Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • 10/04/2025
5 ans après le premier confinement, la journaliste d’investigation Corinne Lalo (affaire du sang contaminé, Mediator, Levothyrox…) dévoile les 10 grands mensonges de la crise sanitaire dans son livre explosif "Fausses pandémies, vrais mensonges - Comment on vous trompe en 10 leçons : enquête", aux éditions Magnus.

🔴 Un virus "inconnu" ? La thèse officielle s’effondre : des preuves montrent que l’opération était préparée.
🔴 L’origine du Covid ? Et si le Pr Montagnier (Prix Nobel) avait raison et que le Sars Cov-2 était issu d’une manipulation humaine réalisé dans un laboratoire ?

🔴 Aucun traitement efficace ? Pourquoi les autorités ont-elles nié toutes les alternatives aux vaccins, des traitements à la question de l’immunité naturelle et collective ?
🔴 La peur, arme de contrôle massif : confinement, pass-vaccinal, pass-sanitaire, test PCR, décomptes morbides… pourquoi ces mesures disproportionnées ?
🔴 L’OMS sous influence : conflits d’intérêts, partenariats opaques…
🔴 Effets secondaires minimisés : pourquoi les alertes ont-elles été étouffées ?
🔴 Quid de l’attitude des agences sanitaires ?

👉 Une enquête implacable qui révèle comment on nous a trompés pour ne plus l’être !

🔔 Abonnez-vous pour ne rien manquer des révélations chocs !
👍🏼 Dopez notre diffusion grâce au pouce en l’air !

💬 Votre avis ? Pensez-vous que la vérité éclatera un jour ? Dites-le en commentaire !

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Générique
00:00Bonjour à tous, on se retrouve pour le Zoom du jour en compagnie de Corinne Lallot.
00:10Bonjour madame.
00:10Bonjour.
00:11Alors vous êtes journaliste, grand reporter, spécialiste des questions de santé.
00:15Vous avez traité des grands scandales type l'affaire du sang contaminé, le Mediator ou le Levothyrox.
00:21Je ne citerai que ces trois-là.
00:22Et vous publiez un nouvel ouvrage, Fausse pandémie, vrai mensonge, comment on vous trompe en 10 leçons.
00:27Enquête, c'est aux éditions Magnus.
00:30Alors nous sommes plus de 5 ans après une date fatidique, le cinquième anniversaire du premier confinement en 2020,
00:36après ce que l'on a appelé la crise du Covid-19.
00:40Aujourd'hui, que diriez-vous de ces gens que les médias ont tant traité de complotistes ?
00:46Est-ce qu'aujourd'hui finalement les complotistes sont ceux qui ont compris avant l'heure ?
00:50Force est de constater qu'il faut 5 ans maintenant pour que certaines instances académiques
00:57commencent à reconnaître du bout des lèvres que, par exemple, le virus était peut-être de source artificielle,
01:06le coronavirus.
01:07Je pense à l'Académie de médecine qui vient de sortir un rapport qui dit que peut-être, éventuellement,
01:14et pourquoi pas, ce serait peut-être un virus artificiel,
01:16mais que ce serait peut-être aussi une fuite de laboratoires.
01:20Mais en même temps, ils n'éliminent pas complètement l'hypothèse naturelle,
01:24mais ils donnent des conseils, par exemple, aux laboratoires,
01:29ils disent « bon, maintenant, il faut faire attention à la sécurité dans les laboratoires ».
01:32Donc ils ne disent pas vraiment « c'est d'origine artificielle »,
01:35mais alors par contre, « renforcez votre sécurité ».
01:38Ce qui veut dire quand même qu'ils ont un petit doute sur l'origine de ce virus,
01:43mais maintenant, ils ne disent pas, ils disent « c'est accidentel ».
01:46Mais en fait, on n'en sait rien.
01:47Parce que, ok, maintenant, ils commencent à reconnaître que c'est d'origine artificielle,
01:53comme le disaient certains complotistes.
01:55– Certains complotistes, dont quand même un prix Nobel de médecine
01:59qui s'appelait le professeur Montaillet,
02:01qui a été taxé de complotisme, d'obscurantisme, que sais-je.
02:06Au final, il a raison un peu aujourd'hui.
02:07– C'est pour ça que finalement, être taxé de complotiste, ça devient un compliment.
02:11Vous voyez, parce que c'est ceux qui ont raison 5 ans avant les autres.
02:14Donc c'est un peu gênant.
02:16Mais en tout cas, maintenant, comme ils reculent, petit à petit,
02:19ils reculent sur tout ce qu'ils ont dit.
02:20Donc ils ont dit que c'était un virus naturel.
02:22Il s'avère que peut-être que pas.
02:23– La fameuse chauve-souris et le pangolin.
02:25– Voilà, chauve-souris et pangolin.
02:27Donc finalement, cette thèse-là, elle n'a jamais été étayée scientifiquement, jamais.
02:32Donc déjà, l'affirmer au début, c'était abusif.
02:34Et donc là, ils reculent en disant, bon, mais finalement,
02:37c'est une fuite de laboratoire.
02:39Ça, c'est ce que disent par exemple les agences de renseignement,
02:41les services secrets américains, les services secrets allemands aussi.
