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Violence à l'école : «L'école n'est plus un sanctuaire», estime Joachim Le Floch-Imad
Europe 1
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13/06/2025
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News
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00:00
Avec mes camarades de la deuxième heure, bonsoir Jean-Michel Salvatore, bonsoir Raphaël Steinville,
00:05
directeur adjoint de la rédaction du journal du dimanche.
00:08
Notre invité, il est enseignant, SAIS, directeur de la fondation Res Publica.
00:13
Bonsoir Joachim Lefokimade, merci d'être avec nous.
00:16
Vous dites dans un article dans le Figaro, l'école n'est plus un sanctuaire.
00:20
Moi je veux bien, mais alors qu'est-ce qu'on fait concrètement ?
00:24
Qu'est-ce qu'on fait ? Vaste question, puisqu'il faut savoir quel est le principal problème,
00:28
même si vous voulez, celui qui a le plus de prise sur les autres.
00:32
Je pense qu'il faut évidemment agir du point de vue des politiques éducatives,
00:35
puisque la situation d'hyperviolence des mineurs, la situation d'entrée spécialiste à l'école,
00:44
tout ça c'est la conséquence de 40 ans de politique éducative ultra permissive,
00:49
de déconstruction de l'autorité, d'incapacité des uns et des autres à maîtriser leurs pulsions.
00:56
Et je pense qu'on a payé le prix chaque jour, avec en effet des digues qui nous protègent de la barbarie,
01:03
qui cèdent les unes après les autres.
01:04
On l'a vu, il y a beaucoup de sujets, vous avez raison de le dire, la partition est large.
01:10
Vous, vous êtes enseignant, dans quelle spécialité, dans quel collège exactement ?
01:15
Alors moi j'interviens essentiellement dans l'enseignement supérieur,
01:17
j'ai enseigné plusieurs années en école de commerce ainsi qu'en BTS,
01:20
je n'ai pas été moi-même confronté à des situations d'hyperviolence avec mes élèves.
01:25
Vous voulez dire pas encore ?
01:26
On est Dieu merci.
01:28
Non mais je parle à froid, parce que ce qui se passe là, c'est cette situation d'effroi et elle peut se reproduire.
01:33
Tout à l'heure, avec les camarades de la première heure, on parlait effectivement de ce drame qui s'est passé à nos gens,
01:40
mais souvenons-nous, et le lien c'est peut-être ce fameux jeu vidéo que moi personnellement,
01:46
en tant que hockey-boomer, ne connaît pas, mais c'est le fameux Fortnite.
01:51
Owen, le meurtrier de la petite Louise en février dernier, qui a perdu une partie en ligne,
01:57
qui était donc furibard d'avoir perdu cette partie en ligne, est sorti de chez lui, il avait 23 ans,
02:02
et il assassine une collégienne qui passe par là, qui est innocente, elle passe, elle rentre chez elle,
02:06
et puis elle rentre dans un bois, il l'interpelle, il dit, viens, viens, suis-moi, j'ai perdu, je ne sais plus si c'est là,
02:12
il cherchait quelque chose, et puis en fait elle le suit, elle veut l'aider,
02:15
et voilà, et il l'a dessus.
02:18
On va parler des jeux vidéo, mais je ne veux surtout pas jeter l'opprobre là-dessus,
02:24
et sur une industrie qui fonctionne, et qui au demeurant se passe quand même globalement très bien.
02:29
Le Japon est le pays au monde où la pratique des jeux vidéo est la plus importante,
02:33
et c'est aussi le pays où le taux d'homicide est le plus faible.
02:37
Je pense, si vous voulez, que cette question des jeux vidéo, elle est assez révélatrice,
02:39
une tendance de fond dans notre société, qui consiste à agir sur les conséquences,
02:44
sans jamais s'interroger sur les causes de fond.
02:46
Les causes de fond, ce ne sont pas l'absence de portique, ce ne sont pas les jeux vidéo,
02:50
ce ne sont pas les réseaux sociaux, même s'ils posent évidemment des problèmes, j'en suis conscient.
02:54
Les causes de fond, c'est à la faille de l'État, c'est à la démission des parents,
02:58
c'est le nihilisme qui gagne une partie significative de la jeunesse.
03:01
Tout ça, si vous voulez, c'est un...
