L’info du jour | 22 mai - Soir
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LIRE L’ARTICLE : http://fr.euronews.com/2025/05/22/linfo-du-jour-22-mai-soir
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00:00Le chancelier allemand Friedrich Merz est arrivé jeudi en Lituanie pour inaugurer une nouvelle brigade de 5000 hommes visant à renforcer le flanc oriental de l'OTAN.
00:11Deux membres de l'ambassade d'Israël tués par balle devant un musée juif à Washington, un acte ouvertement antisémite selon Donald Trump.
00:21Le chancelier allemand Friedrich Merz est arrivé jeudi en Lituanie pour inaugurer la première unité militaire permanente de Berlin à l'étranger.
00:30Depuis la seconde guerre mondiale, cette nouvelle brigade de 5000 hommes a été créée en réponse au lancement de l'invasion russe de l'Ukraine en 2022.
00:39Ses objectifs ? Renforcer le flanc oriental de l'OTAN à la frontière avec le Bélarus.
00:44Ils fournirent une protection supplémentaire aux états baltes pour décourager les agressions potentielles de Minsk et de Moscou.
00:51Friedrich Merz a qualifié la Russie de menace pour la sécurité en Europe et dénoncé les récentes opérations de déstabilisation de Moscou.
00:58A l'occasion de sa première visite dans les pays baltes depuis son investiture, le nouveau chancelier allemand s'est entretenu avec le président lituanien Gitanas Noseda.
01:08Ce dernier rappelle que Berlin est le principal partenaire de Vilnius dans le domaine de la défense, avec des contrats bilatéraux qui ont déjà dépassé les 2 milliards d'euros.
01:16Deux membres du personnel de l'ambassade d'Israël à Washington, un homme et une femme ont été tués par balle mercredi soir près d'un musée juif.
01:28L'attaque s'est produite lors d'une réception organisée par le conseil des jeunes professionnels du comité juif américain à quelques encablures de la Maison Blanche.
01:36Le suspect, un homme de 30 ans, originaire de Chicago, a d'abord été observé en train de faire les 100 pas à l'extérieur du musée,
01:43avant de s'approcher d'un groupe de 4 personnes, de sortir une arme de poing et de faire feu.
01:48L'homme est entré dans le musée immédiatement après la fusillade et a été arrêté par un membre de la sécurité du musée.
01:54Il a ensuite été placé en garde à vue.
01:55En outre, deux sources ont indiqué que le tireur avait crié « Free Palestine » après la fusillade.
02:01Le président Trump a réagi rapidement et qualifié cet acte d'horrible et ouvertement antisémite.
02:10Le président américain Donald Trump a accueilli son homologue sud-africain Cyril Ramaphosa à la Maison Blanche ce mercredi.
02:17La rencontre, du moins pour ce dernier, visait à rétablir des liens tendus entre les deux nations.
02:21Mais Donald Trump a profité de cette rencontre pour attaquer son invité et le confronter à des allégations sans fondement d'assassinats systématiques de fermiers blancs en Afrique du Sud.
02:51Cyril Ramaphosa, désireux de ne pas se laisser embarquer dans une nouvelle épreuve de force comme celle subie par Volodymyr Zelensky en février, a calmement désamorcé les élucubrations du président américain.
03:13Je voudrais vraiment parler de ce qui est très doucement.
03:18Nous avons appris par Nelson Mandela que quand même si il y a des problèmes, les gens doivent s'assurer à la table et parler à ça.
03:26Il prendra le président Trump à écouter les voix des Français de l'Afrique du Sud, desquels sont ses bons amis, comme ceux qui sont ici.
03:37Quand on a des discussions entre nous, à la table et à la table, il prendra le président Trump à écouter à eux.
03:44Malgré cet échange houleux au cours duquel Donald Trump a aussi fait diffuser sur grand écran des vidéos du politicien radical sud-africain Julius Malema,
03:51appelant à la violence contre les fermiers blancs, il a invité Cyril Ramaphosa et son équipe à un déjeuner pour poursuivre les discussions à huis clos.
03:58A l'issue de cette réunion, ce dernier a minimisé les critiques de Donald Trump, ajoutant que leurs réunions privées n'étaient pas centrées sur ses préoccupations concernant les fermiers blancs.
04:12Face à la surpopulation carcérale, la France envisage une mesure radicale, louer des places de prison chez nos voisins européens, solution pragmatique ou simple coup politique.
