Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • 20/05/2025
🔮 Retrouvez C'est Votre avenir avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
---
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
———————————————————————

▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75yzts
🎧 Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/

———————————————————————

🔴 Nous suivre sur les réseaux sociaux 🔴

▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
———————————————————————

☀️ Et pour plus de vidéos de C’est Votre Avenir : https://youtube.com/playlist?list=PLaXVMKmPLMDTtBDdn40dGsGBGYjWif4fV

##C_EST_VOTRE_AVENIR-2025-05-20##
Transcription
00:0016h-17h, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Deloval.
00:05Bonjour à tous, soyez les bienvenus et ravis de vous retrouver durant cette semaine.
00:11Alors, comme tous les jours, le standard est ouvert.
00:14Vous pouvez appeler au 0 826 300 300 pour passer à l'antenne.
00:19Aujourd'hui, je vous invite à une exploration intérieure, celle du désir.
00:23Et oui, le désir, ce mot si court et pourtant si vaste.
00:27Alors, le désir qui nous anime, qui nous habite, parfois nous échappe.
00:32Et il est cet élan mystérieux qui surgit en nous et sans prévenir.
00:37Une envie profonde, parfois irrationnelle, mais toujours révélatrice de ce que vous,
00:43ou de ce que vous pourriez devenir.
00:45Eh bien, c'est le sujet du jour.
00:47Alors, vous vous posez la question de ce que vous, vous allez devenir dans votre futur proche
00:52face à vos choix de vie, vos projets, votre futur sentimental
00:57ou bien la relation que vous occupez au sein de votre famille.
01:02Eh bien, je suis à votre écoute, je réponds à toutes vos interrogations,
01:05quel que soit le sujet.
01:07Un numéro d'appel, je rappelle, c'est le 0 826 300 300.
01:11Et à l'occasion de la fête des mers cette semaine et toute la journée sur Sud Radio,
01:17nous vous offrons un bracelet de la collection lettres et de la marque leventalafrancaise.com.
01:25Alors, une manière élégante et émotionnelle de célébrer les mamans.
01:29Et oui, cette collection infinie vous offre la possibilité d'exprimer votre créativité
01:35en personnalisant votre propre bracelet avec la lettre de votre choix.
01:39Un bracelet qui vous accompagne, un bracelet avec une finition dorée,
01:44intégralement fabriqué en France, confectionné à la main et aussi un bracelet unisexe.
01:50Alors, vous pouvez avoir plus d'infos si vous le souhaitez.
01:53C'est sur le site leventalafrancaise.com.
01:57Et puis, surtout, si vous voulez gagner ce bracelet, eh bien, c'est dès à présent,
02:02jouez au jeu 0 826 300 300.
02:06Sud Radio, c'est votre avenir, le sujet du jour.
02:09Et si je vous posais la question, réalisez-vous vos désirs?
02:13La plupart d'entre vous vont me répondre pas vraiment ou bien j'aimerais.
02:18Mais ce n'est pas le moment.
02:20Alors, notre monde, nos rythmes, nos habitudes nous éloignent de ce feu intérieur.
02:24Et on oublie parfois de s'écouter.
02:27On oublie que désirer, ce n'est pas seulement vouloir avoir quelque chose.
02:31C'est vouloir être quelque part, devenir quelqu'un et aussi vivre autrement.
02:37Mais que désirez-vous vraiment au fond?
02:40Il faut accepter que de suivre un désir, ce n'est pas toujours fluide.
02:44Dans un désir peut se cacher des doutes, des peurs, des résistances ou bien des freins.
02:49Mais de ce que vous devez retenir, c'est qu'il y a une force qui naît quand on s'engage.
02:55Et chaque désir est un début de toute transformation.
02:59Et je vous donnerai quelques conseils pour justement,
03:02à bien gérer les propres désirs et surtout de pouvoir bien les accomplir.
03:11Et à présent, j'ai le plaisir d'accueillir Marie. Bonjour Marie.
03:14Bonjour Alexandre.
03:16Bienvenue à l'antenne de Sud Radio Marie.
03:18Merci.
03:20Vous nous appelez de quelle ville Marie?
03:22J'appelle du Tarn-et-Garonne.
03:24Du Tarn-et-Garonne.
03:25Aujourd'hui, on parle du désir. Est-ce que vous arrivez à accomplir vos propres désirs?
03:31De ce que vous avez envie ou est-ce que vous n'osez pas?
03:34Ou est-ce que vous vous dites tout simplement, je ne me le permets pas,
03:38je n'ai pas le droit à me faire plaisir et à réaliser mes désirs?
03:43Bien souvent, je me dis que je n'ai pas le droit.
03:47Et pour quelle raison?
03:50Parce que ce serait trop loin d'expliquer, mais j'ai l'impression que je ne le mérite pas en fait.
03:56Alors là, c'est peut-être de ce que vous avez vécu durant votre enfance?
04:01Exactement.
04:03Alors c'est une croyance et c'est une croyance limitante.
04:07Et on en a des croyances limitantes, à l'appel, il y en a des croyances limitantes.
04:13Donc quand vous avez ce genre de raisonnement,
04:16essayez justement de faire un tri sélectif en disant tout simplement,
04:20là je suis dans une croyance limitante et je vais remédier à cette croyance limitante.
04:25Pourquoi je ne m'autoriserai pas à vivre ce désir?
04:28Je suis comme tout le monde, je peux me l'autoriser.
04:30Et même si ça prend du temps, il vaut mieux accomplir ses rêves que ne jamais les accomplir, non?
04:37Oui, ça c'est certain. Mais c'est tellement compliqué parfois.
04:42Je comprends, je comprends.
04:44Mais en y mettant du temps, de la volonté, du courage et de la force, on peut y arriver.
04:49Marie, vous êtes avec votre compagnon depuis 9 ans.
04:54Vous vivez ensemble.
04:56Oui.
04:57Et votre compagnon a des changements de vie par rapport à sa propre fille,
05:03d'un ancien engagement familial, c'est ça?
05:07Oui.
05:09Racontez-nous un petit peu, quelle est votre interrogation Marie?
05:13Je vous raconte brièvement aussi.
05:15Mon mari récupère sa fille au mois de septembre parce que c'est elle qui désire vivre avec nous.
05:21Elle a quel âge?
05:22Elle a 11 ans.
05:2311 ans, d'accord.
05:24Oui.
05:25Le pourquoi, du comment, on ne le sait pas vraiment, elle dit juste qu'elle a envie.
05:29Donc pourquoi pas, il n'y a pas de soucis.
05:32Mais du coup, ça me fait poser beaucoup de questions.
05:37Est-ce que ça va bien se passer?
05:39Est-ce que le papa va être autant à l'écoute de sa fille que de moi?
