.
23:31Comment ?
23:31Je n'arrive pas à expliquer ça.
23:32Mais c'est comme au second tour.
23:33Vous n'imaginez pas
23:34un second tour en 2027
23:35sans le RN ?
23:36Maintenant, c'est acquis.
23:37Le RN qui ne serait pas
23:38au second tour,
23:39ce serait la plus grande
23:39déflagration
23:40de l'histoire récente
23:43de notre Ve République.
23:44Donc, la place, là,
23:45maintenant, du RN
23:46est tellement acquise
23:47au second tour
23:47que tous les partis politiques
23:48se demandent
23:49qui va être le deuxième
23:50face au Rassemblement National.
23:52Ils ne demandent pas
23:52s'il y aura le RN
23:54ou pas au second tour.
23:55C'est acquis qu'il y sera.
23:56Alors, vous avez dit
23:57tout à l'heure
23:57phénomène sondagé
24:00pour Edouard Philippe.
24:03J'explique, moi,
24:04assez facilement
24:05Marine Le Pen
24:06installée aussi haut.
24:07Les gens aiment bien,
24:08en effet,
24:09des personnes
24:09qui ont vécu des épreuves,
24:10qui ont des cicatrices,
24:12qui se sont déjà présentées
24:13à une présidentielle.
24:14Il y a toute cette construction.
24:17Ça m'étonne beaucoup plus
24:18pour Jordan Bardella.
24:19Ça m'étonne que le pays
24:21puisse confier
24:22l'avenir de la nation
24:23à quelqu'un d'aussi jeune,
24:25d'assez inexpérimenté
24:27sur le plan de la gestion
24:28des affaires.
24:29Tu trouves que tous ceux
24:30qui avaient 50 ans
24:30étaient efficaces ?
24:31Il n'y a pas un phénomène
24:31sondagé.
24:32Le concernant.
24:33Qu'en pensait que c'était
24:34la poudre de pernampampan ?
24:35Excusez-moi,
24:36il a déjà mené une liste
24:37sur son nom,
24:38ce que n'a pas fait
24:39Edouard Philippe.
24:39C'est lui l'expérience
24:39du pouvoir.
24:40On en dit quelque chose,
24:40non ?
24:41Mais ça, c'est rare.
24:43Ah oui,
24:44la poudre de pernampampan.
24:45Oui, oui, oui.
24:46Qu'en pensait que c'était
24:46la poudre de pernampampan ?
24:46Il y a une fesson d'indices.
24:50Là, ça commence à faire d'autres.
24:51Non, mais c'est vrai,
24:51on pense à ça.
24:52La poudre de pernampampan, là ?
24:54Oui.
24:54Non, mais c'est...
24:56Il ne manquerait plus que...
24:57Non, mais les sondages...
24:58C'est quoi les autres ?
24:58Les sondages...
24:59Ils ont toujours été en tête.
25:00Non, mais on ne va pas
25:01refaire toutes les...
25:01Voilà.
25:02Merci.
25:03Mais en tout cas,
25:03en tout cas,
25:03vous êtes en tête
25:04Jordan Bardella, Marine Le Pen.
25:06Moi, je n'aime pas
25:07cet argument sur l'âge.
25:09Je trouve que ça ne suffit pas.
25:10C'est un argument bas de gamme.
25:12Parce que ceux qui ont eu
25:14les responsabilités depuis 50 ans
25:17et qui avaient le loupe de l'âge
25:18de Jordan Bardella
25:19nous ont emmenés là où on est.
25:21C'est d'ailleurs dans le mur.
25:22Je me souviens de ce qu'on a pu dire
25:24parce que c'est vrai.
25:25Avec les mecs...
25:26Parce qu'en fait,
25:26c'est vrai.
25:27Parce qu'en fait,
25:28c'est comme Gabriel Attal.
25:29Il y a des mecs qui me disent
25:30« Est-ce que Gabriel Attal,
25:31Jordan Bardella ont des dossiers ? »
25:33Je dis « Les mecs,
25:33ils sont jeunes.
25:34Ils n'ont jamais été
25:35dans les magouilles,
25:37dans les carabistouilles.
25:38C'est vrai.
25:40Après, c'est toujours à Bibi
25:41quand on est toujours à Bibi.
25:43Ils savent que la meilleure façon
25:44d'arriver à l'Elysée,
25:46c'est de traverser la rue
25:46pour trouver un job.
25:48C'est vrai, Bédaïm.
25:48Oui, mais j'entends bien
25:50cette histoire de...
25:52Allez, on a Martine
25:53avec nous sur Europe.
25:54Elle n'est pas à la plage ?
25:55Non.
25:58C'est tout pour moi.
26:00Bédaïm est prête
26:01pour Fun Radio.
26:04C'est bon, c'est sûr.
26:07Mais qu'est-ce qu'il fait, Olivier ?
26:08Martine est avec nous.
26:09Martine Desivelines.
