Le Premier ministre François Bayrou a rendu hommage depuis Brest à "ce pompier qui s'est trouvé à ce point brutalisé, écrasé, comme si sa vie ne devait pas compter" et qualifié les rodéos de "malédiction pour un très grand nombre de maires et un très grand nombre de villes". Mais pour le journaliste Éric Revel, en employant le mot «malédiction», François Bayrou conceptualise son impuissance politique.