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Le brevet des collèges ne sera finalement pas obligatoire pour le lycée : la fausse bonne idée ?
Europe 1
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17/01/2025
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00:00
J'ai le plaisir d'accueillir dans ce studio Georges Fenech, Philippe Guibert, bonsoir messieurs.
00:05
Merci d'être là, toujours un plaisir de vous retrouver le vendredi.
00:08
Je vous voyais un petit peu tiqué sur l'affaire du brevet.
00:11
Elisabeth Borne qui a finalement décidé, ministre de l'éducation nationale,
00:14
que l'obtention du brevet des collèges n'était pas obligatoire pour passer au lycée.
00:18
Et je vous voyais un peu dubitatif.
00:21
Ça change tous les trois mois.
00:22
Georges Fenech, vous avez raison.
00:23
Un petit peu de cohérence dans cette politique d'éducation nationale.
00:26
Et puis je pense que le brevet c'était quand même quelque chose d'important.
00:29
Il fallait le maintenir.
00:31
Premier diplôme, premier examen, Philippe Guibert.
00:34
Oui, si on veut quand même qu'il y ait un minimum d'exigence à l'école.
00:38
L'obtention du brevet, pareil, une condition indispensable pour passer en seconde.
00:43
Mais c'est incroyable, figurez-vous.
00:45
Quel est le sens de cette mesure ?
00:47
Je suis d'accord.
00:48
De dire que tout le monde peut passer en seconde.
00:50
Mais alors, puisqu'on a fait le constat, et le Premier ministre l'a même fait,
00:54
durant son discours de politique générale,
00:56
de dire que le niveau en France, en mathématiques et en lecture,
01:01
a profondément chuté.
01:03
Quel est le sens de ne pas avoir cette exigence minimum ?
01:06
C'est incroyable.
01:07
Je vais vous dire, à titre personnel, je pensais qu'aujourd'hui,
01:10
le brevet, tout le monde l'avait.
01:11
C'est un compte qui continue.
01:12
Oui, vous avez raison.
01:13
Moi, mes enfants l'ont eu avec mention.
01:15
Mais ce que je veux dire par là, c'est qu'ils n'ont pas travaillé comme des acharnés
01:18
pour obtenir le brevet.
01:19
On se dit la vérité.
01:20
Oui, c'est vrai, vous avez raison.
01:21
Je pensais que tout le monde avait le brevet.
01:22
Eh bien, non.
01:23
Sachez que je crois qu'il y a quasiment 10% des élèves de 3ème
01:27
qui n'obtiennent pas le brevet des collèges.
01:29
Mais raison de plus.
01:30
Ça signifie quelque chose.
01:31
Parce qu'ils ont le niveau...
01:33
Mais c'est incroyable.
01:34
...pour suivre des études supérieures.
01:35
Parce que quand on va en seconde, première, terminale,
01:37
c'est pour ensuite aller dans les études supérieures.
01:39
Un 3ème, c'est l'âge où on peut s'orienter professionnellement
01:42
vers des métiers qui sont tout à fait respectables
01:46
et des métiers d'avenir.
01:47
Dont on a besoin.
01:48
Dont on a besoin.
01:49
Donc, il n'est pas nécessaire d'obliger ces jeunes
01:52
à faire des études longues
01:53
s'ils ne sont pas faits pour ça.
01:54
Oui.
01:55
Ce n'est pas évident.
01:56
Et pourquoi se dire...
01:57
Ce qui me choque dans tout ça,
01:58
c'est que vous le disiez,
01:59
c'était déjà pas très difficile le brevet.
02:01
Non.
02:02
Donc, on abaisse l'exigence.
02:03
Moi, j'aurais eu tendance à la remonter un petit peu.
02:06
Parce que c'est vrai que pour connaître des gamins
02:09
qui sont passés par le brevet,
02:11
c'était presque une formalité.
02:14
Donc, je ne vois pas l'intérêt de ce genre de choses.
02:17
Mais pourquoi ?
02:18
Votre avis, c'est pourquoi ?
02:19
C'est pour faire du politiquement correct ?
02:21
Je ne comprends pas pourquoi.
02:23
Les économies, pourquoi ?
02:25
Les brevets, ça suppose des organisations
02:27
de donner des preuves.
02:29
Oui, mais on continuera à passer le brevet.
