Diffusé sur Canal+ le 11 juin 1993, ce documentaire exceptionnel signé Claude Fléouter plonge le spectateur au cœur de « La Nuit Hallyday ». Entre confidences rares, extraits de concerts et images d’archives, Johnny Hallyday se livre comme jamais. Une immersion unique dans l’univers du rockeur préféré des Français, à une période charnière de sa carrière.
00:00Quelqu'un qui a une japonaise, il y a impossibilité de rentrer dans le club.
00:04Il faut une arlédamiste.
00:06J'en ai cinq.
00:08Je ne vends pas une moto vraiment pour en racheter une autre.
00:11En général, je les garde.
00:13Je les garde.
00:13Et si ce n'est pas moi qui les conduis, c'est vraiment des amis intimes à moi qui apprennent tout.
00:19Je prends ma moto, je prends l'autre et on part ensemble ou pas ?
00:22C'est quand même assez curieux parce que tu n'es pas le collectionneur au fond.
00:26Je ne suis pas le collectionneur, je vais vendre mes voitures, mais pas mes motos.
00:31Je préfère les garder.
00:33Ils me rappellent des souvenirs.
00:34Et puis j'ai passé trop de temps dessus pour les vendre.
00:41Mais encore à la limite, si j'en vendais une, je la jouerais jamais au jeu.
00:56J'avoue que j'ai fauté à un moment donné.
01:16J'ai été vers les Japonais pendant deux, trois ans.
01:21Mais bon, qui ne se trompe pas, on ne peut pas aller dans la bonne route.
01:26J'ai été vers les Japonais pendant deux, trois ans.
01:56Attends, oui, mais c'est parce que j'ai mal ici.
01:59Voilà, c'est ça, c'est une correspondance là.
02:01Et ça me fait du bien ici.
02:02Ça me fait mal là, mais ça me fait du bien là.
02:04Et si tu me le fais là, ça me fait mal ici.
02:07C'est la réflexologie.
02:09En fait, en Chine, on part du principe que ce que tu vois là, la douleur directe, concrète, ça vient d'ailleurs.
02:16Ça vient d'ailleurs, oui.
02:17Et les Chinois, ils soignent un mal de quelque part par un autre endroit.
02:23Parce que par exemple, tu as un méridien pour le mal dedans, tu as un méridien ici, tu vois.
02:28Ici, dans ce point d'intersection ici, quand on a mal aux dents, en Chine, on masse comme ça, tu vois, à l'intérieur.
02:35Alors là, par exemple, j'ai mal ici, à une vertèbre.
02:38Là, j'ai mal directement ici.
02:40Tu y prends où ?
02:40Alors moi, je le prendrai sur l'homme ici, là, voilà.
02:45Et si tu as un petit peu mal là, là, si jamais c'est une douleur qui est quand même assez...
02:49Tu vois, on a l'impression que tu as une douleur assez piquante, là, tu vois, voilà.
02:52Voilà, c'est piquant.
02:54Dis qui tu veux.
02:56Je m'appelle Jean-Marc Néo, j'ai des champions du monde de Kung Fu à Taiwan.
03:02Et je fais des spiraleurs aussi.
03:03Si tu veux, en fait, je suis allé un peu au bout de mes rêves et c'est ce qui leur a plu, moi, parce que quand tu es gamin, tu as des trucs dans la tête et puis, il n'y a pas beaucoup de gens qui...
03:17Tu sais, à l'époque, moi, je n'avais pas un franc, j'ai vendu la bécane, la moto, les fringues, les bouquins.
03:23J'ai pris mon billet à l'air tout à Hong Kong.
03:24Je suis allé à Hong Kong, je suis allé à Pékin et j'ai fait toute la chine.
03:27J'ai fait le Tibet, là-haut, je suis allé à l'autre, je suis allé à l'Europe.
03:29On ne fait pas d'être désespérables.
03:32Et voilà.
03:33C'est quoi, Desperados ?
03:34Ben, Desperados, c'est un peu le mythe du rebelle, quoi.
03:37Moi, ce qui me plaît dans le Desperados, ce sont des gens qui ont la même façon de voir la vie, de voir l'espace.
03:42Alors, quand j'ai le droit, il s'efface.
03:51Comment ça, il s'efface ?
03:53Même en Amérique, je ne vous en prie.
03:54C'est vrai, c'est vrai, hein.
03:57Il s'efface, pour ça, tout à l'heure.
03:59Tu ne vois pas, non ?
04:00Oh ben non, c'est des amis dans les caméras, non ?
04:03Pourquoi ?
04:07À quel niveau ?
04:08Eh ben, ça, c'est moins coloré qu'un blanc.
04:11Ah, le blanc ?
04:13Ouais.
04:13Ah, le blanc, c'est moins coloré qu'un blanc, c'est moins coloré qu'un blanc.
