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Punchline - Israël accepte de reprendre les négociations pour un cessez-le-feu
Europe 1
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09/08/2024
Une heure d'information et de débats en direct orchestrée par Julien Pasquet, avec toute la rédaction d'Europe 1 et en codiffusion avec CNEWS.
Retrouvez "Punchline" sur : http://www.europe1.fr/emissions/punchline
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News
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00:00
18h21, de retour sur le plateau de Punchline, en direct sur CNews et sur Europe 1
00:04
avec Eliott Mamann, Bernard Cohen Haddad, Jean-Christophe Kouvi et Martin Garagnon.
00:09
Si vous étiez avec nous juste avant la pause de cette longue interview avec le colonel Rafović,
00:13
on va en dire bien sûr quelques mots ici ensemble en plateau.
00:15
Je rappelle l'information principale des dernières heures.
00:17
Israël, dans le contexte extrêmement tendu que l'on connaît depuis plusieurs jours maintenant,
00:22
enfin de nouveau un peu plus tendu puisqu'il est tendu depuis fort longtemps malheureusement,
00:26
a accepté de reprendre le 15 août prochain les discussions pour un cessez-le-feu.
00:31
Quels sont les enjeux ?
00:32
On va d'abord voir ce sujet de Tancred Guillotel avec les équipes de CNews et d'Europe 1.
00:38
En quelques heures ce jeudi, les habitants d'une partie de la ville de Cagnes,
00:42
au sud de la bande de Gaza, ont déserté les lieux.
00:45
L'ordre d'évacuation est venu de l'armée israélienne
00:48
qui a déclaré mener une nouvelle opération militaire dans cette zone.
00:51
Des combats qui pourraient cependant s'atténuer dans les prochains jours.
00:55
Israël a accepté de reprendre le 15 août les discussions
00:58
en vue d'une trêve dans la bande de Gaza.
01:00
Les trois pays médiateurs, le Qatar, les États-Unis et l'Égypte,
01:03
ont indiqué qu'un accord cadre était sur la table
01:05
et qu'il ne manquait que les détails de son implication.
01:08
Une avancée dont s'est réjoui Emmanuel Macron sur le réseau social X.
01:12
Il faut que la guerre à Gaza s'arrête.
01:15
Tous doivent l'entendre.
01:16
C'est crucial pour les Gazaouis, pour les otages,
01:18
pour la stabilité de la région aujourd'hui en jeu.
01:21
Plein soutien de la France aux médiateurs américains, égyptiens et qatariens.
01:24
Le ministre de la Défense israélien, Yoav Galan,
01:27
a estimé qu'il était important de parvenir rapidement à un accord
01:30
pour permettre le retour des otages.
01:32
À ce jour, selon l'armée israélienne,
01:34
111 otages sont toujours retenus à Gaza, dont 39 sont décédés.
01:39
Je voudrais qu'on revoie le tweet d'Emmanuel Macron, posté aujourd'hui,
01:43
qui explique qu'il faut que la guerre à Gaza s'arrête.
01:47
Tous doivent l'entendre.
01:48
C'est crucial pour les Gazaouis, pour les otages,
01:50
pour la stabilité de la région aujourd'hui en jeu.
01:51
Plein soutien de la France aux médiateurs américains, égyptiens et qatariens.
01:56
Une question que j'ai posée tout à l'heure au colonel Rafovich.
01:58
Bernard Cohen, est-ce qu'il y a encore de la place pour des négociations
02:02
et pour parler dans le contexte des derniers jours ?
02:04
Déjà, il n'y a pas de place pour la guérilla politique interne
02:09
en Israël, ça aussi, il faut le retenir.
02:11
C'est-à-dire qu'aujourd'hui, le peuple israélien,
02:13
quel que soit son gouvernement, pour ou contre Netanyahou,
02:16
considère que ce n'est pas le moment de déstabiliser un gouvernement qui est en guerre.
02:21
Ça, on l'a entendu, c'est important.
02:24
Ça ne veut pas dire que demain, les choses ne vont pas changer.
