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«Gabriel Attal et Edouard Philippe vont vouloir jouer la rupture» affirme Gauthier le Bret
Europe 1
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07/04/2025
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News
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00:00
Il est 16h32, on est sur Orban et on parle un petit peu de tout ce qui s'est passé ce week-end.
00:04
Alors ce week-end, c'était le week-end des rassemblements, des booms, on va pas se mentir, il y avait des booms partout.
00:10
Donc il y avait donc Gabriel Attal qui a fait une petite boom.
00:13
Gabriel Attal, si j'avais été lui, j'aurais quand même invité, j'aurais fait un truc autour, genre Emmanuel Macron qui arrive à un moment.
00:20
En surprise.
00:21
Ah bien sûr, ça aurait été fort.
00:23
Il pouvait pas, il était dans l'avion pour l'Egypte.
00:25
Il aurait prévu la date en connaissant la date du voyage officiel.
00:29
Bah oui, il aurait dû quand même, non ?
00:31
Je suis d'accord.
00:32
Est-ce qu'Emmanuel Macron est un boulet ou un atout ?
00:34
Le président est au-dessus des parties.
00:36
Vous savez très bien qu'aujourd'hui, les gens veulent prendre de la distance.
00:38
Oui, il est au-dessus des parties, mais il n'est pas au-dessus d'un mec qui va pas payer le péage.
00:41
Donc il faut arrêter les mecs.
00:43
Il faut arrêter dans 5 minutes.
00:45
Oh, on est où là ?
00:47
Il est peut-être au-dessus des parties, mais il n'est pas au-dessus de la Vénus de Milo.
00:49
Il va au Louvre toutes les semaines.
00:51
Il faut arrêter de nous prendre pour un con.
00:53
La semaine prochaine, il sera au musée de la Marine.
00:55
Et la semaine d'après, dans Ménège.
00:57
Il va plus dans les musées que dans les ministères.
00:59
Donc arrêtez de dire des conneries.
01:01
Ce qui est sûr pour répondre à Géraldine, c'est qu'ils voudront jouer la rupture.
01:05
Tant Attal qu'Édouard Philippe, mais c'est compliqué de jouer la rupture.
01:07
Avec un bilan...
01:08
Quand t'as été Premier ministre, alors l'un a 8 mois, donc ça sera à la limite.
01:11
Mais t'es quand même Premier ministre pendant 6 ans.
01:14
Et l'autre, 3 ans à Matigny, donc compliqué de jouer la rupture.
01:18
Mais compliqué aussi d'avoir Emmanuel Macron contre soi.
01:20
Et Édouard Philippe et Gabriel Attal ont Emmanuel Macron contre eux.
01:24
Parce qu'il y en a un qui l'a moins que l'autre.
01:26
Contre lui.
01:27
Ah non, non, non, les deux.
01:31
Attal est un peu plus détesté, pour des raisons légitimes d'ailleurs.
01:34
C'est pas pareil, mais c'est pareil.
01:35
Pour moi, il n'y en a qu'un qui s'en sort bien et qui est hors de ces deux-là, c'est Gérald Darmanin.
01:39
Alors c'est Gérald.
01:40
Gérald Darmanin.
01:41
Gérald, c'est mon plombier.
01:42
Gérald Darmanin.
01:43
Gérald, c'est mon plombier, ça n'a rien à voir.
01:46
Oui, mais Darmanin a dit qu'il soutenait Édouard Philippe.
01:48
Quoi ? Non, Gérald Philippe.
01:51
Ça rigole.
01:52
Mais les mecs, qu'est-ce que c'est que cette équipe ?
01:53
Non, mais Gérald Darmanin, c'est magnifique.
01:57
En tout cas, personne n'a expliqué pourquoi Édouard Philippe se maintient aussi haut.
02:00
Moi aussi, je ne comprends pas.
02:01
Qu'est-ce qu'il se passe ?
02:02
Il ne fait rien, il ne dit pas grand-chose.
02:04
Peut-être parce qu'il ne dit rien, justement.
02:06
Il est installé très haut depuis qu'il a quitté Matignon.
02:08
Oui, mais peut-être parce qu'il ne dit rien.
02:09
Il a quitté Matignon.
02:10
Ça finira par baisser.
02:12
C'est ce que tout le monde dit, mais attention, je ne suis même pas sûr.
02:14
Je ne crois pas, non.
02:15
Je ne suis même pas sûr.
