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Business angel : «J'ai investi 5 000 euros,et j'ai atteint mon objectif d'être milliardaire en investissant dans des entreprises non cotées en bourse» assure l'entrepreneur Pierre-Édouard Stérin
Europe 1
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28/03/2025
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News
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00:00
Édouard Steyrin qui lui n'a pas besoin de jouer à l'Euromillions parce qu'il est déjà milliardaire.
00:05
11h13h sur Europe 1.
00:08
Pascal Praud.
00:09
Bonjour Monsieur Steyrin.
00:11
Bonjour Monsieur.
00:13
Comment allez-vous ?
00:14
Très bien, merci.
00:15
Alors votre histoire est effectivement assez extraordinaire parce que vous êtes un chef d'entreprise,
00:21
nos investisseurs sont souvent critiqués par une partie de la classe politique
00:25
alors que vous créez de la richesse en France, des emplois.
00:27
Le classement des Business Angels a été publié dans le magazine Challenge
00:32
et Pierre-Édouard Steyrin, vous avez 51, vous êtes le numéro 1 du classement,
00:36
vous avez investi 348 millions d'euros sur les derniers mois.
00:42
Est-ce que vous pouvez nous rappeler ce qu'est un Business Angels ?
00:46
Oui bien sûr, c'est un particulier qui investit son argent dans des entreprises
00:52
qui ne sont pas cotées en bourse, donc dans des entreprises qui sont généralement de petites entreprises
00:57
afin de les aider à se développer et en plus d'investir son argent,
01:01
c'est souvent quelqu'un qui va passer du temps pour coacher ses entrepreneurs
01:05
afin d'optimiser leur chance de réussir.
01:07
Mais il faut un petit peu d'argent quand même avant de pouvoir investir précisément dans des entreprises.
01:12
Donc cet argent, comment vous l'avez eu au départ parce que votre histoire est tout à fait particulière ?
01:17
Oui, c'est l'histoire d'un petit gars de province qui, avec 5000 euros il y a 20 ans
01:22
et un rêve de devenir milliardaire, va au bout de 20 ans, après de très nombreux échecs,
01:27
atteindre cet objectif.
01:29
Mais si vous avez 2 minutes, je peux vous raconter mon histoire.
01:32
Et comment, ça nous intéresse, on va même prendre des notes !
01:37
Donc en quelques mots, je viens d'une petite ville en Normandie qui s'appelle Evreux,
01:40
j'étais dans un lycée public, j'étais de très mauvaise école parce que j'ai passé 5 ans au lycée,
01:44
j'étais nul en sport également, j'étais toujours le dernier à être pris dans l'équipe de foot,
01:48
il y avait le petit gros et le grand maigre à lunettes, moi j'étais le grand maigre à lunettes.
01:51
Et après toutes ces années d'échecs, j'ai eu besoin de m'imaginer un monde meilleur,
01:55
et à l'époque je rêvais d'être soit milliardaire, soit champion du monde de tennis.
01:59
Finalement c'est le premier objectif que j'aurais atteint, et très concrètement,
02:03
après donc ces 5 années au lycée, j'ai fait quelques années d'études supérieures,
02:06
et puis j'ai commencé à monter des boîtes qui n'ont pas fonctionné,
02:09
j'ai monté plus de 20 projets qui n'ont pas fonctionné,
02:12
je suis retourné à l'âge de 29 ans vivre chez mes parents
02:16
parce que je n'avais plus de quoi payer mon appartement, mon studio à Paris,
02:20
et là j'ai continué à travailler sur des projets les uns après les autres,
02:23
et puis à un moment en 2003, je tombe enfin sur une bonne idée,
02:26
ma 21e entreprise qui s'appelle Smartbox,
02:29
et donc je crée Smartbox en 2003 avec 5000 euros que me donnent mes parents,
02:33
et à partir de là, j'avais en fait une soif,
02:39
une envie de prendre ma revanche après toutes ces années de galère,
02:43
et j'avais toujours cette envie de devenir entre guillemets milliardaire,
02:46
et donc pendant 10 ans, j'ai travaillé très dur de 2003 à 2013,
02:49
en développant mon entreprise, je suis passé de 0 à 500 millions de chiffres d'affaires.
02:53
C'était quoi Smartbox ?
02:55
Smartbox, ce sont les petits coffrets qu'on peut acheter à la FNAC par exemple,
02:58
qui permettent d'offrir très facilement un week-end, un dîner dans un restaurant,
03:02
un massage, trois tours de Porsche sur circuit, c'est un cadeau d'expérience.
