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Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez affûtent leurs armes avec l'élection de la présidence des Républicains.
Europe 1
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14/05/2025
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News
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00:00
13h, 14h, Europe 1 13h.
00:01
Merci de nous rejoindre sur Europe 1, elle est 13h46.
00:04
Vous écoutez Céline Giraud jusqu'à 14h et avec vous aujourd'hui pour décrypter l'actualité,
00:08
Céline Jules Terès et Sarah Salman.
00:10
Et parlons de cette présidence des Républicains et ce dernier sprint très musclé
00:15
pour Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez avant le vote de dimanche.
00:18
Les deux candidats se sont crantés sur la prestation laborieuse d'Emmanuel Macron ce matin
00:22
pour marquer leur différence.
00:24
On va d'abord écouter Bruno Retailleau, le ministre de l'Intérieur,
00:27
qui était l'invité Sonia Mabrouk sur CNews Europe 1.
00:30
Je vais vous parler librement et en vérité.
00:32
L'émission longue, 3h hier, pour moi ça a conforté ma position.
00:38
Ma position, je l'étais dans l'opposition, je suis au gouvernement, je suis toujours gaulliste.
00:43
Et comme gaulliste, je me dis que nous la droite, collégialement, collectivement,
00:47
nous avons eu raison d'entrer au gouvernement pour faire barrage à la gauche.
00:51
En revanche, je suis gaulliste mais je ne suis toujours pas macroniste.
00:54
J'ai des vraies différences avec le président de la République, par exemple sur l'immigration.
01:00
Voilà, et on va écouter maintenant Laurent Wauquiez, qui lui était au micro de Pascal Praud,
01:04
c'était ce matin sur Europe 1 dans Pascal Praud et vous.
01:06
L'erreur mortifère pour la droite, c'est d'être la béquille de ce macronisme finissant.
01:11
Et notre devoir, c'est de renverser la table et de proposer enfin un projet de changement
01:15
qui soit à la hauteur de ce qu'attendent les Français.
01:18
Donc moi, mon obsession, c'est de porter ce projet de rupture.
01:20
Et je veux être libre par rapport à ce macronisme finissant.
01:24
Parce que la réalité, c'est qu'il nous entraîne vers le fond.
01:26
Est-ce que Bruno Retailleau, selon vous, doit démissionner de la place Beauvau ?
01:32
Bruno a été très clair là-dessus.
01:34
Il a dit, moi, ma priorité, c'est d'être ministre de l'Intérieur.
01:37
Je veux le rester.
01:38
Et c'est ça ma préférence.
01:40
Je respecte ça.
01:41
Quand vous êtes ministre, vous êtes sous l'autorité du président de la République,
01:44
qu'on a entendu hier soir.
01:45
Et donc, le choix qu'on a à faire, en réalité,
01:47
ce n'est pas un choix entre deux personnalités.
01:50
C'est deux visions de l'avenir de la droite.
01:51
Voilà, deux visions de l'avenir, deux candidats, deux ambiances.
01:55
Ce qui me fait doucement rire, c'est qu'il critique le fait
01:57
qu'il soit, entre guillemets, sous la tutelle d'Emmanuel Macron.
01:59
Je pense que si on lui avait proposé un poste de ministre,
02:02
peut-être qu'il aurait réfléchi aussi.
02:03
On lui a proposé, il était pour.
02:04
Il était pour, après ça ne s'est pas fait.
02:06
Non mais, c'est ce que je disais en sous-texte.
02:09
Sur ce bras de fer, c'est musclé, mais c'est élégant.
02:11
On se donne des coups, mais on reste fermé.
02:13
C'est élégant, on comprend les tacles.
02:15
C'est juste qu'ils ne sont pas comme LFI
02:17
et qu'ils disent les choses de façon un peu plus élégante.
02:19
On comprend quand même les tacles des uns et des autres.
02:21
Après, je vais vous dire, je vais être un peu cynique,
02:23
mais peu importe qui gagne en 2027,
02:25
ils ne vont pas faire plus de 15%.
02:27
On a vu ce que ça donnait.
02:29
On a Madame Irma dans le plateau.