02:46Donc ils disent tous, maintenant, c'est une fuite de laboratoire.
02:49Et donc, c'est accidentel.
02:51Ben non.
02:52Et donc, aussi, ils disent, et ça a commencé à Wuhan.
02:56Bon, ok, ça a commencé à Wuhan, mais rien ne dit que c'est accidentel.
03:01Et rien ne dit que ça peut être intentionnel.
03:05Mais il faut garder l'hypothèse.
03:07– Mais ce que l'on peut en déduire, en tous les cas,
03:08c'est qu'on est certain que des travaux de gain de fonction,
03:11puisque c'est comme ça que ça s'appelle,
03:13sont pratiqués dans ces laboratoires,
03:15puisqu'on postule sur l'hypothèse,
03:17on postule, pardon, sur la fuite de ce laboratoire.
03:19– Voilà, parce qu'il faut savoir que dans ce laboratoire,
03:23donc ça, ça commence à devenir la thèse officielle,
03:26parce qu'il y a des rapports parlementaires américains
03:28qui font 400 pages et qui maintenant disent,
03:31bon, mais c'est une fuite de laboratoire,
03:34et c'est le laboratoire P4, donc pathogène très dangereux,
03:37de Wuhan, qui en est la source.
03:40Ça, ça reste à démontrer.
03:41Pourquoi ?
03:42Parce qu'on s'aperçoit, en enquêtant, ce que j'ai fait,
03:46parce que bon, déjà il y a eu le confinement,
03:47donc dès le confinement, j'ai commencé à regarder les articles
03:50qui avaient été publiés par les Chinois,
03:53et les articles qui avaient été publiés par les Américains,
03:55et on voit que pendant 20 ans, ils ont travaillé ensemble
03:58à fabriquer des virus artificiels.
04:02C'est ce qu'on appelle du gain de fonction,
04:04parce qu'on prend un virus naturel,
04:06et on lui ajoute une fonction artificielle,
04:09mais beaucoup plus virulente.
04:11Donc ça le rend dangereux.
04:12Vous prenez un virus inoffensif,
04:15et vous le rendez dangereux, ça s'appelle du gain de fonction.
04:17– Ou on passe de l'animal à l'humain, par exemple.
04:19– Voilà.
04:20Et donc pendant 20 ans, vous avez des personnages éminents,
04:25comme aux États-Unis, la personne qu'on a appelée
04:28le pape du gain de fonction, qui s'appelle Ralph Baric,
04:31et puis en Chine, vous avez une dame qui s'appelle Madame Xi,
04:35qui était surnommée la Batwoman,
04:38parce qu'elle était la spécialiste des chauves-souris.
04:40Et donc on s'aperçoit que pendant 20 ans,
04:42ils ont travaillé ensemble.
04:44Alors si vous voulez, je peux vous montrer comment.
04:46– Allez-y.
04:46– Alors, je vous ai apporté…
04:49– Mon coronavirus.
04:50– Un petit coronavirus, voilà.
04:53Alors ça, c'est un coronavirus inoffensif de chauves-souris.
04:57Qui est inoffensif à la fois pour les chauves-souris,
05:00et pour les humains, puisqu'il ne peut pas sauter la barrière d'espèce.
05:03– Donc là, on est sur le coronavirus,
05:04on n'est pas encore au fameux SARS-CoV-2.
05:07– Non, on est sur le coronavirus de chauves-souris.
05:10– Tout à fait.
05:10– Bon.
05:11Et donc, notre Américain…
05:13– Le fameux Baric.
05:15– Le fameux Baric.
05:16– Le voilà.
05:16– La chinoise remarque que si on ajoute cette petite chose-là,
05:22qui est la furine, qui est le site furine,
05:26à la place d'une ou sur une des spikes,
05:28vous voyez, ces petites pointes-là sont des spikes.
05:30Et donc, M. Baric et Mme Xi, pendant 20 ans,
05:35ils vont prendre un virus inoffensif,
05:37ils vont mettre un aspect humain, le virus humain,
05:41et ce virus-là…
05:43– La furine, précisément, c'est ce qui fait que ça devient
05:46potentiellement dangereux pour l'humain.
05:48– Exactement.
05:48– C'est la porte d'entrée.
05:49– Ce site, c'est un site, va permettre au virus,
05:53au coronavirus, de rentrer dans les humains,
05:57c'est-à-dire de sauter la barrière d'espèce.
05:59S'il n'y est pas, il ne rentre pas.
06:02S'il y est, il rentre.
06:04D'accord ?
06:05Et donc, pendant 20 ans, ils font ça.
06:07Et ils fabriquent ce virus-là, ils publient,
06:10donc j'ai retrouvé les articles où ils publient ça,
06:13ils le publient, et ils disent, effectivement,
06:15chez les mammifères, ça rentre.
06:17Et après, le but, pourquoi faire ça ?
06:19Parce que c'est extrêmement dangereux.
06:21Le but, c'est qu'ils disent, bon, après,
06:23on pourra fabriquer des vaccins au cas où ce virus-là
06:27apparaîtrait naturellement sur la planète.