03:06
Et ça, ça vous a fait devenir le milliardaire que vous êtes,
03:09
alors c'est une histoire effectivement,
03:11
et alors en 2003, vous avez un certain niveau de fortune,
03:16
mais ce niveau de fortune, quand on dit l'argent va à l'argent,
03:19
vous illustrez cette formule célèbre ?
03:22
Oui, disons que j'ai vraiment deux parties dans ma vie,
03:25
la première partie c'est que je commence avec 5000 euros en 2003,
03:28
et 10 ans après, je dirige une belle boîte qui s'appelle Smartbox,
03:31
qui fait 50 millions de résultats par an,
03:33
là en 2013, je me rends compte que la boîte est devenue trop grande,
03:36
trop compliquée pour moi, j'ai mis le collaborateur,
03:38
et c'est ce qu'on appelle le principe de Peter,
03:40
c'est-à-dire qu'on a tous un seuil limite de compétences,
03:43
et moi en 2013, j'ai atteint le mien, je ne suis plus à ma place,
03:46
donc je démissionne de cette entreprise que j'ai créée,
03:48
j'en reste propriétaire, et à partir de là, je décide de faire deux choses,
03:52
la première c'est que je deviens un business angel,
03:55
et donc je commence à investir dans des jeunes entreprises,
03:58
et je les coach pour les aider à se développer,
04:00
et la deuxième chose que je décide de faire,
04:02
c'est de continuer à créer des entreprises,
04:04
en m'associant à chaque fois avec des jeunes entrepreneurs,
04:06
pour les aider à développer leur boîte.
04:09
Donc, investisseurs et entrepreneurs à partir de 2013,
04:12
donc sur les 12 dernières années,
04:14
et résultat, les 5000 euros de 2003 sont devenus 1,4 milliard,
04:18
au 1er janvier 2025.
04:20
Il est 11h40, vous êtes sur Europe 1,
04:22
nous sommes avec Pierre-Edouard Steyrin,
04:25
qui nous raconte ce qu'est un business angel,
04:27
je vais le répéter, un business angel,
04:29
c'est une personne physique qui accompagne
04:31
ces jeunes entreprises innovantes,
04:33
dans leurs besoins de financement et de développement,
04:35
dans la phase d'amorçage de l'activité.
04:38
Alors, vous dites, à juste titre,
04:40
que vous aviez envie d'être milliardaire,
04:42
mais c'est assez fréquent finalement,
04:44
mais peu le deviennent.
04:46
Aujourd'hui, dans quel domaine pensez-vous
04:49
qu'il faut créer une société
04:52
pour que le business soit au rendez-vous ?
04:56
C'est une question large,
04:58
je pense qu'il n'y a pas un domaine,
04:59
il y a énormément de domaines possibles.
05:01
Pour savoir dans quoi se lancer,
05:02
il faut déjà voir les sujets dans lesquels on est compétent,
05:05
les sujets qu'on apprécie,
05:06
c'est toujours plus facile de créer une boîte
05:07
et de faire en sorte qu'elle fonctionne
05:09
quand on est dans un univers qui nous intéresse.
05:11
Parlons par exemple dans mon métier,
05:13
dans le journalisme, dans la radio, dans la télévision.
05:16
Qu'est-ce qu'on peut faire de nouveau
05:18
qui n'a pas été fait ?
05:19
Qu'est-ce qu'un jeune peut faire ?
05:21
Je ne vois pas tellement ce qu'il peut faire pour tout dire.
05:23
J'ai l'impression qu'il faut qu'il intègre une grande maison,
05:28
qu'il intègre plutôt une radio connue,
05:31
plutôt une télévision connue,
05:32
mais qu'est-ce qu'il pourrait faire
05:34
que les autres n'ont pas fait
05:35
et qui traduisent une trajectoire exceptionnelle selon vous ?
05:41
Je vais vous donner un exemple
05:43
de quelqu'un que vous connaissez peut-être
05:44
qui s'appelle Guillaume Pley,
05:45
qui est un garçon qui a développé un podcast
05:47
depuis deux à trois ans
05:48
qui s'appelle Légende
05:49
et qui a un succès très important
05:51
et donc c'est une sorte de petite révolution
05:53
dans l'univers des médias
05:54
et notamment du podcast.
05:55
Et on l'a reçu d'ailleurs.
