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Les 4 vérités - Marine Tondelier
Télématin
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24/09/2024
Marine Tondelier, secrétaire nationale des Ecologistes est l'invitée des 4 vérités.
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00:00
Mais bien sûr qu'elle l'a mise, sa veste gazon, Marine Tendelier, bonjour.
00:06
Je l'ai mise pour Flavie Femme.
00:07
Ah bah j'imagine, j'imagine.
00:09
Alors, avant de parler d'écologie et des conséquences pour le portefeuille et pour la vie des Français,
00:13
parlons un peu politique si vous le voulez bien parce que le gouvernement a fait ses premiers pas hier,
00:17
vous avez vu ça avec un premier conseil des ministres.
00:20
Alors vous avez déjà beaucoup critiqué le casting ces jours derniers,
00:23
est-ce que vous ne dites pas quand même, quand même, laissons-leur une chance,
00:26
attendons de voir concrètement ce qu'ils proposent ?
00:29
Non, je vous avoue que je ne m'en remets pas, même plusieurs jours après,
00:32
j'ai compris maintenant que quand on trichait à Interville, on devenait ministre de l'Intérieur,
00:37
que quand on disait que l'hydrochloroquine c'était super et qu'avant les essais cliniques,
00:41
il fallait vraiment le mettre sur le marché, on devenait ministre de la Recherche,
00:45
c'est quand même fantastique ce gouvernement.
00:47
Tout le monde dit des bêtises, tout le monde peut dire des bêtises dans le passé,
00:49
ça arrive à certains écolos même, paraît-il.
00:51
Et en fer, et en fer, mais je vois que c'était le critère de sélection,
00:54
il fallait aussi avoir fait la manif pour tous manifestement pour remonter en haut de la liste des ministrables,
00:58
c'est tragique ce qui se passe pour la France,
01:00
et puis surtout ce n'est pas ça qu'ont indiqué le résultat des élections,
01:04
c'est-à-dire que ce n'est pas ça qu'ont indiqué l'ensemble des Français
01:06
quand ils se sont déplacés, aussi nombreux qu'ils ne l'avaient rarement été depuis les années 80,
01:12
et donc ça laissera des traces démocratiques, oui.
01:14
Mais est-ce que ce n'est pas une posture de dire
01:16
on votera la censure quel que soit le discours de politique générale ?
01:20
Est-ce que vous ne pouvez pas attendre de voir ce qu'il veut dire Michel Barnier ?
01:22
On n'est pas nés de la dernière pluie,
01:24
on sait que ces gens sont de droite, sont même très très de la droite,
01:27
même des macronistes démissionnent du camp macroniste en disant que ça va trop loin.
01:30
Donc nous qui sommes de gauche, qui sommes écologistes,
01:33
qui avons sûrement des défauts, mais qui avons le mérite de la constance,
01:36
on sait où on habite.
01:37
On avait d'ailleurs, nous, un programme clair pour les Français.
01:40
Si on avait été nommé Premier ministre,
01:42
il savait ce qu'on allait faire sur le plan fiscal par exemple.
01:45
Là, on a assisté un peu pontoie à des discussions
01:48
où Michel Barnier disait oui il va falloir augmenter un peu les impôts pour les plus riches,
01:52
où Gabriel Attal et M. Darmanin disaient si c'est ça nous on n'y va pas.
01:55
Il y a eu un sketch pendant quinze jours,
01:56
parce qu'en fait la réalité c'est qu'ils ne se mettaient pas juste d'accord
01:59
sur qui allait être dans le gouvernement, mais sur pourquoi faire.
02:01
11 semaines après les élections législatives, c'est normal et ben non.
02:06
On se met d'accord pendant les élections.
02:08
Vous avez critiqué le côté manif pour tous, vous avez entendu Michel Barnier
02:11
qui dit sur tous les sujets sociétaux,
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je m'engage, ça ne bougera pas, est-ce qu'il ne vous a pas rassuré là-dessus ?
