- 17/04/2025
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00:00Sous-titrage Société Radio-Canada
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01:30Sous-titrage Société Radio-Canada
02:00du phonographe, l'un des plus grands poètes du XXe siècle, Brassens.
02:04Eh bien, on va prendre une heure pour en parler et surtout pour le chanter.
02:08À tout de suite.
02:09Ici Sud Radio, les Français parlent au français.
02:18Je n'aime pas la blanquette de Vaud.
02:21Je n'aime pas la blanquette de Vaud.
02:23Sud Radio Bercov dans tous ses états.
02:26Eh bien, que se passe-t-il ? Que s'est-il passé à Rennes pour que le PDG de Safran ne veuille plus venir à Rennes ?
02:40Alors qu'on est en pleine et que le gouvernement, avec légitimité, tout le monde est pour la réindustrialisation de la France.
02:48Il faut arrêter cette espèce de mamise totale du tertiaire et essayer de reprendre avec la dette qu'on a,
02:56avec les milliers à rechercher désespérément.
03:00Eh bien, il est temps de reproduire, de reproduire, de rapatrier, etc.
03:05Eh bien, il y a des choses qui ne vont pas.
03:08Quoi ? On en parle tout de suite.
03:10Sud Radio Bercov dans tous ses états.
03:13Le fait du jour.
03:14How dare you !
03:17How dare you !
03:19Vous vous rappelez ce cri de Greta Sundberg ?
03:23C'était le grand moment de l'écologie.
03:25Ça y est, vous les adultes, vous avez pollué la planète, vous les avez mis dans tous nos états.
03:30Mais dans quels états de saleté, de pollution, de gabegis, nous sommes futurs, la planète est finie, etc.
03:38Et puis, il y a eu tout le monde écologiste.
03:40Et puis, voilà, hier, à l'Assemblée nationale, il y avait Olivier Andriès.
03:46Olivier Andriès, c'est le PDG de Safran.
03:48Je rappelle que Safran est un grand groupe industriel et technologique français présent au niveau international.
03:53Il emploie, Safran, 100 000 collaborateurs pour un chiffre d'affaires de 27,3 milliards d'euros en 2024.
04:01Donc, il est un peu dans le monde entier.
04:03Et Safran se classe en 2023 au 28ème rang mondial pour la production d'armement dans les domaines de l'aéronautique, de l'espace et de la défense.
04:13Eh bien, voici ce que disait Olivier Andriès hier devant une commission de l'Assemblée nationale.
04:22Écoutez.
04:22Les écologistes nous ont jeté des tomates sur le thème, c'est scandaleux, un groupe vient s'installer, créer de l'emploi.
04:29C'est l'aéronautique, c'est l'avion, ils vont polluer et puis c'est le militaire, c'est pas bien.
04:35Alors, je vais être très très clair avec vous.
04:38Pour moi, il n'est plus question aujourd'hui d'investir en France dans une ville qui est détenue par une majorité écologiste.
04:48C'est plus possible. Je ne le ferai pas.
04:50C'est pas politique. Mais je veux dire, à partir du moment où on oublie l'intérêt national, à partir du moment où on ne comprend pas, on a une attitude égoïste,
05:00et on ne comprend pas que créer 500 emplois dans un endroit, c'est quand même très important pour le territoire, c'est très important pour la vie des personnes qui sont là,
05:10moi je trouve qu'à un moment donné, très bien.
05:15Très bien.
05:15Il faut dire tout de suite que ce n'est pas la majorité de la municipalité socialiste de Rennes,
05:22notamment la maire de socialistes de Rennes n'était pas contre,
05:24c'est simplement quelques élus municipaux écologistes qui ont réagi, et ont réagi de manière assez forte.
05:31Il dit, écoutez, voilà, et Olivier Andriès dit, ce n'est pas possible, on ne peut pas, on ne peut pas faire ça.
05:39Et ça veut dire quoi ? Et vous savez qu'aujourd'hui, le nombre de villes, à majorité globe, il y a Bordeaux,
05:45il y a Lyon, justement Rennes, et puis beaucoup, enfin Rennes, en tout cas une majorité municipale,
05:53et un peu, et beaucoup d'autres villes.
