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Jean Messiha, personnalité médiatique et ancien membre du Rassemblement national, est reconnu pour ses opinions tranchées qui génèrent souvent de vives controverses. Très engagé dans des débats touchant à des enjeux sociétaux, il n'hésite pas à exprimer ses idées sur des sujets sensibles, attirant régulièrement l'attention des médias.
## Des déclarations qui font débat
Sur le plateau de Touche pas à mon poste, il s'est fait connaître pour ses interventions souvent polémiques. En mai dernier, un échange particulièrement tendu avec Soukayna, une jeune femme voilée, a fait grand bruit. Sa remarque sur l’habillement des Françaises a été condamnée par de nombreux téléspectateurs, notamment à cause de la réponse cinglante de la jeune femme, qui lui a rappelé qu'elle était née en France. Ce conflit avait ensuite alimenté des discussions animées sur les réseaux sociaux.
## Une mésaventure avec Sofinco
Récemment, Jean Messiha a partagé en ligne une expérience déconcertante avec la société de crédit Sofinco. Sur le réseau X, il a narré sa tentative d'obtenir un prêt pour réaliser des travaux à son domicile pour accueillir son père, en situation de dépendance. Lors de cet appel, la réaction du conseiller après avoir réalisé son identité l’a profondément choqué : « Jean Messiha ? Vraiment ? » Après une vérification, on lui a indiqué que sa demande serait gérée par l’agence de Roubaix, bien qu’il soit basé à Paris. Il a finalement reçu un refus catégorique, sans explication : « Même un crédit de 1000 euros vous sera refusé. Inutile de réitérer votre demande. »
## Réactions en ligne
Indigné, Messiha a accusé Sofinco de prendre des décisions influencées par des motivations politiques, déclarant : « Sofinco, êtes-vous des banquiers ou des militants politiques ? » Ce récit a déclenché de vives réactions sur les réseaux sociaux, faisant surgir des discussions sur le traitement réservé par les banque aux personnalités politiques. Certains internautes ont cherché à expliquer le refus, avançant qu’en tant que Personne Politiquement Exposée, il devait être sous une surveillance renforcée. D'autres, en revanche, ont mis en doute la véracité de son récit, rappelant que des preuves seraient nécessaires pour éviter d'éventuelles accusations de diffamation.