06:30– Le meilleur moyen pour qu'il apparaisse,
06:31c'est de le fabriquer pourtant.
06:33– C'est le danger, effectivement.
06:35Et donc, mais le prétexte, c'est de dire,
06:38on va fabriquer un vaccin.
06:39Bon, et donc, ils font ça.
06:42Et lorsque paraît le fameux coronavirus de Wuhan,
06:46il est présenté comme ça par les mêmes personnes,
06:50on ne voit pas la virule,
06:51mais comme ils doivent donner le séquençage,
06:54quand on voit le séquençage, on voit qu'il y a ça.
06:57– C'est précisément ce qu'a dit le docteur Montagné.
06:59– Exactement.
07:01Et donc, il y a ça, mais plus curieux,
07:04les Chinois et les Américains, quand ils disent,
07:06et surtout les Chinois, ils ont trouvé un virus pandémique,
07:10très dangereux, mais ils oublient de parler de la furine,
07:14sur laquelle ils ont travaillé pendant 20 ans,
07:16en disant, si un virus devient dangereux,
07:19c'est parce qu'il y aura le site furine.
07:21Et quand le site furine arrive, ils n'en disent rien,
07:24et pendant plusieurs années, ils se taisent,
07:26ils font des conférences sur la spike, sur ci, sur ça, sur le virus,
07:29mais ils ne parlent pas de ça.
07:31Et ça, pourquoi ils n'en parlent pas ?
07:32Parce que, évidemment, s'ils en parlent, on va leur dire,
07:35mais attendez, peut-être que c'est artificiel.
07:37Et c'est ce qui s'est passé, puisqu'il y a eu des articles
07:40qui ont montré qu'effectivement, ça pouvait être artificiel.
07:44– Alors, justement, le fait de nier cette manipulation de virus,
07:49elle pose un problème, évidemment, dans le protocole thérapeutique d'après,
07:52c'est-à-dire nier l'existence d'une séquence qui a été manipulée,
07:56qui est issue d'un laboratoire, forcément, ça change un peu la donne
07:59pour les gens qui essaient de soigner les malades,
08:01qui vont contracter ce virus.
08:02– Bien sûr, et d'autant plus qu'en fait,
08:06il va y avoir en même temps une censure des médias,
08:10parce que tous les gens qui auront dit,
08:12attention, mais il y a le site furie.
08:14Alors, il y a des chercheurs officiels, comme en France,
08:18Coutard et Decroly, qui ont été les premiers à dire,
08:20ah, mais tiens, c'est bizarre, la particularité de ce virus, c'est ça.
08:25Et lui, mais ils n'iront pas plus loin.
08:27Ils diront, en tout cas, c'est ça la particularité.
08:31– On a de quoi s'étonner.
08:33– Voilà, et bizarrement, ça fait 20 ans qu'ils travaillent dessus,
08:36et bizarrement, le seul virus qui apparaît à potentiel pandémique,
08:40c'est celui-là, c'est le frère jumeau.
08:42C'est ça qu'il faut comprendre, c'est le frère jumeau.
08:44Donc, effectivement, qu'ensuite, pour soigner, ça ne va pas être évident.
08:47– Alors, on a l'impression aussi que, vous le dites,
08:51les scientifiques ont joué un double jeu vis-à-vis de la population,
08:54ils se sont succédés sur les plateaux de télévision,
08:57mais finalement, avec un double discours,
08:59c'est-à-dire qu'il y avait les choses qu'on pouvait dire,
09:02les choses qu'on ne pouvait pas dire,
09:03et leur prétendue volonté de protéger les populations
09:06ne pouvait pas cohabiter avec leur secret, leur culte du secret.
09:11– Oui, d'autant plus qu'aux États-Unis, comme en France d'ailleurs,
09:14parce qu'on voit quand même qu'il y a des courriels secrets et tout,
09:17dès que ça va commencer à sortir, à fuiter, par exemple, le professeur Montagné,
09:22dès que ça va fuiter dans les réseaux sociaux,
09:25on voit comment tous ces gens-là, par les courriels qu'ils ont maintenant,
09:29qui sont sortis par la justice,
09:31on voit comment tous ces gens-là vont organiser la censure
09:34et la chasse à tous les scientifiques qui vont dire,
09:37mais attention, ce site Furin-là, ça fait 20 ans que vous travaillez dessus,
09:41et ça fait 20 ans que vous essayez de l'insérer là-dedans,
09:44et il y a des chercheurs qui, depuis 20 ans, alertent en disant,
09:47mais c'est très dangereux ce que vous faites,
09:48parce que le jour où ça sort, à ce moment-là,
09:50ça va être difficile de lutter contre.
09:52Eh bien, on voit comment ils organisent la censure,
09:55et la censure à tous les niveaux, la censure avec le gouvernement américain,
09:59avec la CIA, avec Facebook, avec les réseaux sociaux,
10:04et depuis l'élection de Trump,
10:07Facebook et Zuckerberg, le patron de Facebook,
10:10ont dit qu'ils s'excusaient d'avoir censuré,
10:14et que maintenant, ils allaient faire en sorte de ne plus censurer.
10:17On va voir, on va voir, mais en attendant, ils ont censuré.
