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Punchline - Quelles suites judiciaires pour Marine Le Pen ? Son avocat répond aux questions de Laurence Ferrari
Europe 1
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01/04/2025
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News
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00:00
Punchline, 18h-19h, Laurence Ferrari sur CNews et Europe 1.
00:11
18h42, de retour dans Punchline sur CNews et sur Europe 1, on accueille Maître Rodolphe Bosselut.
00:16
Bonsoir, vous êtes l'avocat de Marine Le Pen.
00:17
Est-ce que l'appel, d'ailleurs, de ce procès a été déposé ?
00:21
Oui, aujourd'hui.
00:22
Ça y est, la procédure est lancée.
00:24
Est-ce que vous avez un espoir raisonnable, comme le disait tout à l'heure le garde des Sceaux,
00:27
on va l'écouter d'ailleurs, que cette procédure aille vite ?
00:31
Je constate simplement que depuis la mise en œuvre de l'exécution provisoire,
00:36
il y a quand même des signes qui commencent à être un petit peu convergents
00:41
sur le fait qu'on se rende bien compte que cette mesure d'élimination sans aucun recours
00:47
pose une difficulté, y compris à l'institution judiciaire,
00:50
et qu'aujourd'hui, des instructions, je mets des guillemets à instructions,
00:54
des recommandations sont portées par le garde des Sceaux,
01:00
et je pense que le parquet général aura à cœur de, sans doute,
01:03
hâter et précipiter un procès en appel.
01:08
On va écouter Gérald Darmanin, précisément,
01:10
qui répondait à une question de Jean-Philippe Cantanguay de RN.
01:14
Et je souhaite, personnellement, que si Mme Le Pen interjette recours,
01:20
ce délai de jugement nouveau à la Cour d'appel de Paris
01:24
puisse être organisé dans un délai le plus raisonnable possible
01:28
avec l'esprit dans lequel Mme Le Pen va interjeter appel.
01:33
Il appartiendra à la Cour d'appel de Paris,
01:37
parfaitement indépendante dans son organisation,
01:40
de fixer la date de cet appel.
01:45
Voilà pour Gérald Darmanin, maître bosselus.
01:47
Ça veut dire quoi, en temps ?
01:49
Ça veut dire un an, un an et demi, six mois ? Qu'est-ce que ça veut dire ?
01:51
Écoutez, alors là, vous me posez une colle,
01:53
parce que je ne suis pas précisément le parquet général,
01:56
qui est le seul qui a la main sur l'audiencement
01:59
d'une nouvelle audience à un appel,
02:01
qui a la main sur l'organisation,
02:03
et là, je suis, comme vous l'avez prévenu de ce dossier,
02:08
livré à une forme un peu de...
02:12
non pas d'arbitraire, mais enfin de décision,
02:14
qui est celle du parquet général.
02:16
Vous ne maîtrisez pas, effectivement...
02:18
Non, on ne maîtrise rien.
02:20
Alors, on va essayer de peut-être activer,
02:22
sur un plan judiciaire aussi,
02:24
le fait que la Cour puisse se réunir avant,
02:27
mais tout ça part quand même,
02:30
c'est quand même le point de départ,
02:32
d'une décision assez extravagante
02:34
d'assortir de l'exécution provisoire
02:36
une peine d'inégibilité.
02:38
C'est ça qu'il faut dire,
02:40
parce que pourquoi aujourd'hui, le garde des Sceaux
02:42
est contraint de faire des déclarations
02:44
à l'Assemblée générale ?
02:46
Tout simplement parce que cette exécution provisoire
02:49
est sans aucun recours, hormis l'appel.
02:52
C'est-à-dire que je n'ai même pas le moyen,
02:55
dans l'attente que la Cour d'appel se réunisse,
02:58
de ressaisir un juge pour lui dire
03:01
qu'il y a une difficulté avec cette exécution provisoire.
03:04
Elle est manifestement disproportionnée,
03:06
elle a été prise sur des motifs
03:09
qui me semblent discutables,
03:11
et moi, je critique très vertement
03:13
le jugement qui a été rendu,
03:15
mais peut-être qu'on en dira quelques mots.
03:17
Mais en toutes cas de cause,
03:19
aujourd'hui, nous sommes face à une sorte
03:21
d'impasse judiciaire, d'impossibilité judiciaire,
03:24
qui rend évidemment difficile
03:26
l'exercice des droits de la défense.
03:28
Le potentiel appel,
03:31
quelle est la voie pour Marine Le Pen ?