26:10Bonjour Martine,
26:10excusez Valérie Bédaïm.
26:11Pardon Martine,
26:11c'était juste pour le bon mot.
26:13Martine est en train de lire.
26:15Elle n'est pas à la plage,
26:16mais elle était en train de lire.
26:17Merci Martine.
26:18Alors, vous avez vu encore
26:19ce sondage,
26:20parce que c'est vrai
26:20qu'il y a des sondages
26:21qui chantent un petit peu
26:21tous les jours,
26:22et c'est vrai que c'est toujours
26:23le même résultat.
26:24Qu'est-ce que vous en pensez ?
26:25Quelle est la personnalité politique
26:26pour laquelle vous éprouvez
26:27de la sympathie,
26:28de l'adhésion ?
26:30C'est vrai que c'est un peu compliqué,
26:34en fait,
26:34parce que, oui,
26:36Bruno Rotaillot,
26:37je pense qu'il a énormément de...
26:39Il a le vent dans le dos.
26:41Oui, puis surtout,
26:42il est assez droit.
26:45Je pense qu'il a de bonnes idées.
26:46Et maintenant, de toute façon,
26:47quelle que soit la personne
26:48qui va se présenter,
26:50tant qu'on restera avec une peur,
26:53une crainte terrible de la gauche,
26:55parce que finalement,
26:56quand les gens ne sont pas d'accord,
26:58qui est-ce qui descend dans la rue ?
27:00Ce sont les gens essentiellement de gauche
27:01et qui créent de la violence,
27:03alors que les gens de droite,
27:04quand ils ne sont pas d'accord,
27:05ils manifestent moins fort.
27:07Donc, c'est un peu ça le problème.
27:10Maintenant, c'est vrai que j'entendais tout à l'heure
27:12vos chroniqueurs,
27:14certains parlaient effectivement
27:16de Gérald Darmanin.
27:19Gérald Darmanin, oui,
27:20il a de bonnes idées,
27:22il a certaines envies,
27:23il n'y a pas de problème,
27:23mais Gérald Darmanin,
27:25quand même à deux reprises,
27:26il a montré un mauvais côté
27:27de sa personnalité
27:28en mentant,
27:29haut et fort,
27:31avec un aplomb incroyable
27:32quand il y a eu le problème
27:33au Stade de France,
27:35quand il y a eu l'affaire de Tampoll
27:37en disant que c'était,
27:38voilà,
27:39en fait,
27:40ça c'est,
27:41je trouve que c'est une avisime.
27:42Mais ça c'est quelque chose
27:43que vous n'oubliez pas.
27:44Il a fermé à coups-pas.
27:45Il a fermé à coups-pas, oui.
27:46Oui, mais bon,
27:47c'est un peu facile.
27:48Alors, il a coups-pas,
27:49c'est comme je disais à un pote,
27:51alors moi,
27:51j'adore Gérald Darmanin,
27:52c'est comme je disais à un pote,
27:53moi,
27:54alors, je vais vous dire,
27:54ça n'a rien à voir à l'histoire.
27:55C'est comme moi,
28:03et là,
28:03il y a un pote à moi
28:04qui me dit,
28:04ça va,
28:04ils ont prévenu.
28:05Ils ont prévenu,
28:06ils ont prévenu,
28:07ils ont peut-être tout faire.
28:08C'est comme moi,
28:08je vais dire,
28:08je vais te tromper demain,
28:10donc c'est bon,
28:10j'avais prévenu.
28:12Bah oui,
28:12je vous le dis,
28:12c'est vrai,
28:13c'est vrai,
28:13c'est vrai,
28:14c'est vrai,
28:14c'est vrai,
28:14c'est vrai,
28:14c'est vrai,
28:14c'est vrai,
28:15c'est vrai,
28:15c'est vrai,
28:15mais Martine,
28:16franchement,
28:16bah oui,
28:17on va faire un mérin cool pas.
28:19Non, en fait,
28:20non,
28:20ça suffit pas,
28:21parce que ça montre
28:21une certaine personnalité,
28:23quand même,
28:24quelqu'un a une façon
28:25de se défausser
28:26à certains moments
28:27au lieu d'assumer
28:27les faits,
28:29donc non,
28:30si on ne sait pas,
28:31on se tait,
28:31mais on n'avance pas
28:32ce genre d'argument,
28:33donc...
28:34Édouard Philippe,
28:34vous en pensez quoi,
28:35vous l'aimez bien,
28:36je crois ?
28:37Édouard Philippe,
28:38bah au départ,
28:38quand il était Premier ministre,
28:40oui,
28:40effectivement,
28:41j'aimais assez,
28:41je trouvais qu'il avait
28:42un certain charisme,
28:43maintenant,
28:44c'est vrai que
28:44quand on regarde
28:46son parcours,
28:47bon,
28:47peut-être qu'au Havre,
28:48il est réellant.