03:01
C'est le fait que les profs sont atrocement mal payés aussi,
03:05
et que du coup, ils n'ont plus envie d'enseigner.
03:09
Et puis, c'est l'aveuglement de la technostructure,
03:12
c'est la vacuité des politiques publiques éducatives conduites depuis 40 ans.
03:16
Mais si vous voulez, tout ça, ça dessine une crise qui est civilisationnelle,
03:19
et qui implique, je pense, des réponses beaucoup plus vastes
03:22
qu'une simple surenchère sécuritaire de court terme,
03:25
en réaction à des événements justifiés dramatiques.
03:28
Jean-Michel Salvatore ou Raphaël Saville, je ne sais pas,
03:31
c'est Raphaël qui a commencé à prendre la parole.
03:32
Oui, permettez-moi, peut-être une réflexion, peut-être incongrue,
03:36
mais pourquoi l'école devrait être un sanctuaire ?
03:38
Pourquoi l'école devrait être à l'abri de la violence,
03:41
et pas le tabac, la sortie d'un stade où a été frappé le petit Elias ?
03:47
Finalement, on s'aperçoit, à travers cette fausse interrogation,
03:52
que c'est toute la société, en fait, qui est atteinte par cette violence.
03:56
Et vous posiez la question de l'origine, des causes qu'il faut pouvoir régler.
04:01
Est-ce que ce n'est pas, finalement, cette espèce de relativisme absolu
04:05
dans lequel on vit depuis, maintenant, plus de 40 ans,
04:08
qui fait que le bien n'est plus tout à fait défini ?
04:13
Est-ce que ce n'est pas ça le brouillage qui fait qu'aujourd'hui,
04:18
à l'école, un gamin n'est même plus terrorisé
04:21
à l'idée d'être désormais un meurtrier ?
04:25
Non, mais nous serons d'accord là-dessus.
04:28
En effet, la violence, elle est en séténèbre dans l'ensemble de la société.
04:31
Tous les indicateurs en témoignent.
04:32
Si on prend l'explosion des coups et blessures volontaires,
04:35
l'explosion des homicides,
04:37
le nombre d'agressions,
04:39
1000 agressions par jour, aujourd'hui en France.
04:41
Donc, en effet, c'est l'ensemble de la société qu'il faut re-sanctuariser.
04:45
Comment vous le traduisez, cette violence, cette haine ?
04:50
Parfois, c'est de la jalousie, parfois, c'est de l'envie,
04:52
parfois, c'est de la rancune, parfois, c'est de la vengeance.
04:54
C'est des règlements de comptes à coup de marteau, à coup de couteau.
04:58
Il a raison, le président de la République.
04:59
C'est dommage qu'il se réveille aujourd'hui, mais bon, voilà.
05:02
J'aurais aimé qu'il emploie, si vous voulez,
05:03
un vocabulaire autre que celui de faits divers,
05:05
puisque ce à quoi on a affaire, ce n'est évidemment pas à des faits divers.
05:07
Là, il ne parle pas de faits divers, il parle de la violence, aujourd'hui.
05:10
C'est à des faits de société.
05:11
Oui, mais il parle de la violence.
05:13
Peut-être qu'on se saisit de cette question de l'explosion de la violence un peu tard,
05:16
puisqu'il est au pouvoir depuis huit ans,
05:17
et il est comptable d'un bilan en la matière qui est quand même catastrophique.
05:21
Pour rebondir sur ce que vous disiez,
05:22
en effet, le cœur du problème, encore une fois, il est civilisationnel.
05:25
C'est l'incapacité à réfréner ses pulsions,
05:27
l'incapacité à distinguer le bien et le mal,
05:29
l'incapacité à s'empêcher,
05:31
pour reprendre la fameuse formule d'Albert Camus.
05:34
Et tout ça, encore une fois,
05:35
ça implique non pas de sécuriser l'enfer,
05:38
mais de vouloir reconstruire, si vous voulez,
05:40
reconstruire la société,
05:42
reciviliser celle-ci, ça prendra des années,
05:45
ça demandera un courage politique
05:46
dont je pense la classe politique actuellement
05:48
pouvoir est dépourvue,
05:49
et ça demandera un changement aussi dans la technostructure.