02:31
Je ne sais pas si c'est une question de moyens
02:33
ou d'économie,
02:34
mais c'est peut-être ce vieux fonds idéologique,
02:37
toujours de l'égalitarisme,
02:39
qu'on doit donner ses chances absolument à tout le monde.
02:41
Et qu'il faut que,
02:42
même ceux qui n'ont pas été capables d'avoir le brevet,
02:44
il faut quand même leur laisser la chance
02:46
d'avoir le bac un jour.
02:47
Ça fait partie de cette...
02:49
C'est à ce moment-là qu'on développe des passerelles.
02:51
C'est-à-dire qu'un gamin qui, en troisième,
02:53
n'a rien fichu à décrocher de l'école
02:55
et qui ne passe pas tout de suite en seconde,
02:58
voire qui prend une autre filière,
03:00
on peut développer des passerelles.
03:01
Parce que si, deux ans, trois ans plus tard,
03:03
il se révèle beaucoup plus motivé,
03:05
beaucoup plus travailleur,
03:07
il peut revenir.
03:08
On ferait mieux de développer des passerelles
03:10
plutôt que de vouloir faire passer tout le monde.
03:12
Je suis assez d'accord avec vous.
03:14
Je trouve qu'en France,
03:15
c'est vrai qu'on manque beaucoup de métiers
03:17
qui ne sont pas assez mis en valeur.
03:19
Des métiers absolument formidables.
03:21
Je trouve que ça revient un peu,
03:23
mais on n'y est pas du tout.
03:25
C'est-à-dire que les métiers manuels,
03:27
les métiers d'art dont on a créellement besoin,
03:29
ne sont pas mis en avant.
03:31
Ça reste toujours...
03:32
Il y a encore une image de la voie de garage.
03:34
Il faut que ça bouge, ça aussi.
03:35
Parce que ce n'est plus le cas, n'est-ce pas, Georges Fémin?
03:37
Et qui ont été mis en valeur
03:39
aux yeux du monde entier,
03:40
avec la libération de Notre-Dame.
03:42
On a vu qu'on avait des savoir-faire,
03:44
des métiers,
03:45
mais on pense aussi à tous les autres métiers,
03:46
de tous les quotidiens,
03:47
de tous les métiers de bouche,
03:48
la pâtisserie, la boulangerie, la restauration.
03:50
On brille.
03:51
La France brille à l'étranger
03:53
avec sa pâtisserie, sa restauration.
03:55
Oui, mais il faut peut-être
03:57
que l'école se bouche pour faire
03:59
plus de... enfin je ne sais pas, ouvrir des filiales
04:01
qui soient plus attractives.
04:02
Tout ça est contre-intuitif
04:03
par rapport à ce que doit faire un élève
04:05
qui est quand même d'apprendre à faire des efforts,
04:07
à ce que les parents
04:09
mettent comme pression sur les élèves.
04:11
On a l'impression que toute pression,
04:13
même très légère comme le brevet,
04:15
est problématique.
04:16
Je trouve que c'est contre-productif,
04:18
extrêmement contre-productif.
04:19
Je suis d'accord.
04:20
Je voudrais qu'on revienne quand même sur l'actualité de ce soir.
04:22
Évidemment, David Rigoleros était avec nous
04:24
il y a quelques instants à cesser le feu,
04:26
donc, entre Israël et le Ramaz,
04:28
avec le retour
04:30
des otages, une trentaine dans un premier temps,
04:32
dont nos deux compatriotes,
04:34
qui ont été enlevés le 7 octobre.
04:36
D'abord,
04:38
un mot, c'est peut-être,
04:40
point d'interrogation, une victoire de Donald Trump
04:42
alors qu'il serait investi lundi ?
04:44
Président des Etats-Unis.
04:46
D'abord, peut-être,
04:48
un mot sur ce cesser le feu
04:50
qui a été décroché, ce n'est pas un accord de paix.
04:52
Je le répète une nouvelle fois,
04:54
un cesser le feu, c'est fragile.
04:56
Mais c'est quand même un signal d'espoir, ce soir.
04:58
Non ?
05:00
Oui, bien sûr, vous avez tout à fait raison de dire
05:02
que c'est fragile, qu'il faut rester extrêmement prudent,
05:04
qu'il y a trois phases
05:06
dans cet accord.