02:17
Je ne suis même pas sûr que ça baisse.
02:19
Il a fait plusieurs sorties médiatiques.
02:20
On ne comprenait pas sa position sur le voile dans le sport, sur l'Algérie.
02:25
Il parlait de réponse proportionnée.
02:28
On va en revenir à Bruno Rotaillot.
02:30
Ce qu'on disait juste avant la pub, c'est que Bruno Rotaillot, pour gagner des points de popularité,
02:34
il a un moment déterminant.
02:36
C'est-à-dire que Bruno Rotaillot quitte le gouvernement dans les heures qui viennent en disant
02:40
« Ce n'est plus possible la réponse de la France face à l'Algérie.
02:44
Je vous ai laissé faire pendant dix jours.
02:46
Jean-Noël Barreau est allé à Alger.
02:48
Il est revenu sans voilemme, sans salle.
02:49
On ne parle plus de mesures de rétorsion.
02:51
On ne parle plus de dénonciation de tel ou tel accord, notamment de l'accord de 68.
02:55
Merci, au revoir, je m'en vais. »
02:57
Mais tu vois bien qu'il ne le fait pas.
02:58
Non, il ne le fait pas.
02:59
Il ne le fait pas parce qu'il y a une échéance qui est celle de la prise du parti, déjà.
03:02
Oui, mais il pense sans doute qu'il a besoin d'être ministre de l'Intérieur pour prendre le parti.
03:06
Mais moi, je ne pense même pas.
03:07
Je pense que si là, il claque la porte...
03:10
Regardez, Emmanuel Macron, il a claqué la porte du gouvernement.
03:13
Ensuite, il est devenu président de la République.
03:15
D'autres ont claqué.
03:16
Nicolas Sarkozy avait, lui aussi, en son temps, démissionné.
03:19
Donc, il faut avoir le cran de le faire.
03:21
Mais après, si vous en sortez...
03:23
Valérie Benhamin a claqué la porte de chez elle il y a quelques années.
03:25
Aujourd'hui, on est en éloigné.
03:27
Pour vous dire, aujourd'hui, claquer une porte, ne vous en ferme pas d'autres.
03:31
Ce n'est pas de moi, c'est de la paix.
03:34
Claquer une porte, ne vous en ferme pas d'autres.
03:36
Ça peut même vous en ouvrir.
03:38
Claquer une porte pour vous en ouvrir d'autres.
03:40
Mais encore, faut-il oser.
03:42
Valérie Benhamin, occupez-vous de Gérard Darmanin.
03:44
Merci.
03:48
C'est vrai qu'il y a un truc.
03:50
C'est qu'Édouard Philippe est très haut.
03:52
On ne comprend pas.
03:54
Ça, ça vient des Bénahims, des gens comme ça.
03:56
Des Mahiers, vous pouvez le dire.
03:58
Des Mahiers, des Bénahims.
04:00
Qui vont recevoir un mail prochainement.
04:02
Qui vont recevoir un mail prochainement.
04:06
Ça vient des guimauves.
04:08
Parce qu'en fait, c'est le Premier ministre du confinement.
04:10
Des gens qui ne servent à rien.
04:12
C'est le Premier ministre du confinement et qui a dit un jour
04:14
dans une conférence de presse, je ne sais pas.
04:16
C'est le président du je-ne-sais-pas.
04:18
Ils auraient dû prendre Céline Dion.
04:20
Ça a été un marqueur fort à l'époque.
04:22
Alors si pour être président de la République,
04:24
il faut dire je-ne-sais-pas.
04:26
On va en avoir beaucoup des présidents.
04:28
Mais qui tu choisis, Gautier, si tu ne veux pas être pris
04:30
par les socialistes et extrême droite, choisis.
04:32
Tu n'es pas à choisir quelqu'un.
04:34
Je ne vais pas porter quelqu'un au pinacle
04:36
parce qu'il a dit je-ne-sais-pas.
04:38
C'est trop simple.
04:40
Sans le porter au pinacle, si tu ne veux pas être pris, Antonin.
04:42
Gautier Lebray, n'écoute pas ces deux personnes.
04:44
C'est une vraie interrogation.
04:46
Ce sont deux personnes qui pour moi
04:48
sont les personnes du je-ne-sais-pas.
04:50
Ça veut rien.
04:52
C'est une vraie interrogation.
04:54
J'adore Manuel Valls.