02:27
Deuxième, ce que j'ai pu retenir, c'est également qu'il y a des négociations permanentes,
02:33
même si nous, ici, on a l'impression que les négociations sont terminées et que ça reprend.
02:38
On a entendu le porte-parole de l'armée israélienne remercier la France.
02:42
Ce n'est pas anodin non plus.
02:43
Et ça rassure sur la politique et l'influence de la France dans cette zone du monde,
02:49
en accord avec l'influence des USA, du Qatar et de l'Égypte.
02:53
L'Égypte a toujours été très proche d'Israël, ne l'oublions pas.
02:56
Et d'ailleurs, la menace iranienne, à un moment donné,
02:59
a été vis-à-vis d'un certain nombre d'États qui pourraient avoir une situation,
03:04
une position de neutralité vis-à-vis de l'État d'Israël.
03:07
Ce que j'ai retenu également, moi, c'est la volonté quand même
03:12
de montrer qu'Israël, ce qui est une réalité, est la victime.
03:16
N'oublions pas que tout ce que l'on vit aujourd'hui, c'est en réponse
03:23
au pogrom du 7 octobre.
03:25
Et si nous, Français, nous vivions la même chose à un moment,
03:30
en quelle situation serions-nous ?
03:34
Est-ce qu'on accepterait, bien entendu, cela ?
03:37
Et les négociations, ce que l'on voit, c'est que le porte-parole
03:42
ne s'interdit pas, aujourd'hui, d'aller dans des négociations
03:45
avec le soutien, mais il maintient la volonté de Tzahal
03:51
d'aller toujours plus loin pour réduire l'influence du Hamal,
03:54
parce que l'influence du Hamal, c'est condamner l'existence d'Israël.
03:59
Les négociations sont en cours et une volonté de récupérer
04:03
les otages, vivants ou non vivants, le plus vite possible.
04:07
D'ailleurs, ces dernières heures, on note que des centaines d'habitants
04:09
de Gaza ont fui la ville de Khan Younes, après un ordre d'évacuation
04:15
de l'armée israélienne, cherchant désespérément un abri
04:18
pour échapper à une nouvelle opération militaire dans cette zone
04:21
du sud de la bande de Gaza, très précisément.
04:24
Dans ce contexte de négociations qui approchent également
04:27
et qui pourraient être décisives, notamment, bien sûr, pour les otages
04:31
à qui on pense en priorité, une nouvelle opération dans Gaza,
04:34
elle est souhaitable actuellement ?
04:37
Ça, d'un point de vue militaire...
04:39
C'est toujours cette balance entre la vie des otages,
04:42
la préservation qu'on doit en faire en vue d'éventuelles négociations
04:45
et puis cette volonté, bien sûr, également de l'État hébreu
04:49
d'éradiquer le Hamas et les terroristes.
04:51
En réalité, il y a deux catégories d'otages dans cette histoire à Gaza.
04:53
Il y a évidemment les otages du 7 octobre, auxquels on pense,
04:56
parce qu'il faut le rappeler, c'est l'attentat terroriste
04:59
qui a fait le plus de victimes françaises depuis plusieurs années.
05:03
On a eu beaucoup, nous, de nos concitoyens qui sont morts
05:05
pendant ces attaques, qui ont été pris en otage.
05:07
Et puis, il y a des otages qui vivent à Gaza, c'est-à-dire les Gazaouis.
05:09
On n'en parle pas assez, mais les Gazaouis...
05:11
Faire la guerre contre le Hamas, c'est pas faire la guerre contre les Gazaouis.
05:14
Les Gazaouis sont aussi, et vous en parliez sur l'évacuation à Ranounias,
05:17
mais parce qu'ils n'ont pas d'endroit où aller,
05:20
ils sont bloqués dans cette situation.
05:21
Il faut les aider aussi à se débarrasser du Hamas.
05:24
C'est une nécessité pour une solution politique,
05:27
parce qu'à l'heure actuelle, on est sur une solution militaire qui s'impose.