05:43Est-ce que je ne vais pas passer pour la dernière roue du carrosse?
05:46Ce genre de choses.
05:48Et de là découle tout ce qui peut se passer.
05:51De notre côté, j'ai envie de...
05:54Là, je vais quitter mon travail.
05:56J'ai envie de retrouver un travail qui me plaît.
05:58Mais est-ce que je le fais en conséquence par rapport à l'enfant?
06:02Ou en conséquence façon de parler, est-ce que je ne fais qu'un mi-temps?
06:05Ou est-ce que je fais un temps plein, par exemple, pour pouvoir m'occuper d'elle?
06:08Parce qu'à 11 ans, c'est quand même un petit peu un âge critique.
06:10Elle rentre au collège et il va se passer des choses dans son corps à 11 ans, forcément.
06:13Donc j'ai envie d'être présente aussi pour elle.
06:16Mais c'est flou, tout ça, c'est flou.
06:19Je comprends.
06:20Il y a des doutes, il y a des peurs, il y a des craintes qui vous animent à l'intérieur de vous-même.
06:25Est-ce que la relation jusqu'à présent avec votre belle-fille s'est bien passée?
06:31Ça a été très compliqué quand elle était petite.
06:36Ça va un peu mieux maintenant, mais je n'ai pas confiance.
06:39Vous n'avez pas confiance en elle ou en des événements extérieurs
06:45qui pourraient influencer justement la relation familiale?
06:49Un peu les deux.
06:52Je comprends.
06:54Je pense que si vous lui laissez cette possibilité de s'exprimer comme elle a envie de s'exprimer,
07:01évidemment que ça sera positif pour elle.
07:04Mais peut-être que ça n'ira pas toujours dans le bon sens de ce que vous souhaitez.
07:08Maintenant, on parle aujourd'hui en plus de désir.
07:11Je pense que vous êtes vraiment dans le sujet, Marie, si vous me permettez.
07:14Votre propre désir, c'est que cette relation familiale soit harmonieuse et que tout se passe bien.
07:20Et qu'elle soit sereine.
07:23Je crois que vous, en tant que personne, en tant qu'individu,
07:28et d'autant plus que vous l'accueillez chez vous quand même,
07:32parce que malgré tout, c'est chez vous, et même si c'est votre belle-fille,
07:37mais c'est vous qui devez donner certaines conditions de mode de vie, de fonctionnement.
07:45Faites-le en n'ayant pas peur et en n'animant pas vos détraintes,
07:52mais faites-le en créant justement une harmonie.
07:55Et imposez-vous, je ne veux pas dire votre autorité,
08:00mais tout simplement les règles pour que les choses soient appliquées
08:04et qu'il n'y ait pas de débordement sur la manière de faire, la manière d'être.
08:08Moi, pour moi, évidemment qu'elle a 11 ans,
08:11et donc à cet âge-là, on teste un petit peu.
08:14Et puis elle-même, elle a une évolution en tant que jeune fille, d'adolescente,
08:20donc d'un point de vue hormonal aussi, ça peut travailler.
08:23Donc elle peut avoir à un moment donné des réactions et de s'interposer de femme à femme,
08:27donc en lien avec vous, en l'occurrence par rapport à vous.
08:34Mais n'ayez aucune crainte et n'ayez aucune peur.
08:37Et créez cette complicité entre vous, tout en gardant bien sûr votre rôle de belle-mère.
08:44Mais en tous les cas, je sens que plus vous allez être dans cette peur,
08:49plus vous allez être dans cette crainte,
08:51qui sont liées à des événements passés que vous avez eus,
08:54et que du coup, vous êtes amené tout simplement à être dans cette peur et dans cette crainte.
09:02Enlevez tout ça, éloignez-vous de toutes ces peurs et de ces craintes,
09:07parce que ça va vous permettre justement de créer un nouveau climat,
09:12un climat harmonieux et qui va pouvoir s'équilibrer dans le temps.
09:17Donc oui, il risque d'avoir, je ne dis pas des dérapages,
09:20mais des petits moments de perturbation,
09:23mais je ne vois rien de grave, je ne vois rien de négatif, bien au contraire.
09:27Mais à vous d'instaurer et à vous d'avoir un mode de pensée qui soit un mode de pensée positif
09:36et ensuite déterminé à aller vers quelque chose de bon.
09:40Ok, sinon on va essayer.
09:42Ah oui, moi je crois que vous allez y arriver.
09:44Je pense que vous allez y arriver.
09:46Et justement, ne cultivez pas cette croyance que les choses peuvent être négatives
09:52et que ça peut mal se passer.
09:54Bien au contraire, je pense que ça peut être très positif.
09:57Ok, bon, très bien.
09:59Et puis ça va bousculer un peu votre couple, c'est bien.
10:02Oui, pas trop quand même.
10:04Non, je sais bien.
10:06Je pense que la relation familiale se passera bien, d'accord ?
10:12Bon, parfait. Je vous remercie Alexandre.
10:15Merci à vous et prenez soin de vous et puis tenez-nous au courant d'ici quelques semaines.
10:19Quelques mois.
10:20Quelques mois, oui.
10:21On en reparlera, oui.
10:22Bien sûr, il n'y a aucun souci.
10:24Merci, à très bientôt.
10:26Au revoir.
10:27Allez, vous savez que Sud Radio célèbre la fête des mères avec leventalafrancaise.com.
10:33Alors écoutez Sud Radio toute la journée pour tenter de gagner un bracelet raffiné, personnalisé,
10:39un bijou unique pour une femme unique.
10:42Et oui, vous êtes peut-être cette femme unique.
10:45Alors il ne faut pas hésiter à appeler Sud Radio 0800 26 300 300
10:51et puis tenter de gagner ce bracelet de la marque leventalafrancaise.com.
10:57Et tout simplement, il vous donnera un vent d'amour, d'élégance pour toutes ces mamans
11:03où justement, c'est dimanche la fête des mamans.
11:06Vous, vous avez peut-être aussi des questions sur votre futur.
11:10Un seul numéro d'appel, le 0800 26 300 300.
11:14On va se retrouver dans quelques instants avec Bernadette.
11:18Bernadette, ça fait 39 ans qu'elle est avec son compagnon.
11:22Et depuis quelques années, cet homme est devenu agressif.
11:27Il est devenu violent.
11:28Il l'insulte tous les jours avec des mots très forts à tel point
11:32qu'il lui a même dit à plusieurs reprises que c'était une chienne et une pétasse.
11:37Alors est-ce que c'est acceptable ?
11:39Est-ce que Bernadette peut continuer à vivre dans un climat tel que celui-ci ?
11:44On en parle juste après.
11:46C'est votre avenir, revient dans un instant sur Sud Radio.
11:5013h17, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Delaval.
11:54De retour dans votre émission, c'est votre avenir.