02:17
Non mais écoutez, mettez-vous à la place de personnes LGBT
02:20
qui pendant toutes les manifs pour tous,
02:22
qui peut-être étaient encore d'ailleurs en train d'hésiter à comment l'annoncer à leurs parents
02:26
et qui voyaient toute la journée la haine que ça suscitait d'être homosexuel ou transgenre
02:30
et qui se disaient mais comment je vais pouvoir l'annoncer à ma famille dans ce climat national.
02:34
Imaginez les personnes qui sont victimes de racisme tous les jours à l'école,
02:38
à la sortie de l'école, les parents qui sont inquiets pour leurs enfants
02:41
et qui voient que le racisme maintenant est une valeur clé du gouvernement.
02:44
Est-ce que vous pensez, regardez les propos qu'ont tenus certains sur la colonisation,
02:49
sur les Français de papier et qui sont aujourd'hui portés dans les postes les plus honorifiques de la République.
02:54
Et donc ce gouvernement, oui, il envoie un message terriblement humiliant à beaucoup de Français,
02:59
des Français que nous, nous avions décidé de soutenir
03:02
parce que c'était celles et ceux qui tremblaient les mêmes de voir Jordane Bardella à Matignon.
03:06
Donc on leur a évité le pire,
03:08
mais si c'est pour se coltiner ce genre de gouvernement, ce genre de propos,
03:12
oui, on est extrêmement inquiets.
03:13
Je leur apporte tout mon soutien aux personnes qui se sentent humiliées par ce gouvernement.
03:16
Alors parmi les noms qui vous hérissent le plus le poil, il y a celui de Bruno Retailleau.
03:19
Vous avez sans doute lu son interview.
03:20
C'est dans mes pensées.
03:21
Oui, vous avez sans doute lu son interview dans le Figaro ce matin.
03:25
Il parle beaucoup d'immigration.
03:27
Il dit trop c'est trop, il veut augmenter les expulsions.
03:30
Vous lui répondez quoi ?
03:31
Alors déjà, il va falloir augmenter mon compte pénibilité
03:34
parce que pour lire ce genre de choses à 5 heures du matin, il faut quand même être bien accroché.
03:38
Moi, je rappelle quand même aux personnes qui pensent vraiment que l'immigration est la cause de tous les maudits Français.
03:43
Ce n'est pas vrai.
03:43
Ce sont les politiques macronistes.
03:45
Il ne dit pas ça.
03:45
Moi, je le dis, les maudits Français, ce n'est pas l'immigration.
03:49
Ce sont les politiques macronistes qui ont fait des cadeaux fiscaux aux plus riches
03:53
et qui ont repris aux plus pauvres.
03:55
C'est Robin des Bois à l'envers.
03:56
Et puis quand les gens ne sont pas contents, c'est de la faute des migrants.
03:58
Il n'y a pas de problème avec l'immigration.
03:59
Écoutez, je sais que les écologistes auront du mal à convaincre sur le sujet.
04:03
Je suis lucide parce qu'on n'a pas une présomption de crédibilité en matière économique.
04:07
C'est injuste, mais c'est comme ça.
04:08
Je vais vous citer donc le MEDEF qui a plus de chances peut-être de convaincre que moi Bruno Retailleau.
04:14
Le MEDEF dit lui-même que d'ici 2050, il faudra 3,9 millions de travailleurs étrangers dans ce pays.
04:20
Vous prenez ce qui vous arrange dans le discours du MEDEF.
04:22
Mais non, mais quand ils disent comme nous, je me dis que peut-être si des vers au MEDEF
04:25
ont dit que l'immigration est une chance pour ce pays,
04:28
et bien peut-être que Bruno Retailleau, même lui, pourra nous écouter.
04:31
Alors il dit que ce n'est pas du tout une chance pour le pays,
04:33
c'est une chance pour personne quand il y en a trop.
04:35
C'est ça qu'il dit Bruno Retailleau.
04:36
Bruno Retailleau lui-même n'est une chance pour personne non plus.
04:38
Et puis il est quand même en France.
04:39
Alors il dit que la France est un pays très attractif sur le plan migratoire.
04:44
Il dit qu'il faut s'inspirer de ce qui se passe au Danemark, de ce qui se passe en Allemagne.