10:20Ce qui fait qu'on n'a pas eu l'information,
10:22et qu'il y a beaucoup de gens qui sont morts,
10:23et on ne sait pas pourquoi.
10:25Mais en tout cas, il y aurait eu un débat contradictoire,
10:28il y aurait eu une liberté de l'information,
10:30eh bien, on n'aurait pas connu ce qu'on a connu.
10:32– Bien sûr, et le débat contradictoire, on le rappelle,
10:33c'est la base de la science et de l'évolution scientifique.
10:35– Et c'est la base de la liberté.
10:37– Bien sûr.
10:37On a le sentiment aussi que ces faux-semblances,
10:40ces cachoteries, ces secrets,
10:43tout ça, ça s'était également appliqué à un point
10:46qui est peu évoqué aujourd'hui,
10:47et qui est pourtant crucial dans la gestion de cette crise sanitaire,
10:50c'est l'évacuation totale des traitements.
10:53La possibilité qu'il y ait des traitements contre cette maladie
10:55a été niée très rapidement.
10:57On sait pourquoi, mais comment expliquez-vous
10:59cette attitude des scientifiques,
11:01justement, à l'égard des potentiels traitements
11:03qui ont été au moins postulés, proposés ?
11:06– Écoutez, les traitements,
11:07on le connaît depuis un certain temps, d'ailleurs,
11:10parce que même eux, les officiels,
11:12comme Anthony Fauci, l'américain qui a tout financé,
11:14même eux, en 2005, c'est-à-dire bien avant le Covid,
11:19il y avait eu le précurseur du SARS-CoV-2,
11:22qui était le SARS-CoV-1.
11:23– Absolument.
11:24– Donc, le SARS-CoV-1, ils avaient remarqué
11:26que l'hydroxychloroquine empêchait la multiplication du virus.
11:32Donc, que l'hydroxychloroquine, qui est la quinine à l'origine,
11:36ça marchait.
11:37Bon.
11:37Et donc, ils l'avaient documenté, ils avaient fait des articles.
11:39Donc, c'était logique de penser qu'avec le 2, ça allait marcher aussi.
11:44Et d'ailleurs, il y a des études chez les Chinois qui ont montré que oui,
11:47ils vit trop.
11:48Et qu'ensuite, s'ils le faisaient sur des humains,
11:51eh bien, ça avait quand même un certain intérêt.
11:52Bon.
11:52Pourquoi ils ont refusé ces traitements, mais d'une façon catégorique ?
11:57Tout simplement parce que, pour qu'il y ait un vaccin,
12:01il faut une absence de traitement sur le marché.
12:05– Pour qu'il y ait un vaccin qui soit développé dans si peu de temps.
12:08– Autorisé, voilà.
12:09Pour qu'il y ait un vaccin autorisé,
12:10parce qu'ils ont autorisé un vaccin à la va-vite,
12:13de façon précipitée, c'est-à-dire en 10 mois,
12:17alors que normalement, il faut 10 ans.
12:19Voilà.
12:19– Avec une nouvelle technologie,
12:21même si elle était déjà pratiquée en laboratoire,
12:24à savoir la technique de la RNM.
12:27– Voilà.
12:28Qui était complètement nouvelle chez les humains.
12:30C'était…
12:31– Il avait déjà été testé dans plusieurs vaccins,
12:33mais ça n'avait jamais donné satisfaction en tous les cas.
12:35– Jamais, au contraire, ça avait montré de la toxicité.
12:37Ça avait montré de la toxicité.
12:38Mais il faut savoir qu'ils ne pouvaient pas donner une autorisation d'urgence
12:43pour l'utilisation des vaccins,
12:45s'il existait un traitement sur le marché.
12:47Donc, il fallait absolument qu'il n'y ait pas de traitement sur le marché.
12:52Donc, il fallait nier l'efficacité des traitements
12:55comme l'hydroxychloroquine, comme l'ivermectine,
12:58comme quelquefois des stéroïdes.
13:01Des stéroïdes, c'est de la cortisone, tout simplement,
13:03pour aider, ou même les antibiotiques.
13:05Vous avez un virus, ensuite, vous avez une pneumonie,
13:10et vous avez, par-dessus la pneumonie, une infection bactérienne.
13:14Et on a vu que pendant la grippe espagnole en 1918,
13:20la plupart du temps, c'était des surinfections bactériennes
13:23qui avaient entraîné la mort.
13:25Ce n'était pas le virus lui-même.
13:26Donc, il suffisait de traiter avec des antibiotiques.
13:28Sauf qu'à l'époque, il n'y avait pas les antibiotiques.
13:30Mais maintenant, on les a.
13:32Et qu'ont fait les autorités sanitaires, ils ont interdit.
13:36– On dit que les antibiotiques, ce n'est pas automatique, c'est ça ?
13:39– Oui, et c'est même interdit, en l'occurrence.
13:43Et les médecins qui ont traité aux antibiotiques
13:46et qui ont eu des bons résultats,
13:49ont été persécutés par l'ordre des médecins
13:51parce qu'on leur a reproché de soigner.
13:53Et encore, à l'heure actuelle, on leur reproche de soigner.