02:30
Je pensais que c'était l'avocat de Salmane.
02:32
Ce que je veux dire par là, c'est que le dernier score de Madame Pécresse,
02:36
c'était, je crois, 4,8.
02:39
Ça va être dur de remonter le parti.
02:40
Alors, on peut dire que c'était uniquement sa personne.
02:42
Moi, je ne suis pas certaine.
02:44
Après, il n'y aura plus forcément le macronisme de la même manière.
02:46
Donc, ça va rééquilibrer l'échiquier politique.
02:48
Mais oui, il s'envoie des tacles de façon élégante,
02:50
mais on comprend quand même le sous-texte.
02:52
Madame Irma, plutôt Madame Soleil.
02:54
Sur Europe 1, c'est Madame Soleil qui faisait l'astrologie,
02:56
Jules Torres, vos classiques.
02:58
L'astrologie.
02:58
Nom de Dieu.
02:59
Donc, ce duel, ce bras de fer quand même.
03:01
Voilà, je le disais, c'est élégant.
03:04
Je ne sais pas si c'est élégant.
03:06
Oui, en tout cas, ça rentre dans la dernière ligne.
03:09
Oui, on se met des coups, on y va.
03:10
Enfin, voilà, on ne refuse pas le combat.
03:12
Le vrai problème de Bruno Rotaillou et de Laurent Wauquiez,
03:15
c'est qu'il n'y a pas de différence de ligne.
03:17
Il n'y a pas vraiment de différence de personnalité,
03:19
même si on pourrait ergoter sur les deux personnes.
03:23
Mais la vraie différence fondamentale,
03:25
c'est une différence de stratégie.
03:27
Laurent Wauquiez considère qu'il ne faut absolument
03:30
aucune compromission avec le macronisme.
03:32
Et donc, il considère que Bruno Rotaillou,
03:35
président ou pas, devrait aujourd'hui quitter les Républicains.
03:39
Il l'avait notamment demandé lors de la crise avec l'Algérie.
03:42
Bruno Rotaillou, à l'inverse, considère déjà
03:44
qu'en allant au gouvernement,
03:47
ils ont fait barrage à la gauche,
03:49
qu'il est toujours libre,
03:50
qu'il a une liberté de parole.
03:52
Il l'a complètement balayé d'un revers de main.
03:54
Il était encore ce week-end dernier dans le JDD.
03:56
Et je peux vous dire qu'il n'est pas du tout d'accord
03:58
avec le président de la République.
04:00
Sur le bilan économique,
04:01
on l'a interrogé là-dessus,
04:03
il est très critique.
04:04
Sur le bilan migratoire et sécuritaire,
04:05
je ne vous en parle même pas.
04:07
Et puis, pour parler d'un sujet
04:08
que l'on vient d'évoquer sur la fin de vie,
04:10
Emmanuel Macron parle d'un texte de fraternité.
04:12
Bruno Rotaillou parle d'un texte d'abandon.
04:14
Donc, pour quelqu'un qui est sous l'autorité
04:16
contrôlée par Emmanuel Macron,
04:17
je le trouve bien libre.
04:19
Et je n'avais encore jamais entendu
04:21
une ministre de l'Intérieur d'Emmanuel Macron
04:23
depuis 2017 dire dans une interview
04:25
que je ne suis pas macroniste.
04:26
Donc, je ne suis pas sûr
04:29
que ce soit le meilleur argument
04:29
de Laurent Wauquiez
04:30
pour gagner cette présidence.
04:33
Moi, je pense que
04:34
les dernières propositions
04:35
qu'il a émises,
04:36
notamment sur Saint-Pierre-et-Miquelon,
04:38
même si elle pouvait être provocante,
04:39
eh bien, on voit que dans l'opinion,
04:41
ça a provoqué quelque chose.
04:42
Que la proposition d'instaurer
04:44
un cordon sanitaire
04:44
contre la France insoumise
04:46
et Jean-Luc Mélenchon,
04:47
aujourd'hui l'ennemi principal
04:48
selon Laurent Wauquiez,
04:50
ça, c'est intéressant.
