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Emmanuel Macron "ne peut pas bloquer les institutions et le pays plus longtemps" Chloé Ridel
France Inter
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13/08/2024
Pour Chloé Ridel, porte-parole du PS, il faut absolument qu'un nouveau gouvernement soit nommé sans délais.Retrouvez les entretiens de 7h50 s
ttps://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-7h50
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Et bonjour Chloé Rydel, porte-parole nationale du Parti Socialiste, députée européenne
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élue en juin dernier sur la liste PS-Place Publique.
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Finie la trêve olympique, la crise politique devrait se rappeler à nous très vite.
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Avant de l'évoquer, quel bilan vous tirez-vous au PS et à gauche de cette quinzaine olympique
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qu'on vient de vivre ? Quel bilan pour la France et pour les Français ?
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Ces Jeux étaient incroyables ! Incroyables, quelle joie ! Je pense qu'ils sont entrés
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dans l'histoire et je pense que ce matin on est des millions de Français à être
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fiers de ce que notre pays a donné à voir au monde pendant cette quinzaine avec une
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perfection dans l'exécution, avec des épreuves organisées au cœur de la ville et puis ailleurs
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sur le territoire, au pied de nos plus beaux monuments, avec une cérémonie d'ouverture
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qui a donné à voir le meilleur de l'esprit français, la beauté, la grâce, l'audace,
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l'inventivité, la folie même parfois.
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Donc je pense que ce matin il faut être plein de gratitude envers ceux qui ont rendu ça
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possible.
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Je pense aux élus, je pense aux volontaires qui ont été salués hier lors de la cérémonie
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de clôture et à juste titre, je pense aux travailleurs qui ont construit les équipements,
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aux forces de sécurité qui nous ont protégés et puis aux athlètes qui nous ont fait vibrer.
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64 médailles, c'est quand même incroyable et un résultat assez fort.
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Justement, ceux qui ont rendu cela possible, vous dites, ce matin dans l'équipe, Emmanuel
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Macron s'adjuge une part de ce succès, ceux qui n'ont pas cru dans les Jeux se sont
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trompés, déclare le chef de l'État, il y a un perdant, c'est l'esprit de défaite.
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Vous lui accordez le point au président là-dessus, sur ces Jeux ?
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Moi je veux que peut-être il reconnaisse que c'est François Hollande comme président
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de la République qui avait permis que ces Jeux soient adjugés à Paris et puis à la
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maire de Paris quand même, Aïda El Gho.
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C'est la socialiste que vous êtes qui le dit.
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Voilà, c'est la socialiste que je suis qui le dit évidemment, je pense aussi à Stéphane
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Marcel, président du département de la Seine-Saint-Denis, non je pense que c'est un travail collectif
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et je suis d'accord sur le fait que la France ressort des ses Jeux avec une confiance en
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elle renouvelée et il s'agit de faire perdurer cet État le plus longtemps possible.
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La France, les Français qu'on a vus rassemblés, unis derrière leurs athlètes, fiers de leur
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pays après s'être divisés pendant la séquence des législatives, vous y croyez, cette concorde
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c'est vraiment palpable ou c'est une fable qui va vite s'évanouir ?
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Mais on verra bien, mais en tout cas je pense que si on parle de politique à nouveau, j'entends
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que les Français sont en vacances, qu'on a vécu une année politique particulièrement
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dense avec les élections européennes...
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Beaucoup nous ont dit au micro, ça fait du bien, c'est Gio, on n'entend pas les politiques,
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on n'entend pas les polémiques.
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Je comprends, je comprends cela, mais vous savez, le contexte dans lequel notre pays
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se trouve, le contexte mondial ne disparaît pas, il y a toujours la guerre à nos portes,
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il y a toujours une catastrophe écologique en cours avec la canicule un peu partout dans
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notre pays en ce moment, il y a toujours des services publics à financer, un budget
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à préparer, une rentrée scolaire aussi à préparer.
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Alors il faut bien quand même qu'on parle de politique, je rappelle que le gouvernement
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a démissionné au mois de juillet, que le gouvernement a accepté cette démission et
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donc maintenant il faut avancer.
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On va en parler un dernier mot sur les Jeux quand même, parce que la gauche a parfois
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été accusée ces derniers jours d'une certaine tiédeur vis-à-vis de ces Jeux, de ne pas
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avoir été à fond dans la fête, qu'est-ce que vous répondez à ceux qui disent ça ?
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Totalement faux, mais alors totalement faux, je pense que c'est des faux procès et on
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a l'habitude d'en faire à la gauche je trouve ces dernières années, mais en l'occurrence,
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pardonnez-moi de le dire encore, mais c'est quand même Madame Hidalgo qui a permis à
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ces Jeux de s'organiser, qui nous a rendu aussi, qui a rendu aux Parisiens la Seine,
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mais aussi à tous les Français qui habitent le long de la Seine, ce sont des dizaines
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de millions de gens, on a été présents sur les épreuves, assidus, on les a commentés,
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on s'en est réjouis, on a participé, tout le monde à gauche, de la grande joie qu'a
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suscité ces Jeux.