05:56
Mais ça, ça vaut de l'argent à votre avis ?
05:58
Ça vaut de l'argent s'il vend son entreprise ?
06:00
Je n'ai pas les chiffres.
06:01
Mais oui, je pense que c'est une entreprise
06:02
qui vaut probablement
06:03
plusieurs petites dizaines de millions d'euros.
06:05
Plusieurs dizaines de millions d'euros Guillaume Pley ?
06:08
Oui, je pense qu'il y a des milliards d'auditeurs.
06:11
Ah oui, c'est bien.
06:12
Parce qu'après, il faut un business quand même économique
06:15
dans ces cas-là.
06:16
C'est-à-dire que si par exemple,
06:17
M. Olivier Guénet,
06:18
qui est une de nos révélations
06:21
des médias
06:23
depuis quelques années
06:24
parce qu'il a une personnalité particulière,
06:27
s'il se met tout seul,
06:29
sans intermédiaire
06:31
et qu'il parle directement au public,
06:33
il peut être milliardaire, vous pensez,
06:34
dans quelques mois ?
06:36
Milliardaire, je ne sais pas.
06:38
Et probablement pas en quelques mois.
06:39
Ce qui est certain,
06:40
c'est que ce sera beaucoup de travail.
06:41
Ce sera certainement beaucoup d'échecs.
06:43
Mais voilà, une sorte de...
06:44
En tout cas pour vous, ça a marché, Pascal ?
06:46
Non, mais moi, je ne suis que salarié.
06:49
Ah oui, d'accord.
06:50
Oui, très bien.
06:51
En tout cas, merci, M. Stérin,
06:52
parce que c'est vraiment intéressant de vous écouter.
06:54
Et puis, ce qui est assez drôle,
06:57
c'est que comme vous parlez de vous,
06:58
vous dites que vous étiez mauvais à l'école.
07:00
Bon, j'observe quand même
07:01
que vous avez fait des études supérieures après.
07:03
Vous ne deviez pas quand même être si mauvais que cela.
07:05
Je crois que vous noircissez peut-être un peu le tableau.
07:08
Oui, écoutez, la réalité,
07:10
c'est que j'ai passé cinq ans au lycée.
07:11
J'ai quand même redoublé ma seconde
07:12
lors de l'année première
07:13
et j'avais de vraies difficultés.
07:14
Et après, j'ai fini par trouver ma voie.
07:15
Mais après, j'ai eu mon bac.
07:17
Bon, et puis, par la force de votre travail,
07:19
la tenacité, la prise de risque,
07:21
c'est quelque chose qui est important.
07:22
Les chefs d'entreprise prennent des risques.
07:25
C'est cela, la prise de risque.
07:26
Tous les chefs d'entreprise que je connais,
07:28
ils sont tous passés auprès de la faillite
07:31
à un moment ou à un autre.
07:32
C'est d'ailleurs sidérant.
07:34
Petit ou grand, il y a toujours un moment,
07:37
tu es tout proche de l'échec.
07:40
Mais la prise de risque,
07:41
c'est ce qu'on ne prend pas, nous,
07:43
parce qu'on a moins cet esprit-là, sans doute.
07:45
Moi, je trouve que ce qui vraiment détermine
07:49
bien souvent l'état d'esprit d'un chef d'entreprise,
07:51
c'est sa prise de risque.
07:53
Et il y a des histoires qui sont formidables.
07:55
Moi, j'ai cité souvent Valdemar Kita,
07:57
parce que j'ai travaillé avec lui
07:58
quand j'étais au FC Nantes.
07:59
Son histoire est absolument sidérante.
08:01
C'est un homme qui arrive de Pologne,
08:03
qui ne connaît pas un mot de français.
08:05
Il a 15 ou 16 ans.
08:06
Il arrive en 67 ou 68.
08:08
Il va passer son bac.
08:09
Il va faire des études supérieures.
08:11
Il va être opticien au départ.
08:13
Et puis, il a 23 ou 24 ans.
08:16
Et puis, il se lance dans la chirurgie,
08:20
dans les produits,
08:22
dans les lentilles intraoculaires
08:24
qu'il va vendre à des chirurgiens ophtalmo.
08:26
Et il monte une première boîte.
08:28
Cette première boîte, il va la vendre 200 millions d'euros
08:30
quelques années plus tard.
08:31
Il en remonte une deuxième,
08:33
qu'il vendra une fortune également.