03:33
On parle de trou de souris,
03:35
c'est donc qu'en appel,
03:37
pour qu'on comprenne bien,
03:39
la justice enlève l'exécution provisoire,
03:42
parce que je vois mal comment les juges
03:44
ne vont pas condamner une nouvelle fois Marine Le Pen,
03:46
même la rendre inéligible,
03:48
donc c'est l'exécution provisoire qu'il faut faire sauter,
03:50
vous iriez ensuite en cassation,
03:52
donc là, ça serait suspensif,
03:53
et c'est ça qui permettra à Marine Le Pen
03:55
d'être candidate en 2027.
03:56
Alors, moi, je vois les choses
03:58
un peu différemment.
03:59
Je vais juste vous interrompre,
04:00
parce qu'on a à l'instant la cour d'appel
04:02
qui vient de faire un communiqué,
04:03
qui explique que trois appels
04:05
ont déjà été enregistrés par ses soins
04:07
concernant le procès d'hier,
04:08
et qu'elle donne l'été 2026
04:10
comme période de la décision en appel.
04:12
Été 2026, Maître Bosselux.
04:15
C'est jouable.
04:16
Ça veut dire que c'est jouable pour Marine Le Pen ou pas ?
04:18
C'est juste ?
04:19
C'est un peu ric-rac,
04:21
mais c'est toujours mieux d'avoir déjà une date
04:23
par rapport à la situation
04:24
où hier nous n'en avions aucune.
04:26
Donc je constate déjà
04:27
qu'il y a un premier frémissement.
04:29
Mais pour répondre à votre question,
04:31
moi, je considère un dossier en appel
04:34
comme un nouveau dossier.
04:36
Vous partez du principe
04:37
que la condamnation sera reconduite,
04:39
il y a un vrai débat.
04:41
Il y a un vrai débat sur l'existence même
04:43
d'une culpabilité de Mme Le Pen.
04:46
Je sais bien que le jugement dit
04:48
que cela n'a pas de sens
04:49
et que le simple fait de l'invoquer
04:51
est la preuve d'un risque de récidive,
04:55
mais il y a un vrai débat.
04:56
Parce que je veux dire,
04:58
ici, à vos téléspectateurs,
04:59
qu'on parle de détournement de fonds publics.
05:01
Certes, c'est le texte qui fonde la poursuite.
05:04
Mais ce dont on parle,
05:06
c'est l'usage d'une indemnité
05:11
qui est donnée à chaque député européen
05:15
pour faire de la politique
05:17
et qu'il emploie notamment
05:20
pour payer ce qu'on appelle
05:21
des assistants parlementaires locaux,
05:24
c'est-à-dire qui ne sont ni à Bruxelles
05:26
ni à Strasbourg,
05:27
qui sont sur le territoire français
05:29
et qui, sur le territoire français,
05:31
répercutent le travail du député européen
05:33
sur le territoire national.
05:34
On nous dit que vous les avez mal employés
05:37
parce qu'ils ont fait trop de politique pour le parti.
05:39
Mais c'est un vrai sujet, quand même.
05:41
Moi, je ne pense pas qu'on puisse,
05:42
d'un revers de main,
05:43
dire que les contrats sont fictifs,
05:45
comme nous a dit le tribunal, etc.
05:47
Il y a un vrai débat.
05:49
Donc, le débat devant la Cour, pour moi,
05:51
c'est déjà le débat de la culpabilité.
05:54
Mais, à minima, évidemment...
05:56
Si l'exécution provisoire n'est plus là,
05:57
elle peut se présenter.
05:58
Si vous allez en cassation,
05:59
elle peut se présenter.
06:00
C'est-à-dire que si on revient
06:01
à une application plus sereine du droit
06:06
avec un double degré de juridiction
06:09
et une suspension
06:10
tant qu'il n'y a pas une décision définitive,
06:12
effectivement, après la Cour d'appel,
06:14
un pourvoi serait suspensif.
06:16
Et à partir du moment où il est suspensif,
06:18
l'inégibilité ne serait pas applicable
06:20
et elle aurait la possibilité de se présenter
06:22
comme une candidate.
06:24
Donc, été 2026, le procès en appel
06:27
et une décision qui serait rendue dans...
06:30
Quatre mois après ?
06:31
Quatre mois.
06:32
On imagine que la présidentielle
06:34
aurait lieu en mai 2027.
06:35
C'est des circonstances hors normes
06:36
d'une possible élection présidentielle.
06:38
En fait, c'est un déstabilisation politique
06:40
parce que l'ORN va être obligée de s'organiser.
06:43
Je vous ai répondu,
06:45
mais après, j'avais plein d'autres questions.