05:30
On est dans un risque de guerre élevé.
05:34
Mais à terme, la solution ne peut être que politique.
05:36
L'abolition de la France a toujours été très claire, Emmanuel Macron l'a rappelé.
05:40
C'est deux États, deux États viables, deux territoires viables.
05:44
Ça ne peut être que cette solution à laquelle on devra aboutir
05:47
dans les prochains mois, les prochaines années, le plus vite possible, en réalité.
05:51
Mais à l'heure actuelle, vous ne pouvez pas discuter avec des gens
05:53
qui, statutairement, ont clairement assumé que leur objectif,
05:57
c'est de vous détruire, parce que c'est la raison d'être du Hamas.
06:01
Le Hamas, on ne discute pas avec quelqu'un qui veut votre mort.
06:04
Vous ne pouvez pas vous entendre pour pouvoir discuter, échanger, faire la paix.
06:08
Il faut déjà pouvoir se parler de la complexité de l'équation.
06:13
De la volonté de tuer l'État d'Israël, de l'éradiquer, de l'effacer de la carte.
06:17
Il ne peut pas y avoir de discussion.
06:19
Donc, il faut s'en débarrasser d'une façon ou d'une autre.
06:21
Mais le problème, c'est que derrière le Hamas, vous avez l'Iran.
06:24
Ça a été dit, qui est un peu le maître marionnettiste de la région,
06:28
que ce soit au Yémen, que ce soit avec le Hezbollah au sud de Liban,
06:30
que ce soit dans d'autres parties de la région, en Irak notamment.
06:34
Donc, il y a un sujet qui est intimement lié aussi à l'Iran.
06:36
Donc, on voit aussi toutes les répercussions que ça peut avoir.
06:38
À l'heure actuelle, il n'y a pas de risque d'une guerre classique,
06:41
parce que militairement, Israël est largement supérieur
06:44
et que l'Iran n'ira pas sur ce terrain-là,
06:46
même s'il cherche à mobiliser un certain nombre d'alliés.
06:48
En revanche, il y a le risque d'une guerre de basse intensité
06:50
sur différents théâtres d'opérations.
06:52
Liban sud, plateau du Golan, le sud, Israël, etc.
06:56
Le vrai risque, il est là et Israël ne peut pas s'embarquer là-dedans.
07:00
Donc, il y a une solution qui doit être militaire à l'heure actuelle,
07:02
mais qui ne peut être que politique à moyen et long terme.
07:05
Encore deux commentaires, Jean-Christophe Covillet, Eliott Mamann.
07:08
Oui, c'est très difficile, on voit bien, de mener une guerre asymétrique.
07:11
C'est-à-dire que vous ne luttez pas contre une autre armée à un autre pays.
07:15
C'est très gazeux.
07:17
On voit bien que ça se mélange à la population.
07:19
Il y a des tunnels.
07:21
En fait, je pense qu'il faut vraiment le vivre pour le comprendre.
07:23
Là, ici, c'est vrai que c'est confortable.
07:25
D'ailleurs, tous ceux qui vont manifester,
07:29
ils doivent le comprendre aussi que c'est très compliqué.
07:32
Et quand vous devez lutter contre du terrorisme
07:35
pour fréquenter des collègues qui luttent justement contre le terrorisme,
07:40
c'est très compliqué parce qu'en face de vous,
07:42
vous avez des gens, on est dans l'irrationnel.
07:45
Ils sont complètement obtus, il n'y a pas de dialogue,
07:47
ils sont enfoncés dans leur idéologie.
07:48
Et effectivement, il n'y a qu'une seule chose qui peut les sauver,
07:52
c'est quand vous arrivez à trouver le bon angle.
07:54
Et là, à la rigueur, ils ne veulent pas mourir
07:56
parce qu'il ne faut pas croire que tous sont des fous de Dieu.
07:58
Ils ont aussi leur confort.