11:57Alors je rappelle que si vous souhaitez participer au jeu
12:01pour justement profiter de cette occasion de la fête des mères,
12:04et bien n'hésitez pas à appeler le 0800 26 300 300
12:08et notre partenaire leventalafrancaise.com
12:13vous offre un bracelet de toute élégance.
12:16Vous pourrez le personnaliser, donc tentez votre chance.
12:19Il vous reste encore quelques minutes pour justement gagner ce bracelet
12:24pour vous-même ou tout simplement l'offrir à votre maman dimanche.
12:29Et puis si vous avez aussi des interrogations sur votre futur,
12:33un seul numéro d'appel toujours 0800 26 300 300.
12:37Aujourd'hui, on parle du désir.
12:40Alors comment bien réaliser son désir ?
12:43Et bien tout commence en osant l'écouter, sans le juger et sans le censurer.
12:49Honorer ce qui compte vraiment pour vous.
12:52Ce n'est pas une question de réussite immédiate,
12:55mais c'est une question tout simplement de fidélité de soi.
12:59Désirer, c'est reconnaître aussi sa liberté, c'est-à-dire je suis vivant,
13:03j'ai le droit d'aspirer à plus, à mieux et à autre chose.
13:07Ce droit, personne ne peut vous l'enlever tout simplement.
13:12Alors oser, oser de pouvoir vous l'autoriser.
13:16Prenez votre désir au sérieux.
13:18Il pourrait bien être le début d'une nouvelle vie.
13:21Et à présent, j'accueille Bernadette.
13:23Bonjour, Bernadette.
13:24Bonjour, Alexandre.
13:26Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Bernadette.
13:28Je vous remercie.
13:30Bernadette, vous nous appelez d'où ?
13:32Du 95.
13:34Du 95.
13:35Alors, Bernadette, ça fait 39 ans que vous êtes mariée ou pas ?
13:40Non, non, non.
13:42En gros, ça fait 41 ans qu'on se fréquente
13:47et 39 ans de vie commune.
13:57C'est difficile pour vous.
14:00Moi, j'ai 58 ans et je vis avec un homme qui est violent.
14:04Il est vraiment violent.
14:06Cette violence, c'est une maltraitance verbale ou physique ?
14:11C'est les deux.
14:13C'est surtout verbal.
14:15Je te pisse dessus, je te pisse sur ta gueule.
14:19T'es une merde, t'es une chienne.
14:21Il a perdu la tête cet homme ?
14:23Pas du tout.
14:24Il est conscient et il me dit que c'est qu'avec toi que je suis comme ça.
14:27J'ai envie de te tuer.
14:28Dégage, t'es une merde.
14:30Ne me parle pas.
14:31Du coup, c'est compliqué.
14:33Vous imaginez que ce que vous êtes en train de dire est très grave ?
14:36Oui, je sais.
14:37C'est très grave.
14:38Comment vous sentir en sécurité avec une personne qui a des propos de telle sorte ?
14:45Moi, je ne le suis pas.
14:46Du coup, quand je vis avec lui, quand il fait à manger, je ne mange pas ce qu'il fait
14:51parce qu'avec des menaces comme ça, il peut me tuer.
14:55Moi, mon but, c'est que je sais que j'ai déjà porté des mains courantes,
15:01mais je sais que si je repose encore des mains courantes,
15:04et vu les propos, je n'ai jamais dit qu'il se soit à la police.
15:08Parce que si je dis ça, je sais très bien qu'il va être emprisonné
15:11et ça va encore retomber sur moi.
15:13J'ai toute la pression familiale et des enfants.
15:16Pour moi, c'est anormal.
15:19C'est quelqu'un qui ne respecte rien.
15:21Il ne se respecte pas lui-même.
15:23Il prend des choses et j'y jette.
15:26Il m'a déjà tapé, bien sûr.
15:28D'accord.
15:29Est-ce que vous avez déjà parlé, ou en tous les cas,
15:34est-ce que vous avez essayé de contacter des associations
15:37pour être dans des groupes de parole et vous faire aider dans ce sens-là ?
15:40J'en ai fait le 39, je ne sais plus trop quoi, mais ça ne fait rien.
15:43Donc, ça n'a pas bougé.
15:44Après, moi, je crois qu'il faut vraiment bouger.
15:46L'Institut Social, ça ne bouge pas non plus.
15:48Aujourd'hui, mon but, c'est que j'ai une maison où on est colocataire.
15:53Je vis aussi avec mes enfants.
15:55Mes enfants sont là, ils voient.
15:57Ils sont habitués, ils sont grandis comme ça.
16:01Il y en a qui s'en foutent, il y en a d'autres non.
16:05Ça n'avance pas.
16:07Là, moi, je tourne en rond.
16:09Je tourne en rond et je sais que je ne peux plus supporter l'insupportable.
16:14J'arrive à un point où il faut se dire
16:16qu'il faut qu'il sorte de la maison, sauf qu'il ne veut pas sortir de la maison.
16:19Sous prétexte que c'est lui qui paie le loyer, sauf qu'il ne paie pas tout.
16:23Moi, je paie l'assurance de la maison et tout ce qu'il y a autour.
16:28Mon problème, c'est qu'aujourd'hui, je suis sans emploi.
16:32Je suis dans la possibilité de trouver...
16:35Je suis dans une mauvaise posture pour dire que je ne veux pas quitter cette maison
16:39puisque j'ai trop fait là-dedans.
16:41Lui, il n'a rien et moi, j'ai tout fait dedans.
16:44En fait, ils sont venus se casser, se jeter, m'abîmer, me couper.
16:48Bernard, vraiment, ce que vous dites est très touchant
16:52et c'est un appel un peu au secours.
16:54Je suis désolé, mais bien sûr qu'il faut que vous sortiez de cette situation-là.
16:59Vous ne pouvez pas vivre dans la peur d'être terrorisé,
17:02tétanisé par une situation telle que celle-là.
17:05Et je pense que peut-être qu'il en joue aussi.
17:08C'est une manière de vous tenir.
17:12Ceci étant, il faut absolument vous faire aider
17:15parce que votre difficulté aujourd'hui, c'est sur le plan matériel.
17:20C'est-à-dire que vous n'avez pas suffisamment de ressources matérielles.
17:24Mais vous avez peut-être des amis qui peuvent vous héberger.
17:27J'ai de la réserve financière.
17:30Il y a possibilité que je reste puisque il est colocataire et moi aussi.
17:36On est des co-signataires.
17:39Je ne comprends pas. Pardonnez-moi.
17:42Je ne porte pas de jugement, Bernadette.
17:45Mais je ne comprends pas pourquoi vous subissez,
17:47puisqu'il y a de la ressource,
17:49vous avez des moyens de pouvoir avoir des amis qui vous aident.