04:50
Et ça, ça définit
04:51
les nombreux chantiers de la droite
04:54
que nous avons essayé
04:55
de décrire dans le JD News
04:57
cette semaine.
04:58
C'est que pour reconquérir
04:59
et pour faire plus de 15%,
05:00
contrairement à ce que dit
05:01
Mme Salman,
05:02
pour la droite,
05:02
il y a un certain nombre
05:03
de défis.
05:04
Aller reconquérir
05:05
les classes populaires,
05:06
être de nouveau crédible
05:07
sur l'économie et l'immigration,
05:09
ne pas échouer aux municipales,
05:11
parce que ça aussi,
05:12
c'est un vrai sujet.
05:13
Et puis, il y a d'autres chantiers
05:14
annexes qui seront
05:15
très importants.
05:16
Et le premier,
05:17
ce sera l'unité.
05:18
parce qu'ils ne résisteront pas
05:20
à une nouvelle guerre des chefs,
05:23
à un copéfillon numéro 2.
05:24
Alors, on verra,
05:25
en attendant qu'elle soit incarnée,
05:28
cette droite républicaine
05:29
par Bruno Retailleau
05:30
ou Laurent Wauquiez.
05:31
Est-ce que c'est le retour
05:32
d'une vraie droite,
05:33
Sarah Salman,
05:34
qui assume,
05:34
qui ose,
05:35
qui propose ?
05:36
Les deux,
05:36
c'est une vraie droite
05:37
qui ose,
05:37
qui propose.
05:38
Et c'est là où il y a
05:39
une convergence
05:39
entre les deux protagonistes.
05:41
Mais finalement,
05:42
la vraie attaque,
05:42
pour moi,
05:43
de Laurent Wauquiez
05:43
envers Bruno Retailleau,
05:44
c'est,
05:45
moi,
05:45
je serai président
05:46
en DLR à temps plein,
05:47
vous,
05:47
vous serez ministre
05:48
quoi qu'il arrive.
05:49
C'est ça,
05:49
finalement,
05:49
le taille.
05:50
Pour une durée courte,
05:50
quand même,
05:51
parce que là,
05:51
on a un CDD,
05:52
en fin de CDD.
05:54
C'est pas un CDI, oui.
05:55
Donc,
05:55
est-ce que c'est une vraie droite
05:56
qui revient ?
05:57
Une vraie droite
05:58
qui revient sur les idées ?
05:59
Sur les idées,
06:00
oui.
06:00
Après,
06:01
il y a une partie
06:01
de cette droite
06:01
qui s'est dispatchée.
06:02
Il y en a peut-être
06:03
une partie
06:03
qui est partie un peu
06:04
vers RN Zemmour.
06:06
Il y en a une partie
06:07
qui est partie beaucoup
06:07
chez Emmanuel Macron.
06:09
Donc,
06:09
c'est une droite
06:10
quand même
06:10
un peu éclatée.
06:11
Est-ce qu'ils vont réussir
06:12
à recentrer
06:13
leur centre ?
06:13
Avec une inclination forte
06:14
parce que Bruno Retailleau,
06:15
c'est l'homme fort du gouvernement.
06:17
Bien sûr,
06:17
vous avez entièrement raison.
06:18
Il est clivant,
06:19
mais il a une forte personnalité
06:20
et des idées.
06:21
Il propose des fois
06:22
des choses qui étonnent.
06:23
On parle de Sacha Miquelon,
06:24
les OQTF.
06:25
Après,
06:26
compte tenu des scores
06:27
du RN
06:27
qui sont quand même
06:28
extrêmement hauts,
06:29
ils n'ont pas la place
06:30
qu'ils avaient
06:30
dans la droite
06:32
de Nicolas Sarkozy.
06:33
Ça, c'est sûr.
06:33
D'ailleurs,
06:34
c'est intéressant.
06:34
La dernière fois,
06:35
la droite a gagné,
06:36
c'était en 2007
06:37
avec Nicolas Sarkozy.