13:56– Comment on explique qu'on a reproché aux médecins
13:59de soigner avec des vieux médicaments,
14:02des molécules dites anciennes,
14:05avec le succès peut-être mitigé,
14:08mais en tous les cas qui méritait d'être gardé,
14:10mais qu'on ait en revanche autorisé des protocoles d'essai
14:14type anticorps monoclonal, type remdesivir ?
14:20Comment on a pu refuser des vieilles molécules
14:23dont on maîtrisait à peu près l'action,
14:24peut-être pas l'efficacité,
14:26et accepter des trucs totalement nouveaux ?
14:28– Eh bien écoutez, je ne sais pas comment ça s'explique
14:30autrement que par la corruption à un État planétaire.
14:35On est à un niveau planétaire.
14:37Donc ça fait partie des nombreuses incohérences
14:39de toute cette, j'appelle ça fausse pandémie.
14:43Je ne commence à pas être la seule, je ne suis pas la seule.
14:46Et pour cause, simplement parce que ces traitements,
14:50on a vu qu'il y a des nouveaux traitements,
14:52et puis il y a des anciens traitements.
14:53Mais les nouveaux traitements, vous prenez par exemple,
14:55ce qui a été recommandé par les autorités sanitaires,
14:58à savoir le remdesivir.
15:00Tout le monde ne connaît pas ce médicament,
15:01mais il était réservé aux hôpitaux, par intraveineuse.
15:05Et en fait, ce remdesivir, on le savait déjà,
15:07parce qu'il y avait eu des études,
15:09ça c'est Robert Kennedy Junior qui l'avait dit,
15:12qu'en fait, dans les études, on a vu qu'il y avait
15:14jusqu'à 40% de mortalité avec ce médicament.
15:17Donc, on a préféré utiliser un médicament comme le remdesivir,
15:21qui avait 40% de mortalité dans les essais cliniques.
15:29Et au contraire, on a empêché des médicaments plus légers
15:32comme hydroxychloroquine, hivermectine,
15:35et même pourquoi pas la vitamine D,
15:36alors qu'on sait qu'on est tous carencés en vitamine D,
15:38et que la vitamine D, justement, était très précieuse
15:40pour lutter contre ce coronavirus.
15:43– Et pour doper le système immunitaire,
15:45cette fameuse immunité naturelle,
15:46qui est aussi le parent pauvre de toute cette crise,
15:48qui a été totalement niée du début jusqu'à la fin.
15:50– C'est ce que j'explique dans le livre,
15:52parce que je fais la liste de toutes les astuces
15:55et de toutes les aberrations qui ont été utilisées
15:58pour justement nier d'abord les médicaments
16:01qui pouvaient éventuellement soigner,
16:03mais qui pouvaient gêner la mise sur le marché
16:05des vaccins ARN modifiés.
16:08Et là, il y a tout un pan du livre où j'explique
16:11comment ces vaccins, qui sont des nanoparticules lipidiques,
16:16sont utilisés et comment ils sont dangereux,
16:18et comment même le principe même de ces vaccins,
16:21la conception même de ces vaccins,
16:23est extrêmement dangereuse.
16:24– Parce que c'est de la thérapie génique.
16:26– Parce que c'est de la thérapie génique,
16:29et que même eux ont voulu nier pendant longtemps,
16:33je ne sais pas si vous avez vu sur les plateaux,
16:35des médecins de plateau qui disaient, mais non…
16:39– L'ARN ne rentre pas dans l'ADN.
16:41– Voilà, il ne rentre pas, c'est bien des vaccins,
16:46ce n'est pas de la thérapie génique,
16:48parce qu'effectivement, qu'est-ce que c'est que de la thérapie génique ?
16:52La thérapie génique, c'est quand vous prenez un morceau de vaccin,
16:56un morceau de virus, un morceau de sa séquence génétique,
17:00vous la mettez dans une petite boule de gras,
17:03et cette boule de gras, au niveau nano particulière,
17:09est extrêmement petite, va rentrer dans les cellules.
17:12Et dans la cellule, elle va obliger la cellule à fabriquer,
17:16à fabriquer quoi ?
17:17– Du spike.
17:19– Du spike, mais pas n'importe quel spike.
17:21Celui-ci, celle-ci, cette spike accusée d'être une spike toxique,
17:28est dangereuse et artificielle.
17:33Donc là, il y a un autre pan, une question que je pose dans le livre,
17:38comment se fait-il, pardon, la spike est allée à l'envers,
17:41mais de toute façon, c'est pareil,
17:42comment se fait-il que pour fabriquer des vaccins,
17:46entre guillemets, qui sont de la thérapie génique,
17:49eh bien, on ait pris la partie toxique du virus,
17:53au lieu de prendre une partie qui serait une partie inoffensive,
17:57mais qui serait reconnue par l'organisme.
18:00– Et accessoirement, c'est la partie qui mute le plus,
18:02la protéine spike.
18:03– Oui.
18:05Donc, logiquement, on n'aurait pas dû la prendre.
18:08Sauf que, on sait, parce qu'il y a des centaines,
18:10même des milliers d'articles,
18:12qui disent que la spike en elle-même est toxique.
18:17Or, ce mécanisme ARN modifié
18:21va au contraire permettre la multiplication de ces spikes
18:26dans le corps.
