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Olivier de Keranflec’h - Matignon : La CGT fait pression sur l'État
Europe 1
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12/07/2024
Aujourd'hui dans "Punchline", Olivier de Keranflec’h et ses invités débattent de la pression mise par la CGT sur l'État concernant la nomination du futur premier ministre.
Retrouvez "Punchline" sur : http://www.europe1.fr/emissions/punchline2
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Transcription
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00:00
Pour vous accompagner ce soir dans Punchline Week-end sur CNews et sur Europe 1, Sarah Salman, avocate, est avec nous.
00:07
Ma chère Sarah, bonsoir.
00:08
Bonsoir Olivier.
00:09
Véronique Jacquier également présente ce soir.
00:12
Bonsoir ma chère Véronique, journaliste.
00:14
Bonsoir Olivier, bonsoir à tous.
00:15
À vos côtés, Marc Varnaud, le chef d'entreprise remonté contre certaines mesures, notamment du Nouveau Front Populaire.
00:22
On va en parler dans un instant.
00:24
Bonsoir, mon cher Marc.
00:25
Eliott Mamann est également avec nous.
00:27
Mon cher Eliott, bonsoir, chroniqueur politique.
00:29
Et nous accueillons ce soir Poukomme.
00:32
Et Vincent Roy, non ?
00:33
Vincent Roy, bonsoir mon cher Vincent.
00:35
Alors, Vincent, c'est à moi, voilà.
00:37
Vous étiez en retard pour les auditeurs d'Europe 1 qui nous rejoignent.
00:40
C'est trop cher quand même.
00:41
Vous avez une minute de retard.
00:42
Et d'ailleurs, vous le payez trop cher.
00:44
Et je m'en excuse, ce n'était pas pour lui.
00:45
Écoutez, cher ami, je suis maltraité par Olivier de Kirov avec ce soir, mais je serai très bien traité tout à l'heure par Jacques Sauret.
00:50
Eh bien, je vous présente mes sincères excuses, mon cher Vincent.
00:53
C'est injuste.
00:54
Vous avez payé tout à l'heure votre retard d'une minute.
00:57
Pardonnez-moi.
00:57
Il est là, vous l'aurez compris, Vincent Roy également ce soir.
01:01
Mais je vous le disais, Sophie Lénard nous accompagne également pour le début de cette émission.
01:06
Sophie Lénard, vous êtes vice-présidente de la Coordination rurale.
01:09
Merci d'être avec nous.
01:10
Alors, pourquoi nous avons souhaité vous inviter ce soir ?
01:13
Eh bien, c'est parce que l'actualité, elle est marquée ces dernières heures par la pression de la CGT sur l'exécutif
01:19
pour le forcer à nommer un premier ministre Front populaire.
01:23
Le syndicat, on le rappelle, qui appelle un rassemblement le 18 juillet.
01:26
Sophie Binet qui plaide pour mettre l'Assemblée nationale sous surveillance.
01:32
Alors, nous savons à quel point ces rassemblements à l'appel de la CGT peuvent dégénérer.
01:36
On l'a vu notamment lors de la réforme contre les retraites.
01:40
Mais dans le viseur, ces dernières heures, ce sont les agriculteurs de la coordination rurale.
01:43
Toute la presse a repris les déclarations de Serge Bousquet-Cassagne, l'un des leaders du mouvement.
01:50
Serge Bousquet-Cassagne, qui a menacé de sortir les fourches si la gauche arrive.
01:55
Il a tenu, sur notre antenne, à revenir détailler ses propos.
01:59
Écoutez-le.
02:00
Si on a, par exemple, Marine Tendelier au gouvernement,
02:06
comme ministre de l'Agriculture ou de l'Écologie,
02:09
nous serons obligés de ressortir et peut-être de sortir nos fourches.
02:15
Alors, je parlais bien évidemment des fourches, des télescopiques qui sont au bout de notre acteur
02:22
et non pas des fourches où on mettrait, attention à mes propos,
02:26
des têtes coupées pour faire la révolution.
