Fabrice Nguema Revue de Presse du mardi 26 mars 2024 en Français

Name: Fabrice Nguema Revue de Presse du mardi 26 mars 2024 en Français
Uploaded: 2024-03-26T13:59:11+00:00
Duration: 8 min 59 s
Channel: Sentv L'officiel
Description: Fabrice Nguema Revue de Presse du mardi 26 mars 2024 en Français

Sentv L'officiel

26/03/2024

Catégorie

🗞

News

Transcription

Afficher la transcription complète de la vidéo

00:00 à Abou Dufay, moins que Abou Dufay. Alors là aussi, Matissas n'étant pas candidat à sa propre succession,

00:08 vous votez et vous avez un président fraîchement, nouvellement élu, qui faisait face au candidat du

00:14 pouvoir justement qui n'était pas président. Alors là nous avons monsieur le président qui est le choix

00:21 du peuple et je rappelle toujours qu'en démocratie le choix du peuple c'est le choix de Dieu pour

00:26 certains parce que les athées aussi ont probablement leur lecture. Moi je me contente de moins mal

00:31 lecture de croyants. Voilà, Diomaye rassure la France. Diomaye rassure la France. Emmanuel Macron

00:41 le félicite. Ça c'est le titre de tribune. Premier sorti du nouveau président. Diomaye rassure la

00:49 France, la métropole. Certains disaient même à l'époque de nos ancêtres la mère patrie. C'est

00:56 comme ça qu'on l'appelait. Une colonisateur. Voilà, la mère patrie. On appelait même la France

01:02 comment un peu? Le pays de nos ancêtres les Gaulois. Même si tu avais comme ancêtre quelqu'un

01:07 qui venait de Diagana ou là-bas, on dit les Gaulois. Alors la déclaration du président Basirouki a fait

01:14 réagir son homologue français parce que Macron a réagi. Le monde entier est en train de réagir.

01:21 Mais pourquoi faire un focus sur cet état de fait principalement? Là c'est la rédaction de tribunes

01:30 parce que le traitement d'une information est comme une rédaction. Et la rédaction de tribunes

01:36 prend ce fait pour en faire ses choux gras. Et on reste avec tribunes. Coût de la vie, récupération des

01:45 avoirs volés, réduction des dépenses de l'état. Voilà maintenant les problèmes. C'est ce qu'on

01:51 appelle la feuille de route parce que quand on est président, ce qui nous est interdit c'est le

01:56 pilotage à vue. Il faut éviter le pilotage à vue. Mais là il a déjà une feuille de route.

02:02 Djobay a les preuves des promesses prioritaires parce qu'il nous a été informé et dit, ça c'est

02:12 vraiment un symbole méditerranéen, "Gor ke wa djanf". Voilà la promesse est une dette. Et on reconnaît le

02:20 maçon au pied du mur. C'est là où on reconnaît le maçon. Alors aujourd'hui, monsieur le président

02:26 est au pied du mur et pour en arriver à ses fins, c'est à dire voir les choses s'améliorer dans le

02:34 quotidien des populations, vous avez tribunes qui rappellent qu'il est bel et bien question de

02:39 coûts de la vie, de la récupération des avoirs volés. Parce que quand même il y a des dossiers

02:44 de mal gouvernant sur la table. Fonds Force Covid Disdain, c'est là. Tout est là, là et là, là là là.

02:51 Alors Djobay a les preuves des promesses prioritaires. Le nouveau président, le nouvel élu attendu,

02:59 mais au tournant. C'est à dire il sera jugé par les actes et les faits. Donc les attentes sont

03:06 énormes. Ça veut dire quoi? Ça veut dire que la situation est assez carabinée. Et il y a

03:13 urgence à agir. Tout de suite et maintenant. Désane, même si elle est civile à Bignac, elle m'aime bien. Dans son

03:22 souci de toujours nous orienter par rapport au traitement de l'information, de nous dire le

03:28 malade est là, il faut le diagnostiquer. Voilà, en tout cas, le diagnostic, je ne vais pas dire

03:35 comme frère Antoine Gorfay, le diagnostic, c'était juste pour chahuter. Mais le diagnostic est fait et

03:43 aujourd'hui, Monsieur le Président, le malade est là, il faut le soigner. On n'est plus à l'étape du

03:49 diagnostic, on est à l'étape du traitement. Il faut une thérapie. La thérapie directe et le président est là pour ça.

