En déclarant, au lendemain de sa nomination, faire de la santé mentale « la grande cause nationale de l'année 2025 », c'est bien de l'un des combats intimes de sa mère, et par extension de sa famille, qu'il s'empare. « J'ai une cause qui est presque familiale, à l'origine », expose-t-il sobrement le 22 septembre, au 20 heures de France 2, expliquant que sa mère avait été, pendant trente-cinq ans, présidente en Savoie de l'association Unafam (l'Union nationale des amis et familles de malades et/ou handicapés psychiques).