04:21Avec plus de 82 900 détenus pour à peine 62 000 places, les prisons françaises manquent cruellement d'espace.
04:29En mars, Gérald Darmanin avait émis l'idée de louer des places de prison à l'étranger pour y envoyer des détenus,
04:34une idée à laquelle Emmanuel Macron s'était montré ouvert si besoin, estimant qu'il ne devrait pas y avoir de tabou à ce sujet.
04:42Ce dispositif est loin d'être inédit.
04:44En 2021, le Danemark a signé un contrat de 210 millions d'euros pour envoyer 300 prisonniers au Kosovo.
04:51Ces derniers mois, l'Estonie a également annoncé vouloir rentabiliser ses prisons à moitié vide,
04:55un appel entendu par les Pays-Bas et le Royaume-Uni qui se sont montrés intéressés.
05:00Autre exemple, entre 2010 et 2016, la Belgique a envoyé plus de 650 détenus aux Pays-Bas,
05:05mais cette expérience a soulevé des problématiques humaines et logistiques.
05:08La Hollande louait ses places à la Belgique avec son propre personnel, mais sous l'empire de la loi belge.
05:17Donc il a fallu faire suivre des formations aux hollandais pour qu'ils apprennent comment ça se passait dans les prisons à Belgique.
05:23Et de deux, les visites des familles et des proches étaient extrêmement compliquées, les visas, tout ça, bon.
05:29La Belgique a abandonné.
05:31Donc je ne vois pas pourquoi renouveler l'exploit.
05:35Cette proposition est loin de faire l'unanimité.
05:37Ces détracteurs mettent en avant les coûts humains, logistiques et financiers importants que cela implique.
05:43L'accord conclu entre la Danemark et le Kosovo s'élève à plus de 200 euros par jour.
05:47L'expérience néerlandaise a de son côté coûté 40 millions d'euros par an à la Belgique.
05:52Aujourd'hui, la France dépense entre 100 et 250 euros par prisonnier par jour.
05:56Il y a des éléments très concrets qui, à mon sens, rendent plutôt très, très, très difficile la mise en œuvre d'une idée pareille.
06:05Alors pourquoi ? D'abord, budgétairement.
06:10Aller à l'étranger, ne serait-ce que pour louer des locaux, ça a un coût.
06:14Et aujourd'hui, les finances publiques françaises sont telles qu'il faut économiser partout.
06:18Je ne vois pas comment ça pourrait être rentable d'aller envoyer des personnes condamnées dans un autre établissement hors nos frontières.
06:28La France figure parmi les mauvais élèves en Europe en termes de surpopulation carcérale.
06:32Le pays arrive en troisième position derrière Chypre et la Roumanie.
06:36Et pour certains, délocaliser les prisonniers n'est pas la bonne solution.
06:40Cela ne ferait que déplacer le problème.
06:41En Grèce, une initiative de la Fédération Panhellenique des associations de journalistes vient de rendre ses conclusions
06:53concernant l'utilisation de l'intelligence artificielle.
06:56Un comité d'experts a préparé un code de conduite devenu nécessaire du fait de l'utilisation de plus en plus fréquente
07:02de cette technologie par les journalistes pour écrire leurs articles.
07:05La Fédération des journalistes grecs devient la première en Europe à présenter un code de conduite.
07:22Son adoption est considérée comme une étape particulièrement positive.
07:26Dans le cas où un journaliste identifie l'application d'une pratique de la part d'un média qui est contraire au code,
07:31il ou elle doit s'adresser aux organes syndicaux.
07:34Afin de rédiger ce code, un comité IA a été mis en place avec la participation d'experts en la matière
07:39qui a accompli son travail bénévolement pendant environ un an.
07:43Selon le président de ce comité et professeur de droit,
07:46l'idée de base qui sous-tend ce code est que l'IA est une réalité
07:49mais qu'elle ne remplacerà pas le travail d'un journaliste.
07:51Desmèneu les ministres grecs en tête les principaux gues
07:54et thètes les principaux quesifs comment quando se refere à des droits de l'infektion
07:57qu'est-ce qu'est-ce que les mai réunis se les trois sont,
07:59on a peru de qui les croyables et les qui sont, on a qui simplement,
08:03qui peuvent les s'intégrer que les conversations sont.
08:04Dans la plupart, on a refer à une question qui nous doit faire
08:06de l'infektion pour l'infektion de l'infektion des journalistes.
