Skip to player
Skip to main content
Skip to footer
Search
Connect
Watch fullscreen
Like
Comments
Bookmark
Share
Add to Playlist
Report
L'incroyable Mawa McQueen nous raconte son parcours, de Trappes aux Etats-Unis
neo
Follow
2/20/2025
« Le rêve français existe ! » Née en Côte d’Ivoire, Mawa McQueen a grandi à Trappes avant de devenir millionnaire à Aspen aux Etats-Unis. Pour neo, elle nous raconte l’incroyable histoire de sa réussite, fruit de sa détermination. 💪
Category
😹
Fun
Transcript
Display full video transcript
00:00
Je suis millionnaire.
00:01
Je t'emmerde, moi.
00:02
Je fais ce que j'ai envie de faire.
00:03
Mais j'ai trimé comme une chienne.
00:04
Ma vie, c'était une vie de merde.
00:06
On s'est retrouvés à la rue.
00:07
Je voulais aller vivre aux États-Unis.
00:08
Moi, Mahoua qui vient de Trappes.
00:10
Je vais servir le président.
00:11
Je me serais suicidée.
00:12
Que de rentrer.
00:13
Qu'est-ce que je vais leur dire maintenant ?
00:14
Je dis, oh, vous avez raison de rester dans le ghetto.
00:16
Pourquoi j'aurais honte de dire,
00:18
j'ai de l'argent ?
00:19
Moi, je ne crois pas à la chance.
00:20
Tu peux tout créer, tu peux tout manifester.
00:22
Il faut vraiment le vouloir.
00:24
Le rêve français existe.
00:26
Bonjour, je suis Mahoua McQueen.
00:28
Je suis passée de Trappes, en région parisienne,
00:31
à être millionnaire à Aspen, aux USA.
00:34
Et ça, c'est mon histoire.
00:35
Je ne suis pas millionnaire, je suis multimillionnaire.
00:37
Je n'ai jamais imaginé que mon destin
00:39
soit celui que je viens de créer.
00:41
Je suis née en Côte d'Ivoire, à Abidjan.
00:44
Je suis arrivée à Trappes à l'âge de 12 ans.
00:47
Ma mère avait 18 ans.
00:49
Elle est partie à Paris pour se chercher,
00:51
comme on dirait, pour avoir une vie meilleure.
00:53
J'ai 20 frères et sœurs,
00:55
mais à l'époque, on était 11.
00:57
On avait deux chambres.
00:58
On était deux sur des lits superposés,
01:01
entassés comme des sardines.
01:03
Pour être polie, tu n'avais pas ta propre chambre.
01:06
Tu n'avais même pas un endroit où tu pouvais crier.
01:08
Je ne parlais pas très bien le français
01:11
et j'avais déjà du retard en Côte d'Ivoire.
01:15
Donc, j'avais encore plus de retard en France.
01:18
J'étais nulle à l'école et je suis toujours nulle à l'école
01:22
parce que j'ai du mal à apprendre.
01:23
Pendant longtemps, j'ai trouvé que je n'étais pas intelligente
01:25
et que j'étais bête d'ailleurs.
01:27
Mais j'étais quand même mignonne.
01:29
Après la cinquième, j'ai choisi ou j'ai été forcée
01:32
à faire un CAP de collectivité pour apprendre à cuisiner,
01:36
s'occuper d'enfants, avoir un minimum de skills,
01:39
comme on me dit, pour pouvoir me débrouiller dans la vie.
01:41
J'avais une grande gueule.
01:44
J'étais le boss à la maison.
01:47
Tout le monde faisait ce que je disais
01:48
parce que mes parents travaillaient et j'étais l'aînée.
01:52
J'avais le devoir de m'occuper de mes frères et sœurs.
01:54
Et c'est marrant parce que j'étais tellement bonne dedans.
01:57
Et c'est là que j'ai remarqué que j'aime être la bosse.