18:27Donc, si elle est toxique, pourquoi la multiplier ?
18:30Et pourquoi apprendre au corps à la fabriquer ?
18:33– Bien sûr.
18:34– C'est la question de base.
18:36– Ce qui pose un autre problème immunitaire, bien sûr,
18:38entre la capacité du corps à distinguer ce qu'est le soi et le non-soi.
18:41– Exactement.
18:42Et c'est pour ça qu'après, qu'est-ce qui se passe ?
18:45Toute une pléthore de maladies auto-immunes,
18:48c'est-à-dire que le corps, là où il va trouver ça,
18:52voilà, c'est schématisé, donc c'est plus gros, d'accord ?
18:54Là où il va trouver ça, qu'est-ce qu'il va faire ?
18:57Il va attaquer la cellule qui produit ça.
18:59Si c'est une cellule qui est dans les ovaires, il va l'attaquer,
19:02il va attaquer les ovaires.
19:03Si c'est dans le cerveau, il va attaquer le cerveau.
19:06Partout où il va retrouver cette spike, il va l'attaquer.
19:09– Alors justement, vous parlez évidemment de ces injections
19:12contre le Covid-19, du moins présentées comme telles.
19:15Vous expliquez que sur les populations de moins de 40 ans,
19:19on n'a pas constaté de surmortalité avec le Covid-19,
19:24mais qu'on en a constaté une après l'introduction du vaccin.
19:28Ce que vous êtes en train de nous dire,
19:29c'est que le vaccin était plus dangereux que la maladie ?
19:31– Ah ben c'est ce qui commence à sortir,
19:33c'est ce qui va commencer à sortir malheureusement.
19:36Mais si on regarde les statistiques,
19:37et là vous avez des statisticiens et des épidémiologistes
19:40comme le Canadien Denis Rancourt, comme d'autres,
19:44on compte, on va voir quoi ?
19:48Qu'en fait le nombre de morts dues au virus, au coronavirus,
19:54a été largement exagéré.
19:56Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas des gens
19:58qui ont souffert d'une maladie, on ne nie pas cela.
20:02Mais le nombre de morts au niveau épidémique
20:05a été maintenant, selon les statistiques qui sont données
20:09par Denis Rancourt et autres,
20:11c'est que le nombre de morts dues au vaccin,
20:14est plus important que le nombre de morts dues au coronavirus.
20:18– Comment on peut déterminer le nombre de morts dues au vaccin,
20:20le nombre de morts dues au Covid ?
20:22Comment on arrive à faire ces statistiques ?
20:25– Alors après, évidemment que ce n'est jamais très précis,
20:29évidemment parce que ce n'est pas possible.
20:32Notamment parce que je l'explique dans le livre,
20:34c'est que beaucoup de gens qui meurent après avoir été vaccinés,
20:39admettons que vous mourriez dans les deux jours.
20:42Et les morts après vaccin, le nombre de morts plus important,
20:47c'est le premier jour.
20:48Donc on a les statistiques, je vous montre les statistiques.
20:52Eh bien, le premier jour, vous mourrez après un vaccin,
20:55vous êtes considérés comme non vaccinés.
20:58Donc comment voulez-vous rentrer dans les statistiques ?
21:01– Et cela pendant 14 jours.
21:03Pendant 14 jours, vous êtes considérés comme non vaccinés.
21:05– Le temps qu'on soit considérés comme immunisés en fait.
21:08– Le temps soit dit, mais en tout cas, vous êtes bien morts.
21:12Vous n'êtes pas dans les statistiques.
21:14– On n'attrape plus le Covid comme ça.
21:15– Ah ben là, ça c'est sûr.
21:16– Donc, pendant 14 jours, vous êtes vaccinés, vous mourrez,
21:24vous êtes considérés comme non vaccinés en étant morts,
21:27puisque ça ne fait pas 14 jours.
21:29Et ensuite, on vous met dans le lot des non vaccinés.
21:34Donc, on augmente le nombre de morts des non vaccinés,
21:39alors que dedans, il y a beaucoup de vaccinés cachés.
21:41– Et pareil pour les effets secondaires.
21:45Vous avez beaucoup de gens qui ont des myocardites,
21:47même des attaques cérébrales, des attaques cardiaques.
21:51Eh bien, ces gens-là, s'ils sont encore dans les 14 jours après vaccin,
21:57et quelquefois c'est beaucoup plus,
21:58parce que si vous preniez la première dose et la deuxième dose, ça fait plus,
22:01eh bien, ils sont considérés comme non vaccinés.
22:03Ce qui fait que ça fausse, toutes les statistiques sont fausses.
22:06– Vous parliez, ou du moins je parlais pendant ma présentation
22:11des scandales sanitaires que vous avez pu déjà regarder de près.
22:14Est-ce que cette question du Covid-19 vous a interpellé
22:18sur le plan de la gestion des agences sanitaires publiques ?
22:21Est-ce que vous avez eu le sentiment que là, plus encore que jamais,
22:25les agences sanitaires ne faisaient pas leur boulot ?
22:28– Ben, c'est rien de le dire, malheureusement.