05:55Alors, qu'est-ce qu'on fait ?
05:57Eh bien, écoutez, il y a eu déjà une réaction, que vous voudrez vous faire entendre,
06:01de, évidemment de qui ? De Sandrine Rousseau, députée ELV, alors écologiste bien sûr.
06:09Écoutez, Sandrine Rousseau qui a réagi justement aux déclarations du PDG de Safran.
06:14La question, c'est 500 emplois pour quoi faire, et de quelle pérennité ces emplois sont-ils le nom, en fait ?
06:21Si c'est pour détruire la planète, on a 500 emplois qui, derrière, vont probablement durer un temps très court,
06:28et qui n'auront pas de débouchés industriels intéressants.
06:32Donc, en fait, voilà, je pense que c'est ce que les élus écologistes ont voulu dire.
06:37Voilà. Je rappelle qu'effectivement, Lyon, Strasbourg, Bordeaux, Besançon, Tours, Annecy et Grenoble,
06:45eh bien, les Verts ont remporté, je rappelle, 7 villes de plus de 100 000 habitants lors des municipales, sans compter Marseille.
06:52En tout cas, il y a ça. Et voilà ce que dit Sandrine Rousseau.
06:57Ben, 500 emplois, pourquoi faire ? Mais c'est vrai !
07:00Et des milliers d'emplois, pourquoi faire ? Mais ça sert à quoi ?
07:03Ça va durer combien de temps pour détruire la planète, ajoute-t-elle ?
07:06Je rappelle quand même que Sandrine Rousseau a été maîtresse de conférence en économie, a été à Lille.
07:14Oui, elle a été professeure d'économie à Lille.
07:17Eh bien, dis donc, l'économie française, ça va de mieux en mieux avec de tels professeurs.
07:23Alors, on se dit, mais qu'est-ce qui se passe ?
07:25Comment vraiment on peut avoir cela, surtout au moment où on connaît les licenciements,
07:32le Tour de France des licenciements ? On ne voit pas les numéros, il faudrait une demi-heure.
07:37Entre industrie automobile et équipe entière, entre chimie et pétrochimie,
07:42entre bâtiments et construction, entre commerce et grande distribution,
07:47entre métallurgie et sidururgie, pharmacie et santé, technologie et médias,
07:51le nombre d'emplois supprimés depuis quelques mois est hallucinant.
07:55Je ne vais pas vous faire, il faudrait une heure pour vous donner le détail.
07:59Mais ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'on veut quoi, en fait,
08:02quand on reçoit avec des tomates le PDG, enfin pas le PDG lui-même,
08:07mais Safran parce qu'ils ont quand même le scandaleux de faire une usine de moteur d'avion à Rennes
08:14et de créer 500 emplois, évidemment, ça sert à quoi ?
08:17Ludovic, pardon, Ludovic Malot, bonjour.
08:21Bonjour André, merci pour l'invitation.
08:24Mais je vous en prie, vous êtes économiste et entrepreneur, vous avez déjà reçu,
08:28il y a, on va en parler d'ailleurs de votre lettre pétition,
08:32mais surtout, quand vous écoutez Olivier Andriès,
08:36et que vous écoutez un prix de réaction comme celle de Sandrine Rousseau,
08:42et que vous avez, vous connaissez comme moi, le tableau des licenciements du chômage,
08:48un peu dans toutes les industries possibles et imaginables,
08:51juste 1254 emplois supprimés, et tout ça en quelques mois,
08:56à Michelin, etc., etc., comment vous réagissez ?
09:02Écoutez, je crois que les propos de Mme Rousseau
09:07en disent long sur l'état d'élabrement intellectuel
09:12de certaines personnalités politiques dans ce pays.
09:16Je crois que c'est effrayant d'entendre ce type de propos.
09:21Je crois qu'Olivier Andriès a jeté un pavé dans la mare.
09:26Il a dit tout haut, ce que les gens pensent tout bas.
