François Ruffin, qui a appelé son camp politique à « arrêter les conneries », sait que chaque voix comptera le 30 juin et le 7 juillet. Il sait aussi qu'il reste assimilé, malgré lui, à LFI et à Jean-Luc Mélenchon. Et qu'il rencontre quelque difficulté à asseoir complètement son leadership sur la gauche.