06:38
On sortait d'une présidentielle
06:40
de 2002
06:40
où Jean-Marie Le Pen
06:41
avait été au second tour
06:43
et on voit bien
06:43
qu'avec sa ligne politique,
06:45
son volontarisme
06:46
et d'ailleurs son volontarisme
06:47
de ministre de l'Intérieur,
06:48
c'est ça qui est intéressant,
06:49
Nicolas Sarkozy
06:50
a complètement asséché
06:51
les voix du Front National
06:53
et Jean-Marie Le Pen,
06:53
de mémoire,
06:54
termine à 10%
06:55
des voix en 2007,
06:58
ce qui est son plus mauvais score
07:00
de ses cinq participations
07:02
à l'élection présidentielle.
07:04
Donc, pour la droite,
07:05
c'est un sujet.
07:06
Or, on voit pour l'instant
07:07
dans les sondages
07:08
que Bruno Rotaillot,
07:09
qui a des sondages
07:10
entre 8 et 10%
07:11
pour la prochaine présidentielle,
07:12
ne pique pas une seule voix
07:13
au Rassemblement National.
07:15
Donc, comment aller chercher ?
07:16
Oui, quand on voit
07:17
Jordan Bardella ou Marine Le Pen,
07:19
quel que soit le candidat,
07:20
ils sont entre 32 et 33%
07:21
et Bruno Rotaillot
07:22
ne pique rien,
07:23
pas même 1%.
07:24
Donc, ça va être un sujet
07:26
pour l'instant.
07:28
Pour l'instant,
07:29
il va les piquer
07:29
chez les électeurs déçus
07:30
d'Emmanuel Macron.
07:32
Mais ça pose la question
07:34
Donc, à Édouard Philippe.
07:35
Absolument.
07:36
Pour le coup,
07:37
c'est là une stratégie.
07:39
Bruno Rotaillot considère
07:40
plutôt que l'électorat
07:41
à aller chercher,
07:42
c'est les déçus du macronisme
07:43
et les électeurs
07:44
d'Édouard Philippe,
07:45
d'Emmanuel Macron
07:46
ou même ceux encore
07:46
du centre-gauche.
07:47
Laurent Wauquiez pense encore
07:48
qu'il peut aller
07:49
sur l'électorat
07:50
du Rassemblement National.
07:51
Et c'est là que je vous dis
07:51
que c'est une différence
07:52
vraiment de stratégie
07:54
plus que ligne politique
07:55
parce que sur quasiment
07:56
tous les sujets,
07:57
Bruno Rotaillot
07:58
et Laurent Wauquiez,
07:58
ils pensent la même chose.
07:59
Sauf que Bruno Rotaillot
08:00
aura plus de mal
08:00
à avoir les voix macronistes
08:02
parce que pour le centre-macroniste,
08:04
pour certains d'entre eux,
08:05
il a un discours
08:05
beaucoup trop radical.
08:06
Vous pensez qu'aujourd'hui,
08:07
après six mois de gouvernement,
08:09
les Français jugent
08:10
Bruno Rotaillot
08:11
plus radical que Laurent Wauquiez ?
08:12
Non.
08:13
Plus radical que certains macronistes.
08:15
Ah oui,
08:16
mais en tout cas,
08:16
il a plus de chances
08:17
que Laurent Wauquiez
08:17
d'aller chercher.
08:18
Ah oui, oui.
08:18
Justement.
08:19
Mais qu'il soit plus radical
08:20
qu'Édouard Philippe,
08:21
oui, ça se rend bien.
08:21
Voilà, c'est de ça
08:22
que je voulais dire.
08:22
Les militants sympathisants
08:24
à Édouard Philippe
08:24
vont trouver Bruno Rotaillot
08:25
un peu plus radical.
08:26
Enfin, ça me paraît assez évident.
08:28
Jules Thorez,
08:28
vous dites que Bruno Rotaillot
08:29
ne va pas piquer des voix
08:30
au Rassemblement National.
08:31
Est-ce que Laurent Wauquiez
08:31
peut aller en chiper
08:33
quelques-unes ?
08:34
Non, je ne dis pas
08:34
qu'il ne va pas en piquer.
08:35
Je dis que pour l'instant,
08:36
dans les sondages
08:38
et les enquêtes qu'on a,
08:39
il ne pique pas
08:39
au Rassemblement National.
08:40
Pourquoi ?
