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  • 13/04/2025

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00:00Il y a un homme qui portait une étoile de David, qui a été frappé à Villeurbanne, frappé violemment, filmé, une enquête a été ouverte, c'est une agression antisémite, la troisième, troisième à Villeurbanne, près de Lyon, depuis en un mois, frappé à la tête, traité de sale juif, son délit, il portait une étoile de David, non mais, il portait une étoile de David, et il y a un homme qui, ils étaient deux individus, il y en a un qui a frappé, je vous passe les insultes,
00:27salle juif, salle faf, qui ont refusé lors de cette rencontre, et l'autre qui filmait, avec son téléphone portable, on est quand même, on est quand même choqué, enfin, le troisième antisémite, je vous rappelle, les chiffres, on a plus de 1500 sur l'année 2024, on n'a pas encore des chiffres sur les débuts de l'année, et cette phrase de Bruno Rotaillot, au mois de mars dernier, après l'agression, vous savez, du rabbin Orléans, qui disait, les juifs représentent moins de 1% de la population nationale, moins de 1% de la population nationale,
00:55mais ils concentrent à eux-mêmes, ils concentrent, ils sont victimes de près de 60% des agressions religieuses.
01:02C'est effrayant, et c'est la honte de ce pays.
01:06Je ne pensais pas vivre une période dans ce pays qu'est la France,
01:12où des juifs étaient à nouveau agressés.
01:16Enfin, je ne sais pas si on mesure ce que ça représente.
01:20Pour moi, c'est une, c'est plus qu'une régression, c'est une remise en cause fondamentale du pacte, du pacte national, de la façon de vivre ensemble dans cette nation.
01:32Et j'ajoute un point, c'est que quand l'antisémitisme revient, enfin, là on ne parle pas simplement d'opinion, on parle d'acte physique, d'agression.
01:40Là, on est dans le passage à l'acte.
01:42Ça n'annonce vraiment pas des bonnes choses pour un pays.
01:47L'antisémitisme est toujours un révélateur, et l'antisémitisme violent physiquement est toujours un révélateur qui annonce d'autres violences.
01:55Et donc, à ce double trite, à la fois par solidarité avec nos compatriotes juifs,
02:02et pour la bonne santé ou la meilleure santé de ce pays, il faut absolument que nous abolisions.
02:07Le grand risque, c'est une sorte de banalisation.
02:10C'est-à-dire que les agressions se multiplient.
02:12Exactement, et puis au final, ça passera son tapis.
02:14On finit par dire, ben oui, voilà, comme on parle d'actes des délinquances, ou de criminalité.
02:18On finit par s'y habituer.
02:20On finit par s'y habituer.
02:21Alors que c'est intolérable.
02:22C'est intolérable.
02:23Oui, mais je pense que si nous repartons quelques années en arrière, 15 ou 20 ans,
02:29nous ne pouvions pas imaginer à l'époque une telle léthargie.
02:33La léthargie qui anime les Français aujourd'hui.
02:37Mais moi, je crois que pour un certain nombre de personnes,
02:41l'antisémitisme n'était intéressant qu'autant qu'il permettait d'accuser l'extrême droite.
02:45Maintenant que ce n'est plus le cas, ça n'intéresse plus ces personnes.
02:49Alors évidemment, l'enquête doit se dérouler.
02:51Moi, je me contente de dire ce que j'ai lu dans la presse.
02:55Mais si, de fait, les personnes qui ont agressé ce jeune homme sont de la jeune garde telles qu'ils le disent...
03:05Oui, parfois, je me demande s'ils comprennent ce qu'ils font.
03:07Non, mais attendez, ils comprennent.
03:09Moi, je vais vous dire un truc, c'est qu'ils savent très bien ce qu'ils font.
03:11Je crains que oui.
03:11Ils savent très bien ce qu'ils font.
03:13Et puis, et l'autre qui filmait ?
03:15Non, mais vous en pensez quoi ?