17:53Pourquoi vous êtes dans cette situation-là ?
17:56Pourquoi vous subissez au quotidien cette situation si difficile et si pénible ?
18:01Je suis terrorisée.
18:03J'ai une peur atroce d'aller voir la police.
18:06Mais d'ailleurs, je crois qu'après cette émission,
18:09ça me donne le courage de le faire.
18:11J'ai osé de le faire.
18:13Vous avez un numéro d'appel, un numéro national,
18:16qui est le 3919.
18:18Vous avez dit que ça ne fait rien tout ça.
18:22Mais vous pouvez, tout au moins,
18:24ils ne vont pas être là pour peut-être venir chez vous,
18:27demander des renseignements pour pouvoir être aidé sur un logement,
18:32sur des renseignements sur autres,
18:34qui soient liés différemment aux propos ou à la violence
18:40que votre compagnon vous inflige tous les jours.
18:43Mais il faut bouger.
18:45Il faut prendre des décisions.
18:47C'est pour votre survie, Bernadette.
18:49Il y a plein de gens comme vous...
18:51Il ne le fera pas, il ne le fera pas.
18:53Je suis d'accord avec vous.
18:55Mais il y a plein de gens comme vous qui sont isolés
18:57et qui sont, dans votre cas,
18:59qui se retrouvent terrorisés par un individu,
19:02que ce soit un homme ou une femme.
19:04Il y a des hommes battus aussi.
19:06Et surtout, bien sûr que votre histoire,
19:09elle est là, elle vous appartient.
19:11Mais ne restez pas dans cette situation-là.
19:14Ne vous inquiétez pas, je ne risque pas.
19:16Moi, aujourd'hui, ma question est de savoir
19:18est-ce que je vais trouver du travail,
19:20parce que c'est ça qui fait qu'aujourd'hui,
19:22je n'ose pas trop aller vers l'avant de telle ou telle chose.
19:24Est-ce que je vais trouver du travail rapidement
19:26et est-ce que lui va sortir de là en face de ma vie ?
19:28Vous êtes dans un changement.
19:30Il y a une situation d'évolution.
19:32Vous êtes du mois de juillet, Bernadette.
19:34Tout à fait.
19:36Je dirais que sur la période de votre anniversaire,
19:39vous êtes justement dans cette période de transformation,
19:41dans cette période de changement et d'évolution.
19:44Je ne sais pas si c'est lié à cet appel à l'antenne,
19:49mais je sens qu'il y a quelque chose
19:51qui va se débloquer pour vous très rapidement.
19:53Je le sens, oui. Je sens qu'il y a un déblocage.
19:55Je le ressens.
19:58Je ne me laisse pas faire.
20:00Ça aille avec lui parce que ça hurle.
20:04Il veut me mettre dans un...
20:08Il faut que je fasse comme lui le désire.
20:10C'est-à-dire que c'est quelqu'un qui est vraiment...
20:14qui a deux visages.
20:16Il peut être très calme,
20:18mais tout d'un coup, ça hurle, ça crie, ça insulte
20:20et ça me déstabilise.
20:22Je ne peux plus rester comme ça, c'est évident.
20:24Bien sûr.
20:26Plus vous allez rester dans cette situation-là,
20:28plus ça va s'empirer, plus ça va devenir difficile.
20:30Pour moi, à partir de ce mois de juillet,
20:34les choses vont bouger, les choses vont évoluer
20:36et effectivement, vous allez pouvoir trouver un travail.
20:39Je vous sens être aidé par un organisme
20:42pour peut-être vous donner des adresses
20:45ou en tous les cas,
20:47il y a quelqu'un de votre entourage
20:49qui peut aussi vous protéger et vous aider.
20:51Peut-être le temps,
20:53ce sera une transition,
20:56mais en attendant,
20:58ne restez pas à vivre avec la peur.
21:01N'ayez aucune peur
21:03parce qu'aujourd'hui,
21:05vous avez cette force
21:07et votre désir, c'est de changer votre vie
21:09et vous allez y arriver.
21:11J'ai le mental, j'ai la force
21:13et donc il me manque juste un peu de courage
21:15pour aller voir la politique.
21:17Et moi, je voudrais savoir
21:19est-ce que je vais garder ma maison,
21:21je veux garder cette maison,
21:23c'est à lui de partir.
21:25Il y aura la possibilité,
21:27mais ça passe par des actions juridiques
21:29et il faut vous faire protéger avec un avocat
21:31et tout ce qu'il faut pour que vous puissiez
21:33garder la légitimité de tout ça.
21:35Donc il faut passer par la justice.
21:37Je ne voulais pas le faire,
21:39donc c'est le seul moyen.
21:41Bien sûr, sinon il ne vous donnera pas la possibilité.
21:43Parce que ce n'est pas une maison qu'on a acheté,
21:45c'est une maison qui est pour des bas salaires.
21:47C'est-à-dire, bien que lui,
21:49c'est social,
21:51c'est une maison sociale.
21:53Mais nous, on paye très cher parce qu'il a un beau salaire.
21:55Il a la possibilité de partir.
21:57Pour me faire chier, il ne veut pas partir.
21:59Il sait que je ne veux pas quitter la maison.
22:01Battez-vous pour vous
22:03et pour votre bien-être et pour votre survie aussi.
22:05D'accord ?
22:07Et surtout pour les enfants,
22:09parce que les enfants, ça me fait peur.
22:11Et puis je rappelle un numéro pour toutes les personnes
22:13qui nous écoutent et qui se retrouvent dans cette situation,
22:15un numéro à ne pas négliger,
22:17c'est le 3919.
22:19Et parfois, au bout du fil,
22:21on a des personnes qui sont surprenantes
22:23et qui peuvent être là pour aussi
22:25nous écouter et nous aider. D'accord ?
22:27Merci.
22:29C'est un numéro qui est intéressant
22:31mais je vais passer par un autre numéro
22:33que j'ai déjà fait et ça n'a pas bougé malheureusement.
22:35Ça n'a rien fait du tout.
22:37Ils écoutent et c'est en plus un subasta.
22:39Ça y est, c'est fini. Terminé.
22:41C'est pour les statistiques. Mais je pense que quand c'est comme ça,
22:43il faut vraiment aller voir la police et voir d'autres
22:45la DIF ou je ne sais plus trop.
22:47Effectivement, là, je suis chaud pour pouvoir le faire
22:49parce que je vois bien que c'est tous les jours.
22:51Merci. Prenez soin de vous, Bernadette.
22:53Merci.
22:55Allez,
22:57on va faire une petite pause et on va retrouver
22:59dans quelques instants Alexandra.
23:01Alexandra a été...
23:03Elle appelle pour justement son fils.
