Laisse-là dormir du sommeil de la pierre En ses cheveux printemps, cœur et couronne Dis-moi ô frère, qui lui brisa l’échine ? Iwal est partie et avec elle l’abondance
J’ai vu sa tombe, la pierre, les stelles Je l’ai entendue pleurer, l’œil rempli de terre Sa robe noire traversée de bandelettes Restera ô frère le symbole de l’amour
Iwal, quand elle quêta la parole courtisane Trouva la liberté se reposant dans les jours Elle me dit ô Messaoud, je serai une mariée Ce soir je laisse à la nuit mes travaux
Ô Iwal ! Où donc est le chemin Qui mène aux étoiles ? Qui mène à toi ? Les larmes du ciel purifieront le sol Tu quitteras la terre et ira dormir à Timsunin