03:16Non, mais c'est parce que c'est une chose de commettre une agression,
03:21c'en est une autre, en plus d'en être fière au point de la filmer et de chercher à humilier celui que vous avez agressé.
03:25Vous voyez, il y a deux dimensions.
03:26Et à faire le profond sur les réseaux sociaux.
03:28Exactement, il y a deux dimensions.
03:30Mais il faut se rendre compte aussi qu'il y a un certain nombre de nos compatriotes juifs qui se sont au censure aujourd'hui.
03:35C'est-à-dire que les signes tels que vous les donnez, la petite étoile de David,
03:41aujourd'hui, un certain nombre de gens disent à leurs enfants, c'est terminé, il ne faut plus qu'il y ait de signes à un parent.
03:46Attention, là, il faut voir la maison à l'entrée des appartements.
03:50Et donc, moi, j'ai une amie qui m'a dit, j'ai changé mon numéro, mon nom sur la boîte aux lettres.
03:58Et sur les applications de livraison.
04:02Ça devrait, enfin si vous voulez, ça devrait susciter une indignation incroyable.
04:08Ça l'aurait été, il y a une dizaine d'années.
04:10Et on se rend compte que ça reste un petit fait d'hiver, alors que c'est en réalité, là aussi, un fait de société.
04:14C'est un fait de société exactement, mais comment faire pour justement que ça ne bascule pas dans l'ordinaire ?
04:20On s'y fait, on accepte, c'est comme ça.
04:23Non, mais c'est une question, c'est une très bonne question, à laquelle je n'ai pas de réponse immédiate.
04:28Tout le monde devrait être dans la rue à manifester.
04:30Moi le premier, d'ailleurs.
04:32Tout le monde devrait être dans la rue à manifester.
04:34Mais regardez la marche contre l'antisémitisme.
04:36Regardez, il y avait qui à cette marche contre l'antisémitisme ?
04:39Il y avait du monde quand même.
04:39Non, mais il n'y a pas le président de la République.
04:40Il n'y avait pas le président de la République.
04:42Il y avait du monde, il y avait le président du Sénat, il y avait le président de l'Assemblée nationale.
04:46Il y avait beaucoup de personnes âgées déjà.
04:48Moi j'ai été très frappée par la moyenne d'âge.
04:50Oui, vous avez raison.
04:51Il y a visiblement une jeunesse qui n'était pas concernée.
04:54Et encore une fois, moi je trouve absolument essentiel que nous sachions d'où vient cette antisémite.
05:01Il y a des enquêtes.
05:02Vous voyez, c'est une des choses que peut faire la ministre de l'Intérieur.
05:04Il ne suffit pas de nous dire...
05:05Depuis le 7 octobre, les actes antisémites en France ont été multipliés par plus que 3.
05:10C'est ce que disait Bruno Retailleau.
05:12Absolument.
05:13Mais si on a affaire, on va prendre plein de conditionnels pour rester très prudents.
05:19Si on a affaire à un militant d'extrême gauche,
05:22et les cris que vous avez cités,
05:25à l'évidence c'est une réflexion très idéologique.
05:29Si j'appose ça, appeler ça une réflexion, ce n'est pas le meilleur terme.
05:32C'est une agression idéologique qui se fait sous le prétexte de l'antisionisme.
05:39Je pense qu'il y a une partie des actes antisémites,
05:42surtout venant de militants d'extrême gauche, encore une fois si c'est confirmé,
05:47qui viennent d'un antisionisme viscéral,
05:49qui est le refus catégorique de l'existence de l'État d'Israël,
05:55et de considérer que les diasporas en France, les Français juifs,
06:00sont des complices de cet État qu'ils considèrent comme du pur colonialisme et du pur fascisme.
06:07Il faut voir que vous parliez finalement de Canaries dans la mine,
06:11mais c'est exactement ça, parce qu'en réalité,
06:14aujourd'hui, le Juif, en tant qu'Israélien, est supposé être le colon.