02:00
Oui, on avait à manger et on avait un toit.
02:03
Mais ça, ça a été même pour un court moment
02:06
parce qu'on s'est retrouvés à la rue
02:07
et j'avais pas de papier, apparemment, que je savais pas.
02:10
J'étais illégale, donc tout ça, ça me tombait dessus.
02:13
Et je me dis, mais quelle vie de merde !
02:19
Il n'y avait pas d'issue.
02:20
Au moins, si j'étais bonne à l'école
02:22
ou si j'avais une famille ou des parents qui m'aidaient
02:26
ou si j'avais un endroit propre pour moi, pour me développer,
02:30
j'avais pas ça.
02:31
Quand on se retrouve à la rue à 17 ans,
02:36
on a beaucoup de colère.
02:36
On a beaucoup de colère contre la vie,
02:39
mais on le dirige surtout à nos parents.
02:45
C'est pas de leur faute, ils essaient de faire leur mieux.
02:48
Mais il y a des choses, on sait pas comment faire,
02:52
on sait pas comment.
02:54
Des fois, je me disais,
02:56
j'aurais mieux fait d'être en Afrique que d'être en France.
03:00
Je n'ai voulu pas de cette vie-là.
03:02
J'avais une aversion pour la vie que je menais.
03:06
C'est ça qui m'a sauvée.
03:08
Je voulais me casser de là.
03:11
Peut-être certaines personnes auraient eu cours à la drogue,
03:14
d'autres à autre chose,
03:15
mais moi, c'était les États-Unis.
03:17
On choisit son échappatoire.
03:21
On est en France, mais comme je disais,
03:22
on nous vendait le rêve américain.
03:24
En étant en France, il y avait le Cosby Show,
03:26
Arnold et Woody.
03:27
La plupart des shows étaient américains.
03:29
Je voulais aller vivre aux États-Unis.
03:31
C'était mon rêve.
03:32
Le directeur a dit,
03:33
attends, il faut qu'on la sauve la pauvre.
03:35
Il a dit, qu'est-ce que tu veux faire ?
03:36
Je ne sais rien.
03:38
Il dit, tu aimes faire la cuisine ?
03:38
Je dis, bah oui, je fais la cuisine tous les jours.
03:41
Il me dit, ça te dirait si on réussissait à t'avoir une place
03:46
au lycée hôtelier de Saint-Quentin.
03:48
Ils ne vont jamais m'accepter, je n'ai pas le niveau.
03:50
Il dit, il faut essayer.
03:52
Et puis, je suis rentrée et j'ai fait.
03:54
Il y a des bons Samaritains.
03:56
Mon rêve américain, je l'ai toujours eu.
03:58
OK ?
03:59
Quel que soit où je partais,
04:01
le comment, je ne savais pas comment j'allais le réaliser.
04:03
Je me suis dit, un jour, je vais aux États-Unis
04:05
et je vais voir le président de la République des États-Unis.
04:08
Personne ne m'a cru.
04:09
Donc, j'arrive au lycée hôtelier.
04:11
Je me dis, après, je vais appliquer comme tout le monde à Disney.
04:15
Disney n'a jamais voulu de moi.
04:17
Si je voulais, je pouvais travailler au McDonald's ou à la grillée.
04:21
Absolument pas, je ne suis pas l'unique qui a décidé de travailler là-bas.
04:23
Pendant que les autres étaient dans les palaces, non.
04:26
Personne ne voulait me donner ma chance.
04:27
Donc, j'ai économisé, j'ai gardé des enfants.
04:30
Et puis, après, je suis partie en Angleterre.
04:31
Je deviens, en deux ans, restaurant manager.
04:34
Et mon copain qui sait très bien, tous les jeudis, il me voit faire les...
04:39
Envoyer les CV.
04:42
Il dit, Mahoua, arrête, arrête, arrête de te rabaisser.
04:46
Il faut s'inscrire pour la loterie, une loterie de cartes vertes.