05:52
L'avocat Jean-Yves Le Borne, juste avant vous,
05:54
dans la première heure, disait qu'on manquait de sacrés,
05:56
pas forcément de sacrés religieux,
05:58
mais même de sacrés laïcs, il manquait quand même
05:59
une sorte de guide comme ça,
06:01
qui permettait, comme à une époque,
06:03
de se dire, ben voilà, ça c'est bien, ça c'est pas bien,
06:05
ça c'est blanc, ça c'est noir, ça c'est ceci.
06:07
Jean-Michel Salvatore avait une question.
06:09
Oui, parce qu'une fois qu'on a fait ce constat
06:11
de faillite, qu'on partage tous,
06:13
comment on reconstruit,
06:16
et avec qui, quel rôle
06:17
pour les parents, quel rôle pour les profs,
06:20
quel rôle pour les politiques,
06:21
et est-ce qu'il y a des modèles
06:23
dont on pourrait s'inspirer,
06:26
soit à l'étranger,
06:27
soit dans le système éducatif privé en France ?
06:30
Comment on reconstruit ?
06:31
Il y a deux niveaux,
06:34
il y a l'action politique
06:36
qui concerne l'ensemble du corps social,
06:38
et il y a l'action politique
06:39
qui concerne les problèmes purement éducatifs.
06:41
Du point de vue de l'école,
06:42
je pense qu'il faut, si vous voulez,
06:43
mettre à nouveau l'accent,
06:44
non plus sur les compétences,
06:46
mais sur le savoir,
06:47
le savoir qui permet, si vous voulez,
06:49
de lutter contre l'abêtissement
06:50
qui déstructure l'esprit,
06:51
fait le lit de la violence,
06:52
du clanisme,
06:53
de la haine,
06:54
dont l'actualité nous apporte
06:56
tant d'exemples.
06:57
Mais comment ?
06:57
C'est ça la question de Jean-Michel ?
06:59
Et pardonnez-moi,
06:59
c'est la question que je vous ai posée au début.
07:01
Attendez,
07:02
est-ce que ça veut dire des cours,
07:03
des sessions,
07:04
j'allais dire de...
07:05
Est-ce qu'il faut faire des cours de bon sens ?
07:07
Est-ce qu'il faut faire des cours de...
07:09
Ben oui, non mais...
07:09
On en est là, Jean-Michel.
07:11
Jean-Michel, il se marre, mais...
07:12
Mais oui, mais...
07:14
Remettre l'accent sur les fondamentaux,
07:16
et non plus sur les sujets périphériques
07:17
qu'on étudie actuellement,
07:19
revoir en profondeur la formation des professeurs,
07:20
parce qu'il y a aussi une baisse
07:21
du niveau des professeurs.
07:23
Il faut, je pense, lutter contre
07:24
l'hétérogénéité des classes,
07:26
la massification scolaire
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depuis le collège unique
07:29
ayant fait énormément de dégâts,
07:30
et il faut aussi un accent mis
07:31
sur l'autorité à l'école,
07:33
sanctionner dès la première violation
07:35
du règlement,
07:36
ce qu'on est incapable de faire aujourd'hui.
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Et je pense que ça va au-delà de l'école.
07:38
Mais ce n'est pas totalement vrai,
07:41
regardez très précisément
07:43
le cas de ce...
07:44
De ce...
07:45
De ce...
07:45
De ce...
07:45
De ce...
07:45
De ce...
07:45
De ce...
07:45
De ce...
07:46
De ce...
07:46
De ce...
07:46
De ce...
07:46
De ce...
07:46
De ce...
07:46
De ce...
07:47
De ce...
07:47
Il a été sanctionné deux fois,
07:53
quand on parle comme ça
07:56
de manière très lointaine
07:57
et qu'on dit
07:58
il a voulu étrangler un gamin
07:59
qui était en sixième,
08:00
il était en troisième,
08:01
vous savez ce que c'est
08:03
qu'une cour d'école.
08:04
Quand on dit étrangler,
08:05
c'est peut-être pas forcément
08:06
avec la même violence
08:08
que ce que l'on peut imaginer.
08:10
Quand on emploie ces termes,
08:11
on transpose à des choses
08:12
qui sont autrement plus violentes.
08:14
Il y a plein de choses qui sont...
08:15
Le fait est qu'il avait été sanctionné.
08:17
La fermeté,
08:17
elle avait été...