06:18Donc vous voyez, comme la France a pu l'être...
06:23Oui, mais du coup, l'Israélien est assimilé aux Juifs,
06:26on voit le raisonnement intellectuel de ceux qui...
06:28Le Juif est assimilé à l'Israélien.
06:30Voilà, exactement, qui commettent ces actes.
06:33Donc le Juif a maintenant le statut de colon,
06:37vous voyez, il y a même un renversement sémantique,
06:41parce qu'il est souvent traité de nazi,
06:43vous voyez, c'est quand même assez particulier,
06:45comme retournement de la chaussette, là.
06:47Il y a la volonté de retourner le stigmate.
06:50Voilà, exactement, il y a cette volonté-là,
06:51et il y a cette volonté aussi d'élargir ce qualificatif,
06:57en fait, à tout ce qui est occidental.
06:59C'est pour ça que ça me paraît tout à fait insuffisant
07:02de dire simplement le nombre d'agressions antisémites,
07:04ce qui est important, voilà, il faut le dire,
07:06mais il faut dire ensuite d'où ça vient, sinon ça ne sert à rien.
07:08Moi, j'avais été très choquée de voir que Mme Brown-Pivet,
07:10quand on l'avait interrogée avant la manif, je crois, contre l'antisémitisme,
07:13on l'avait interrogée en lui disant,
07:15mais quel est le carburant aujourd'hui de cet antisémitesisme ?
07:18Elle n'avait pas osé le dire, elle avait dit, je ne sais pas...
07:20Non, mais il y a un moment, il faut jouer carte sur table,
07:23sinon personne ne pourra lutter.
07:24Alors, d'où vient-il ?
07:26Qui le propage ?
07:27Comment cela se passe dans notre pays ?
07:28Le carburant, c'est l'antisionisme.
07:31Voilà, mais l'antisionisme, il est forcé par qui ?
07:34Qui l'utilise, l'antisionisme ?
07:36Deux parties de la population,
07:37une partie des militants d'extrême-gauche,
07:40une partie des quartiers.
07:41Eh bien voilà, il va falloir que tout le monde ait le courage de le dire.
07:44Bien sûr, tout simplement.
07:45Je ne fais pas de généralisation, je précise bien.
07:48Non, non, non, non, mais pas du tout.
07:48Mais le moteur, c'est l'antisionisme,
07:50et il y a une sorte d'alliance entre une extrême-gauche
07:53qui est devenue totalement antisioniste,
07:56et une partie des quartiers de l'immigration,
07:58souvent musulmanes.
08:00Je ne fais pas de généralisation, je le répète pour la deuxième fois.
08:03On le sait, Philippe Guibert.
08:03Mais il y a une partie de cette population
08:05qui est fondamentalement antisémite par antisionisme.
08:08Les deux se rejoignant largement,
08:11et aboutissant aux agressions physiques,
08:14au passage à l'acte,
08:15auquel on assiste de façon démultipliée
08:17depuis le 7 octobre.
08:19Vous vous rendez compte, c'est très très grave.
08:20C'est très très grave.
08:21C'est très très grave.
08:22D'autant plus que je ne comprends pas ce que vient faire...
08:25Je ne comprends toujours pas,
08:26quelqu'un peut-il m'expliquer ce que vient faire
08:28le conflit israélo-palestinien en France.
08:32Je ne comprends pas comment ça peut mobiliser des gens.
08:34Comment on peut l'importer contre des populations vivantes en France.
08:36Contre les Français.
08:38Contre les Français.
08:39Mais vous vous rendez compte un peu ?
08:40C'est dramatique.
08:41Moi, je n'arrive pas à me l'expliquer.
08:43Le drapeau palestinien est devenu aujourd'hui...
08:45Un symbole de résistance, c'est une blague.
08:47Oui, une cristallisation aussi d'un discours
08:50qui jusque-là n'avait pas son propre drapeau.