23:05Son fils a été
23:07harcelé durant
23:09ses années scolaires
23:11pendant plusieurs années
23:13et son fils a décidé
23:15de se venger.
23:17Il a été à la rencontre de ses
23:19trois harceleurs
23:21pour lesquels il les a
23:23agressés violemment.
23:25Sauf qu'aujourd'hui, la scène a été
23:27tellement violente qu'il y a eu
23:29des témoins qui ont appelé
23:31la police et
23:33son fils aujourd'hui a été arrêté.
23:35Alors qu'est-ce qu'il va en devenir
23:37sur cette histoire ? On en parle juste après.
23:39Dans un instant, retour de
23:41C'est votre avenir sur Sud Radio.
23:43Le directeur Sud Radio, c'est votre avenir.
23:45Alexandre Deloval.
23:47Bienvenue dans votre émission.
23:49C'est votre avenir. Bienvenue à tous
23:51ceux qui nous rejoignent.
23:53Vous savez qu'en ce moment et jusqu'à
23:55dimanche, vous avez cette capacité
23:57et cette possibilité de gagner
23:59un cadeau. Et oui, Sud Radio
24:01célèbre la fête des mers avec
24:03leventalafrancaise.com.
24:05Écoutez,
24:07Sud Radio, toute la journée pour tenter
24:09de gagner un bracelet raffiné
24:11personnalisé, un bijou unique
24:13pour une femme unique.
24:15Et Sud Radio et Leventalafrancaise.com
24:17vous donnent cette possibilité
24:19de gagner ce bracelet que vous allez pouvoir
24:21personnaliser avec la lettre
24:23de votre choix. Je rappelle un numéro
24:25d'appel, c'est le 0800
24:2726 300 300.
24:29Et à présent, j'accueille
24:31Alexandra.
24:33Bonjour Alexandra. Oui,
24:35bonjour Alexandre, bonjour à tous.
24:37Bienvenue à l'antenne de Sud Radio,
24:39Alexandra. Est-ce que je peux
24:41me permettre de vous demander d'où
24:43vous nous appelez ?
24:45Eh bien, grosso modo, je vous
24:47appelle des Pyrénées Atlantiques.
24:49Bon, parfait. Mais oui, c'est pas
24:51grave, c'est pas grave. Et puis je comprends par rapport à
24:53vos témoignages, je voulais peut-être aussi rester un peu
24:55discrète. Alexandra,
24:57voilà, vous avez
24:59un souci par rapport à votre fils.
25:01À l'âge des 15-16 ans,
25:03votre fils a été
25:05harcelé pendant plusieurs
25:07années. Il a essayé
25:09de se reconstruire dans sa
25:11vie, mais sauf qu'au
25:13mois de février, notamment le 2 février
25:152024, eh bien
25:17il est parti à la rencontre de ces
25:19trois harceleurs. Il les a
25:21frappés, agressés violemment.
25:23La scène a été apparemment
25:25très violente et il a été interpellé
25:27par la police et par la justice,
25:29bien sûr. Et aujourd'hui, il est incarcéré ?
25:31Oui, aujourd'hui
25:33il est incarcéré. Bien évidemment, ce qu'il a
25:35fait en plein jour, ça ne se fait pas,
25:37mais quand c'est un trop-plein,
25:39il a souffert, il a été violenté,
25:41etc.
25:43Pardonnez-moi,
25:45ce harcèlement qu'il a vécu,
25:47parce que malheureusement, il y en a
25:49beaucoup qui vivent
25:51lors de
25:53l'adolescence, qui vivent
25:55beaucoup de harcèlement et on n'en parle pas
25:57assez, parce que forcément
25:59les enfants ont peur
26:01des retours.
26:03Qu'est-ce qu'il a vécu
26:05comme harcèlement auparavant ?
26:07Du racket,
26:09enfin plutôt des vols
26:11de ses portables,
26:13son portefeuille,
26:15etc. Mais le problème dans
26:17cette histoire, c'est qu'il a été
26:19violenté. Violenter,
26:21c'est l'acte
26:23le plus dur.
26:25Et vous étiez
26:27au courant de ce harcèlement
26:29et de cette violence qu'il recevait, votre fils ?
26:31Pas du tout, parce que
26:33c'est un garçon, un bon.
26:35Et lorsque je lui disais
26:37ça va, tout va bien,
26:39t'as pas de problème, on t'emmène pas.
26:41Mais non maman, ne t'inquiète pas.
26:43Mais non maman, ne t'inquiète pas.
26:45Mais en fait, ça n'allait pas du tout.
26:47Et pourquoi
26:49choisir l'option
26:51de quelques années plus tard
26:53d'aller à leur rencontre pour
26:55rendre
26:57malheureusement ce qu'il a vécu ?
26:59Alors, bien sûr
27:01que c'est pas acceptable
27:03au vu de la justice et tout ça, mais
27:05pourquoi il ne l'aurait pas fait autrement
27:07et différemment ? Pourquoi il a été lui aussi
27:09dans cet acte de violence ?
27:11Parce que je pense qu'il a tout
27:13gardé en lui. Il a dit
27:15à personne. Il a tout gardé
27:17en lui et puis là c'était trop.
27:19Et voilà, il a agi violemment.
27:21Rassurez-vous,
27:23il n'y a pas de blessés,
27:25de morts. Tout va bien
27:27pour eux. Ils sont en liberté.
27:29Ça va. Tout va bien. Et c'est toujours
27:31comme ça. Les bons qui sont,
27:33comme on dit, enfermés parfois.
27:35Et il est incarcéré depuis combien de temps
27:37votre fils ? Depuis
27:39plus d'un an maintenant. Février,
27:41mars, avril, mai.
27:43Un an et trois mois exactement.
27:45Et j'aimerais bien
27:47savoir comment
27:49ça s'est passé pour lui. Parce que
27:51c'est un bon et il est vrai
27:53que, vous savez comme on le sait,
27:55l'intérieur c'est la jungle.
27:57Et pour trouver des amis
27:59là-dedans, ça existe, mais
28:01bon, il faut vraiment prier.
28:03Et du coup
28:05il y a eu un souci avec un détenu.
28:07Forcément. Donc il y a
28:09eu une petite bagarre. Il s'est retrouvé tout seul
28:11en cellule. Et évidemment
28:13les surveillants aussi profitent
28:15quelque part.
28:19Il y avait eu un souci
28:21où il était en détention
28:23avec ses surveillants. Lui, le grand garçon
28:25de 20 ans et les surveillants, du coup
28:27il a été transféré.
28:29Il a tenté de se suicider.
28:31Il a été retrouvé
28:33bleu.
28:35Et aussi
28:37autre chose que je voulais vous dire,
28:39c'est qu'en fait
28:41il fait une grève de la faim. Là, ça fait un mois.
28:43Voilà.