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Mais vous le disiez, la réalité va vite nous rattraper, réalité politique, ce gouvernement,
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ce prochain Premier ministre qu'on attend toujours, Emmanuel Macron en a promis un pour
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la mi-août, donc théoriquement dans les jours à venir, ça devient urgent là, prolonger
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la trêve olympique ce serait une mauvaise idée selon vous ?
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Mais bien sûr, mais qu'est-ce que ça veut dire ? Est-ce que la Constitution prévoit
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une trêve olympique ? Non, il y a eu une trêve olympique parce qu'effectivement on
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s'est concentré sur ce moment incroyable et il fallait de l'unité et de la concorde
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pour notre pays dans ce moment-là, mais on peut la prolonger cette unité et cette
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concorde, et en l'occurrence, je crois que c'est le nouveau Front populaire qui peut
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le faire, c'est notre programme qui redonnera demain dans la société sa place à chacun,
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qui fera que tout le monde sera respecté au travail, dans l'entreprise, dans les
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services publics, à l'école, à l'hôpital, et donc il faut se remettre à discuter de
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la formation d'un gouvernement, nous on répète la même chose que nous disons depuis
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plus d'un mois maintenant, c'est que le Président de la République doit reconnaître
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les résultats de cette élection, que par deux fois aux élections européennes et
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aux élections législatives, les Français se sont exprimés pour sanctionner sa politique,
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et donc il faut qu'il nomme un Premier Ministre issu de la première force à l'Assemblée
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Nationale qui est le nouveau Front populaire.
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Donc vous, c'est votre candidate, Lucie Castex, ou rien ? Vous êtes toujours fermé
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à d'autres alternatives ? On a fait une proposition, le Président s'est
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empressé je crois de la balayer en dix minutes, je crois que ça n'est pas sérieux, que
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c'est une forme de déni dans lequel il est et dont il faut qu'il sorte parce que constitutionnellement
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il a le pouvoir de nomination, il ne peut pas bloquer comme ça les institutions et
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le pays plus longtemps, encore une fois il y a un budget à préparer.
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Toujours dans l'équipe ce matin, Emmanuel Macron tire comme enseignement des jeux que
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les politiques doivent, dit-il, travailler ensemble, ça a été selon lui le message
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des Français aussi lors des législatives, travailler ensemble ça veut dire pour vous
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par exemple travailler avec lui, avec les macronistes, ça aussi c'est toujours non ?
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Alors, nous ce qu'on propose c'est le Front Populaire au gouvernement et le Front Républicain
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à l'Assemblée Nationale, c'est-à-dire qu'il faut que le groupe Ensemble pour la République,
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le groupe du Président Emmanuel Macron, ne s'oppose pas avec le Rassemblement National
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à un gouvernement du Nouveau Front Populaire, ni plus ni moins, et ensuite bien sûr qu'il
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faut discuter, je pense que Lucie Castex a entrepris de le faire, elle rencontre les
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présidents de groupes politiques et il faut qu'elle puisse discuter sur un programme
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pour l'année qui vient autour de quelques points clés de notre programme qui d'ailleurs
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sont largement plébiscités par les Français, je pense au financement des services publics,
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je pense à la police de proximité ou encore à la réforme du mode de scrutin avec la
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proportionnelle pour plus de démocratie, un certain nombre de points qui peuvent faire
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consensus et donc il faut aller discuter, mais en fait la base c'est le Front Républicain
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à l'Assemblée.
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Mais pas de gouvernement d'Union Nationale, pas de gouvernement d'Union Nationale comme
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l'espère, vous vous restez au PS, arrimé au Nouveau Front Populaire, ça ne va pas bouger.
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Mais si vous voulez, nous nous sommes présentés aux Français dans le cadre de ces élections
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législatives avec un programme qui était clair pour le coup et donc nous allons tenter
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de l'appliquer, évidemment qu'on ne pourra pas tout appliquer, qu'il faudra faire des
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compromis, des concessions, etc., mais c'est notre intention, je pense qu'il est tout à
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fait possible.
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Mais avec quelle durée de vie à l'Assemblée un tel gouvernement, une FP avec une si faible
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majorité, moins de 200 députés, c'est la censure peut-être assurée très rapidement ?
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Non, le but aujourd'hui c'est de faire des choses utiles pour les Français, de mieux
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financer nos services publics, de rétablir de la justice fiscale dans ce pays et ça
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c'est urgent parce que notre mission aujourd'hui c'est de faire en sorte que le Rassemblement
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National, la prochaine fois, ne soit pas en situation de l'emporter, de le faire reculer
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et de faire perdurer cet esprit de concorde qu'on a vu s'exprimer dans le cadre de ces
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jeux.
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On a vu que quand chacun est respecté, quand il y a une Union Nationale, on peut faire
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de grandes choses et donc c'est notre mission.
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Une Union Nationale, mais sur votre programme, c'est la condition sine qua non.