04:56
Que feront les français qui n'ont pas envie
04:58
de voter à l'extrême gauche
05:00
et qui n'ont pas envie de voter à l'extrême droite ?
05:02
C'est la vraie question.
05:04
C'est ça qui me rend fou.
05:06
Je vais vous demander de vous taire.
05:08
Merci.
05:10
Ça nous fera beaucoup de bien.
05:12
Et je vais parler moi-même aux auditeurs d'Europe.
05:14
Ce que je viens d'entendre de la part
05:16
de Valérie Bénahim.
05:18
Coupez-lui son micro.
05:20
C'est insupportable.
05:22
Merci.
05:24
C'est absolument insupportable.
05:26
C'est absolument insupportable d'entendre ça.
05:28
Valérie Bénahim
05:30
qui nous dit en revenant toute fraîche
05:32
de son kiné ostéopathe
05:34
qui l'a manipulé dans tous les sens.
05:36
Elle vient dire aux français
05:38
que vont faire les français.
05:40
Les français déjà
05:42
ils veulent savoir ce qu'il va se passer pour eux
05:44
au niveau du pouvoir d'achat, au niveau de la sécurité.
05:46
Ils n'en ont rien à foutre de ce que vous dites Valérie Bénahim.
05:48
Est-ce qu'on va voter ou truc ?
05:50
On s'en fout.
05:52
Il n'y a plus de gauche, il n'y a plus de droite.
05:54
Les français, Valérie Bénahim.
05:56
Ce que vous vous dites là, c'est une phrase qu'on a pu entendre dans les années 90.
05:58
Valérie Bénahim, on est en 2025.
06:00
La prochaine élection a lieu en 2027.
06:02
Ce genre de phrase, je ne veux plus les entendre sur l'antenne d'Europe.
06:04
Donc vous coupez le micro
06:06
de ces gens romains.
06:08
Merci, ça suffit.
06:10
Il faut penser d'abord aux français.
06:12
Il faut arrêter de dire qu'on ne veut pas voter là.
06:14
Les français doivent d'abord penser à eux, à leur quotidien.
06:16
Quel homme
06:18
peut améliorer leur quotidien ?
06:20
C'est tout.
06:22
C'est la seule chose qu'ils doivent voir.
06:24
Et quel homme ou quelle femme
06:26
peut améliorer leur pouvoir d'achat ?
06:28
La sécurité, le fait qu'ils puissent sortir le soir
06:30
sans avoir peur
06:32
de se prendre un coup de couteau.
06:34
C'est la seule chose que les français demandent, c'est tout.
06:36
Donc dire, si on n'est pas là,
06:38
si on n'est pas là, si on n'est pas là,
06:40
où c'est qu'on va voter, on ne vote pas là, comme ça.
06:42
Il n'y a pas de droite, il n'y a pas de gauche, il n'y a rien.
06:44
Il y a juste les français et améliorer leur quotidien.
06:46
Denis est avec nous et je suis sûr qu'il est d'accord avec nous.
06:48
Et d'ailleurs,
06:50
il va dire ce qu'il pense de Valérie Bénahim.
06:52
Sûrement, et il va être remonté.
06:54
Denis, vous êtes d'accord avec moi ?
06:56
Denis, vous êtes d'accord avec moi ?
06:58
Denis, j'ai les deux là,
07:00
les jumelles,
07:02
les jumelles, je ne sais pas,
07:04
qui me fatiguent.
07:06
Et Denis, dites ce que vous pensez de ces personnes
07:08
et n'hésitez pas
07:10
à leur mettre un coup de fouet.
07:12
Allez-y.
07:14
D'abord, bonjour Cyril.
07:16
Merci d'être avec nous.
07:18
Je suppose que vous appréciez énormément
07:20
moi et Gauthier Lebré.
07:22
Et Valérie aussi, surtout beaucoup.
07:24
Je vous embrasse.
07:26
Denis Lebré, c'est avec vous.
07:28
Toujours dans le sens du poil.
07:30
Avant de fracasser, c'est mieux.
07:32
Toujours avant de fracasser.
07:34
Vous pouvez en éteindre son micro.
07:36
Merci.
07:38
Il n'y a pas de la pauvre.
07:40
Avec ce qu'elle a fait, il n'y a pas de la pauvre, Denis.
07:42
Si on commence à dire la pauvre, la pauvre, la pauvre,
07:44
c'est en entendant des la pauvre qu'on ne fait rien en France.