08:35
Et c'est un homme qui est dans l'initiative,
08:37
toujours dans la prise de risque aussi,
08:41
et qui fait qu'il a ce parcours tout à fait atypique.
08:45
Merci beaucoup, M. Steyrin.
08:47
Je trouve qu'on ne valorise pas assez les chefs d'entreprise
08:49
pour tout vous dire.
08:50
Exactement.
08:51
J'ai un petit scoop à vous donner.
08:53
J'ai Cash Investigation,
08:55
que vous devez connaître,
08:56
qui passe son temps à cracher,
08:58
notamment sur les entrepreneurs.
08:59
Il y a quelques semaines,
09:00
c'était sur la famille Muliez,
09:01
qui a créé Auchan,
09:02
qui a créé Decathlon,
09:03
qui sont des vrais entrepreneurs
09:04
qui ont pris des risques.
09:05
Là, ils sont en train de préparer un reportage sur moi
09:07
qui sortira probablement dans quelques jours ou quelques semaines.
09:09
Et malheureusement,
09:10
ces gens-là qu'on finance avec nos impôts,
09:12
ces gens qui dépendent du service public,
09:14
qu'on finance,
09:15
crachent sur les gens qui,
09:16
comme vous et moi,
09:17
financent leurs émissions.
09:19
C'est un rapport d'abord à l'argent,
09:22
en France,
09:23
qui est particulier.
09:24
Et c'est vrai qu'on pourrait,
09:28
de temps en temps,
09:30
plus valoriser la prise de risque,
09:32
plus mettre les gens au pied du mur,
09:35
moins les assister.
09:36
Parce qu'on se rend compte,
09:38
et je pense que c'est vrai pour nous tous,
09:40
quand on n'a pas d'aide,
09:42
d'une certaine manière,
09:43
ça nous oblige,
09:44
la concurrence,
09:45
elle nous oblige.
09:46
Ce n'est jamais agréable.
09:47
Ce n'est jamais agréable
09:48
parce qu'on préfère être aidé.
09:49
Mais tu t'aperçois que quand tu es mis
09:51
comme cela au pied du mur,
09:54
tu t'en sors parfois mieux.
09:56
Et c'est même une réflexion
09:57
qu'on peut avoir avec nos propres enfants,
09:59
parce que parfois les aider,
10:01
on les aiderait mieux en leur donnant rien.
10:04
Vous voyez ce que je veux dire ?
10:05
J'exagère un peu,
10:07
il faut trouver sans doute le bon chemin.
10:09
Mais parfois,
10:11
de tout donner à quelqu'un,
10:12
c'est bien d'avoir un peu faim,
10:14
me semble-t-il M. Osterra.
10:15
Je ne sais pas ce que faisaient vos parents d'ailleurs ?
10:17
Moi, mon père était expert comptable
10:19
et ma maman travaillait au Créer Agricole.
10:21
Mais ce que vous venez d'évoquer,
10:23
c'est la logique que j'ai prévue.
10:24
J'ai cinq enfants
10:25
et je pense que le plus grand service
10:27
que je peux leur rendre demain,
10:28
au-delà évidemment de la qualité de l'éducation
10:30
que j'essaie de leur donner,
10:31
c'est de leur permettre de démarrer dans la vie
10:33
avec le fait d'avoir faim
10:35
et donc de ne surtout pas commencer
10:37
avec l'argent de papa
10:38
pour se lancer dans la vie.
10:42
Parce qu'on ne va jamais aussi vite
10:44
que quand on court avec quelqu'un.
10:45
On n'a jamais aussi faim,
10:46
on n'a jamais aussi fièr
10:47
de s'acheter sa première paire de chaussures
10:49
ou sa première chemise
10:50
ou sa première montre
10:51
que quand on a gagné cet argent par soi-même
10:53
et quand on l'a parçu de ses parents
10:55
ou quand on n'a pas été assisté.
10:56
Bon, en même temps,
10:57
c'est bien d'aider ses enfants
10:58
et de leur faciliter la tâche,
11:01
bien évidemment,
11:02
et de les faire grandir plus vite
11:03
en les intégrant quand on le peut
11:05
à l'entreprise, bien sûr.
11:07
Donc tout ça,
11:08
tout le monde a ces réflexions-là
11:10
et tout le monde cherche à avoir
11:12
le bon chemin, bien évidemment.
11:14
Il est 11h47,
11:15
c'était un plaisir
11:16
et bonne chance,
11:17
Pierre-Edouard Sterrin,
11:18
qui était avec nous.
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