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  • 26/05/2025

Catégorie

Personnes
Transcription
00:00C'est un film, on n'aurait pas mieux fait dans un scénar, c'est incroyable.
00:07Je joue dans le film, mon père joue le rôle du fou Miloud dans le film,
00:12et c'est mon père qui joue, et je pleure mon père.
00:15Dans le film, je pleure mon père, c'est la fin du film.
00:18Je sors de la salle, le film se termine, le téléphone sonne,
00:22et mon frère me dit, voilà, papa est décédé, et puis voilà, c'est une drôle d'histoire.
00:29Je me souviens d'avoir été impressionné par ce film,
00:41mais je dis souvent que ce film, tous les Algériens pensent l'avoir vu,
00:45mais on ne l'a pas vraiment vu tant qu'on ne l'a pas revu.
00:48Et j'ai l'impression que son talent pour la vie, il a eu aussi dans la mort.
00:53Il a écrit sa mort.
00:56Tout à fait, tu as tout à fait raison, il a écrit sa mort.
00:59La force de chronique, c'est que ce n'est pas un vindicatif.
01:10Il n'y a pas les bons et les méchants, ce n'est pas manichéen.
01:13C'est un constat d'un pays à un moment donné.
01:17Et après, le spectateur est à lui de juger.
01:20Mon père ne juge personne.
01:21Donc, c'est la force du film et je pense que ça va faire du bien.
01:25Il n'y a pas de mot de totale.
01:27Voilà.
01:27On est à l'a de prix.
01:28On ne met la difficulté.
01:29C'est pas non.
01:30iv Será que ça va a faire du mal ?
01:31Il n'y a pas de temps.
01:31C'est pas qui est de temps.
01:32Bes contre le fig pret.
01:33Là-toi.
01:34Il n'y a pas de temps.
01:35Il n'y a pas de temps.
01:37Est-ce comme faire du mal.

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