07:46
Il a sans pitié, il a raison.
07:48
On n'a plus le temps.
07:50
Je ne suis pas tout à fait d'accord avec Valérie.
07:52
Parce que c'est vrai que
07:54
vu ce qu'il y a à voter, on sait vite ce qu'il reste.
07:56
C'est bon, pour moi, j'ai trouvé.
07:58
C'est vite fait.
08:00
Entre les filles
08:02
avec ses copains
08:04
au QTF et puis de l'autre côté
08:06
les collègues de Manu,
08:08
c'est vite fait.
08:10
Vous avez vu ce que dit Denis.
08:12
Les collègues d'Emmanuel Macron.
08:14
C'est ce qu'on disait tout à l'heure.
08:16
Gabriel Attal, Edouard Philippe.
08:18
Gabriel Attal, Edouard Philippe
08:20
seront toujours...
08:22
Vous avez vu ce que j'ai moi, Denis ?
08:24
Moi, je déteste les gens
08:26
qui manquent de loyauté.
08:28
Et ça déjà pour moi, ça veut dire énormément de choses.
08:30
Quand je vois Edouard Philippe
08:32
et Gabriel Attal tourner le dos
08:34
à Emmanuel Macron, on en pense qu'on veut,
08:36
mais tourner le dos à celui qui vous a donné votre chance,
08:38
qui a créé le parti, et faire maintenant
08:40
comme s'il n'existait plus, pour moi ça déjà
08:42
c'est éliminatoire. Je déteste
08:44
les gens comme ça. Je vous le dis, ça pour moi déjà
08:46
c'est éliminatoire. Ça commence très mal.
08:48
On est d'accord.
08:50
Pour moi, ça déjà,
08:52
ça n'est pas possible.
08:54
C'est révélateur du parti politique.
08:56
C'est toujours les coups tordus
08:58
et les coups d'enfoirés. Quand on écoute
09:00
Jordan qui dit, qu'est-ce que je fais ? Je dois
09:02
déjà le respect et toute
09:04
mon amitié à Marine. Déjà, on voit
09:06
que c'est un autre discours. Déjà, on se dit bon.
09:08
Déjà, des gens qui se respectent en politique
09:10
qui ont quand même le respect
09:12
de celui qui l'a mis
09:14
en place, c'est déjà pas mal.
09:16
Après, on voit
09:18
la clique macronienne.
09:20
Là, finalement, on s'en fout. On tire
09:22
dessus, on tire sur le peuple, on tire sur les collègues,
09:24
on tire sur les copains. Là, c'est pas mal.
09:26
Là, c'est vraiment des snipers de tous les côtés. On peut y aller,
09:28
tout le monde s'en fout. Donc, il n'y a ni éthique,
09:30
ni morale. C'est bon. Difficile de le faire plus bas.
09:32
Non, non, mais le
09:34
problème, Denis, aussi qu'on a,
09:36
c'est que, Denis,
09:38
j'ai l'impression que moi, on parle
09:40
de moins en moins des problèmes des Français.
09:42
Ce week-end, pas du tout.
09:44
Ce week-end, pas du tout.
09:46
C'est vrai. Ce week-end, c'était rien dessus.
09:48
C'est un peu le but. Finalement, on s'amuse entre copains,
09:50
entre collègues. Après, on fait une bonne bouffe au restaurant.
09:52
Et on rigole. On dit, c'est bon.
09:54
T'as vu, on n'a pas pu parler de l'école.
09:56
Vous savez ce que c'est, ça, pour moi ?
09:58
C'est des quatre dealers. C'est la France
10:00
que j'appelle la France des bénaillés.
10:02
Des bénaillés.
10:04
C'est le bénaïsme.
10:06
C'est le bénaïsme.
10:08
C'est le bénaïsme.
10:10
C'est le bénaïsme.
10:12
Et moi, je combattrai le bénaïsme jusqu'à mon dernier souffle.
10:14
Denis, voilà.
10:16
Je vous dis, jusqu'à mon dernier souffle.
10:18
Je le dis.
10:20
On est obligés.
10:22
On est obligés.
10:24
Non, pas Géraldine.
10:26
Elle vient de gagner 70 balles.
10:28
Elle a gagné
10:30
au casino. On ne va pas aller tirer dessus.
10:32
Elle a gagné 70 euros.
10:34
On va se faire copain avec elle.
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