04:46
Ce sont des gouvernements de gauche qui serrent la vis très fortement sur l'immigration.
04:50
Ça ne vous inspire pas du tout ?
04:52
Je pense qu'ils n'ont pas les mêmes problématiques que la France.
04:53
Moi, je rappelle que Monsieur Retailleau a sûrement été,
04:56
comme d'autres politiques macronistes ou de droite,
04:58
le premier à aller applaudir les métiers de première ligne sur le balcon
05:02
parce que vraiment, c'était incroyable pendant le Covid,
05:04
tous ces gens qui continuaient à travailler en première ligne.
05:06
Il y a eu ça en Allemagne et au Danemark, c'est exactement les mêmes problématiques.
05:11
Figurez-vous que beaucoup d'entre eux étaient des travailleurs étrangers.
05:13
Et que quand, pendant le Covid, les mesures sanitaires ont restreint l'immigration,
05:17
il y a des filières entières qui ont été en difficulté.
05:19
La filière agricole, notamment, dont on a beaucoup parlé il y a quelques mois,
05:22
n'y arriverait pas sans les travailleurs étrangers.
05:24
La filière de la restauration non plus, j'en passe, et des meilleures.
05:28
Sur la justice, il dénonce le manque d'application des peines.
05:32
Là-dessus, vous allez être d'accord avec lui quand même ou pas ?
05:34
J'ai déjà constaté qu'au sein du même gouvernement,
05:37
Monsieur Retailleau et Monsieur Migaud échangeaient par médias interposés
05:40
pour finir par se dire à la fin de l'interview,
05:42
il faudrait qu'on se voie en vrai.
05:43
Oui, peut-être que ce serait une bonne idée.
05:44
C'est juste pour vous montrer l'impréparation de ce gouvernement.
05:47
Nous, on prend des leçons de morale au Nouveau Front populaire à longueur de semaine.
05:51
C'est le jeu, c'est comme ça.
05:52
Ce n'est pas juste, mais c'est comme ça.
05:54
On a une présomption de non-crédibilité.
05:55
Quoi qu'on fasse, notre programme, il est transparent, il est écrit, il est chiffré,
05:59
il est soutenu par les prix Nobel d'économie.
06:01
On se prend des leçons de morale par Bruno Le Maire
06:03
qui a quand même creusé de 1 000 milliards la dette en 7 ans
06:05
et qui s'en va comme ça, tranquillement.
06:08
Alors, ce sont des excuses qu'il devrait nous présenter.
06:11
Là, on a un gouvernement, on l'a attendu 11 semaines.
06:14
Il y a eu 75 jours avec un gouvernement démissionnaire.
06:17
Il y a eu 15 jours avec M. Barnier.
06:19
Non, ça ne va pas être de ma faute.
06:20
Je vous en rappelle tout de suite, ça va m'énerver.
06:22
Un petit peu, parce que c'est aussi parce que la bouche n'a pas voulu participer
06:24
que ça a duré aussi longtemps.
06:25
Non, absolument pas.
06:26
C'est de la faute de M. Macron qui a plaidé la continuité.
06:29
Oui, c'est lui le président de la République, firiez-vous.
06:31
C'est lui qui a demandé des élections que personne ne lui avait demandé d'organiser
06:34
pour ne pas en écouter les résultats.
06:36
Et pour, en plus, nous expliquer que c'était vraiment pour la continuité de l'État.
06:39
Mais en fait, c'était pour la continuité de ces politiques.
06:41
Alors, sur l'application des peines.
06:42
Si on ne veut pas changer de gouvernement en juillet, en août,
06:44
on ne fait pas de dissolution en juin.
06:45
C'est très simple, tous vos téléspectateurs le comprendront.
06:47
Sur l'application des peines, on va les laisser discuter.
06:50
Moi, je ne comprends rien à la ligne de ce gouvernement.
06:51
Je suis désolée.
06:52
Nous, on avait un programme.
06:54
On l'avait écrit, les gens avaient voté, on allait l'appliquer.
06:56
Eux, ils sont nommés ministres et ils se mettent d'accord après,
06:59
entre eux seulement, sur ce qu'ils vont faire.