09:31La plupart des entrepreneurs sont accablés de normes, de restrictions,
09:37et aujourd'hui, on voit que ça prend une mesure politique,
09:42et ceci est vraiment inquiétant.
09:43Je dirais qu'aujourd'hui, ce qu'il faut vraiment retenir,
09:48c'est que le discours écologique est souvent un cheval de troie idéologique.
09:52Donc on voit bien qu'on a affaire à des pastèques, en fait.
09:56Des pastèques, c'est quoi ?
09:58Ils sont verts à l'extérieur, et ils sont...
10:01Rouges à l'intérieur.
10:02Rouges soviétiques à l'intérieur.
10:04Donc on a affaire à des gens qui ont une idéologie fondamentalement marxiste,
10:12et qui cherchent à mettre en place et en collusion avec le programme mondialiste,
10:18le World Economic Forum, certaines fondations Rockefeller et Bloomberg,
10:23à mettre en place ce concept de smart cities de 15 minutes.
10:28Des concepts où finalement, on enferme les gens dans un espace confiné,
10:33pour qu'ils aient soi-disant accès à tout et que tout soit bien dans le meilleur des mondes,
10:40et où finalement, c'est la technologie, donc une technostructure qui prend le contrôle de la société,
10:46et les gens sont régulés, confinés et contrôlés à travers une surveillance numérique,
10:56reconnaissance faciale.
10:57Donc c'est une préfiguration du modèle à la chinoise.
11:02Oui, mais Ludovic Malo, pardon, mais qui peut...
11:05Alors si, sans aller, peut-être qu'on va aller...
11:08Enfin, que c'est que les écologistes et autres, vous dites idéologues,
11:12veulent aller vers ça.
11:13Mais enfin, qui est contre le fait que des usines,
11:18le fait que des entreprises veulent implanter,
11:21faire retravailler la France ?
11:22On ne parle que de ça, du matin au soir,
11:25et les princes qui nous gouvernent, et tous les autres,
11:28réindustrialisation, rapatrieme, relocalisation, etc.
11:32Il y a quand même quelque chose qui sort un peu du domaine du bon sens.
11:39Oui, en fait, on a affaire à des gens qui, en fait, se moquent totalement de l'économie,
11:47de la situation de l'emploi,
11:50et ces gens-là passent leur temps à faire des leçons de morale
11:54et à prêcher la bonne parole écologique,
11:57en prétextant que, finalement, le coupable, c'est qui ?
12:02Eh bien, ce sont les Français.
12:04Les Français sont coupables de respirer.
12:07Ils sont coupables d'expulser du dioxyde de carbone.
12:12Grossièrement, c'est ça.
12:13Donc, on est dans une culpabilisation permanente
12:17avec cette imposture sur le réchauffement climatique.
12:24On voit que ce sujet...
12:26Vous n'avez pas le droit de dire ça.
12:27Vous n'avez pas le droit de dire ça.
12:28Vous êtes vos hégémonies.
12:29Vous allez donner du saut de la famille.
12:32Attention, Ludovic Malot.
12:34Vous contestez, vous contestez, c'est grave.
12:37Ce sujet est instrumentalisé.
12:39Il est clair qu'effectivement, il y a des problèmes environnementaux évidents.
12:43Il y a beaucoup de conditions.
12:44Mais il y a, effectivement, ce sujet est instrumentalisé pour contrôler les gens.
12:50Mais comment il se fait, Ludovic Malot ?
12:52Non, juste, politiquement.
12:54Bon, il y a les écologistes, enfin, certains écologistes,
12:57Sandrine Rousseau et d'autres, et comme on l'a vu à Rennes.
13:00À Rennes, qu'est-ce qu'il dit, Andréès ?
13:02Il a dit, moi, j'en ai marre d'être accueilli avec des tomates
13:04quand on vient créer des emplois.
13:06Mais comment ça se fait que, par exemple, ils ne réagissent pas ?
13:10Ce n'est pas...
13:11On a enquêté, ce n'est pas la majorité de la municipalité de Rennes
13:14pour parler de ce cas-là.
13:16Eh bien, ils cèdent devant les écologistes et d'autres aussi.
