Passer au player
Passer au contenu principal
Passer au pied de page
Rechercher
Se connecter
Regarder en plein écran
Like
Commentaires
Favori
Partager
Ajouter à la playlist
Signaler
Moyen-Orient : "Donald Trump a une responsabilité importante", estime la députée européenne Valérie Hayer
franceinfo
Suivre
23/06/2025
Valérie Hayer, députée européenne Renew, était l'invitée politique de franceinfo soir, lundi 23 juin 2025.
Catégorie
🗞
News
Transcription
Afficher la transcription complète de la vidéo
00:00
Bonsoir Valérie Ayet. En déplacement à Oslo, en Norvège, Emmanuel Macron a réaffirmé il y a quelques minutes
00:06
tout juste que c'est par, je cite, la voie de la diplomatie et de la négociation qu'il faut agir dans le conflit
00:11
entre l'Iran et Israël. Il tacle aussi dans le même temps les Etats-Unis en affirmant qu'il n'y a pas de cadre
00:16
de légalité pour les frappes américaines en Iran, même s'il les juge légitimes. Est-ce qu'il a raison de dire ça
00:21
Emmanuel Macron alors que c'est pas du tout la voie de la diplomatie qu'il a emportée pour le moment dans ce conflit
00:26
commencer par les Etats-Unis qui ont choisi la force ?
00:29
Oui, le Président de la République a raison. On partage tous le même objectif, à savoir que l'Iran ne détienne pas l'arme atomique.
00:36
Mais la seule voie viable et durable pour atteindre cet objectif, c'est bien le travail diplomatique.
00:43
Et ceux qui disent que l'Europe serait naïve en poussant pour un travail diplomatique, moi je les ramène aux faits.
00:49
Les faits c'est qu'en 2015, il y a un accord qui a été conclu avec l'Iran, les Etats-Unis, l'Union Européenne, la France, l'Allemagne,
00:55
le Royaume-Uni notamment, et que de 2015 à 2018, l'Iran a respecté ses engagements.
01:00
A compter du moment où Donald Trump s'est retiré unilatéralement de cet accord, l'Iran a repris son travail de recherche sur la bombe atomique.
01:07
Donc oui, le travail diplomatique paie. Il faut que chacun se remette autour de la table pour assurer la désescalade
01:13
et trouver ce terrain commun, cette voie commune pour s'assurer que l'Iran ne détienne pas la bombe atomique
01:18
et cesse ses activités nucléaires militaires aujourd'hui.
01:21
Ce n'est pas trop tard Valérie Rier, quand on voit aujourd'hui cette escalade de violence,
01:25
et notamment cette journée depuis ce matin avec des bombardements israéliens en Iran,
01:31
je pense notamment au cœur de Téhéran et de la prison aussi d'Evine.
01:36
Est-ce que la voie diplomatique, franchement, ce n'est pas un petit peu une voie de la naïveté,
01:40
vous disiez que non à l'instant, mais est-ce que ce n'est pas trop tard
01:42
qu'on voit le déchaînement de violence entre les deux pays ennemis aujourd'hui ?
01:46
Il n'est jamais trop tard pour recommencer à engager le dialogue, bien au contraire.
01:50
Les Européens sont à l'initiative, les pays du Golfe eux-mêmes appellent au retour à la voie diplomatique
01:57
et de part et d'autre, les dirigeants auront un intérêt.
02:00
Cette guerre, elle devra se terminer évidemment et c'est tout l'enjeu.
02:03
La voie diplomatique, le respect du droit international pour protéger les populations civiles.
02:07
Et j'ai évidemment une pensée solidaire pour les deux otages français que vous avez cités,
02:12
Cécile Collère et Jacques Paris.
02:14
On voit là encore que le respect du droit international compte,
02:19
sans quoi ce sont les civils qui sont attaqués.
02:21
Elle n'est pas inaudible notre diplomatie aujourd'hui ?
02:23
Il n'y a pas une impuissance aussi de la France et de l'Europe dans ce conflit ?
02:26
D'ailleurs, j'ai envie de vous dire, dans tous les conflits de la planète,
02:30
parce que quand on voit aussi l'Ukraine et la Russie, la voie diplomatique ne fonctionne pas non plus ?
02:35
Alors, c'est vrai jusqu'à présent, non.
02:37
Mais il faut continuer ce travail diplomatique, coûte que coûte.