04:51
Attendez, ça n'existe pas.
04:53
Moi, je sais tout sur l'Amérique.
04:55
Et en plus de ça, il disait, il faut payer.
04:57
Il faut payer 20 pounds.
04:59
Je dis, mais attends, c'est de l'arnaque.
05:01
Il dit, OK, Mahoua, je vais jouer.
05:04
Il m'a laissé tomber.
05:05
C'était bien parce qu'avec le recul, son seul travail dans ma vie,
05:09
c'était juste de venir et faire ce petit truc-là.
05:11
Parce que j'ai gagné et je suis partie.
05:13
Lui, il n'a pas gagné.
05:14
Donc, dans la vie, en fait, on s'attache aux gens et on ne veut pas qu'ils partent.
05:18
Non, des fois, ils sont là pour des choses précises.
05:21
Donc, il faut le respecter, ça.
05:23
On dit que les choses arrivent à temps.
05:26
Comme par hasard, au moment où j'ai gagné la green card,
05:29
il y a un hôtel à Kennebunkport qui m'a appelé.
05:33
Donc, je suis partie, j'arrive là-bas.
05:35
Et puis aussi, je voulais épouser Denzel Washington, il faut le dire ça.
05:39
J'étais très fan des Américains noirs.
05:41
C'était hot.
05:43
J'épousais un blanc, aux yeux bleus, allemand.
05:48
Enfin bref, j'arrive dans le Maine.
05:50
C'était au mois d'avril 2002.
05:52
Pas un chat.
05:54
C'est une petite ville.
05:56
Je cherche tous les Denzel Washington, tous les noirs.
05:59
Que le style américain, zéro.
06:01
Que des blancs.
06:03
Je dis, mais attends, c'est quelle Amérique, ça ?
06:05
Je ne me rends pas compte de là où je suis.
06:07
Je ne savais pas que la famille de George Bush
06:09
habitait à cinq kilomètres de là où j'étais.
06:12
Qu'on habitait dans la même rue.
06:14
Je rêvais, il y a dix ans auparavant,
06:17
j'ai dit, un jour, j'irai aux États-Unis et je vais rencontrer le président.
06:20
Donc, je travaillais en tant que serveuse.
06:22
Un jour, il y a quelqu'un qui appelle pour me dire,
06:24
le président sera là dans une demi-heure.
06:27
J'ai dit, ouais, ouais, je pensais que c'était une blague.
06:29
Et puis, tu as au moins sept voitures blindées qui sont au fond.
06:34
Je suis allée me cacher dans la salle de bain.
06:36
Et il y a mon patron qui dit,
06:37
Mawa, c'est toi qui vas servir le président.
06:40
Moi, Mawa, qui viens de Trappes,
06:42
vous me dites, et j'étais la seule noix,
06:45
je vais servir le président ?
06:47
Tu veux rire ou quoi ?
06:48
Il dit, tu sors ou t'es virée ?
06:49
Donc, je sors.
06:50
J'hallucinais, il y avait le père, le fils et d'autres personnes.
06:53
Je les ai servis.
06:55
Il me prend la main, il me dit, you're gonna be OK ?
06:57
Je dis, bien sûr.
06:58
OK, Mr. President, First Lady.
07:00
À la fin, ils ont regardé mon patron et puis, il me dit,
07:03
il peut la garder, elle, c'est la meilleure.
07:04
Pendant des années, on m'appelait Mawa Bouche.
07:06
Et mon patron m'a dit,
07:08
si t'avais un endroit où tu voulais aller, où ça serait ?
07:10
Mais tu reviens en été,
07:12
parce que la famille Bouche t'adore.
07:13
Et puis, je faisais de la thune grave.
07:15
Et je dis, moi, je veux aller à Aspen, comme les riches.
07:19
Parce que j'avais déjà vu Aspen dans les Feux de l'Amour.
07:22
Parce que j'adorais les Feux de l'Amour.