02:30
Pas d'intention révolutionnaire donc du côté de la coordination rurale.
02:35
Mais ce qui est notable ces dernières heures, c'est ce deux poids de mesures,
02:38
notamment de l'agence France Presse, puisque d'un côté, alors que la patronne,
02:43
je le rappelais, de la CGT, Sophie Binet, appelle à démarche, à faire pression,
02:46
à surveiller l'Assemblée nationale.
02:48
Eh bien, l'AFP relève une dépêche plutôt sympathique,
02:50
qui semble assez éloignée de l'intention de Sophie Binet.
02:53
Alors, je cite cette dépêche.
02:54
Sophie Binet appelle Emmanuel Macron à sortir du déni.
02:57
Voilà. En revanche, l'affirmation de l'AFP, la coordination rurale sortira.
03:02
Les fourches, si écologistes ou insoumis, entrent au gouvernement.
03:06
Alors, Sophie Lénars, vice-président de la coordination rurale,
03:09
quelle est votre réaction à ce qui semble, bien évidemment,
03:12
un deux poids deux mesures au fond de l'agence France Presse ?
03:15
On peut le souligner ?
03:17
Oui, après déjà dire que les paroles de Serge Bousquet-Cassagne
03:20
n'engagent que Bousquet-Cassagne et pas l'entièreté de la coordination rurale.
03:24
Rappelez que la coordination rurale,
03:26
et Dieu sait que je l'ai dit ces six derniers mois, est apolitique,
03:29
que nous sommes le seul syndicat à ne pas avoir donné de consignes de vote,
03:33
je rappelle quand même.
03:34
Et du coup, j'en ai perdu le fil de mes idées.
03:39
Non, que finalement, il n'y a pas d'intention révolutionnaire.
03:41
C'est cela que vous voulez souligner.
03:43
Dans la notion de révolutionnaire,
03:44
il y a beaucoup d'éléments qui rentrent en ligne de compte.
03:47
C'est à savoir qu'on va être cash,
03:50
on n'a rien obtenu ces six derniers mois,
03:53
à part avoir été tourné un peu en bateau.
03:56
On vous promet, on ne vous promet pas.
03:57
Je prends juste un exemple quand même sur lequel j'étais sur vos plateaux,
04:01
les PrimePAC, tout ce qu'on nous devait de nos sous,
04:04
c'est toujours pas clôturé quand même.
04:06
Oui, on peut l'en rappeler.
04:07
Donc rien n'a avancé ?
04:08
Evidemment, alors s'ils ont avancé,
04:10
mais dans des dates qui étaient déjà des dates qui étaient pratiquées avant,
04:13
le solde n'est toujours pas clôturé.
04:15
Moi, j'ai des collègues qui attendent toujours leur solde de primes bio,
04:18
MAEC, enfin, je ne vais pas être trop technique, mais voilà.
04:22
Donc, il y a encore beaucoup d'argent dehors.
04:24
Donc, évidemment que ce n'est pas la révolution
04:26
et on ne cherche pas des guerres civiles, comme je peux entendre de ci, de là.
04:30
Sauf qu'il est clair que s'il n'y a pas rapidement un gouvernement
04:33
qui s'occupe du monde agricole, de l'agriculture française,
04:36
parce que je rappelle quand même que pendant les législatives,
04:38
on n'a plus entendu parler de l'agriculture.
04:40
S'il n'y a pas rapidement des gens qui se mettent au travail,
04:44
bien sûr que vous nous retrouverez à l'automne.
04:46
Alors, nous nous souvenons de la colère agricole, mais dans des démarches pacifiques.
04:50
Exactement, c'est ce que j'allais souligner.
04:52
Effectivement, Sarah Salman, c'est à dire qu'on s'en souvient.
04:55
C'était très impressionnant de voir tous ces tracteurs venir sur les routes,
05:00
mais c'était très pacifique.
05:01
On n'a pas eu de violence ni contre les biens, ni contre les personnes.