28:45En fait,
28:47sa vie est
28:49traumatisée, elle est traumatisante.
28:51Aujourd'hui, il est complètement traumatisé.
28:53Il vit
28:55choc sur choc, là, aujourd'hui.
28:57Incroyable.
28:59Et vous, en tant que maman?
29:01Si des personnes souhaitent
29:03le rencontrer, le rendre visite,
29:05ce serait avec un grand plaisir parce que
29:07nous avons fait appel
29:09aux associations
29:11les personnes qui rendent visite
29:13aux prisonniers.
29:15A ce jour, aucune nouvelle. Depuis un an et
29:17trois mois. Donc s'il y a des
29:19personnes qui souhaitent le rencontrer,
29:21aucun problème.
29:23Je peux vous transmettre
29:25les documents, l'adresse, etc.
29:27Et même, je peux vous accompagner
29:29avec mon véhicule,
29:31si vous voulez, etc.
29:33D'accord.
29:35Il est où, incarcéré?
29:37Eh bien, justement,
29:39est-ce que je le dis à l'antenne,
29:41monsieur, à l'écran?
29:43Vous pouvez, oui.
29:45Je ne sais pas si c'est
29:47Je crois que c'est Vivonne.
29:49Je crois que c'est Vivonne.
29:51Très bien. En tous les cas,
29:53vous, aujourd'hui, votre question,
29:55c'est de savoir si
29:57tout ça va s'arrêter et s'il va
29:59retrouver sa liberté et s'il, au niveau
30:01de sa santé vitale,
30:03il va pouvoir repartir
30:05et il va pouvoir reprendre
30:07du souffle et surtout
30:09un équilibre de vie,
30:11on va dire, normal. Je ne sais pas si c'est possible
30:13quand on a vécu ce genre de choses.
30:15Mais c'est ça que vous voulez savoir
30:17aujourd'hui. Oui, grosso modo.
30:19Et qu'il va trouver un bon chemin
30:21pour lui.
30:23C'est étrange parce qu'il y a une défense.
30:25Il y a quelque chose qui va
30:27se faire et qui va
30:29justement être plutôt favorable.
30:31C'est-à-dire que, pour moi, par rapport à sa peine,
30:33il y a quelque chose qui va s'écourter,
30:35qui va se raccourcir. Alors après,
30:37peut-être qu'il y a des comportements au sein
30:39de cette incarceration.
30:41Attention, je ne défends pas le système,
30:43je ne défends ni qui que ce soit,
30:45je ne connais pas votre histoire, je ne connais pas
30:47votre fils, donc moi je me positionne
30:49vraiment neutre dans tout ça.
30:51Mais je pense que
30:53malheureusement, et c'est normal,
30:55il a voulu se défendre, mais
30:57il y a eu quelques petits détails qui se sont
30:59rajoutés à son dossier et qui ne l'ont pas aidé
31:01non plus à tout ça.
31:03Aujourd'hui,
31:05il fait cette rêve de la faim,
31:07il faut qu'il sorte de ce traumatisme
31:09et je pense qu'aujourd'hui
31:11c'est quelqu'un qui est complètement affaibli
31:13et qui est en train de se détruire
31:15totalement, et lui-même
31:17s'inflige sa propre peine.
31:19C'est pour ça qu'il a besoin
31:21d'être accompagné, il a besoin d'être aidé,
31:23d'avoir un suivi psychologique, et pour moi
31:25je suis persuadé que sous une
31:27période de deux mois, tout va changer.
31:29Tout va se positionner,
31:31tout va changer, il y a une accélération
31:33sur un processus juridique
31:35qui va faire que, je ne suis pas en train
31:37de dire qu'il va être libéré, mais en attendant
31:39la peine va changer, va évoluer
31:41sur quelque chose de plus favorable
31:43et de plus positif pour lui, d'accord ?
31:45Oui, d'accord.
31:47N'hésitez pas, on va vous suivre
31:49Alexandra, n'hésitez pas à revenir vers nous
31:51dès que vous avez des nouvelles
31:53pour qu'on puisse vous suivre.
31:55D'accord, et merci
31:57parce que l'autre fois c'était une question
31:59sentimentale, les
32:01deux ou trois petites choses que vous m'avez annoncées
32:03serviraient juste.
32:05Vous êtes déjà passée à l'antenne, parfait.
32:07Merci.
32:09Bon, très bien, merci.
32:11Bonne continuation à vous,
32:13portez-vous bien, etc.
32:15Merci Alexandra,
32:17et puis surtout, revenez vers nous
32:19et donnez-nous des nouvelles
32:21et si on peut vous aider, on le fera.
32:23Avec plaisir, et du coup
32:25pour cette histoire de rendre visite
32:27au centre pénitentiaire,
32:29j'ai déjà fait la pub.
32:31Oui, voilà, on a entendu,
32:33les auditeurs ont bien entendu
32:35votre message, le message est passé,
32:37ne vous inquiétez pas et si jamais
32:39il y a un retour, on vous fera suivre
32:41à la formation, ne vous inquiétez pas.
32:43Merci, merci
32:45Alexandra, vous êtes une maman
32:47qui est inquiète pour son fils
32:49et on vous envoie plein de courage.
32:51Allez,
32:53à présent j'accueille Eric,
32:55bonjour Eric. Oui, bonjour Alexandre,
32:57merci de me recevoir sur l'antenne.
32:59Merci à vous Eric.
33:01Alors Eric, c'est
33:03un autre sujet, tout à fait différent,
33:05vous vous inquiétez sur
33:07votre avenir professionnel,
33:09vous êtes actuellement au commercial
33:11au sein d'une entreprise
33:13qui rencontre des difficultés financières
33:15et la société va mal
33:17puisqu'elle est en redressement judiciaire,
33:19c'est ça ? Tout à fait, oui.
33:21Dans quel secteur vous travaillez
33:23Eric ? Dans le milieu du BTP.
33:25Du BTP.
33:27Vous êtes dans la région
33:29Toulousaine, c'est ça ? C'est ça, tout à fait.
33:31Quel est
33:33votre désir, quel serait votre
33:35souhait au sein de l'évolution
33:37de cette entreprise ? Est-ce que vous avez
33:39arrivé à vous projeter ? Est-ce que vous avez envie
33:41que ça s'arrête ? Quel est
33:43votre désir ?
33:45J'ai quand même envie d'une continuité
33:47quand même. J'avais quelques années de la retraite
33:49donc
33:51je voulais rester vraiment au sein
33:53de l'entreprise pour aller jusqu'au bout.
33:55Et
33:57c'est vrai que la conjoncture fait que
33:59il y a quand même pas mal de difficultés
34:01donc
34:03il est temps pour parler
34:05de supprimer mon poste mais
34:07il me repropose quelque chose en échange
34:09et
34:11par contre dans des conditions autres que
34:13celles actuellement.