04:43C'est moins coloré qu'un blanc, c'est moins coloré qu'un blanc.
04:46Ah, le blanc, c'est moins coloré qu'un blanc, c'est moins coloré qu'un blanc.
04:51Les gens m'appellent Little des jeunes, il en est même qui m'envient,
05:00mais ils ne savent pas dans la vie que parfois je m'ennuie.
05:09Je cherche celle qui serait mienne, mais comment faire pour la trouver ?
05:19Le temps s'en va, le temps m'entraîne, ne fait que passer.
05:26Dans la nuit, je file, tout seul de ville en ville, je me suis une pierre qui roule toujours.
05:41Et bien la partie n'est plus, et mon nom partout dans les rues, autant je cherche tout simplement l'amour.
05:58C'est une fille souvent gaire, en se taignent les malvêtes.
06:08Oh, putain ! Regarde la photo de Lina.
06:11T'as arrêté ?
06:13Non, je ne veux pas dire.
06:15C'est ça que je dis, mais rien à en prendre.
06:18Dans la nuit, je file, tout seul de ville en ville, je me suis une pierre qui roule toujours.
06:27Je ne suis qu'une pierre qui roule toujours.
06:34Il ne faut rire ni danser, et le spectacle est miné.
06:43Il semble aller ailleurs, levé du jour.
06:50Les gens m'appellent l'idole des jeunes, il en est même qui m'envie.
06:59Mais s'ils pouvaient savoir dans la vie, combien tout seul je suis.
07:08Combien tout seul je suis.
07:18J'ai travaillé le bon ami pour te faire plaisir.
07:28C'est l'équipe de l'affaire.
07:32C'est la ma gueule.
07:34Qu'est ce qu'il y a ma gueule ?
07:38Quelque chose qui ne va pas.
07:41Et elle ne te revient pas.
07:43Oh, je sais que tu n'as rien dit.
10:19Je l'ai fait ce métier parce que j'aimais chanter. Je l'ai fait parce que j'aimais une certaine sorte de musique. J'aimais surtout le rock'n'roll. Le rock'n'roll de mon époque, c'est-à-dire le rock'n'roll de 1960. Et je pensais qu'un jour, je ne pensais pas pouvoir en vivre.
11:09Dans ma tête. Mais c'est vrai que je m'y mets à la dernière minute parce que si je me mets trop longtemps à l'avance, du moment où j'ai fini de le répéter et que j'ai travaillé dessus et que si je le répète trop longtemps à l'avance, c'est-à-dire que je vais sur scène et que j'ai l'impression de l'avoir déjà fait. Donc ça ne m'intéresse plus.
11:27Moi, c'est vrai que je prépare le Parc des Princes depuis longtemps. Mais c'est vrai que je m'y suis mis en répétition. Enfin, je me suis mis en état d'urgence en répétition avec les musiciens par rapport au spectacle que je vais faire.
11:42Mais j'ai besoin de la nouveauté. J'ai besoin de l'état d'urgence. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin du public. Et j'ai besoin que ce soit quelque chose de frais.
11:54J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène.
12:24J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène. J'ai besoin de l'excitation de la scène.
12:54aller à la place et personne ne peut tricher moi en tout cas je ne peux pas tricher quand
13:00tu montes sur scène je trouve tes marques tout de suite ça te vient non je trouve pas les marques
13:05plus de suite ça me prend un certain temps mais disons qu'il faut que je connaisse une scène
13:09la scène je la connais la scène je la connais pour une seule raison c'est que c'est moi qui
13:13l'est c'est moi qui l'est comment dire c'est moi qui l'est voulu comme ça c'est moi qui veut une
13:20scène comme ça comme ça avec les gradins comme ça avec le avec la batterie à tel niveau avec le
13:26guitariste là et là donc la scène je la connais par coeur avant d'y aller je l'ai conçu la scène
13:32j'en parle avec mon équipe parce que je ne travaille pas tout seul je travaille avec une équipe mais la
13:36scène je l'ai voulu je sais ce que je veux sur une scène je sais que moi je travaille dans un métier
13:42de chanteur je travaille plus comme un comme un groupe que comme un chanteur
13:50j'ai toujours travaillé comme ça et si j'avais pas été johnny day vraisemblablement j'aurais été sans
13:56doute j'y as un appel
13:58c'est un amour qui me permet trop mal mal mal on paye toujours mais ça fait bien trop mal mal
14:09c'est un amour qui me ferait trop mal mal le seul qui aime s'ils me comprennent
14:23c'est quoi ce spectacle
14:53du parc des princes c'est un spectacle dingue un spectacle que j'ai voulu la limite
14:59j'ai pas il ya des cascades il ya plein de choses il ya il y a par exemple pour donner une idée par
15:08exemple la scène fait toute la largeur du parc des princes c'est à dire elle fait 120 mètres de
15:13large déjà déjà ça se construit une scène puis c'est moi qui l'appelle il ya il ya un grand pont
15:18dessus qui représente le pont de brooklyn où on va faire descendre des motos des trucs des bagnoles
15:24des clés etc il ya un moment donné une voiture qui tombe dans l'île et qui tombe son goût de bagnole
15:29ça a l'air de rien parce qu'ils sont des effets qui durent deux secondes pour les gens c'est beaucoup
15:35mais mais ça dure que deux secondes enfin ce spectacle retrace mes chansons de 1960 à 1993
15:42avec j'ai pas pu tout mettre parce que bon il y en a trop je peux pas chanter cette sensation
15:51sans les choix des cinq ordres mais parmi celles que le public a préféré pendant c'est pendant ces
15:55trente années
16:12on vient le capitaine
16:26Si tu devais recommencer ta vie, est-ce que tu la recommencerais de la même manière ?