08:09Quand il vient d'un jour, on lui demande à une information
08:12d'un ajuste, de l'infektion de la méthode,
08:14qui s'adresse à l'infektion,
08:16c'est une recherche, c'est une très importante,
08:18et de protéger les événements de la manière et de ce faire.
08:21Le T chuméi n'est carbone, il est pour vous aider à ne vous aider,
08:25mais il n'est pas encore dans la voie d'éliminer,
08:26d'aller à la nyqueur de l'hier d'eclip.
08:30Il vient d'éliminer, le t'aborde de l'événement de l'élegrion,
08:34il faut aller à l'événement d'événement d'élévée,
08:39le faire du projet de l' premiers de la CEU,
08:42que celui qui est d'éliminé,
08:44et de l'événement d'éliminé,
08:45et de l'événement de l'élegat,
08:47Un principe clé régissant le code est celui de la transparence.
08:52Lorsqu'un journaliste utilise des outils d'intelligence artificielle, il doit les étiqueter.
08:56Des discussions sont en cours entre le gouvernement grec et tous les syndicats de journalistes du pays.
09:00L'objectif principal est la mise à jour de la législation existante sur le fonctionnement des médias sur la base de ce nouveau code de déontologie.
09:17Le gouvernement grecque, c'est quoi se passer dans l'état d'accès aux banques que les médias se sont en cours de la législation.
09:27Et les prochaines mois, tout ce qui se décide, car on a beaucoup de confinants avec les États-Unis,
09:32on a beaucoup aimé beaucoup de confinants avec les États-Unis et pour la France,
09:35on a eu, en déçant ou en discutant avec les États-Unis, on va nous dire plus.
09:41C'est un changement politique et énergétique en Belgique
09:49Le pays a décidé d'abroger sa loi sur la sortie du nucléaire
09:53Le texte adopté par les députés va même plus loin
09:56puisqu'il permet d'envisager à l'avenir une filière de l'atome
10:00avec la possibilité de construire de nouvelles centrales
10:03La Belgique avait décidé en 2003 de fermer progressivement ses 7 réacteurs nucléaires
10:08Le gouvernement actuel a donc décidé de revenir sur cet engagement
10:11afin de répondre aux défis actuels
10:14Aujourd'hui il y a une modification de l'appréhension du nucléaire
10:17On sait que c'est une énergie bas carbone
10:19ce qui permet de remplir nos objectifs climatiques européens
10:22mais aussi une énergie abondante
10:23et nous avons trois objectifs qui sont partagés par les partenaires européens
10:27c'est une sécurité d'approvisionnement, un prix qui est maîtrisé
10:30et une énergie bas carbone
10:31et le nucléaire en fait il remplit les trois critères
10:33Le cas de la Belgique n'est pas isolé au sein de l'Union Européenne sur cette question
10:37Actuellement l'Union compte une centaine de réacteurs
10:40répartis dans 12 pays membres sur 27
10:42Pour la très grande majorité, il n'est pas question de renoncer à l'atome
10:45Or cette dynamique favorable au nucléaire
10:48s'étend aussi auprès d'États qui ne s'appuient pas
10:50ou qui ne s'appuient plus sur cette technologie
10:52L'atmosphère politique et les opinions publiques ont changé
10:56Je pense que ça tient évidemment à la situation conjoncturelle
10:59avec une énorme incertitude géopolitique
11:02et une dépendance de gaz est quand même encore toujours très forte
11:04et donc très naturellement, tout ce qu'on peut faire pour se rendre plus indépendant du gaz
11:10il faut le faire
11:10Le nucléaire est une voie, les renouvelables en sont une autre
11:13et ne sont pas contradictoires
11:14L'Allemagne pourrait être le pivot d'une dynamique à l'échelle européenne
11:17en faveur du nucléaire
11:19Si Berlin ne compte pas abroger sa sortie de l'atome
11:22le nouveau chancelier semble ne pas vouloir interférer
11:25dans les projets prévus par ses partenaires de l'Union
11:27Autre revirement notable
11:29L'Italie a ouvert la voie à un retour du nucléaire d'ici la fin de la décennie
11:33pour assurer sa sécurité énergétique
11:35et réaliser ses objectifs de décarbonation
11:37Rome s'était pourtant engagée il y a 40 ans après deux référendums
11:41à ne plus recourir à l'énergie atomique