34:15D'accord.
34:17Vous êtes prêt à tout entendre
34:19Eric ? Oui, tout à fait.
34:21Parce que c'est étrange
34:23alors attention,
34:25ce ne sont que mes ressentis
34:27et ma perception des choses
34:29mais je vois un arrêt.
34:31Je vois un arrêt, je vois
34:33la possibilité de négocier
34:35un départ avec eux parce que j'ai l'impression
34:37que la structure et la société
34:39effectivement
34:41ça je ne vous l'apprends pas puisque vous-même vous l'avez dit
34:43qu'elle est en redressement judiciaire
34:45mais je n'ai pas l'impression que ça
34:47s'améliore beaucoup. C'est-à-dire que
34:49à la fois pour l'instant c'est une structure
34:51qui n'est pas amenée à s'arrêter définitivement
34:53mais on réduit
34:55le personnel, on réduit. Donc il y a
34:57des licenciements économiques, il y a un plan
34:59de restructuration qui est en train de se faire
35:01ou qui se fait ou qui va se faire
35:03et dans lequel vous pouvez être
35:05dedans. Et ce n'est peut-être pas inintéressant
35:07c'est peut-être le moment de partir
35:09parce que même par la suite
35:11même si cette société on arrive un peu
35:13à la faire revivre
35:15elle est en difficulté et restera un peu
35:17en difficulté. Et même si
35:19vous vous inquiétez de l'avenir parce que
35:21vous avez, quel âge aujourd'hui ?
35:2357 ans.
35:25Donc voilà c'est difficile peut-être
35:27de se projeter sur un nouvel
35:29emploi mais pour moi vous allez
35:31être à nouveau
35:33embauché dans une autre structure par le
35:35biais de réseau ou de contact et je ne vois
35:37pas rester sans travail. Mais
35:39par contre je ne vois pas avoir
35:41un avenir lointain dans cette
35:43entreprise. C'est pas pérenne,
35:45c'est pas une situation pérenne.
35:47Du tout, je le ressens pas de cette manière.
35:49C'est un petit peu la
35:51décision que j'avais aussi, le ressenti
35:53et confirmer
35:55ce que je ressentais.
35:57Merci à vous Eric.
35:59Prenez soin de vous.
36:01Merci, au revoir.
36:03Et à présent, on va
36:05accueillir la gagnante
36:07du jeu
36:09du vent
36:11tout simplement
36:13duventallafrancaise.com
36:15qui
36:17en partenariat avec Sud Radio
36:19pour justement
36:21gagner un bracelet et j'ai
36:23Marie. Bonjour Marie.
36:25Bonjour Alexandre, bonjour à tous.
36:27Je suis doublement
36:29gâtée parce que non seulement
36:31j'ai gagné un bon cadeau mais je suis en ligne
36:33avec vous et là c'est doublement
36:35gagnant. C'est adorable
36:37Marie. Alors vous savez
36:39ce que vous avez gagné, tout
36:41simplement un bracelet raffiné
36:43et personnalisé. Vous allez pouvoir
36:45choisir la lettre de
36:47votre choix avec une monture
36:49dorée
36:51et puis unisex aussi
36:53si jamais vous souhaitez l'offrir
36:55non pas seulement à une
36:57maman ou à une femme mais à un homme
36:59ou tout simplement pour vous.
37:01Mais ce sera pour vous.
37:03Ah bon, très très bien. Et vous nous appelez
37:05d'où Marie ?
37:07C'est Dutarne. Parfait.
37:09Bon et bien en attendant, bravo.
37:11Félicitations. Merci.
37:13C'est adorable, vraiment je suis
37:15bien gâtée et puis j'en profite pour
37:17dire que je vous écoute très souvent
37:19et que vous êtes toujours dans la
37:21bienveillance et de bons conseils
37:23et vraiment moi je vous
37:25écoute, par exemple je suis dans la cuisine
37:27je fais plein de choses
37:29et je me régale de vous
37:31écouter. Bon, super.
37:33En attendant, on est heureux
37:35Sud Radio et leventalafrancaise.com
37:37est heureux aussi de
37:39vous offrir ce bracelet
37:41et puis n'hésitez pas à rester fidèle
37:43à l'antenne de Sud Radio
37:45et puis j'espère que j'aurai l'occasion à nouveau
37:47de vous avoir un jour à l'antenne. Merci à vous
37:49Marie. Merci.
37:51Merci.
37:53Allez, on va faire une petite pause
37:55et on va se retrouver avec
37:57Doris. Doris nous
37:59appelle pour justement
38:01savoir ce qui va se passer dans sa vie
38:03elle aimerait bouger
38:05d'endroits, de lieux.
38:07Elle a été auparavant en Suisse,
38:09elle est revenue dans la région toulousaine.
38:11Est-ce qu'elle va y rester ? Est-ce qu'elle va partir ?
38:13Et quel est son désir
38:15du changement ? On en parle
38:17juste après. Ne bougez pas.
38:19Appelez maintenant Sud Radio
38:210 826 300 300
38:23et participez à C'est Votre Avenir.
38:2516h-17h, Sud Radio
38:27C'est Votre Avenir, Alexandre Deloval.
38:29Et de retour dans votre émission
38:31C'est Votre Avenir, pour cette dernière partie
38:33avant de retrouver les vrais voix, présentées
38:35par Cécile Dominibus, Philippe Davies
38:37et David et toute son équipe.
38:39Demain, vous savez
38:41qu'on va parler du changement
38:43et oui, comment l'adoptez-vous,
38:45le changement, ou comment l'intérez-vous
38:47dans votre vie ? Parfois, le changement
38:49peut faire peur et puis parfois,
38:51il y a des personnes qui cessent
38:53de vivre du changement.
38:55Mais si vous avez, vous, des questions
38:57sur vos futurs changements
38:59de vie ou sur d'autres
39:01questions qui vous préoccupent, un seul numéro
39:030 826 300
39:05300 et à présent, je retrouve
39:07Doris, bonjour Doris !
39:09Bonjour !
39:11J'aime beaucoup votre prénom, Doris !
39:13Merci, c'est gentil !
39:15Alors, Doris, justement, demain
39:17on parle du changement, c'est un peu votre cas ?
39:19Oui ! J'ai l'impression
39:21que vous aimez le changement !
39:23J'adore ça, oui !
39:25Je change tout le temps !
39:27Exactement, parce que
39:29j'ai eu un petit
39:31résumé de votre histoire,
39:33vous étiez au Parabans, vous êtes originaire
39:35d'où, Doris, exactement ?
39:37Je suis originaire de Sète.
39:39Vous êtes partie en Suisse,
39:41vous avez rencontré
39:43un homme,
39:45c'est ça ? Il y a eu une belle histoire ?