22:30C'est rien de le dire, et bon, ça fait 4 décennies maintenant
22:34que je suis journaliste, corps reporter,
22:36et depuis 4 décennies, je n'ai vu qu'une dégradation, vous voyez ?
22:42Ce qui s'est passé, c'est qu'après l'affaire du sang contaminé,
22:45dans l'affaire du sang contaminé, il n'y avait pas d'agence de sécurité sanitaire,
22:50ça n'existait pas.
22:51C'était le ministère de la Santé qui était en première ligne.
22:53Et donc, qui dit ministère de la Santé, dit ministre.
22:56Donc, quand il y a eu l'affaire du sang contaminé,
22:58on dit, oh là, il nous faut un fusible.
23:00Donc, ils ont créé ces agences-là pour servir de fusible.
23:03Ils ne sont pas du tout indépendants de ces agences,
23:05elles dépendent du ministère, mais au cas où il y aurait un problème,
23:08ce ne sera plus le ministre.
23:08– Ça fait des tests à couper avant le ministre.
23:10– Voilà.
23:10Donc, ces agences-là ont d'ailleurs déjà été condamnées en justice
23:15pour défaillance, notamment dans l'affaire du Mediator,
23:18parce qu'elles n'ont rien fait.
23:20Dans l'affaire du Covid, c'est encore pire que tout.
23:22Parce que vous avez une agence européenne qui a accepté
23:27de la thérapie génique comme vaccin.
23:31Et c'est eux qui ont donné l'autorisation.
23:34Et donc, je vais vous lire quand même ce que j'ai retrouvé
23:37du dossier Moderna.
23:38Moderna font un dossier financier chaque année pour la bourse,
23:43pour les investisseurs boursiers.
23:46– Dans le vrai, alors.
23:47– Là, ils sont obligés.
23:48Ils sont obligés.
23:49Et qu'est-ce qu'ils disent ?
23:50Si vous voulez bien, je vous lis la phrase.
23:51– Bien sûr, allez-y, allez-y.
23:53– Ils disent, à l'heure actuelle, donc là, on est en 2018,
23:57un an avant le 2019, le Covid, et 20, Covid.
24:03À l'heure actuelle, l'ARNM, c'est-à-dire messager modifié,
24:07est considéré comme un produit de thérapie génique par la FDA,
24:12la Food and Drug Administration.
24:15C'est considéré comme un produit de thérapie génique.
24:17Donc là, ils le reconnaissent.
24:19– Mais ils le reconnaissent, à la page 364, en tout petit,
24:23il fallait le lire, le dossier.
24:26Donc, quand je suis tombée là-dessus, je me dis, mais alors, attends,
24:29ils le reconnaissent.
24:30Donc, au nom de quoi, une agence sanitaire,
24:34comme l'Agence européenne du médicament, ou même la FDA,
24:37l'Agence européenne du médicament fait tout ce que fait la FDA,
24:39il copie.
24:40– C'est souvent comme ça.
24:41Donc là, au nom de quoi, est-ce qu'ils vont autoriser de la thérapie génique
24:46pour toute la population qui est en bonne santé et de l'utiliser comme vaccin ?
24:52Vous voyez ?
24:53– C'est comme si vous aviez un camion, un poids lourd,
25:00qui est la thérapie génique, et vous lui dites,
25:04bon, là, d'habitude, il va sur l'autoroute,
25:08mais là, il va aller sur la route nationale,
25:09et quand il sera sur la route nationale, on lui donnera le nom de vaccin.
25:14Vous voyez ?
25:14C'est simplement que…
25:15– On l'appellera mobilette.
25:16– Si vous voulez, on l'appellera mobilette.
25:18Si vous voulez, on l'appellera mobilette.
25:20Toujours est-il que ça ne change pas le mécanisme de la thérapie génique,
25:24qui, lui, est avéré comme toxique.
25:28Et c'est pour ça que l'inventeur de cette thérapie qui s'appelle Malone,
25:32avait dit, mais de toute façon, cette thérapie, elle est toxique,
25:36elle n'est pas éprouvée, on n'a pas fait les études nécessaires
25:39pour montrer que c'est inoffensif,
25:41et même toutes les études qu'on a faites montrent que c'est toxique.
25:44Donc, au nom de quoi, on va mettre ça
25:47à disposition de toute une population planétaire…
25:51– Et saine.
25:52– Et saine, y compris des enfants,
25:55alors que des enfants, on sait qu'ils n'attrapent pas le Covid.
25:58– Du coup, ils n'en meurent pas, surtout.
25:59– Oui, en tout cas, ils le négocient.
26:02Il y a beaucoup de… le système immunitaire le négocie.
26:06Ils peuvent l'attraper.
26:07On a plein de virus à l'intérieur du corps,
26:10on a des milliards de bactéries,
26:11on a des milliards de virus.
26:13Simplement, on a un système immunitaire qui le traite.
26:16Et justement, donc, au nom de quoi,
26:18on va prendre un tel risque avec des enfants ?
26:20C'est absolument aberrant.
26:21C'est pour ça que les agences sanitaires ont vraiment un rôle
26:26et elles sont très coupables.