07:23
Oh là là, j'étais...
07:25
Pendant cinq ans, en fait, je fais ça.
07:27
Hiver à Aspen, été dans le Maine.
07:30
Et j'ouvre ma compagnie de traiteur.
07:34
J'ai perdu beaucoup d'argent.
07:36
J'ai ouvert une première crêperie.
07:38
Ça n'a pas marché.
07:39
C'était un petit châc à Aspen.
07:41
J'ai fermé.
07:42
J'ai ouvert une autre crêperie à une demi-heure d'Aspen.
07:45
Ça n'a pas marché.
07:46
J'ai ouvert The Kitchen Hotline.
07:48
Ça, c'est ça qui m'a tuée.
07:49
Ça, ça m'a ruinée parce que c'était...
07:53
presque un million de dollars.
07:54
Je suis tombée dans une dépression, mais grave.
07:58
Parce que je n'avais plus rien.
08:00
Il n'y a rien qui fonctionnait.
08:01
L'échec total.
08:03
Je suis dans ma dépression, presque suicidaire.
08:06
Je ne serai jamais rentrée en France.
08:08
Je me serai suicidée que de rentrer.
08:10
La honte !
08:11
Mes frères et soeurs, c'était ma vie.
08:13
Je voulais leur montrer.
08:14
Je voulais les sortir de là.
08:18
Qu'est-ce que je vais leur dire maintenant ?
08:19
Je dis, vous avez raison de rester dans le ghetto.
08:22
Mais vous imaginez la responsabilité ?
08:25
Donc, je regardais la télé.
08:26
Encore, j'adore la télé.
08:27
Au Preuve, c'est un show avec Tony Robbins.
08:30
Il dit, failure is good.
08:32
Mais il est con, lui.
08:33
Tous les gens qui ont réussi dans la vie ont échoué.
08:38
C'est ce que tu deviens quand tu as échoué
08:41
qui est le plus important.
08:42
Ça t'apprend.
08:44
J'ai dit, mon Dieu, il faut que j'aille l'écouter, ce gars-là.
08:49
Et je suis allée et ça a changé ma vie.
08:52
Ça a vraiment expliqué toute ma vie.
08:55
J'ai toujours voulu être le héros de ma famille.
08:59
J'ai toujours voulu réussir.
09:00
On m'a dit, tu veux toujours trop Mawa dans la vie.
09:03
Il faut avoir le bon état d'esprit
09:07
pour comprendre pourquoi les choses ne vont pas marcher.
09:10
C'est là que j'ai tué Mawa Sidibé.
09:13
Là, je n'avais plus peur de rien.
09:15
Je dis, je vais essayer jusqu'à ce que je meurs
09:17
pour que je sois la meilleure dans tout.
09:19
J'ai essayé les crêpes trois fois avant d'y arriver.
09:22
Trois fois.
09:24
Je trouve l'endroit idéal et je dis,
09:27
ok, mais je vais changer les choses un petit peu.
09:30
Crêpes au foie gras.
09:32
Crêpes à la bourguignonne.
09:34
Mais que des trucs que le prix soit un peu plus élevé
09:38
que ce que les gens connaissent.
09:39
La première crêpe au caviar, 120.
09:42
Ibérico, 78.
09:44
Bien sûr, on avait d'autres crêpes.
09:45
Il y avait toujours de la Nutella.
09:47
Mais les crêpes salées, je suis allée complètement.
09:50
Je n'ai rien à perdre, de toute façon, on va voir.
09:52
Vous savez, la crêpe qui se vendait le plus, c'était
09:55
la crêpe au caviar.
09:56
À ma surprise.
09:59
Le premier jour, on s'est fait déchirer 600 crêpes.
10:02
On n'avait même plus de pâtes.
10:04
Pour décrire Aspen, c'est vraiment la station de ski
10:07
qui, au mètre carré de milliardaires,
10:11
c'est le plus au monde.