39:47Je ne l'ai pas rencontré en Suisse, mais je l'ai
39:49rencontré dans le sud de la France.
39:51Et vous êtes partie
39:53avec lui ? Oui, c'est ça, je suis partie le rejoindre
39:55en Suisse, ça a duré deux ans.
39:57Après, on s'est séparés,
39:59mais on a un très très bon terme, chose qu'il y a assez rare,
40:01mais voilà, on s'entend très bien.
40:03Et vous êtes revenue
40:05en France ? Oui, c'est ça.
40:07Et vous êtes à Toulouse ?
40:09C'est ça.
40:11Et vous repartir maintenant de Toulouse ?
40:13Non, pas forcément !
40:15Vous avez la bougeotte !
40:17Oui, exactement !
40:19Oui, ma famille, ils n'en peuvent plus,
40:21mais bon, ils sont habitués.
40:23En fait,
40:25j'aime ça, mais en même temps,
40:27je pense que j'ai quand même besoin d'avoir mon petit cocon,
40:29mon petit refuge, et ça,
40:31je ne l'ai pas, et en fait,
40:33je ne sais pas si c'est le
40:35bon choix Toulouse pour moi,
40:37est-ce que je m'investis
40:39dans cet endroit,
40:41ou pas, vu que j'ai tout le temps
40:43envie de changer, de voir plein de choses,
40:45je ne sais plus du coup !
40:47C'est bizarre, parce que moi, le Sud,
40:49je pense que vous êtes amenée
40:51et restée dans le Sud, il y a ce besoin
40:53de Sud, ce besoin de mode
40:55de vie, de fonctionnement,
40:57et Toulouse vous correspond bien,
40:59vous avez une vie vibratoire, je ne connais pas
41:01votre vie, je ne connais pas vos amis,
41:03mais je pense que ça s'intègre bien
41:05à vous, Toulouse,
41:07mais par contre, il vous manque
41:09une proximité,
41:11et cette proximité, alors est-ce que
41:13c'est lié à une proximité familiale,
41:15ou est-ce lié à une proximité d'un entourage
41:17que vous avez eu précédemment,
41:19mais ce n'est pas
41:21à Toulouse, et je vous sens
41:23pas tout de suite, je vous sens
41:25dans un premier temps vouloir trouver
41:27petit cocon sur Toulouse,
41:29ou ses environs,
41:31et puis, dans une période
41:33de 3 à 4 ans, là,
41:35à nouveau, on en parle d'un changement
41:37qui vous rapprocherait peut-être
41:39du Sud-Est de la France,
41:41vous me parliez de CET,
41:43vous étiez originaire de là-bas, donc c'est peut-être
41:45pas forcément CET, mais on n'est pas très
41:47loin, ou est-ce que ça se rapproche des
41:49Pyrénées-Orientales ou autre, mais il y a un endroit
41:51qui va vous permettre de vous localiser,
41:53et là, ça va être totalement
41:55votre petit
41:57arbre de paix, votre endroit
41:59où vous allez créer vraiment
42:01un univers de bonheur,
42:03et vous allez pouvoir vous réaliser,
42:05même professionnellement, parce que vous allez
42:07créer quelque chose plus tard.
42:09Vraiment.
42:11Je vais changer de métier aussi, parce que ça,
42:13je donne pas de questions aux autres.
42:15Mais tout est un peu prématuré.
42:17Tout est un peu prématuré.
42:19Je suis pas patiente.
42:21C'est ce que
42:23j'allais vous dire.
42:25Chez vous, il faut travailler la patience,
42:27parce que vous avez une imagination
42:29débordante, vous êtes pleine de
42:31créativité dans votre esprit
42:33et aussi de ce que vous pouvez faire,
42:35mais ce problème
42:37de patience, parfois,
42:39vous joue des tours,
42:41et il faut justement travailler dessus
42:43pour bien vous accomplir,
42:45et bien vous réaliser. Et pour moi,
42:47aujourd'hui, ne cherchez pas midi à 14h,
42:49tout simplement, restez
42:51dans l'univers dans lequel vous êtes,
42:53en trouvant, bien sûr, l'harmonie,
42:55et ensuite, vous verrez que dans 3-4 ans,
42:57et là, il y aura une excellente opportunité
42:59professionnelle, peut-être
43:01sentimentale aussi, qui va faire que
43:03votre vie va changer totalement.
43:05D'accord ? D'accord.
43:07Donc, pour l'instant,
43:09on s'approche, Doris,
43:11et on reste patiente.
43:13Merci à vous,
43:15Doris.
43:17Juste une...
43:19Je pensais au Pays Basque,
43:21mais c'est pas... Oui, possible, possible,
43:23on peut, en tout cas, vous êtes amenée
43:25à vous rapprocher de l'eau, et pourquoi pas,
43:27tenter d'y aller.
43:29D'accord ? Ok, merci beaucoup.
43:31Merci, Doris. Prenez soin de vous.
43:33Allez, moi, je vous souhaite
43:35une bonne fin de journée. On se retrouve
43:37demain, on parlera du changement. Comment
43:39vous, vous abordez le changement ? Est-ce que
43:41ça fait partie de votre existence ?
43:43Et bien, n'hésitez pas à appeler l'antenne 0 826
43:45300 300. La parole est aux vrais voix.
43:47Bonsoir, Philippe David.
43:49Bonsoir, Alexandre Delovane. Les vrais voix
43:51du jour. On commence par le grand débat
43:53à 17h30.
43:55Le rapport qui fait couler beaucoup d'encre,
43:57le rapport sur l'antrisme des frères musulmans,
43:59on vous pose cette question, l'antrisme des frères musulmans.
44:01Sommes-nous face à des années
44:03de déni ? Est-ce qu'on a fermé les yeux
44:05depuis des années et que ce rapport nous explose
44:07au visage ? Ou non, on savait.
44:09Venez nous donner votre avis
44:11au 0 826 300 300.
44:13À 18h40, le coup de projecteur
44:15des vrais voix. Pour la troisième
44:17année consécutive, la Cour des Comptes refuse
44:19de valider les comptes de la CAF,
44:21la Caisse allocatoire familiale, oui.
44:236,3 milliards d'erreurs,
44:25ça fait quand même beaucoup, ce qui représente
44:278% des prestations.
44:29Et on vous pose cette question, l'État
44:31doit-il nous rembourser ses erreurs de gestion ?
44:33Parce que, rappelons quand même que c'est
44:35notre argent. Vous pensez non, perdu, perdu.
44:37Ou alors, on doit nous rembourser.
44:39Venez nous donner votre avis au 0 826
44:41300 300. Nos trois vrais voix
44:43du jour, Philippe Billiger,
44:45Mickaël Sadouné, Loïc Guirin.
44:47Une bonne émission.

Recommandations