26:28Et quand on voit les corruptions et la porosité qu'il y a
26:33entre les laboratoires pharmaceutiques et les fonctionnaires européens
26:37de l'agence du médicament…
26:39– D'autour sous la Venterlayenne est sans doute le plus beau symbole.
26:41– Mais la directrice même, la directrice de l'Agence européenne du médicament,
26:46vient de l'industrie pharmaceutique.
26:48Donc, c'est l'industrie pharmaceutique qui tient les gendarmes.
26:52On a les gendarmes qui devraient être là pour nous protéger,
26:55et bien non, ils sont tenus par l'industrie pharmaceutique.
26:58Donc, comment voulez-vous qu'ils nous protègent ?
27:01– Dans votre ouvrage, on comprend bien que parmi vos objectifs,
27:05il y a évidemment que les gens se rendent compte que les gouvernants
27:08ne veulent pas forcément notre bien et qu'ils perdent un peu de leur naïveté.
27:12Mais est-ce qu'aujourd'hui, vous avez plus d'espoir ?
27:15On sait que beaucoup de gens se sont projetés dans le futur grâce à l'arrivée
27:19au ministère de la Santé américain du fameux Robert Kennedy Jr.
27:23Est-ce que vous, vous pensez qu'aujourd'hui, on peut penser
27:27que dans quelques années, on aura la vérité sur cette période du Covid-19 ?
27:31– Écoutez, je l'espère, mais on verra, parce que malheureusement…
27:38– Vous n'avez pas l'air convaincue.
27:38– Non, parce que je vais vous dire, moi j'ai déjà été échaudée,
27:42quand un chat échaudé craint l'eau froide.
27:45Quand il y a eu le scandale du vaccin hépatite B, c'était dans les années 2000,
27:49bon, moi je m'étais dit, ça y est, le vaccin hépatite B,
27:54on ne va plus en entendre parler, au moins en tout cas pour les bébés,
27:58le vaccin hépatite B avait été retiré des écoles,
28:00où ils avaient vacciné les gosses, les collégiens les avaient vaccinés,
28:04et puis il y avait eu beaucoup de sclérose en plaques,
28:07donc après ils avaient changé de politique,
28:10ils avaient arrêté de vacciner les gosses et les enfants
28:13dans les collèges et dans les lycées,
28:16et puis après, vous arrivez 10 ans après, 20 ans après,
28:20qu'est-ce qu'ils font ?
28:21Ils ont introduit le vaccin hépatite B dans les vaccins obligatoires du nourrisson.
28:26Donc vous voyez, ça c'est absolument aberrant.
28:28De même, dire qu'ils vont vacciner contre le papillomavirus,
28:33les collégiens et les collégiennes, c'est aberrant.
28:37Tout ça est aberrant et malheureusement ça ne va pas dans le bon sens.
28:40Alors là, on a heureusement des vérités qui sont sorties grâce aux réseaux sociaux.
28:46Grâce au fait que, par exemple, X, quand Musk a racheté X,
28:52il a quand même donné quelques transparences.
28:55Pas tout, il ne faut pas non plus…
28:56– Exagérer.
28:57– Exagérer.
28:58Mais on a eu des informations,
29:01et il y a des informations qui circulent grâce aux réseaux sociaux.
29:04Tout ce que je vous dis là, c'est parce que j'ai été voir sur les internet,
29:08les dossiers, mais aussi parce qu'il y a des chercheurs
29:11qui ont leur compte sur les réseaux sociaux et qui disent,
29:13voilà, moi j'ai trouvé ça, moi j'ai trouvé ça, moi…
29:15Alors évidemment, c'est très chronophage.
29:17Mais quand vous arrivez à prendre un petit peu partout
29:20et vous confronter tout ça, vous arrivez à l'émergence d'une vérité.
29:24Est-ce que Robert Kennedy Jr. va pouvoir dire la vérité ?
29:28– Je ne sais pas, je l'espère, c'est tout ce que je peux dire,
29:31mais il faut attendre, il faut voir, il ne peut pas aller trop vite non plus.
29:36Alors il y a beaucoup de gens qui s'impatientent,
29:38et il y a beaucoup de gens qui disent que déjà,
29:39il y a des choses qu'il aurait dû faire, à savoir supprimer,
29:43faire un moratoire sur les vaccins et au moins les suspendre.
29:47Bon, il ne l'a pas encore fait, peut-être qu'il attend d'avoir plus de données,
29:50ou en tout cas, il prend en charge une administration qui organise l'opacité.
29:54Donc même lui a du mal à avoir les vraies informations de sa propre administration.
30:01Donc il est d'abord obligé de faire le ménage dans l'administration
30:03pour que l'administration lui sorte les vraies statistiques.
30:06– Si elles existent.
30:07– En tout cas, oui, elles doivent exister,
30:10mais elles sont bien cachées dans les tiroirs.
30:12– Merci beaucoup Corinne Laloge, je vous rappelle à tous,
30:15fausse pandémie, vrai mensonge, comment on vous trompe en 10 leçons,
30:18c'est une enquête et c'est aux éditions Magnus,
30:21disponible bien sûr sur la boutique de TVL, sur tvl.fr.
30:24À bientôt chers amis.
30:25– Sous-titrage ST' 501

Recommandations