05:04
Oui, mais c'est important de le souligner parce que la moindre violence,
05:06
vous aurez été reproché.
05:08
Ce n'était pas le cas et on s'est bien rendu compte
05:10
que la société civile était de notre côté.
05:12
Il y avait beaucoup de sympathie de la part de la société civile.
05:14
Je leur rappelle quand même ici que quand on se bat et si on se bat
05:18
pour la peur d'avoir une ministre de l'Agriculture écologiste...
05:22
Oui, ce qu'on peut comprendre.
05:24
C'est quand même, il faut savoir qu'en France,
05:25
on a plus de 200 000 normes et de contraintes sur nos exploitations
05:30
alors que vous faites importer des produits où il n'y a quasi pas de normes.
05:33
Donc tout ça, j'ai le regret de le dire, j'aimerais vous dire autre chose,
05:37
mais j'ai le regret de dire que tout ça, c'est quand même le fruit des écologistes.
05:40
Mais sous le contraint, les normes et de Bruxelles aussi.
05:45
Oui, on entend vos craintes si la gauche arrive.
05:46
C'est effectivement une crainte aujourd'hui de la coordination rurale.
05:51
Voilà, chacun jugera.
05:52
Effectivement, la gauche, le Nouveau Front Populaire, le Nouveau Front Populaire.
05:55
Voilà, on parle du Nouveau Front Populaire.
05:57
Néanmoins, soulignons-le une nouvelle fois,
05:59
si vous redescendez dans la rue avec votre acteur,
06:02
ce sera de manière pacifique, bien évidemment.
06:05
On n'a jamais cherché la violence.
06:08
Malgré aucune des images que vous avez vues, c'était de la violence de nous.
06:11
Je voudrais quand même rappeler aussi que ce que vous avez pu voir en images
06:15
qui ont peut-être pu choquer certaines personnes, ce n'est pas de la violence.
06:19
C'est du désespoir.
06:20
Je reviens d'ailleurs.
06:21
Il y a beaucoup de suicides d'agriculteurs.
06:22
On peut aussi le rappeler.
06:24
Je ne veux pas faire pleurer dans les chaumières.
06:26
Non, mais ce n'est pas faire pleurer dans les chaumières.
06:28
Mais quand vous avez des gens qui travaillent et qui ne peuvent pas vivre
06:30
décemment, on peut comprendre leur revendication.
06:33
Mais madame, j'étais ici sur ce plateau alors qu'il y a un an,
06:36
j'enterrais une de mes meilleures amies, 38 ans.
06:40
Ça va ? Si vous, ça ne vous fait pas des frissons, moi, ça m'en fait.
06:43
Tout à fait.
06:44
Mais ce n'est pas ça le débat.
06:45
Le débat aujourd'hui, c'est qui va prendre notre dossier agricole en main
06:51
pour tirer l'agriculture française vers le haut ?
06:53
Est-ce que c'est compliqué ?
06:55
Je pense déjà d'être exprimé de cette façon-là.
06:58
Ce n'est pas compliqué de faire une rémunération pour les agriculteurs,
07:01
de reconnaître la valeur française et arrêter d'importer.
07:04
Tous les jours, vous avez des études qui sont...
07:06
C'est de la concurrence déloyale, ils importent beaucoup.
07:07
Mais bien sûr, mais vous avez une dernière étude.
07:10
On retient.
07:11
Effectivement, c'est vrai que nous n'avons malheureusement
07:14
pas suffisamment de temps pour développer toutes vos demandes.
07:16
Nous avons entendu l'essentiel, c'est-à-dire que rien n'a changé.
07:20
Rien n'a changé, que la question agricole,
07:22
elle a été mise de côté pendant ces législatives.
07:25
Et un constat aussi, rappelons-le, Marc Varneau, les pressions,
07:29
les craintes de violence positive, de politique, pardonnez-moi,
07:32
aujourd'hui, elles ne sont que d'un côté.
07:34
Au fond, très clairement, agiter les fourches des agriculteurs,
07:37
cela semble à côté de la plaque.