08:18
Elle avait déjà été inscrite finalement
08:20
dans les valeurs
08:21
de ce lycée.
08:23
Donc c'est pas seulement suffisant.
08:24
C'est pas suffisant.
08:25
Cette fermeté,
08:25
elle est pas suffisante.
08:26
Je pense qu'il y a une faiblesse
08:27
des sanctions
08:27
à l'issue des conseils de discipline
08:29
de manière générale
08:29
et je pense qu'un certain nombre d'élèves
08:31
qui sont aujourd'hui
08:32
dans le système ordinaire
08:33
gagneraient à en être sortis
08:35
et qu'il faudrait généraliser,
08:37
augmenter, si vous voulez,
08:37
le nombre de centres éducatifs fermés,
08:39
par exemple,
08:39
qui permettent de re-civiliser
08:40
les jeunes les plus violents.
08:42
Mais vraiment ?
08:42
Est-ce que ça permet de re-civiliser ?
08:44
C'est quoi le bilan
08:44
des centres éducatifs fermés ?
08:46
Il y avait eu un rapport
08:47
il y a une dizaine d'années
08:47
qui montrait que ceci était
08:48
plutôt efficace
08:48
sauf que le problème,
08:49
encore une fois,
08:50
c'est le manque de moyens humains
08:51
et le manque de présence
08:52
géographique de ces centres.
08:53
On en a 54 en France
08:54
qui prennent en moyenne
08:55
en charge une dizaine de jeunes.
08:58
C'est tout à fait insuffisant
08:58
en sachant que beaucoup
08:59
de ces centres sont gangrénés
09:00
par des associations
09:02
à l'idéologie douteuse,
09:04
sont un peu des passoires
09:05
où les jeunes peuvent
09:06
fuguer assez facilement.
09:07
C'est complètement à l'abandon
09:08
en fait ce système.
09:08
C'est révélateur
09:10
de la faille de l'autorité de l'État.
09:11
Joachim,
09:12
je vous ai posé la question
09:14
est-ce qu'on a un suivi
09:14
des conséquences
09:16
de ces centres éducés
09:16
et vous m'avez dit
09:17
on a un rapport.
09:18
Ça c'est l'administration française,
09:20
c'est l'inertie française
09:21
dans son sublime archétype.
09:25
C'est-à-dire qu'on fait un rapport.
09:28
Si on veut être un peu pragmatique
09:30
parce que je pense
09:31
que ce qui intéresse les parents aussi
09:32
c'est d'essayer de savoir
09:34
comment on peut reconstruire tout ça.
09:35
Est-ce qu'il y a par exemple
09:37
dans l'enseignement privé
09:38
des méthodes,
09:40
une façon de faire
09:41
qui pourrait servir de modèle
09:43
au reste du système éducatif ?
09:45
Parce que là,
09:46
vous faites un constat
09:47
qui est un constat général
09:48
mais évidemment
09:50
on est tous d'accord
09:51
pour dire que c'est grave
09:52
mais je dirais
09:53
qu'il faut peut-être
09:53
un peu nuancer
09:54
la gravité
09:55
suivant les établissements.
09:56
Je publie à la fin du mois d'août
09:57
un ouvrage de 350 pages
09:58
avec des mesures sectorielles
10:00
très précises
10:01
sujet par sujet.
10:02
Sur le privé, réponds-le sur le privé.
10:03
Sur le privé,
10:04
alors je pense que
10:05
ce qui marche davantage
10:06
dans le privé
10:07
qui fait que les résultats scolaires
10:08
sont en moyenne
10:09
meilleurs dans le privé
10:10
que dans le public
10:11
si vous voulez
10:12
ce ne sont pas les professeurs
10:13
qui seraient meilleurs
10:14
c'est qu'il y a un cadre
10:15
disciplinaire
10:16
beaucoup plus strict
10:17
et il y a un investissement
10:19
des parents
10:19
qui tirent les élèves
10:21
qui tirent leurs enfants
10:22
dans le bon sens.