16:54A deux ou trois détails près.
16:59Avec les erreurs et les qualités, enfin avec les erreurs et les non-erreurs de ma vie, vraisemblablement, je ne regarde pas grand-chose.
17:10Si je savais, des erreurs que je ne ferais plus, mais pas de personne par rapport à moi.
17:19Des erreurs de chansons, de ce métal ?
17:21Non, je parlais de la vie en général.
17:22Non, deux chansons, oui, des chansons qu'on ne ferait plus.
17:26Mais bon, je les ai faites et puis je les assume.
17:29En général, je suis quelqu'un qui assume bien mes choses, même mes conneries.
17:33Il y a quand même pas mal, quand même.
17:35Il y en a beaucoup.
17:36Mais il y a quand même pas mal de choses, pas mal non plus.
17:39Il y a toujours chez toi une envie, toujours renouvelée, de vivre dans la surprise.
17:44Est-ce que c'est une donnée nécessaire pour poursuivre une aventure comme la tienne ?
17:48Les surprises, c'est vrai qu'il y en a, mais j'essaie pas de les, j'essaie pas de les faire subir, ni à mes amis, ni au public.
18:02À mon avis, les surprises, j'ai séduit moi-même d'abord.
18:11Je suis quelqu'un qui surprend, pas volontairement, mais qui surprend parce que les choses viennent comme elles sont.
18:16Et en général, je suis un instinctif et je fais les choses comme elles viennent.
18:19Mais obligatoirement, les gens qui m'aiment, enfin c'est-à-dire les gens qui m'aiment, je parle de, les gens qui m'aiment autour de moi,
18:25et puis par la suite, évidemment, aussi le public, ils ont le contre-coup de ça.
18:32Mais c'est jamais volontaire, c'est toujours des choses qui me viennent parce que ça me tombe à moi d'abord sur moi,
18:40et puis moi, je ne prévois pas les choses.
18:42Ce que je voulais dire par surprise, c'est-à-dire pouvoir préserver des facultés d'émerveillement, quoi, comme à 20 ans, comme à 15 ans.
18:49Je suis toujours émerveillé par tout ce qui peut arriver, par une femme, par un enfant, par la vie, par quelque chose d'insolite, par la pauvreté, par...
19:02Je me suis toujours aperçu d'une chose, c'est qu'en général, j'ai remarqué avec moi,
19:06ce sont toujours les gens les plus pauvres qui ont toujours été beaucoup plus généraux avec moi que les gens les plus riches.
19:13Exemple ?
19:15Je n'en ai pas d'exemple.
19:26Est-ce que ce n'est pas nécessaire d'avoir une curiosité toujours en éveil à l'égard des autres, par exemple, dans ton métier, par exemple ?
19:33Tu sais, il y a une chose que m'a appris Nathalie Vaille, qui est une femme merveilleuse et qui est une mère exceptionnelle,
19:40c'est qu'un jour, elle m'a appris une chose, c'est d'observer.
19:46Quand on fait un métier de comédien, mais c'est aussi bien, c'est valable aussi pour un chanteur, par rapport au métier qu'il fait,
19:54c'est que moi, je le fais à l'étranger, en France, on peut rarement le faire.
19:59Mais s'asseoir sur une terrasse de café, de regarder les gens passer, c'est extraordinaire.
20:05Personne ne marche de la même façon.
20:09Moi, tout ce que j'ai appris, je l'ai appris dans la vie.
20:11Je l'ai appris avec les gens, je l'ai appris avec les rapports humains, je l'ai appris en parlant avec des gens,
20:16j'ai appris en fréquentant des gens riches, des gens pauvres, des gens malheureux,
20:19des gens malheureux, des rien du tout, des beaucoup plus que rien, des très importants sans être importants.
