Sarah Saldmann : «Je ne suis pas étonnée venant de France Inter.»

Sarah Saldmann : «Je ne suis pas étonnée venant de France Inter. [...] L'ARCOM ne leur dit jamais rien. Il va être augmenté et promu.»

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00:00Je ne comprends pas que ça vous étonne.

00:01C'est cohérent avec France Inter. Ils ont toujours été dans cette dynamique.

00:05Je pensais quand même pas qu'ils étaient proches.

00:07Moi, je vous le dis, je ne suis pas étonnée venant de France Inter.

00:10Ils sont cohérents à chaque fois qu'il y a ce genre de choses.

00:13Ils passent un cap supplémentaire.

00:14Toujours, mais pourquoi ?

00:15Pourquoi ils passent un cap supplémentaire ?

00:18Parce que l'ARCOM ne leur dit... Là, c'est la radio.

00:20Je ne sais pas si ça serait possible, mais on ne leur dit jamais rien.

00:22L'ARCOM, c'est la télé et la radio.

00:24L'ARCOM ne leur dit jamais rien.

00:26Jamais, jamais, je ne vois d'amende infligée à France Inter.

00:29On leur laisse tout passer avec l'argent des Français.

00:32Vous le dites, il n'y a pas de publicité. Pourquoi ?

00:34Ils continuent. Donc, c'est une idéologie,

00:36même sur le service public, on peut le dire,

00:38mais le service public, c'est l'idéologie.

00:40Par exemple, ils avaient fait un reportage.

00:41C'était sur France Télévisions, Béni soit Sixtine.

00:43Ils sont dans tout le service public.

00:45C'était un téléfilm.

00:46Un téléfilm, mais c'était une idéologie.

00:48Donc, France Inter, c'est la même chose.

00:50Je vais même vous dire...

00:52Là, on passe un cap.

00:53On passe un cap, il va être augmenté et promu.