02:40
Et quand Donald Trump décrédibilise, parce que c'est ça qu'il fait,
02:42
cherche à décrédibiliser l'initiative européenne,
02:45
il le fait parce qu'il déteste l'Europe,
02:47
il déteste notre modèle de démocratie libérale,
02:50
qu'ont été les Etats-Unis qui ne le sont plus aujourd'hui sous Donald Trump.
02:53
Et il déteste cet objet politique qu'on a créé,
02:55
ces 27 Etats qui décident de s'allier ensemble pour peser dans les affaires du monde.
02:59
La voie diplomatique, c'est la seule possible pour résoudre le conflit en Ukraine
03:03
et pour résoudre le conflit entre Israël et l'Iran.
03:07
C'est la seule voie possible pour atteindre la sécurité, la stabilité du monde.
03:11
C'est sur cet ordre international qu'on a construit,
03:15
c'est sur les bases ou les fondations qu'on a construites au lendemain de la Seconde Guerre mondiale,
03:19
il faut qu'on continue de les défendre.
03:21
Certains pourront dire qu'on est bien seuls, nous Européens, à continuer de les défendre.
03:25
Moi, je pense que nous ne sommes pas seuls.
03:26
Il y a des partenaires, je pense à l'Australie, je pense au Canada, au Royaume-Uni,
03:30
il y a des démocrates, des gens aux Etats-Unis qui continuent de croire dans la diplomatie
03:34
et le respect du droit international.
03:35
Il faut qu'on agisse ensemble.
03:36
Ce n'est pas un démocrate, Donald Trump, ce que vous dites ?
03:38
Il a agi, le Président de la République l'a dit, hors de tout cadre légal,
03:43
aujourd'hui dans cette attaque de l'Iran.
03:46
Et puis regardez ce qui se passe aux Etats-Unis.
03:48
Il attaque les juges, les décisions de justice.
03:52
Il a soutenu des gens qui ont appelé à remettre en cause le résultat de l'élection
04:00
quand Biden a été élu.
04:01
Non, Donald Trump n'est pas un démocrate.
04:03
Valérie, vous êtes eurodéputé Renaissance.
04:06
Est-ce que le problème de l'Europe, dans le règlement de ces conflits,
04:09
ce n'est pas aussi avant tout qu'elle est divisée ?
04:11
Quand on voit, par exemple, ce que dit le chancelier allemand
04:13
et le président français sur le conflit,
04:15
on n'est pas du tout sur la même position.
04:17
L'Allemagne a fait un soutien très net à Israël.
04:19
La France, pas vraiment, en évoquant finalement aussi la situation à Gaza.
04:24
Est-ce que ce n'est pas ça le coup franco-allemand aujourd'hui qui n'existe plus
04:27
et qui ne fonctionne pas ensemble, qui n'avance pas ensemble ?
04:29
Alors, il peut y avoir des nuances dans les expressions, vous les avez rappelées.
04:32
La réalité, c'est que les deux pays et les 27 pays sont engagés dans le travail diplomatique.
04:36
À Genève, à Ventière, quand le ministre des Affaires étrangères iranien
04:40
s'est rendu pour des discussions diplomatiques,
04:43
il y avait la chef de la diplomatie européenne,
04:46
il y avait le ministre des Affaires étrangères français, britannique et allemand.
04:50
Donc, tous ces États coopèrent ensemble pour trouver un chemin diplomatique.
04:53
Sauf que le lendemain, Donald Trump a bombardé pendant la nuit les sites en Iran.
04:58
Donc, la position de l'Europe est difficilement audible aujourd'hui.
05:00
Mais on aura de toute manière besoin d'un travail diplomatique aujourd'hui.
05:04
Oui, Donald Trump a bombardé sans informer les Européens
05:07
et parce qu'il considère que la voie diplomatique ne sert à rien.
05:11
Mais là encore, les faits sont là.
05:13
De 2015 à 2018, l'Iran respectait ses engagements.
05:16
Donald Trump a une responsabilité importante dans la situation
05:19
dans laquelle le Moyen-Orient et la sécurité collective se situent aujourd'hui.
05:24
Est-ce que le problème d'Emmanuel Macron, quand même, dans ce conflit,
05:26
ce n'est pas de faire tout le temps du « en même temps » finalement ?
05:30
dire que le nucléaire iranien est une menace grave
05:32
tout en affirmant, dans la même phrase,
05:34
que le conflit ne peut pas se régler par les armes.
05:36
C'est finalement un peu naïf comme position, non ?
05:38
Ce n'est ni naïf, ce n'est ni dû en même temps.
05:40
Je vous rappelle l'histoire, l'historique de ces éléments.
05:45
2015-2018, accord trouvé par la voie diplomatique.