10:12
Il faut être super, super riche.
10:13
Pour vous donner un exemple, moi, en tant que millionnaire,
10:16
je suis pauvre à Aspen.
10:18
C'est vraiment des milliardaires multimillionnaires.
10:22
Si tu es millionnaire, tu ne peux pas vraiment t'offrir
10:25
une crêpe au caviar tous les jours.
10:28
Les gens n'achètent pas la crêpe au caviar,
10:32
ils achètent le caviar.
10:33
Et moi, je ne leur charge pas la crêpe,
10:35
c'est le caviar que je leur charge,
10:36
parce que le caviar, il est très cher.
10:37
La crêperie est devenue un symbole d'Aspen.
10:41
Les gens, quand ils viennent à Aspen,
10:42
ok, on veut une crêpe au caviar, ok.
10:45
C'est un truc maintenant.
10:46
J'ai la crêperie et je suis chef privé pour des stars.
10:49
Ce n'est pas que la crêperie qui rend millionnaire,
10:53
ça y contribue, mais je suis chef privé,
10:56
j'ai d'autres business.
10:58
Pourquoi j'aurais honte de dire, j'ai de l'argent ?
11:01
Mais c'est quoi l'argent ?
11:03
Ça vous ouvre des portes ?
11:04
C'est pas parler d'argent.
11:05
Il ne faut pas parler de ça, il ne faut pas faire ça.
11:07
Je t'emmerde, moi.
11:09
Je fais ce que j'ai envie de faire.
11:10
Souvent, les gens me disent,
11:11
ah mais toi, tu as eu de la chance.
11:13
Moi, je ne crois pas à la chance.
11:14
Il faut être discipliné et il faut travailler dur.
11:17
L'américain, il est né en tant que bâton.
11:19
Le français, il est né en tant qu'homme d'oie.
11:21
Oh non, mais ce n'est pas juste.
11:23
Vous voyez la différence ?
11:24
En France, on critique au lieu de faire.
11:26
Oui, mais on ne nous donne pas la chance.
11:28
Mais tu l'apprends, merde.
11:29
J'adore la France, elle m'a beaucoup donné.
11:31
Mon idée de crève, je l'ai eue où ?
11:32
Le rêve américain, je l'ai eue où ?
11:34
Je l'ai eue ici, en France.
11:35
Donc, je ne veux pas que les gens croient que
11:37
il faut toujours partir.
11:39
Le rêve français, il existe.
11:41
Je ne dis pas qu'il n'y a pas de problème.
11:42
Je ne dis pas que ce n'est pas...
11:43
Oui, c'est dur d'être jeune et d'être en France.
11:46
C'est dur d'être noire ou arabe ou je n'en sais rien ou vieux.
11:50
Mais vraiment, si on regarde, on choisit notre vie.
11:54
C'est beaucoup plus intéressant quand on la crée.
11:56
Qu'on ne laisse pas les gens nous dicter
11:58
où on doit aller, ce qu'on doit faire.
12:00
C'est ton esprit qui fait les choses.
12:01
Ce n'est pas des mains.
12:03
Il y a des gens qui travaillent dur
12:04
mais qui ne réussissent pas.
12:06
C'est l'état d'esprit.
12:07
On peut réussir, quel que soit d'où on vient.
12:10
Que tout le monde arrête de se donner des excuses, c'est tout.
12:12
C'est vrai que ça prend du temps.
12:14
Mais à chacun sa route.
12:16
Get your right mindset.
12:19
Gold.