05:08
La première phase, on peut espérer, qui passe par la libération
05:10
des otages, on peut espérer
05:12
qu'elle soit tenue, mais on peut se poser des questions
05:14
sur la suite. Il n'empêche quand même
05:16
qu'on doit prendre
05:18
le fait que des personnes
05:20
vont être libérées, des otages
05:22
qui étaient otages depuis
05:24
plus d'un an, et puis que la population
05:26
civile gazaouie va beaucoup
05:28
moins souffrir, même s'il y a encore beaucoup
05:30
à faire pour que l'aide humanitaire
05:32
soit acheminée.
05:34
Mais ça fait partie de l'accord, justement.
05:36
Donc oui, c'est déjà
05:38
des vies qui peuvent être sauvées
05:40
ou qui peuvent être épargnées
05:42
alors que la situation des otages
05:44
et des civils gazaouis est catastrophique.
05:46
Il faut bien le dire.
05:48
On peut ajouter qu'il est difficile, en l'état actuel
05:50
à ce stand, de parler d'accord
05:52
de paix, parce que pour faire la paix,
05:54
il faut être deux. Vous voulez quoi ?
05:56
Qu'Israël fasse la paix avec qui ?
05:58
Avec le Hamas ? Avec un groupe terroriste ?
06:00
Non,
06:02
ce n'est pas possible. Pour l'instant,
06:04
la trêve, la cessez-le-feu,
06:06
c'est une très très grande avancée.
06:08
On pouvait espérer de mieux avec la libération
06:10
malheureusement progressive
06:12
encore des otages. On aurait préféré
06:14
qu'ils soient tous libérés en même temps.
06:16
Mais pour répondre
06:18
à votre question aussi,
06:20
moi j'ai la conviction que
06:22
c'est l'arrivée quand même de Donald Trump
06:24
qui a fait débloquer
06:26
cette situation.
06:28
Quand on sait qu'il a envoyé son émissaire
06:30
personnel, Steve Whitlock,
06:32
qui n'est pas du tout un diplomate,
06:34
c'est un promoteur immobilier new-yorkais,
06:37
qui paraît-il, d'après les quelques
06:39
bruits qu'on peut avoir ici ou là,
06:41
aurait eu une discussion très virile
06:43
avec Netanyahou,
06:45
et a imposé la signature
06:47
de cet accord.
06:49
Donc certes les deux équipes,
06:51
les deux administrations ont travaillé ensemble,
06:53
Biden le dit, Trump a
06:55
l'élégance de laisser
06:57
quand même un peu à Biden puisqu'il a
06:59
tiré la couverture entièrement à lui,
07:01
mais force est de constater, et il l'avait annoncé,
07:03
qu'arrivant au pouvoir,
07:05
il y aurait un accord. Et d'ailleurs, souvenez-vous, il avait même
07:07
menacé le Hamas, ça pourrait être l'enfer
07:09
si ce n'était pas le cas
07:11
avant son neutralisation.
07:13
Oui, Georges a raison.
07:15
En fait, il y a eu un intérêt convergent
07:17
entre l'ancien président qui s'en va et celui qui arrive.
07:19
L'ancien avait besoin
07:21
de faire le forcing pour avoir
07:23
au moins un accord avant de partir,
07:25
et le nouveau avait aussi besoin de cet accord
07:27
pour dire, j'arrive sur un
07:29
terrain qui est meilleur
07:31
que celui qui
07:33
existe depuis le 7 octobre
07:35
2023. Et donc Trump
07:37
a donné le coup de pression
07:39
comme l'a expliqué Georges, de façon
07:41
effectivement, paraît-il, très
07:43
efficace et très forte
07:45
de façon à ce qu'enfin cet accord
07:47
soit conclu, parce que Biden a raison
07:49
sur un point, les termes de l'accord
07:51
sont extrêmement proches de ce qu'il avait proposé
07:53
en mai dernier.
07:55
Et on peut nourrir beaucoup de regrets
07:57
sur le fait que cet accord n'a pas
07:59
été possible à ce moment-là
08:01
à cause du Hamas, à l'évidence
08:03
mais aussi à cause d'une partie du gouvernement
08:05
de Netanyahou
08:07
qui est très extrémiste et qui ne veut pas de la paix.