13:20C'est quoi ? C'est électoraliste ?
13:22C'est quoi ? C'est courte vue ? C'est quoi ?
13:24Alors, c'est évidemment une idéologie marxiste, communiste,
13:31sous prétexte d'écologie, drapée dans les vêtements de l'écologie,
13:37qui s'infiltre petit à petit, doucement mais sûrement,
13:40dans toutes les municipalités de France.
13:42D'accord ?
13:43Comment se fait-il que ces gens arrivent à avoir autant de pouvoirs et d'influences ?
13:51Grossièrement, déjà parce que les médias leur donnent une tribune en permanence
13:55dans leur rhétorique et leur discours culpabilisateur, déjà.
14:01L'autre point, c'est que les Français en ont marre du système politique actuel
14:07où finalement leur voix n'a pas d'importance
14:10et beaucoup ne vont plus voter, même du côté conservateur.
14:14Ils ne vont plus voter.
14:14Alors finalement, qui en général continue à voter ?
14:18Ce sont les gens de gauche, les extrêmes-gauches
14:23et les écologistes, les communistes, qui sont déguisés en écologistes.
14:31Donc, ce sont eux qui verrouillent maintenant les municipalités
14:34puisqu'il y a beaucoup de gens qui ne vont plus voter, finalement.
14:37Et donc, ce sont eux, finalement, qui font la loi
14:40et qui imposent leurs règles.
14:42Donc, les propos tenus par le PDG de Safran,
14:48c'est entre guillemets un cri d'alarme.
14:50C'est très inquiétant qu'un PDG français fasse ce type de déclaration,
14:57on croit rêver.
14:58Jamais on pourrait voir ça, par exemple, en Suisse.
15:01Moi, je vous parle de Genève parce que j'habite à Genève
15:05et je connais très bien les deux pays.
15:08Jamais un PDG d'une entreprise suisse
15:11serait accueilli comme ça par des gens qui se prétendent écologistes.
15:17Je dis, on croit rêver.
15:18Je crois que la France est arrivée à un niveau de bassesse intellectuelle
15:23avec ses pseudo-écologistes qui est vraiment effroyable.
15:27Oui, c'est un vrai, vrai problème.
15:29Restez avec nous.
15:30J'ai encore une question à vous poser.
15:31Après la petite pause, effectivement, Ludovic Malo,
15:35on avait parlé d'un certain nombre de sujets
15:37la dernière fois que vous étiez venu.
15:39Eh bien, à tout de suite, pour une ou deux questions encore.
15:43Restez avec nous.
15:45On n'a pas fini de parler de ce qui se passe en France
15:47du point de vue de la bassesse ou de la hauteur intellectuelle.
15:53Sud Radio Bercoff, dans tous ses états, midi 14h.
15:56André Bercoff.
15:58Et nous sommes toujours avec Ludovic Malo, économiste.
16:01C'est entrepreneur, auteur du Suicide monétaire aux Éditions Maya.
16:05On l'avait reçu, d'ailleurs, pour ce livre.
16:07Ludovic Malo, je voudrais quand même vous demander,
16:10la dernière fois que vous avez reçu, il n'y a pas si longtemps d'ailleurs,
16:14vous aviez préparé une lettre au patron du CAC 40
16:16et à beaucoup d'entrepreneurs en demandant,
16:20allez, le licenciement, c'est un peu ça,
16:22d'Emmanuel Macron, que vous jugiez peu apte à continuer à diriger le pays,
16:30notre douce France, eu égard à la situation.
16:35Et est-ce que vous avez eu des réponses ?
16:37Est-ce que vous avez eu des échos sur cette lettre que vous avez envoyée un peu tout le monde ?
16:42Enfin, le monde des entrepreneurs, je parle.
16:45Alors, je dirais que ça a circulé, ça a surpris un petit peu.
16:50Vous avez vous-même précisé que c'était un peu audacieux.
16:54Ah oui.
16:55Je dirais qu'il n'y a pas beaucoup de personnes
17:02qui sont disposées à sortir du bois et puis à prendre leurs responsabilités.