28:50Il a un petit souci,
28:51d'ailleurs,
28:51au Havre.
28:52Oui,
28:53il y a des signalements
28:54à la justice.
28:55Oui, oui, oui, oui.
28:56Oui, oui, oui.
28:57Moi, je pense que
28:59le principal problème
29:00d'Édouard Philippe,
29:00c'est son incapacité
29:01à sentir le pays,
29:02c'est-à-dire que l'homme
29:03qui est responsable
29:04du mouvement
29:04des gilets jaunes,
29:05la plus grande crise sociale
29:07depuis mai 68,
29:09vous allez lui confier le pays
29:10alors qu'il a le nez bouché
29:11et qu'il ne sent absolument pas
29:12ce que veulent les Français.
29:13Mais prêt pour pas du VIX.
29:14Tout à fait.
29:14C'est ce que je disais
29:17justement à la personne,
29:20c'est qu'en fait,
29:20oui,
29:21c'est qu'il a quand même
29:21une grosse part de responsabilité
29:22dans le déclenchement
29:23du mouvement des gilets jaunes.
29:25Il a quand même
29:26cautionné la récréation
29:27sur les vis-à-vis...
29:29Parce que j'aime bien,
29:30moi,
29:30chaque fois,
29:32les politiques font ça.
29:34En voiture, Simone,
29:34c'est moi qui conduis
29:35et c'est toi qui klaxonnes.
29:37Mais la réalité...
29:38Mais la réalité,
29:40c'est qu'il ne faut pas
29:41toujours se tromper.
29:42C'est-à-dire,
29:43il peut y avoir
29:43des personnes.
29:45Certes,
29:45Édouard Philippe
29:46était un matignon.
29:48Mais Emmanuel Macron
29:50est quand même...
29:50La personnalité politique
29:52était la plus détestée
29:54par le mouvement
29:55des gilets jaunes.
29:56Rappelez-vous
29:57des gilets jaunes.
29:58Rappelez-vous
29:58le puits envelé.
29:59Rappelez-vous
30:00c'était là
30:01où véritablement
30:02ça lui a échappé.
30:03Presque.
30:04Oui,
30:04mais ça n'empêche
30:05que bon,
30:05quand vous regardez
30:06Édouard Philippe,
30:06après,
30:07quand il y a eu le Covid,
30:08il s'est empressé
30:09de repartir au Havre.
30:10Il a abandonné
30:11un peu tout le monde.
30:11Et puis là,
30:12maintenant,
30:13quand il revient,
30:14il va à la fête
30:14de l'humain
30:15et il va dire
30:16qu'il faut,
30:17entre le communisme
30:19et le RN,
30:21je vote le communisme.
30:22Mais c'est sa liberté.
30:23C'est sa liberté.
30:26Oui,
30:27c'est sa liberté.
30:27Bon,
30:28ça fait quand même
30:28un peu de temps.
30:29On est directement
30:29à l'extrême.
30:30Oui,
30:31mais il y a des...
30:31Je trouve ça
30:32un peu léger
30:33de la part
30:34d'une personne.
30:35Et il a été débarqué
30:36de Matignon.
30:37Il ne voulait pas partir.
30:37Il a traversé la rue
30:42en quittant Matignon.
30:42Il a retrouvé du travail.
30:44Tout ça ne vaut pas
30:45un chiffre l'un.
30:47Mais pas comme serveur
30:48dans un restaurant.
30:49Non.
30:51Merci,
30:52en tout cas,
30:52d'Articol,
30:52pour votre analyse.
30:54Il est fort.
30:55Martine,
30:55ça a été un plaisir
30:56de vous avoir sur Europe 1.
30:57Je vous fais d'énormes bisous.
30:58Merci.
30:59Salut Martine.
30:59Merci.
31:00Je vous embrasse fort.
31:01Salut Martine.
31:02Salut Martine.
31:03Non,
31:04franchement,
31:04c'est intéressant
31:06tout ce qui se dit.
31:06le classement,
31:08on vous rappelle
31:09les cinq premiers.
31:10Gérald Darmanin,
31:11Edouard Philippe en 4,
31:12Bruno Retailleau en 3,
31:13Marine Le Pen en 2,
31:14Jordan Mardella en 1.
31:15Ce qu'on voit quand même,
31:17c'est que les trois premiers
31:18sont quand même
31:18très portés sur la sécurité.
31:22Ça va être le thème
31:23des axes majeurs
31:25évidemment
31:26de la prochaine présidentielle.
31:28Exactement.
31:28Mais bon,
31:28c'est quand même...
31:29Et l'identité.
31:30Tu as raison.
31:31Merci.
31:32Il n'est pas mauvais
31:33d'Articol aujourd'hui.
31:34Non,
31:34parce qu'à d'habitude,
31:34il est croquignolesque.
31:35Mais là,
31:35il est...
31:36Il n'est pas mal.
Recommandations
2:18:02
1:30