06:46
Je ne répondrai pas sur l'ORN.
06:48
Je n'ai pas, si vous voulez, en main
06:50
l'organisation du parti, la politique, etc.
06:52
Je constate, comme tout citoyen,
06:54
qu'effectivement, ce calendrier
06:56
va contraindre la candidate
06:59
à se concentrer en renouveau sur le procès
07:03
et sans doute à retarder son entrée en campagne.
07:07
Après ça, moi, je n'ai pas d'appréciation.
07:09
Je constate simplement, basiquement,
07:12
que si l'élection se tient
07:14
à la date à laquelle elle doit se tenir...
07:16
A priori, avril-mai 2027 ?
07:18
Avril-mai 2027.
07:19
S'il n'y a pas un élément
07:21
ou un événement entre-temps
07:23
que personne...
07:24
Vous n'excluez pas ça ?
07:25
Écoutez, moi, je ne suis pas un observateur
07:28
de la vie politique.
07:29
Voilà, c'est tout.
07:30
Il ne faut plus rien exclure.
07:32
Il ne faut plus rien exclure, malheureusement.
07:34
Elle serait dans l'incapacité de se présenter.
07:37
Une dernière question, maître.
07:39
Qu'est-ce que ça dit, selon vous,
07:41
le fait qu'aujourd'hui,
07:42
vous avez François Bayrou, le Premier ministre,
07:44
qui dit, en gros,
07:45
il n'est pas très à l'aise
07:46
avec l'idée de l'exécution provisoire.
07:47
Il faut réfléchir à une nouvelle formule
07:49
parce qu'effectivement, il y a des problèmes.
07:51
On ne peut pas faire appel
07:52
de l'exécution provisoire.
07:53
Et dans le même temps,
07:54
vous avez Gérald Darmanin, le garde des Sceaux,
07:56
qui dit qu'il faut que l'audiencement soit rapide.
07:58
La cour d'appel communique immédiatement
08:00
pour dire que ce sera en juin 2026.
08:02
Comment vous réagissez à ça ?
08:04
Parce que là, pour le coup,
08:05
ce n'est pas une justice ordinaire.
08:06
Non, mais parce que la décision qui a été prise
08:09
est une décision extraordinaire.
08:12
C'est ça, le sujet.
08:13
La sérénité d'un instant judiciaire
08:16
aurait été respectée
08:17
si le tribunal aurait pris la décision qu'il a prise,
08:22
mais sans l'accompagner.
08:24
Il y a une chose qui échappe un peu
08:26
aux commentaires de façon générale.
08:28
C'est qu'en l'état actuel
08:30
de la décision qui a été rendue,
08:32
la loi Sapin ne s'applique pas.
08:35
Ce qui veut dire qu'il n'y a pas d'automaticité
08:38
de la peine d'inligibilité.
08:40
Ce qui veut dire encore
08:42
que le tribunal avait simplement
08:45
une décision à prendre,
08:47
puisqu'elle n'était pas automatique,
08:49
devait-il ou non prononcer l'inligibilité ?
08:51
Premier stade.
08:53
Il décide que oui.
08:54
Mais rien ne l'obligeait à sortir cette inligibilité
08:58
d'une exécution provisoire.
08:59
Pourquoi le fait-il ?
09:01
Pour prévenir un trouble à l'ordre public.
09:03
Pour prévenir un trouble à l'ordre public,
09:05
qui est conçu comme le fait pour Marine Le Pen
09:09
de pouvoir se présenter aux élections.
09:11
Donc moi, je ne suis pas là, encore une fois,
09:13
pour mettre en cause Pierre, Paul ou Jacques.
09:16
Je parle d'un jugement.
09:17
Et je parle des motifs de ce jugement.
09:20
Les motifs de ce jugement, me semblent,
09:22
contrevenir à ce qu'on attend d'un jugement,
09:25
c'est-à-dire du recul,
09:27
et qu'il y a évidemment des considérations
09:29
de nature politique.
09:31
Et si vous me permettez, j'en termine,
09:33
parce que pour moi, c'est important.
09:34
Il y a un considérant
09:36
qui est quand même extraordinaire.
09:38
Donc là, je cite le jugement.
09:41
L'atteinte aux intérêts de l'Union européenne
09:44
revêt une gravité particulière,
09:46
dans la mesure où elle est portée,
09:48
non sans un certain cynisme,
09:50
mais avec détermination,
09:52
par un parti politique
09:54
qui revendique son opposition
09:56
aux institutions européennes.
09:58
Qu'est-ce que ça veut dire ?