17:09Je pense qu'aujourd'hui, les entrepreneurs et les PDG des grandes sociétés françaises
17:16sont directement impactés par les mesures américaines et Trump.
17:23et du coup, on est dans une situation, s'ils ne réagissent pas, qu'est-ce qui va se passer ?
17:29Ils vont perdre du business, ils vont perdre des affaires.
17:32Ils vont être gravement exposés.
17:34Donc, il arrive un moment où il faut mettre le poing sur la table.
17:39Les Français, en grande majorité, demandent à ce que ce président quitte l'Élysée
17:46puisque aujourd'hui, on est dans une impasse.
17:50On voit bien qu'il s'accroche au pouvoir.
17:51Il n'a plus de légitimité populaire.
17:54Il n'a pas le soutien des patrons.
17:55Oui, enfin, légalement, il a tout à fait le droit de rester au pouvoir.
18:00Il a été élu.
18:01Il faut attendre les prochaines élections.
18:04Oui, peut-être légalement, mais il n'a aucune légitimité aujourd'hui.
18:07Et pourquoi il s'accroche au pouvoir ?
18:09C'est parce qu'il a une mission.
18:10Et sa mission, c'est quoi ?
18:12La mission, c'est le démembrement du pays.
18:15Parce qu'il a été élu pour ça.
18:17Ça, il faut le comprendre.
18:18Oui, alors, c'est ce que vous dites, c'est votre opinion.
18:20On n'est pas obligé de la partager.
18:23Mais est-ce que...
18:23Moi, je voudrais revenir à cela, quand même.
18:25Est-ce que vous pensez que le cri d'alarme, ou en tout cas la colère d'Olivier Andréès,
18:32du patron de Safran, est-ce que vous pensez qu'aujourd'hui, on a besoin...
18:36Enfin, il serait bon pour ce qui se passe actuellement dans le pays, pour parler de la France,
18:41que l'entendre d'autres voix qui disent, en dehors du fait de Macron et de la personne de Macron,
18:48s'il reste ou pas, en disant, la situation est grave et elle est plus grave qu'on ne pense.
18:52Exactement, c'est ce que j'allais vous dire tout à l'heure.
18:56On a besoin d'entrepreneurs qui ont ce qu'il faut en dessous de la ceinture,
19:01excusez-moi de l'expression, pour pouvoir sortir du bois et enfin dire les choses,
19:06dire la vérité, expliquer la situation,
19:09et avoir le courage d'exposer cette imposture que constituent ces politiciens pseudo-écologistes,
19:20qui sont en fait des marxistes, qui cherchent à mettre en place,
19:24et collaborent avec le plan mondialiste pour mettre en place ces sociétés, ces villes de 15 minutes,
19:31et de mettre en place une société de répression, de contrôle numérique et de tyrannie.
19:37Donc, aujourd'hui, il est temps de mettre fin au déroulement de cette rhétorique politique.
19:48Je me pose la question, comment ça se fait que Sandrine Rousseau,
19:51en permanence interviewée dans les médias,
19:55vu le discours que cette personne tient, je me dis, mais ce n'est pas possible.
19:59Ce n'est vraiment pas possible.
20:00Ah oui, c'est une grande vedette, mais qu'est-ce que vous voulez ?
20:03C'est une grande vedette de la télévision, enfin, et de l'audiovisuel,
20:08et moi, ce qui m'intéresse beaucoup, quand même,
20:11c'est qu'elle a été professeure d'économie politique, à Lille, à l'université de Lille.
20:17Elle était maîtresse de conférences en sciences économiques.
20:20C'est ça qui est intéressant, vous voyez ?
20:23Voilà, voilà, je ne dis pas, heureusement, nous avons d'excellents économistes, mais là...
20:28Je vais vous dire quelque chose, je pense que Sandrine Rousseau est une femme qui est frustrée,
20:32elle n'a pas de vrai avenir, elle essaye de s'accrocher à son idéologie marxiste,
20:38et en fait, elle n'aime pas la France, elle déteste la France.
20:41Elle déteste ce pays, elle déteste les valeurs, elle déteste notre héritage,
20:46et elle n'a aucune foi, d'accord ? Aucune foi.