08:41
Parce que le Rassemblement National,
08:43
ce n'est plus
08:43
le Rassemblement National
08:44
d'il y a dix ans.
08:45
C'est aujourd'hui
08:46
un parti d'adhésion.
08:47
ce n'est pas un parti
08:48
de rejet.
08:49
Jordan Bardella
08:50
a recueilli
08:51
aux dernières européennes
08:52
un tiers des électeurs
08:53
et des électeurs
08:54
qui voulaient voter
08:55
pour Jordan Bardella
08:56
pas parce qu'ils en avaient marre
08:57
de Valéry Haillet
08:58
ou d'autres candidats
08:59
mais parce qu'ils pensent
09:00
vraiment que
09:01
le projet du RN
09:02
est le meilleur.
09:03
Et aussi parce que
09:05
la droite aujourd'hui
09:06
tient un discours économique
09:07
je mets de côté
09:09
les sujets migratoires
09:10
et sécuritaires.
09:11
Mais le sujet,
09:12
la ligne économique
09:13
de Laurent Wauquiez
09:13
et de Bruno Roteo
09:14
ce n'est pas du tout
09:15
celle de Marine Le Pen
09:15
et Jordan Bardella.
09:16
Ce n'est pas du tout
09:17
une ligne étatiste
09:18
c'est une ligne
09:18
beaucoup plus libérale
09:20
ce n'est pas du tout
09:20
celle que souhaitent
09:21
aujourd'hui les électeurs
09:22
du RN.
09:22
Donc c'est là aussi
09:23
l'un des enjeux
09:25
pour les républicains
09:27
c'est de revoir
09:28
une ligne politique
09:29
très claire
09:30
une ligne économique
09:31
très claire
09:31
et très forte
09:32
courageuse
09:33
sur la question
09:34
des dépenses publiques
09:35
sur la question
09:35
des retraites
09:36
on en a parlé
09:37
c'est la condition
09:38
sine qua non
09:39
s'ils veulent se relever
09:41
et après bon voilà
09:41
c'est la politique
09:43
c'est des enjeux
09:44
on ne réussit pas toujours
09:45
mais en tout cas
09:46
dimanche à 18h
09:49
on aura déjà
09:49
le nouveau visage
09:51
des républicains
09:53
qui serait légèrement favori
09:54
et plutôt favorable
09:56
les territoires
09:58
et les territoires
10:03
qui ont connu
10:04
la plus grande augmentation
10:06
du nombre d'adhérents
10:08
ce sont plutôt des territoires
10:09
qui soutiennent
10:10
Bruno Retailleau
10:11
donc ça donne
10:12
un sentiment
10:13
après c'est une élection interne
10:14
c'est un vote électronique
10:15
on ne sait
10:16
parce qu'après Laurent Wauquiez
10:17
était très offensif
10:18
il allait sur le terrain
10:19
il allait voir les militants
10:20
Laurent Wauquiez
10:20
a fait toutes les fédérations
10:22
de France
10:23
donc évidemment
10:24
que le jeu est encore ouvert
10:26
oui Laurent Wauquiez
10:27
a fait une bonne campagne
10:27
mais Bruno Retailleau
10:28
en termes de popularité
10:29
depuis qu'il est au gouvernement
10:30
c'est lui qui brille le plus
10:31
avec Gérald Darmanin
10:32
donc en termes de popularité
10:34
et de capital
10:36
enfin sympathie
10:37
en tout cas
10:37
et capital efficacité
10:38
je pense que
10:39
c'est peut-être
10:40
un peu plus marqué
10:41
que Laurent Wauquiez
10:42
voilà je pense
10:43
à suivre
10:43
merci beaucoup Sarah Salman
10:44
j'ai passé à la vitesse de la lumière
10:46
comme à chaque fois
10:47
et on se retrouve demain
10:48
mais oui déjà
10:49
pour de nouvelles aventures
10:50
et ce soir évidemment
10:51
c'est Pierre De Villeneau
10:52
et toute son équipe
10:52
qui vous informe
10:53
à 19h
10:54
merci Gérald Darmanin
10:55
merci Céline
10:55
c'était Céline Géraud
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