10:00
Que le tribunal nous dit que si le parti
10:02
avait eu un positionnement,
10:04
que je qualifie rapidement de fédéraliste,
10:06
les faits auraient été moins graves.
10:08
Voilà où nous sommes aujourd'hui rendus.
10:11
Est-ce que ça explique, selon vous,
10:13
que dans l'affaire des assistants parlementaires du Modem,
10:15
ceux qui ont été condamnés
10:16
n'aient eu que des peines d'inéligibilité,
10:18
avec sursis ?
10:19
C'est une explication, à l'évidence,
10:21
puisque la position du Modem sur l'Europe
10:24
n'est pas la position du RN,
10:26
et qu'il s'en déduit un traitement judiciaire différent.
10:30
Ça interroge.
10:31
Alors après, on me dit,
10:33
et j'entends M. le procureur général qui nous dit
10:35
« halte au feu, ne tapez pas sur les magistrats ».
10:37
Moi, je ne tape pas sur les magistrats,
10:38
je prends une décision,
10:40
et je la soumets à les personnes
10:43
qui veulent la regarder
10:45
avec simplement de la bonne foi.
10:48
Dans ce cas-là, si on suit le raisonnement,
10:50
ça voudrait dire que votre cliente
10:52
n'aurait pas accès à la CEDH.
10:55
La Cour européenne des droits de l'homme.
10:57
Si on suit ce raisonnement.
10:59
C'est-à-dire ?
11:01
Je ne perçois pas votre question.
11:03
C'est-à-dire ?
11:04
C'est-à-dire qu'on considère en droit
11:06
que le premier juridiction européen
11:09
est une juridiction interne.
11:11
Mais après, lorsque l'ensemble des recours
11:14
vont être finis, normalement,
11:15
tout citoyen européen
11:17
a le droit à un recours
11:18
à la Cour européenne des droits de l'homme.
11:20
Mais là, comme il y a ce considérant
11:22
qui considère que c'est parce que
11:25
ce parti-là est contre l'Europe,
11:28
de fait, elle n'aurait presque pas
11:30
le droit d'avoir accès à ça.
11:31
Elle ne va pas jusqu'à dire
11:32
qu'elle est contre la Convention européenne
11:34
des droits de l'homme.
11:35
Vous avez raison,
11:36
peut-être qu'on peut aller jusque-là.
11:37
Mais ce que je constate simplement,
11:39
c'est que là est expressément articulée
11:44
une appréciation subjective
11:47
qui relève d'une appréciation
11:49
sur le fondement de la politique
11:52
menée par ce parti
11:53
pour décider de la sanction
11:55
qui est prise à son encontre.
11:57
Pardon de dire qu'à l'évidence,
12:00
à la lecture de simplement cette attendue,
12:02
nous sommes en présence d'une décision politique.
12:05
Et donc, on a appris, maître,
12:06
pendant que l'on parlait
12:08
que la Cour d'appel de Paris
12:09
envisage un procès en appel à l'été 2026,
12:12
dans quel état d'esprit est votre cliente ?
12:13
On l'a vu très combative hier soir,
12:15
ce matin encore.
12:16
Elle est prête à aller jusqu'au bout ?
12:18
Ah non, alors là, je ne veux pas de mystère.
12:21
Ma cliente, ce n'est pas une deuxième nature.
12:24
C'est sa nature.
12:25
Elle est combative
12:26
et elle considère à juste titre,
12:28
en lisant cela,
12:29
ce qui la révolte et la scandalise,
12:32
que le combat doit se poursuivre.
12:35
Jusqu'à ce qu'elle...
12:37
Jusqu'à ce qu'elle soit tranchée,
12:39
sans aucune, d'ailleurs,
12:41
connotation péjorative,
12:43
le vrai débat de ce dossier.
12:45
C'est, est-ce que, encore une fois,
12:47
est-ce qu'on peut dire,
12:48
sans être jugé comme un récidiviste,
12:50
en étant avocat,
12:51
est-ce qu'on peut dire
12:52
que le fait de faire de la politique
12:55
comme un député européen français,
12:57
élu sur une liste française
13:00
auprès d'électeurs français,
13:02
avec un assistant parlementaire français,
13:05
est-ce qu'on peut simplement dire
13:06
que faire de la politique
13:08
est immédiatement constitutif
13:11
d'une infraction ?
13:12
Je ne le pense pas,
13:13
le tribunal l'a pensé, je le regrette.
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CNEWS
31/03/2025
6:01
Marine Le Pen condamnée : «Les magistrats se sont rendus compte qu'ils avaient commis une erreur», estime Jean-Michel Salvator
Europe 1
02/04/2025