05:49
L'Iran respecte ses engagements, donc la voie diplomatique paie.
05:52
Il faut que chacun se retrouve autour de la table.
05:56
On en a parlé juste avant, l'armée israélienne bombarde depuis ce matin
06:00
le cœur même de la capitale iranienne, Téhéran,
06:02
et notamment la prison d'Evi, nous sont emprisonnés
06:05
des centaines d'opposants politiques au régime des Mola
06:07
et nos deux compatriotes, Cécile Collère et Jacques Paris.
06:10
Selon Emmanuel Macron et le Quai d'Orsay,
06:12
on vient d'apprendre il y a quelques instants
06:14
que les deux Français n'en heureusement pas étaient touchés
06:16
par ces bombardements, mais la situation reste extrêmement tendue
06:20
et dangereuse sur place.
06:22
La sœur de Cécile Collère, c'était sur notre antenne ce matin,
06:24
craint que les deux présidents des Français meurent sous les bombeurs.
06:28
Comment vous analysez cette situation ?
06:31
Est-ce que finalement, là aussi, la voie diplomatique,
06:34
vous appelez à négocier avec le régime iranien
06:36
pour que nos compatriotes puissent rentrer en France ?
06:39
Ça semble compliqué quand même.
06:41
Là encore, d'abord, c'est un soulagement de savoir
06:43
qu'ils n'ont pas été touchés.
06:45
C'est un soulagement de courte durée.
06:46
De courte durée, exactement, c'est ce que j'allais dire.
06:48
Néanmoins, on connaît la situation.
06:50
Donc, il faut appeler chacun, chacune des parties à revenir autour de la table des négociations.
06:55
C'est-à-dire que, de part et d'autre, cessent les armes
06:58
et qu'il y ait des négociations qui soient menées
07:01
pour que l'Iran prenne des engagements pour cesser ses activités nucléaires,
07:05
que l'Iran prenne des engagements pour cesser de menacer la sécurité d'Israël,
07:08
parce que c'est ça aussi la réalité du régime.
07:10
Qu'il n'y ait pas de méprise.
07:12
Le régime iranien est condamnable à tous égards.
07:16
Le régime iranien oppresse sa population.
07:18
Je pense notamment aux femmes, à ses opposants.
07:21
Le régime iranien menace la sécurité d'Israël.
07:23
Le régime iranien soutient la Russie dans la guerre en Ukraine.
07:27
Alors, justement, est-ce que ce n'est pas l'occasion de le faire tomber ?
07:30
Alors, Emmanuel Macron nous dit qu'on ne peut pas se substituer,
07:34
je le cite, pour changer ses dirigeants,
07:38
on ne peut pas se substituer au peuple.
07:42
Il a raison de dire ça, Emmanuel Macron ?
07:43
Ou justement, c'est peut-être l'occasion, finalement,
07:45
de se débarrasser de ce régime d'Emola ?
07:47
Il a raison.
07:49
Malheureusement, on a eu des précédents.
07:50
Je pense à l'Irak.
07:51
Je pense à l'Afghanistan.
07:53
Je pense à la Libye.
07:54
Le changement de régime par la force,
07:56
et par ailleurs, par les Occidentaux, ne peut pas fonctionner.
07:59
C'est au peuple iranien de décider de son avenir.
08:02
Et il faut que les choses soient très claires à cet égard.
08:04
Je voudrais qu'on évoque aussi, avec vous,
08:06
les sujets nationaux, les sujets français,
08:08
notamment ce conclave des retraites,
08:10
cette réunion de la dernière chance,
08:11
qui est toujours en cours entre syndicats et patronats.
08:15
Visiblement, le MEDEF ne souhaite pas trop bouger,
08:18
ou même pas du tout sur la pénibilité dans le travail.
08:23
Est-ce que vous regrettez, finalement,
08:25
cette prise de position du patronat,
08:27
le fait qu'il ne souhaite pas négocier ?
08:29
D'abord, on va voir, le conclave n'est pas terminé,
08:31
donc on va voir ce qui va en ressortir
08:33
quand les négociations et les discussions
08:34
seront véritablement terminées.
08:36
Moi, d'abord, ce que je vois,
08:38
c'est que le Premier ministre a demandé aux partenaires sociaux
08:40
de se mettre autour de la table.
08:41
Je trouve que c'est une bonne initiative.
08:43
Maintenant, il y a eu des moments de négociations intenses,
08:46
des moments plus difficiles.
08:47
C'est le lot de toutes les négociations.