08:52Et d'ailleurs, il n'est pas étonnant
08:54que partout dans les meetings de la France insouïste,
08:57à chaque fois qu'il y a une manifestation d'extrême-gauche,
08:59il n'y a que le drapeau palestinien.
09:01Vous chercherez vainement.
09:02Moi, en tout cas, je l'ai fait.
09:03Le drapeau français, c'est le drapeau palestinien.
09:06Donc, il faudrait être infiniment vigilant avec tout cela.
09:11Je vous garantis.
09:12Là encore, moi aussi, je mets toutes les précautions oratoires possibles
09:15parce que je ne suis pas chargée de l'enquête et je n'en sais rien.
09:18Mais si une victime avait dit
09:21que c'était un militant du GUD et pas de la jeune garde,
09:23je vous garantis que toutes les radios,
09:25toutes les télés, tout le monde serait sur le sujet.
09:29Et là, ce n'est pas le cas parce que ça dérange.
09:30parce que l'antisémitisme, quand il vient de l'extrême-gauche,
09:35eh bien, finalement, il est de bon taux de l'occulter.
09:39Voilà.
09:39Et ça, ça me paraît être extrêmement dangereux pour la suite.
09:45Il faut simplement savoir, il faut faire parler, par exemple,
09:47des étudiants dans des grandes écoles,
09:49dans des universités, dans des instituts.
09:52Au Liopédie de Strasbourg, tout récemment, ces derniers jours,
09:55pour un partenariat avec une université israélienne.
09:59Donc, partout où il y a des militantes d'ultra-gauche,
10:03d'extrême-gauche, ultra-présents,
10:05eh bien, il y a un antisémitisme extrêmement fort
10:09et très décomplexé.
10:10Très décomplexé.
10:12Donc ça, c'est...
10:14Il devrait y avoir des gyrophares rouges
10:15sur la tête de nos politiques.
10:17Et je vous dis, ça, il me semble que Bruno Retailleau,
10:20il peut le faire.
10:20On dit parfois, bah oui, il est tout seul,
10:22il ne peut pas faire grand-chose.
10:23Bah, il peut le faire, vous voyez,
10:24il va déclassifier les dossiers sur les frères musulmans.
10:27Eh bien, qu'il nous dise, voilà,
10:28ces agressions antisémites,
10:29de qui viennent-elles ?
10:31Parce que c'est...
10:32On ne peut pas, si on ne fait pas l'éthiologie d'un mâle,
10:35eh bien, on n'arrivera pas à résoudre le problème.
10:38Là, aujourd'hui, on reste dans un flou artistique.
10:40Parce qu'en réalité, ça dérange tout le monde
10:42de parler d'un antisémitisme d'extrême-gauche.
10:44Voilà.
10:45Oui.
10:45Et ça veut dire qu'aujourd'hui,
10:47enfin, pardon,
10:48mais la communauté juive de France,
10:49effectivement, se sent stigmatisée,
10:51se sent en danger, vous vous rendez compte ?
10:53Bien sûr.
10:54Comment, enfin, alors, évidemment,
10:55on ne l'accepte pas.
10:56Et ici, on le dénonce haut et fort.
10:59On le dénonce haut et fort.
11:01Mais on en vient des violences.
11:02Enfin, je veux dire, c'est...
11:03Je redis les chiffres, hein.
11:05Moins de 1% de la population nationale,
11:07et ils sont victimes de près de 60% des agressions religieuses.
11:10Oui, c'est énorme.
11:11Donc, je veux dire, on ne peut pas comparer ça
11:13à d'autres religions.
11:15Je ne dis pas que certaines religions...
11:16Non, non, les autres actes sont tout à fait condamnables aussi, évidemment.
11:19Bien sûr, mais là, c'est spectaculaire.
11:22Mais il y a une disproportion qui est massive.
11:23Mais il faut arrêter ça, il faut arrêter ça.
11:25Enfin, il faut en parler déjà, ne jamais cesser d'en parler.