20:49Écoutez, ça, je vous laisse effectivement à la liberté de votre opinion.
20:54On verra, vous savez, Ludovic Malot, je crois que qui vivra et qui votera verra, comme on dit,
21:00mais en tout cas, c'est vrai que c'est intéressant de voir si, effectivement,
21:06le cri, en tout cas la réaction du patron de Safran, sera suivi ou pas,
21:12mais incontestablement, je n'ai pas le temps de faire le tableau des licenciements,
21:17on le fera la semaine prochaine, dans toutes les industries,
21:23et il y en a en France, ce n'est pas un petit pays,
21:26mais c'est vrai qu'il y a une situation très grave,
21:29et qu'il est temps d'y remédier, ça, tout le monde le sait, mais comment ?
21:33Est-ce que ça va se passer en dessous de la ceinture, au-dessus de la ceinture ?
21:36On verra. Merci Ludovic Malot.
21:40Les Français parlent au français.
21:44Je n'aime pas la blanquette de veau.
21:46Je n'aime pas la blanquette de veau.
21:49Sud Radio Bercov dans tous ses états.
21:52De temps en temps, de temps en temps, nous avons vraiment des perles de culture,
21:58comme vous le savez, auditeurs du Sud Radio, résistants du Sud Radio.
22:02Ce que j'appelle des perles de culture, ça veut dire des hommes, des femmes politiques,
22:06qui nous disent des choses amendées, que ça leur échappe ou pas,
22:10que ce soit leur inconscient qui s'exprime, qui s'actualise ou pas,
22:13c'est toujours très intéressant parce que ça fait plaisir et parce qu'il faut un peu d'humour dans ce monde de brut.
22:22Écoutez, par exemple, écoutez Mathilde Panot, mais écoutez bien.
22:28Sud Radio Bercov dans tous ses états, les perles du jour.
22:33C'est nous les imbéciles, on s'est plantés décidément.
22:44C'est écrit dans les magazines, à l'encre débile, à l'encre débile.
22:50Oh, venez, venez, venez, c'est nous les imbéciles, il ne faut pas exagérer qu'on plus, il ne faut pas exagérer.
22:55De temps en temps, comme je l'ai dit, eh bien, on part un peu dans certains égarements
23:00et que celui qui ne s'est jamais égarré nous jette la première pierre.
23:05Et par exemple, il y a un an, je crois que c'était sur BFM,
23:11Mathilde Panot, donc de la France Insoumise, parlait environnement et disait ceci.
23:18C'est une situation de sécheresse, évidemment, en France,
23:21mais nous avons aussi des situations de sécheresse dans les océans et dans les mers,
23:25ce qui est extrêmement dramatique.
23:29Oui, c'est absolument dramatique, c'est vrai, vous avez raison.
23:34Et où elles viennent ces sécheresses ? Dans les océans et dans les mers.
23:38Donc, il y a de la sécheresse dans les océans et dans les mers.
23:43Alors ça, c'est intéressant, parce que je me suis plongé, c'est presque un problème philosophique.
23:46Comment y a-t-il de la sécheresse dans les mers ?
23:51Comment y a-t-il de la sécheresse dans les océans ?
23:55Alors, je ne vois pas du tout et de quelle façon ça se passe.
24:01Mais écoutez, apparemment, Mathilde Panot le sait,
24:05donc écoutez, on serait ravis de la cuire,
24:08qu'elle nous explique comment il y a de la sécheresse dans la mer.
24:12Parce que moi, je me suis baigné, comme vous, comme tout le monde s'est baigné dans la mer.
24:16Et en général, c'est pour fuir la sécheresse.
24:19C'est-à-dire, la sécheresse, on parle de la sécheresse dans le Sahel,
24:23on parle de la sécheresse, effectivement, dans un certain nombre de pays ou de régions
24:28où le soleil tape de manière incroyable, où rien ne pousse.
24:33Mais dans la mer, mais dans le soleil, très étonnant.
24:37C'est-à-dire, c'est-à-dire, c'est-à-dire, c'est-à-dire.
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