20:28Je crois que le plus important, c'est surtout d'aimer les gens.
20:34Il y a une chose qui n'a pas changé depuis tes débuts, c'est l'énergie que tu dégages.
20:41D'où vient cela ?
20:42L'énergie vient de ce que j'ai envie, j'ai envie de vivre.
20:46J'ai envie de vivre et j'ai envie que les gens qui sont autour de moi aient envie de vivre.
20:52D'abord, je dois beaucoup de choses à R.V. Lewis.
20:54R.V. Lewis, personne, il n'y a pas beaucoup de gens qui le connaissent, c'est mon coach, c'est la personne.
20:58Quand je n'ai pas envie de faire du sport, qu'il me traîne le matin, qu'il me tire par le lit et qui me dit
21:03« Bon, tu n'as pas envie, mais tant pis, on y va. »
21:05Bon, j'y vais une fois que j'y suis, ça va.
21:08Il faut déjà me sortir d'ici.
21:10Mais bon, c'est un garçon formidable, grâce à lui.
21:13Quand j'ai fait une immense sport, après trois heures de fonte,
21:16bon, ce n'est pas marrant de se lever le matin en disant « Il faut que je soulève 80 kilos, 100 kilos tous les matins. »
21:22Bon, je le fais et puis ça m'enlie profondément quand j'y vais.
21:26Et puis quand j'en sors de là, je suis très bien.
21:28Et je suis parfaitement, ça me donne la pêche pour toute la journée.
21:30Et ça, je le dois grâce à lui.
21:32« Tu regardes, c'est à cet homme, ah, t'en profites, parce que t'envoies de la mienne, il n'y a pas cet homme. »
21:36« Ah oui, c'est moi qui t'ai conne. »
21:39« Vous pouvez vraiment t'arrêter ? »
21:42« Je crois que je pourrais m'arrêter, oui. »
21:43« Vraiment, sérieusement ? »
21:44« Tu sais, j'ai construit une maison pour... »
21:47« C'est con à dire. »
21:49« J'ai hâte de dire ça parce que... »
21:51« Malgré mon demi-secle, je me considère jeune. »
21:56« Mais j'ai construit une maison pour finir mes jours, qui est dans le midi. »
22:02« C'est sans doute le seul endroit auquel je sois fidèle, où je finirai sans doute mes jours. »
22:08« Mais finir mes jours, je ne sais pas quand. »
22:10« Peut-être dans la temps, peut-être dans le 30 ans, je ne sais pas. »
22:12« Plus t'impossible. »
22:13« Ou en tout cas, bon, il restait pour l'infini. »
22:16« Mais ça me rassure. »
22:19« Tu n'as pas l'impression parfois de marcher sur un fil ? »
22:23« Et évidemment, le fil, il peut se casser. »
22:26« On marche toujours dans un fil quand on fait ce métier. »
22:31« Tu fais un disque qui marche, tu es au top. »
22:33« Tu fais un disque qui marche moins bien, tu es dans le trou. »
22:37« Non, on ne peut pas savoir ça. »
22:39« Et puis je crois que... »
22:40« C'est les maisons de disques qui me disent que ce serait bien que tu fasses telle chanson parce que ça va être un tube. »
22:45« Et souvent, j'ai remarqué une chose, c'est qu'un tube n'est pas un tube. »
22:48« Il n'y a pas de tube. »
22:49« Il y a ce que tu as envie de chanter. »
22:52« Puisque les gens ont envie d'écouter. »
22:53« Je crois qu'il faut faire ce qu'on a envie de faire. »
22:55« D'un titre qui s'appelle « Je t'aime, tu en as fait deux tubes. »
23:05« Que je t'aime, tu en as fait deux tubes. »
23:06« Mais oui, mais tout le monde aime. »
23:08« À 20 ans d'intervalle. »
23:09« Mais tout le monde aime quelqu'un. »
23:11« C'est normal, c'est mondial. »
23:13« C'est normal, c'est normal, c'est normal, c'est normal. »
23:43« C'est normal, c'est normal. »
23:51« C'est normal, c'est normal, c'est normal. »
23:54dans une crise avec une rapidité foudroyante oui parce que je considère que les choses qui
24:01sont passées sont les choses passées il faut les oublier les choses qu'on oublie on va sur
24:05autre chose tu tiens rideau et hop on arrive au rideau tout de suite est ce que le jean-fils
24:09mètre existe encore en tant qu'état civil écoute ma mère m'appelle johnny alors j'ai perdu ma
24:16partie enfin ma première part officiellement à états civils t'appelles comment j'en ai fait
24:20dit johnny alida sur mon passeport tu as tu as gardé le nom de jean-fils smed bien sûr par rapport à
24:27mon père et pardon de dire mais david il s'appelle david smed a dit david à l'idée comme moi