08:48
Moi, j'en fais tous les jours au Parlement européen,
08:50
je peux vous dire que c'est difficile.
08:51
L'intérêt, c'est quand même de discuter de l'âge de départ à la retraite.
08:55
Mais surtout la question de la pénibilité
08:58
et la question de la soutenabilité financière.
09:00
D'ailleurs, le Premier ministre l'avait dit.
09:01
L'enjeu, c'est la question de la soutenabilité financière
09:04
et de la prise en compte des enjeux démographiques.
09:06
J'espère qu'il ressortira quelque chose de ce conclave.
09:08
Sur les métiers pénibles, vous êtes favorable, justement,
09:11
à ce que les gens qui travaillent dans les métiers pénibles,
09:13
des charges lourdes,
09:14
puissent partir plus tôt à la retraite que 64 ans ?
09:17
C'est un enjeu de justice sociale,
09:21
tout en intégrant, évidemment,
09:23
la question de la soutenabilité financière.
09:26
Moi, ce que je vois, je suis députée européenne,
09:27
vous l'avez rappelé,
09:28
je vois que nos voisins, partout en Europe,
09:30
ont un âge de départ à la retraite
09:32
qui est plus âgé, plus grand que le nôtre.
09:36
Je pense qu'il faut qu'on ait une réflexion globale,
09:39
approfondie, probablement une réforme systémique
09:41
pour avancer sur cette question-là.
09:43
En tout cas, la question de la démographie
09:45
et de la soutenabilité financière est majeure.
09:47
doivent être traitées.
09:48
Et je souhaite que le dialogue social à la française,
09:51
tel qu'on l'a initié là,
09:53
fasse l'objet d'une conclusion positive.
09:55
Ce n'est pas un peu un conclave pour rien,
09:57
quand même, quand on voit aujourd'hui
09:58
les menaces de censure qui planent à nouveau
10:00
sur le gouvernement, sur François Bayrou,
10:03
notamment le Parti socialiste
10:04
qui avait sauvé François Bayrou
10:05
au moment du vote du budget,
10:07
qui cette fois-ci menace à nouveau
10:08
en disant que finalement,
10:09
il se sent trahi par les conclusions
10:11
à venir de ce conclave,
10:13
et notamment sur l'abrogation de cette réforme.
10:15
D'abord, moi je relis,
10:16
je fais confiance aux partenaires sociaux.
10:17
Ensuite, j'appelle chacun à la responsabilité,
10:19
chacun à sortir des postures.
10:21
Si une solution avait été possible
10:22
à l'Assemblée nationale,
10:23
le Premier ministre n'aurait pas fait appel
10:25
aux partenaires sociaux.
10:26
Quand bien même, moi je pense
10:27
que c'est très très bien
10:28
de faire davantage appel aux partenaires sociaux.
10:30
Donc là encore,
10:31
chacun doit être responsable.
10:33
On est dans un moment difficile,
10:35
politiquement, pour le pays.
10:37
Chacun est obnubilé,
10:38
obsédé par 2027.
10:39
J'invite chacun à,
10:41
dans l'intérêt du pays,
10:42
se mettre autour de la table
10:43
et à accepter et à dire aux Français
10:45
que nous ne partageons pas tout,
10:48
mais sur l'essentiel,
10:48
on doit pouvoir travailler ensemble.
10:50
Pour conclure, Valérie,
10:51
vous avez décidé de vous rendre
10:52
le week-end prochain à Hongrie,
10:53
à la Pride,
10:54
dans cette marge de soutien
10:55
à la communauté LGBTI,
10:57
interdite par le Premier ministre hongrois
10:59
à Budapest.
11:01
Il y aura Manon Aubry aussi,
11:02
qui sera présente,
11:02
la chef de file des Insoumis
11:03
au Parlement européen.
11:05
Vous partagez les mêmes combats,
11:07
finalement, que la France insoumise ?
11:08
Il y aura 80 députés européens
11:10
de tous groupes confondus
11:12
de la droite,
11:12
des centristes,
11:13
des socialistes,
11:14
des verts
11:14
et effectivement du groupe
11:16
de Manon Aubry.
11:17
On partage ici,
11:18
on envoie ici un signal très clair
11:20
de soutien aux communautés LGBTI
11:22
qui sont intimidées,
11:23
qui vivent dans un climat
11:24
de peur en Hongrie.
11:26
Et donc, c'est un message
11:26
de résistance contre la haine,
11:28
contre la discrimination
11:29
et contre un Premier ministre hongrois
11:31
qui bafoue fondamentalement
11:33
les valeurs qui sont au socle
11:34
de la création et du projet commun,
11:36
à savoir la non-discrimination
11:38
et la tolérance.