Recommended
8:09
|
Up next
Mawa McQueen, cette Ivoirienne millionnaire aux USA
Brut Afrique
8/2/2024
1:29
Mawa McQueen nous donne ses conseils pour oser se lancer et réussir !
neo
4/9/2025
0:12
Un chameau fait une sortie de route
Mister Buzz
yesterday
0:18
Quand la porte du bus te pourri la vie
Mister Buzz
yesterday
0:25
Ce chien tente de surprendre un chat... raté
Mister Buzz
yesterday
0:38
Serge Atlaoui est sorti de prison : "C'est une journée exceptionnelle"
ici Lorraine
7/18/2025
1:17
Des téléphones endommagés pendant le bal des pompiers de Thionville ?
ici Lorraine
7/8/2025
0:49
Encore un sauvetage de chat à Metz !
ici Lorraine
7/2/2025
1:09
Envie de revenir le sac plein à craquer de goodies Le Tour de France ? Ils nous ont partagé leurs meilleures astuces ! 🚴🎁
neo
7/21/2025
2:46
Nick Mallen est chanteur de rue et a fait le buzz sur les réseaux sociaux, jusqu'à jouer dans des stades ! Pour neo, il revient sur son parcours de vagabond ! 🎤🔥
neo
7/21/2025
4:22
À 88 ans, Thérèse file toujours à toute allure ! Sur son scooter, cette grand-mère énergique croque la vie à pleines dents et s’offre des virées aussi joyeuses que revigorantes. 🛵👵🏻
neo
7/15/2025
6:05
« Le parisianisme, c’est imaginer que rien ne peut se faire hors de Paris. » Francis Brochet est journaliste et a écrit « Quand le parisianisme écrase la France ». Pour neo, il dénonce un système bien français et appelle à l'émancipation de la province.🇫🇷
neo
7/15/2025
2:12
ARCHIVE : Quand les ouvriers de Renault partaient en vacances en 1963. ✨
neo
7/10/2025
3:58
Et si la musique dépassait les frontières humaines ? Plumes partage ses chansons avec un public inattendu : les animaux ! 🎶✨
neo
7/7/2025
4:52
Hervé, Erwan et Lucie partagent bien plus qu’un lien familial : une passion pour les tracteurs anciens. Ensemble, ils les rénovent avec patience et entrain ! 🚜❤️
neo
7/7/2025
1:23
Un cochonnet, quelques boules et surtout de la chaleur humaine ! Avec Entourage, la pétanque devient le parfait prétexte pour briser la solitude tout en s’amusant ! 👫✨
neo
7/7/2025
1:16
Guy a conçu une serre solaire, pensée pour préserver la planète. Pour neo, il dévoile comment son modèle pourrait bien révolutionner la culture sous serre ! ♻️☀️
neo
7/7/2025
1:09
Cette tortue retrouve la liberté après avoir été soignée pendant 6 mois ! 🐢🌊
neo
7/7/2025
1:22
« Je suis unique. » Monsieur Vincent travaille depuis 43 ans dans son minuscule atelier parisien. Pour neo, il partage son savoir-faire d’exception. ✨
neo
7/7/2025
3:43
Et si des ardoises pouvaient chauffer une maison ? Guy a trouvé une solution artisanale, durable et étonnamment efficace ! ♻️🏡
neo
7/7/2025
0:31
Quand la petite Marie chante avec les Jeannettes des Scouts Unitaires de France : un moment suspendu, rempli de joie contagieuse ! ✨
neo
7/7/2025
4:47
Près de 50 ans de métier et toujours la même flamme. Ivan, ébéniste à Paris, façonne le bois avec passion et transmet ce savoir-faire précieux aux générations futures. 🔥🔨
neo
7/7/2025
1:20
Philippe recueille des animaux souvent mal-aimés. Pour neo, il partage sa passion et son engagement auprès de ces espèces méconnues. 🐍✨
neo
7/7/2025
1:23
Après la mort de sa femme, ce papy a construit une cabane pendant son deuil. Un refuge plein de souvenirs, qu’il partage aujourd’hui avec ses petits-enfants. ❤️🌿
neo
7/7/2025
2:35
Rudy conduit un éléphant géant et arrose les passants avec sa trompe ! Un métier pas comme les autres, qu’il vit avec humour et bonne humeur. 🐘
neo
7/7/2025