08:00
Certains politiques, quand les collègues nous disaient
08:03
quand on va le matin, au petit matin, interpeller des terroristes,
08:07
le premier réflexe, c'est de mettre leur femme ou leurs enfants en bouclier
08:12
pour qu'eux ne meurent pas.
08:13
Vous imaginez un petit peu.
08:14
Donc, il y a le discours et les actes.
08:16
Et en fait, quand vous avez une action comme celle du 7 octobre,
08:23
vous devez faire face à l'émotion que ça dégage,
08:26
à l'opinion publique, mais après, il y a l'effet.
08:28
Et l'effet, c'est quoi ?
08:29
Qu'est-ce que vous voulez faire, effectivement ?
08:31
Supprimer les terroristes.
08:32
Mais c'est vraiment inextricable et effectivement,
08:36
à un moment donné, il va falloir poser un peu le débat
08:38
et poser l'avion si on peut parce qu'il faut sortir de là.
08:42
Et on le voit d'ailleurs que ça rejaillit sur toute notre société à nous
08:45
et on en souffre aussi, quelque part, de cette situation.
08:48
Et on en parlait dans notre premier or, je le dis à nos auditeurs d'Europe 1,
08:53
on a évoqué cette multiplication, encore une fois,
08:56
sur le premier trimestre 2024 des actes antisémites sur le territoire,
09:00
des chiffres rappelés aujourd'hui par Gérald Darmanin
09:03
et des faits insupportables qui continuent d'augmenter dans le pays.
09:07
Un dernier commentaire sur tout ce qui vient d'être dit, Eliott Mamann.
09:10
Oui, d'abord, rappeler que dans son tweet tout à l'heure,
09:13
Emmanuel Macron, qui a d'ailleurs été publié
09:15
au cours de l'adresse de Gérald Darmanin
09:17
à l'hommage de l'attentat de la rue des Rosiers,
09:21
Emmanuel Macron ne mentionne pas les Israéliens,
09:23
il parle simplement de la nécessité de libérer les otages.
09:27
Je pense tout de même qu'il eût été salutaire
09:29
d'également avoir un mot à l'égard des Israéliens
09:31
qui vivent dans une situation très particulière depuis le 7 octobre.
09:34
Et en ce moment même, tout spécifiquement,
09:38
puisque l'Iran se sert tout de même d'une forme de guerre psychologique,
09:41
on sait qu'une attaque par l'Iran
09:44
et grâce à l'entremise de ses différents proxys
09:47
devrait être déclenchée dans les prochains jours.
09:49
On en ignore à l'heure actuelle l'ampleur,
09:51
même si la presse a des sources qui lui indiquent
09:53
que des groupes qui, d'habitude,
09:56
pouvaient rester en retrait ces derniers temps,
09:58
par exemple les milices d'Irak,
09:59
allaient également être mobilisés dans cette réponse à Israël.
10:04
Et les Israéliens évoluent depuis quelques jours
10:07
avec cette conscience-là, tout en ignorant la date,
10:11
les cibles potentiellement civiles
10:13
que ces proxys pourraient vouloir toucher en Israël.
10:17
Et c'est tout de même aussi quelque chose qu'il faut voir
10:20
et qui est évidemment particulièrement important
10:23
quant à la menée des négociations en cours avec les entités terroristes.
10:26
Et d'ailleurs, l'Iran écoute bien du fait puisque, en avril,
10:30
lorsqu'il y avait déjà eu d'importantes négociations,
10:32
un point de cristallisation dans la libération de certains otages,
10:35
l'Iran avait attaqué Israël
10:38
à la suite d'une période d'atterrement d'un peu plus de 15 jours
10:41
au cours desquels il faisait déjà diffuser une rumeur
10:43
dans les médias occidentaux selon lesquels une attaque était imminente.
10:46
Donc il faut aussi comprendre cette pression psychologique
10:49
qui est exercée à l'encontre des Israéliens
10:51
et qui ne s'estompe jamais.
10:53
Voilà ce que l'on pouvait dire sur la situation au Proche-Orient.
10:56
Et on continuera d'en parler, évidemment, tout au long de la soirée.
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