11:39
Merci Valérie,
11:40
et merci d'avoir répondu
11:40
aux questions de France Info.
11:41
Merci à vous.
11:42
et merci à vous.
Recommandations
11:02
|
À suivre
Les 100 jours de Donald Trump "nous ont plongés "dans un monde nouveau dans lequel l'Europe a toute sa place", estime l'eurodéputée Valérie Hayer
franceinfo
30/04/2025
3:27
Valérie Hayer : «Ce soir, pas un responsable politique qui aime la France et qui aime l'Europe ne peut se réjouir»
CNEWS
09/06/2024
21:02
Valérie Hayer : "Le moment que l'on traverse est le plus grave depuis la Seconde Guerre mondiale"
France Inter
01/03/2025
3:55
VIDEO. Européennes 2024 : quand Gabriel Attal s'invite dans une interview de Valérie Hayer pour "soutenir" la tête de liste Renaissance
franceinfo
03/06/2024
37:01
Valérie Hayer : "On risque de voir arriver au Parlement européen des gens qui détestent l'Europe"
France Inter
04/06/2024
12:13
Affaire Bétharram : "On demande la vérité par respect pour les victimes", indique le député PS Jérôme Guedj
franceinfo
18/02/2025
1:38
"J'en ai assez de ces polémiques": Valérie Hayer réagit aux critiques après l'irruption de Gabriel Attal pendant une interview
BFMTV
06/06/2024
12:17
Nathalie Loiseau invitée de franceinfo le 24 janvier 2025
franceinfo
24/01/2025
1:32
Sondages/Européennes: "Rien n'est joué", assure Valérie Hayer
BFMTV
02/06/2024
3:25
Budget de la région Île-de-France: "On n'augmentera pas les impôts", affirme Valérie Pécresse
BFMTV
13/11/2024
1:22
Valérie Pécresse sur le soutien de Sarkozy à Orban : "Aujourd'hui, il faut avoir une vision lucide sur les dérives du gouvernement Orban, notamment en termes de libertés publiques"
France Inter
25/03/2019
1:44
Valérie Pécresse : "Les Franciliens sont révoltés et épuisés par ces mouvements toutes les semaines"
France Inter
25/03/2019
1:05
FEMME ACTUELLE - "Je file m’occuper de l’Ukraine" : la prise de parole surprenante de Valérie Pécresse
Femme Actuelle
02/03/2022
1:31
Impôts: Valérie Hayer veut "porter le débat à l'échelle internationale" mais "pas au niveau européen"
BFMTV
06/06/2024
0:51
Valérie Pécresse : "Le 'en même temps' en matière de régalien, ça ne marche pas. (...) le chef de l’État doit soutenir indéfectiblement les forces de l’ordre."
France Inter
07/12/2020
1:27
Vidéo de lycéens à genoux : Valérie Pécresse voudrait "qu'on se félicite qu'à Mantes-la-Jolie il n'y ait pas eu de blessé"
franceinfo
07/12/2018
1:40
Valérie Hayer: "Mon engagement c'est celui d'une femme qui a grandi dans la ferme de ses parents"
BFMTV
09/03/2024
2:13
Valérie Pécresse: "Le Rassemblement national n'a pas changé"
BFMTV
13/06/2021
16:20
L’interview de Valérie Pécresse
CNEWS
10/02/2021
6:35
Enquête de l'Europe sur les subventions chinoises aux voitures électriques : "Une belle victoire", se réjouit Nathalie Loiseau, car "c'était une demande française"
franceinfo
13/09/2023
0:55
Valérie Pécresse appelle à "reprendre massivement le télétravail dans les semaines qui viennent"
BFMTV
07/03/2021
11:23
ArcelorMittal : "Il est hors de question qu'Emmanuel Macron trahisse les travailleurs de Dunkerque", déclare Aurélie Trouvé
franceinfo
01/05/2025
0:58
"On aura besoin que tous les Franciliens aillent se faire tester au lendemain des fêtes", estime Valérie Pécresse. "Il faut éviter à tout prix une troisième vague, l'effet 'Thanksgiving'."
France Inter
07/12/2020
2:25
Valérie Pécresse : "Dans les territoires ou la promesse républicaine n'est pas tenue, on a un terreau fertile pour tous ceux qui prêchent la haine de la France. Pour ça, il faut une stratégie urbaine."
France Inter
07/12/2020
15:06
La grande interview : Valérie Hayer
CNEWS
03/06/2024