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Autour de notre programme, parce que, je suis désolée, mais si on reconnaît les résultats
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des élections, Emmanuel Macron a perdu, le Rassemblement National a perdu et nous sommes
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arrivés en tête.
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Alors certes, sans majorité absolue, c'est la raison pour laquelle il faut discuter,
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il faudra que l'Assemblée Nationale discute texte par texte, mais moi je vais vous dire,
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je suis porte-parole du Parti Socialiste et lors de la précédente mandature, les députés
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socialistes n'avaient pas de majorité à l'Assemblée Nationale.
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Dans nos niches parlementaires, nous avons chaque fois fait adopter nos textes, des
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textes de loi, à l'unanimité, parce que nous avons travaillé avec chaque groupe et
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donc c'est possible, sans renier les idées qui sont les nôtres, de faire adopter des
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lois de progrès pour les Français.
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Oui, vous avez dit « autour de notre programme », ça veut dire qu'au PS, vous seriez peut-être
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ouvert à des compromis, à des concessions sur les propositions les plus fortes de l'Alliance
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de Gauche.
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Je pense au SMIC à 1600 euros.
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Lucie Castex elle-même a reconnu qu'il fallait discuter des modalités de mise en
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œuvre.
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Mais ils sont d'accord, les Insoumis, avec vous là-dessus, faire des concessions ?
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Je crois qu'elle parlait de discuter avec les partenaires sociaux, c'est bien naturel,
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mais en l'occurrence, le SMIC à 1600 euros, c'est une mesure d'urgence pour le pouvoir
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d'achat des Français.
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On peut s'accorder tous autour de cette table pour dire qu'avec 1600 euros, c'est
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quand même un minimum pour vivre dignement dans notre pays et ça, c'est par décret,
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donc ce n'est pas l'Assemblée Nationale qui va disposer sur ce sujet, mais c'est
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vrai qu'on a des points forts dans notre programme, que Lucie Castex porte à titre
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personnel de par les engagements qui sont les siens, notamment le financement des services
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publics, de l'hôpital, de l'école, et ça, si vous voulez, c'est quelque chose
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qu'on va porter de façon forte, le rétablissement de l'impôt sur la fortune aussi, et donc
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il faudra voir les modalités dans le détail et discuter bien entendu.
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Le choix de Lucie Castex au cœur de l'été, juste avant les Jeux, le choix d'une inconnue
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par le NFP, c'était le bon choix pour justement peser dans ces négociations qui arrivent ?
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Mais c'était un choix de consensus, c'est une femme...
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C'est pas le premier choix, il y a eu plusieurs, non ? Vous n'étiez pas d'accord avec les autres membres du NFP ?
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Oui absolument, c'est normal, il y a eu des discussions, il y a eu deux semaines de discussions,
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enfin bon, dans une coalition, je ne vais pas vous rappeler les exemples que nous pouvons
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voir ici même en Europe, de gouvernements qui mettent des mois et des mois à se former.
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Là, nous avons une coalition, nous avons décidé au consensus sur ce nom, sur Lucie
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Castex, qui a une expérience, qui a un engagement très fort sur les services publics, et nous
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pensons en l'occurrence que la question des services publics et l'enjeu de leur meilleur
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financement, de leur meilleure accessibilité partout sur le territoire, est aussi un des
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enjeux prégnants pour lutter précisément contre la montée de l'extrême droite et
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de la colère que cela exprime dans notre pays.
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Mais c'est un nom qui n'est pas en vogue à l'Elysée, en tout cas, on l'a bien compris,
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il y en a d'autres qui reviennent en revanche autour du chef de l'État, on parle de Xavier
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Bertrand, on parle, tiens, d'un socialiste, Bernard Cazeneuve, racine socialiste.
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Qu'en dites-vous ce matin ?
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Mais Xavier Bertrand, moi je m'interroge parce que quelle est sa légitimité d'abord ? Ce
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monsieur, il faut savoir que le groupe LR, c'est 47 députés à l'Assemblée Nationale,
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le Nouveau Front Populaire c'est 193, donc quelle légitimité ce monsieur aurait-il
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pour gouverner ? Et puis quand on regarde son bilan, on peut voir que comme ministre
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de la Santé, il a fait prospérer la suppression de lits d'hôpital, c'est 47 000 lits d'hôpital
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Il a supprimé, comme président de région, sur la question écologique, il a subventionné
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des associations anti-éoliennes, par exemple, à un moment où il faut lutter et il faut
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faire la bifurcation écologique, donc le signal que ça envoie, pour moi, n'est pas
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bon.
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Et rapidement, Bernard Cazeneuve, ça pourrait être plus convenant ?
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Bernard Cazeneuve, la seule chose que j'ai à dire, c'est que ça n'est pas le candidat
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du Nouveau Front Populaire.
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Ça n'est pas le candidat du Nouveau Front Populaire, donc le président de la République
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doit respecter une situation qu'il a lui-même créée, par ailleurs, et doit respecter le
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résultat des urnes et le fait que nous ayons notre mot à dire dans le gouvernement
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informé pour la France.
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