08:09
Qui sera libéré ? Dans un premier temps
08:11
les femmes, les enfants.
08:13
Icône de ces otages, le petit
08:15
sphère, qui a aujourd'hui
08:17
qui aura demain, demain
08:19
deux ans.
08:21
Deux ans. Écoutez Olivier Jaoui
08:23
président de l'association
08:25
Vibrize le 7 octobre et membre de la famille
08:27
de l'otage franco-israélien Ofer Calderon
08:29
qui était mon invité
08:31
aux alentours de 19h15 sur Europe 1
08:33
tout à l'heure. Je vous rappelle quand même que
08:35
Kfir Bibas, qui aura deux ans
08:37
demain, aura passé, s'il est encore
08:39
vivant, la moitié, les deux tiers de sa vie
08:41
en captivité à Gaza, son frère de cinq ans
08:43
la mère
08:45
est dans les listes, eux ils n'y sont pas.
08:47
On peut croire au miracle mais sincèrement
08:49
pour eux j'ai peu d'espoir.
08:51
Pour eux j'ai peu d'espoir, c'est absolument terrible
08:53
on voit ce visage de cet enfant
08:55
et normalement les femmes
08:57
et les enfants doivent être libérés en premier
08:59
viendront ensuite les hommes
09:01
valides.
09:03
C'est terrible. C'est horrible !
09:05
Qu'est-ce qu'il y a de plus horrible que ça ?
09:07
Je veux dire, vous vous rendez compte
09:09
de garder en otage des
09:11
bébés qui ont
09:13
six mois, un an
09:15
enfin qu'est-ce qu'il y a de plus terrible que ça ?
09:17
Comment on peut faire une chose pareille ?
09:19
Et on n'est pas sûr qu'ils soient en vie, oui c'est ça Georges Fénérec.
09:21
Et c'est ce que disait Olivier Jaoui. Mettez-vous une
09:23
seconde à la place des familles
09:25
aujourd'hui qui ne savent pas si leur
09:27
enfant va revenir ou pas.
09:29
S'il est toujours en vie ou pas.
09:31
Comment peut-on être
09:33
dans une situation aussi inhumaine
09:35
et laisser des familles dans
09:37
un tel désarroi ?
09:39
Ça prendra fin, tôt ou tard, évidemment
09:41
mais il vaut mieux que ce soit le plus tôt possible.
09:43
Surtout que le Hamas n'a donné aucune indication
09:45
sur l'état de santé des otages.
09:47
Aucune ! Aucune indication !
09:49
C'est d'ailleurs une des causes de fragilité de cet accord.
09:51
Bien sûr, vous avez raison Philippe Guibert.
09:53
C'est une grande vérité.
09:55
Le Hamas a beaucoup joué
09:57
avec les otages d'un jeu horrible
09:59
mais là on va avoir
10:01
de façon peut-être
10:03
sans doute en partie joyeuse
10:05
et en partie tragique
10:07
la réalité de la vie
10:09
et du décès des otages.
10:11
Et ça va être des moments
10:13
extrêmement forts
10:15
extrêmement
10:17
joyeux mais aussi
10:19
extrêmement douloureux.
10:21
Et tous les otages ne seront pas rentrés
10:23
dans six semaines.
10:25
Ça aura des conséquences
10:27
aussi en Israël sur la situation politique
10:29
parce que ça a quand même été un point
10:31
de crispation énorme.
10:33
Cet octobre a été inimaginable. Effectivement il va falloir
10:35
rendre des comptes à un moment. Entre les familles
10:37
et puis le gouvernement Netanyahou.
10:39
Ça a été un point de crispation
10:41
considérable parce que
10:43
il y a eu un choix qui a été
10:45
fait et nous attendons
10:47
nos deux otages franco-israéliens.
10:49
Dont nous avons rappelé tous les jours
10:51
le sort et réclamé
10:53
ici j'entends ici.
10:55
Je parle de CNews
10:57
et l'Europe 1 bien sûr.
10:59
Et Laurence Ferrari qui a
11:01
fait ce rappel quotidien.
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le Ramas affirmerait que l'accord de cesser le feu
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et de prise d'otages avec Israël n'aurait pas eu lieu
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ce que nous disions il y a quelques instants.
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nouvelle dégradation de cette église.
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il y a eu encore une nouvelle dégradation.
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