07:38
On sait très bien que les agriculteurs ne vont pas descendre avec l'or.
07:41
Non, mais c'est vrai qu'on se rend bien compte qu'aujourd'hui,
07:46
la France qui travaille, qui travaille dur, qui crée de la valeur ajoutée,
07:49
qui paye des impôts, cette France des entreprises, des PME, des agriculteurs.
07:53
Cette France-là, ce n'est pas une France qui se plaint.
07:55
Et moi, je suis très reconnaissant.
07:56
J'ai une grande reconnaissance pour les agriculteurs,
07:58
parce que sur le sujet des normes, madame,
07:59
où en France, on a 400 000 normes, 400 000 normes, record du monde.
08:03
Ces normes, elles nous pourrissent la vie.
08:05
Et en contrepartie, il a fallu qu'on attende les agriculteurs
08:08
et la coordination rurale pour qu'enfin, on tape du poing sur la table.
08:11
Je disais, écoutez, ça suffit maintenant.
08:12
On importe sans arrêt des produits qui sont soumis à zéro norme.
08:15
Et nous, on nous impose des normes qui nous cassent nos prix de revient,
08:18
qui nous tuent notre compétitivité.
08:20
Donc oui, ça, c'est très bien.
08:21
Et on sait que de toute façon, ce n'est pas la coordination rurale
08:24
qui mettra le feu dans la rue.
08:26
Le feu dans la rue, c'est la LFI.
08:27
Ce n'est pas la coordination rurale.
08:29
Sophie Lénarz, peut-être, on arrive au terme de cette première partie
08:31
sur CNews et sur Europe 1.
08:33
En un mot, qu'est-ce que vous attendez aujourd'hui très concrètement
08:37
et quelle sera votre posture si le nouveau front populaire est aux manettes ?
08:42
Je rappelle, on est à politique, on travaillera.
08:44
De toute façon, on n'a pas le choix.
08:46
On ne nous demande pas notre avis.
08:47
Donc la personne qui sera ministre d'agriculture,
08:49
on travaillera pour tirer l'agriculture vers le haut.
08:51
La seule chose qui nous importe, ce sont les agriculteurs,
08:54
l'agriculture française et nourrir la population
08:56
avec des produits de qualité.
08:58
Maintenant, c'est clair que c'est une déclaration d'austérité
09:01
si vous nous mettez un ou une écologiste en ministre d'agriculture.
09:05
Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise d'autre ?
09:06
Message entendu.
09:07
En tout cas, un grand merci, Sophie Lénarz.
09:08
Je vous rappelle, vous êtes vice-présidente de la coordination rurale.
09:11
Vous quittez Paris ce soir, peut-être, pour rentrer sur votre terre.
09:14
Peut-être une dernière question.
09:15
Vincent Roy.
09:16
En fait, si je vous écoute bien,
09:19
vous m'expliquez qu'Emmanuel Macron vous a roulé dans la farine.
09:23
Ça, c'est clair, oui.
09:24
D'accord, très bien.
09:24
Non, non, c'était une précision.
09:26
La réponse est très claire.
09:27
Enfin, question de Vincent Roy à Sophie Lénarz.
09:32
Et on va marquer une très courte pause sur CNews et sur Europe 1.
09:34
Restez avec nous si vous nous rejoignez.
09:36
Dans un instant, nous allons revenir sur ce sondage.
09:39
CNews, Europe 1, LJDD.
09:40
8 Français sur 10 se disent contre le port de la baïa à l'école.
09:44
Alors, pourquoi ce sondage aujourd'hui ?
09:45
Eh bien, puisque cette semaine, la question de l'interdiction du port de la baïa
09:49
était à nouveau au cœur du débat politique.
09:52
On en parle dans un instant.
09:53
Et nous vous remercions vivement, Sophie Lénarz.
09:56
Vice-présidente de la Coordination rurale, d'avoir été avec nous sur CNews et sur Europe 1.
10:00
À tout de suite sur nos deux antennes.
10:02
Merci.
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13:51
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