07:01
Mais c'est quoi cette plaisanterie ?
07:02
Donc, on ne sait pas s'ils vont augmenter les impôts ou pas.
07:04
On ne sait pas ce qu'ils vont faire sur les services publics.
07:06
Et moi, ce que je crains surtout,
07:07
c'est que je n'ai rien compris à ce qu'ils allaient faire sur l'environnement.
07:10
Et je crains de le savoir, vu les signaux budgétaires qu'on a déjà.
07:13
Parlons des impôts, parce que Michel Barnier a donc dit
07:15
qu'il y aurait probablement des hausses pour les plus riches.
07:18
Voir pourquoi pas l'ISF ?
07:19
Il n'a pas dit non.
07:20
Vous n'avez pas eu l'impression d'entendre un Premier ministre de gauche ?
07:22
Ah non.
07:23
Parce que j'entends tout le reste, figurez-vous.
07:25
Et puis surtout, je ne suis pas naïve,
07:27
j'ai vu tout l'été, parce que ce gouvernement,
07:28
il ne faut pas oublier quand même qu'il est nommé
07:30
quelques jours seulement avant que des milliers de pages budgétaires
07:34
doivent être remises sur le bureau de l'Assemblée nationale.
07:35
C'est normalement 1er octobre
07:37
que tous les documents budgétaires doivent être remis aux députés.
07:39
Exceptionnellement, cette année, ce sera le 9 octobre,
07:41
ce qui est déjà quelque chose d'inédit.
07:43
Est-ce que vous pensez vraiment qu'entre aujourd'hui et le 9 octobre,
07:45
de grands arbitrages vont être revus ?
07:47
Moi, je regarde ce qui a été annoncé.
07:48
Tous les arbitrages, ils ont été faits par le gouvernement des missionnaires cet été.
07:51
Vous le savez, je le sais, tout le monde le sait,
07:54
c'est une aberration démocratique.
07:55
Et je remercie les députés écolos qui ont demandé une mission flash d'information
07:58
pour aller regarder toutes les décisions que ce gouvernement des missionnaires a prises
08:01
et si c'était légal ou pas.
08:03
Mais sur le budget, je regarde sur l'écologie par exemple,
08:05
ça m'intéresse.
08:06
Tout le monde me dit, il y a Agnès Pannier-Runacher, c'est génial.
08:09
Une femme de gauche.
08:09
Vraiment génial.
08:10
Le périmètre du ministère est le plus rikiki,
08:14
le plus minuscule qu'on ait connu depuis 15 ans.
08:16
Elle n'a pas la mer, elle n'a pas les forêts,
08:18
elle n'a pas le logement.
08:21
Elle n'a pas les transports.
08:22
Comment elle va faire l'écologie sans ça ?
08:23
Excusez-moi, c'est une plaisanterie.
08:24
Surtout quand on voit qui est à l'agriculture, qui est à la pêche,
08:27
on est très inquiets.
08:28
Sur le budget, il a déjà été décidé cet été que le budget de l'ADEME,
08:32
l'agence qui notamment finance énormément de collectivités d'action,
08:35
allait baisser de 35%.
08:36
Le fonds vert va baisser de 60%.
08:39
Toutes les collectivités qui essayent de faire un peu d'écologie
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nous appellent en disant, comment on va faire ?
08:44
Sans ces financements, on avait nous prévu des choses,
08:46
on ne pourra pas les faire.
08:47
Le budget sur l'électrification des véhicules, moins 500 millions.
08:51
La biodiversité, 137 millions,
08:53
alors que 90% des hirondelles ont disparu d'Ile-de-France en 20 ans.
08:57
On va surveiller évidemment les annonces du gouvernement.
08:59
Mais on n'a pas à les surveiller.
09:00
On sait déjà, soyons pas naïfs.
09:03
Donc moi, j'arrête de faire avec ce gouvernement du temps.
09:05
Je prépare le suivant et croyez-moi, il y a du travail.
09:08
Allez, merci beaucoup.
09:09
Il y a du travail aussi dans Télématin.
09:11
Merci beaucoup Marie-Claire Delis.
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