11:27Il faut se rendre compte des études qui sont faites, pardon.
11:30Il y a une étude, je me souviens, l'été dernier, qui a été faite.
11:33La France était très mauvaise élève.
11:35On demandait...
11:36Ben oui, sur la perception, en tout cas, des Juifs en Europe, de la sécurité.
11:44Est-ce que vous vous sentez en sécurité dans votre pays, tout simplement ?
11:48Eh bien, la France était loin d'être une bonne élève.
11:50Je vous renvoie à cette étude, c'est très impressionnant.
11:53Je vais regarder l'étude.
11:54Mais en Grande-Bretagne, en Allemagne, on a assisté, pour des raisons similaires,
12:00à une poussée des actes antisémites.
12:02Je rappelle quand même à Londres, et je ne sais pas si c'est toujours le cas,
12:05mais à une époque, ils ont fait des bus réservés aux Juifs pour les protéger.
12:09Je ne sais pas si vous mesurez la folie que ça représente.
12:13Enfin, la folie.
12:14Je comprends que de façon pragmatique, on met des bus à disposition pour protéger.
12:19Mais c'est une terrible défaite.
12:22C'est une débandade absolue de tous les principes qui fondent nos démocraties libérales.
12:28Ce n'est pas possible.
12:29Moi, je le dis très clairement, c'est une rupture de contrat dans ce qu'est la France.
12:35Vous voyez ce que je veux dire ?
12:37La France, qui depuis l'affaire Dreyfus, a été contre-vichie.
12:44De retrouver ça aujourd'hui dans notre pays, c'est quelque chose pour moi d'inimaginable.
12:48Et c'est un renversement historique de situation qui n'est pas acceptable.
12:52Si nous ne bougeons pas, nous nous préparons des lendemains difficiles.
12:56Très difficile.
12:57Très difficile.
12:58On en aura honte.
12:59Donc, il faut bouger.
13:00On en aura honte.
13:00Absolument.
13:00Mais pendant l'extrême gauche, tiendra le narratif, et c'est toujours le cas,
13:04elle a toujours le magistère moral, et bien ça se poursuivra.
13:07Moi, je vous garantis que c'est que ça.
13:09Et le narratif là-dessus.
13:11Ah, bah, écoutez, la preuve, c'est la léthargie quand il se passe ce genre d'événement.
13:18Il y a une vraie occultation, en tout cas minimisation de ces événements.
13:24Moi, ça me frappe.
13:25Je vous rappelle, le toulé, quand même, justifié, au moment de l'affiche,
13:29la fameuse affiche de Elle et Fille contre Siri Hanouna.
13:35Je vous rappelle, l'un des désignes tous les plus sévères, c'était dans le monde.
13:37Oui, mais alors, moi, je vous rappelle aussi que, dernier point, après je l'étais,
13:40mais après le 7 octobre, le nombre de membres de la France Insoumise ont eu des positions plus qu'ambiguës,
13:48et je reste gentille, sur ces questions-là, et ça n'a empêché personne d'aller faire le cordon sanitaire de concert avec eux.
13:55Voilà.
13:56C'est vrai.
13:56Le cordon, comment on dit ? Oui, c'est ça, le cordon sanitaire, le Fonds Républicain.
14:00Bien.
14:00Il est 20h45, dans un instant, on m'a parlé de l'Algérie, qui menace maintenant la France de représenter...
14:05Alors là, vous étiez là, Philippe Guibert, hier soir ou pas ?
14:07Non, je ne sais plus, c'est avant, hier soir.
14:09Mais hier soir, on en a parlé.
14:10On en a parlé, on s'est dit que ça va dégénérer, alors que Jean-Noël Barraud était donc en Algérie,
14:15le 6 avril, en disant que tout va bien, c'est formidable.
14:17Embrassons nos folles villes.
14:19Exactement, ça n'aura duré qu'une semaine.
14:2120h46 sur Europe 1.

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