10:23
Ça en effet
10:23
ça marche de moins en moins
10:24
dans le public
10:25
donc il y a sans doute
10:26
un certain nombre
10:27
de règlements
10:27
à copier
10:29
maintenant si vous voulez
10:30
si ça ne marche plus
10:30
dans le privé
10:31
c'est aussi que la composition sociale
10:32
des élèves
10:33
est plus favorisée
10:34
plus privilégiée
10:36
on en revient toujours
10:38
au problème de fond
10:39
que j'évoquais tout à l'heure
10:40
à savoir si vous voulez
10:40
que l'état de l'école
10:41
c'est l'état de la société
10:43
et quand la société est malade
10:45
l'école ne peut pas aller bien
10:46
voilà
10:46
et quand la société
10:48
n'a pas de pilote
10:49
n'a pas de cap
10:50
n'a pas de dessin collectif
10:51
il ne faut pas s'attendre
10:52
à des miracles à l'école.
10:53
Catherine Vautrin
10:54
ce matin sur Europe 1
10:55
a proposé
10:56
des référents psy
10:57
dans les écoles
10:58
on va commenter ça avec vous
10:59
dans un instant
11:00
mais d'abord
11:00
place à l'actualité
11:02
dans un petit moment
11:02
le temps pour moi
11:03
de vous dire également
11:04
que dans le jargon judiciaire
11:07
vous le savez peut-être
11:07
la Côte B
11:08
c'est le dossier
11:09
qui réunit les enquêtes
11:09
de personnalité
11:10
les expertises psychiatriques
11:13
d'un accusé
11:14
et tous les vendredis
11:15
Christophe Ondelat
11:16
fait la Côte B
11:18
et demain
11:19
demain Côte B
11:20
de Dominique Pellicot
11:22
en septembre 2024
11:23
Dominique Pellicot
11:24
comparaissait devant
11:25
la cour d'assises d'Avignon
11:26
pour avoir violé sa femme
11:27
en la droguant
11:28
et en demandant
11:30
à une cinquantaine de personnes
11:31
de la violer devant lui
11:32
l'invité de Christophe Ondelat
11:34
maître Béatrice Zavaro
11:35
avocate de Dominique Pellicot
11:37
et Paul Bensoussan
11:39
expert psychiatre
11:41
à tout de suite
11:41
sur Europe 1
11:42
le rappel de l'actualité
11:43
et on revient avec
11:44
l'enseignant et essayiste
11:45
Joachim Lefloquimada
11:46
à tout de suite sur Europe 1
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23/02/2024
2:11
Cyril Hanouna - Violence chez les jeunes : «Ni l'école, ni la politique pénale ne peuvent se substituer aux échecs de ces familles», selon Bruno Retailleau
Europe 1
27/01/2025
1:02
Alexandre Avril : «L'’école doit absolument demeurer un sanctuaire préservé de toutes les influences idéologiques»
CNEWS
15/06/2022
1:25
Joachim Le Floch-Imad : «Pour expliquer la baisse du niveau scolaire, le facteur migratoire est aggravant mais pas suffisant»
CNEWS
14/12/2023
0:26
Jordan Bardella: "L'école est devenue le terreau de la violence"
BFMTV
05/04/2024
0:58
Déconfinement : reprise de l'école à Tomblaine
ici Sud Lorraine
12/05/2020
5:01
La violence à l'école. Prévenir et lutter contre les violences entre pairs à la maternelle - Jérôme Durand-Gratian
Eduscol
13/07/2017
2:42
Nora Tirane-Fraisse témoigne : «Il y a beaucoup d'enfants qui somatisent déjà en se disant "Dans 15 jours, je vais retourner à l'école"»
CNEWS
19/08/2023
2:01
Ecole de la Grande Fontaine : "il y avait de la boue partout dans les classes
Zinfos974
05/03/2025
1:22
Grégory Thuizat (professeur agrégé de lettres modernes) sur la vétusté d'établissements scolaires: "L'école publique en Seine-Saint-Denis est en état d'urgence"
BFMTV
08/03/2024
0:56
Jean Messiha : «L’école est incapable aujourd’hui d’assurer la sécurité des élèves et des enseignants»
CNEWS
23/02/2023
2:03
Sainte Lucie de Porto-Vecchio : les parents en colère bloquent l’école
Corse Net Infos
14/06/2019
0:50
Le préfet des Bouches-du-Rhône s'exprime sur l'incendie en cours à Marseille et ses alentours
CNEWS
aujourd’hui
6:36
Emmanuelle Hénin : L'Heure des Livres (Émission du 08/07/2025)
CNEWS
aujourd’hui