À Blois, aux universités du Parti socialiste, la tension a grimpé crescendo. Vendredi matin, à 8 h 30, Olivier Faure n'affiche plus le sourire qui lui collait au visage la vieille. La raison ? La rumeur d'un coup de force organisé par ses opposants au sein du PS prend de plus en plus d'ampleur aux abords du campus.