03:56 Je rappelle que c'est l'employé, l'employé du peuple. Du peuple. 24 heures après la présidentielle,

04:02 pluie de vœux, de succès et de bénédictions pour le nouveau président de la République. Vous avez

04:08 Mamadou Doumbia, j'ai hâte de collaborer avec vous. Makissal, c'est la victoire de la démocratie

04:13 sénégalaise. Aboulaï Sylla, Ecotra, C50PM, secteur privé, président du C50, en tant que membre du

04:21 secteur privé, nous donnerons les meilleurs de nous-mêmes. Bougad Geydani, secteur privé,

04:27 Gomsopov et Antisysteme, l'heure a sonné pour un Sénégal de renouveau. Dire à Monsieur le Président

04:37 de ne vous détourner pas. Il faut être concentré. Focus, Mme Focus là, c'est pas pour arriver.

04:45 Maintenant focus, c'est les solutions aux problèmes. Voilà Mme Focus. Tout de suite et maintenant,

04:51 if avec nous. Alors, Amadou Diagne, Fogéka, une véritable alternance s'est opérée, comme cela a

04:59 toujours été le cas. Et pour faire une étude de cas, étude de cas, vous avez Libération, en tout

05:06 cas qui évoque les chiffres d'une Razia. Parce qu'il y a eu Razia et Gatom, c'est-à-dire c'était la Razia.

05:13 Ah oui, les chiffres d'une Razia, mais il n'a que 44 ans. Le Sénégal a élu un président jeune,

05:20 ou un jeune président. Qui a soufflé ses 44 ans, sa 44e bousille hier. Hier, voilà. Donc Dieu lui a

05:28 tout donné. Lendemain de son élection. Amin hamdoullah, masha'Allah. Poussusse scolaire, masha'Allah.

05:34 Aujourd'hui, on l'attend à un cursus politique. Ah oui, donc à 44 ans, jusqu'à la choc du bureau de

05:42 contention à la direction de la législation de la coopération nationale, la DGI, Basile Dioumaï

05:47 Faye, le choix de son co-validé par le peuple, devient le président le plus jeune de l'histoire

05:51 du Sénégal. Mais en dehors d'Amadou Baké, félicité hier, le président élu, tous les autres

05:56 potentiels et prétendants aux fautes présidentielles ont obtenu moins de 5%. Tout le reste, à part

06:03 Amadou Baké, on ne va pas leur rembourser leur quotient. Donc la caisse de dépôt et de

06:08 consignation a assez bien rafflué les caisses. Donc voilà, c'est pour ça, pour aller à une compétition

06:13 comme ça, il faut bien réfléchir. Ils étaient combien, 19? Tout le reste! Donc on va calculer, la

06:19 quotient c'était combien? 30 millions. 30 millions multipliés par 16. 17 ou 16? 17. 30 millions

06:27 multipliés par 17. Donc allez-y voir combien la caisse de dépôt et de consignation a vraiment...

06:33 Voilà. Bon. Mais il y a eu des écarts de plus de 336 000 voix à Dakar. Plus de 180 000 voix sur

06:42 l'axe Thiers-Tiwawambou, plus de 194 000 voix sur l'axe Durbel-Bambe-Baké. Mais les détails d'une

06:47 razia, vous avez ça. Mais là où il faut peut-être mettre le doigt, c'est ce que nous livrons au

06:52 quotidien, le quotidien, au chapitre de la première sortie du cinquième président de l'histoire pour

06:57 la politique du Sénégal. Pour la quotient à la CDC, vous avez 510 millions. Donc il y a 510 millions là-bas.

07:04 30 fois 16. 30 millions fois 16. Cher Issa, en attendant, en attendant, boule de foudre! Juste le temps quoi!

07:12 Boule de foudre! Eh! Cher Issa Sale, juste le temps quoi! Le temps que... que l'on voit un peu après le

07:20 nouveau débat, mais boule de foudre! 500, eh! Boule de foudre, juste le temps de gérer quoi! En attendant, tu peux aller au bureau, boire...

07:27 Faire des valises. Faire des valises. Bon! Diobaye porte le projet. Le peuple sénégalais a choisi la rupture.

07:39 Ça aussi c'est un fait secret. Donc il ne peut pas faire autre que de se prier au choix, à la décision du

07:45 peuple. Rupture! Je m'engage à gouverner avec humilité et lutter contre la corruption. Et il rend hommage à Sonko.

07:53 Maki et Abadou Bach le félicitent. Alhamdoulilah! MashaAllah! Alors, vous avez le témoin quotidien qui s'arrête sur le

08:00 premier discours. Mais le premier discours, on l'a déjà évoqué tantôt. Mais, vous avez également des réactions de

08:07 ceux qui passent au crible justement, la première sortie, la première apparition de Basirou Diomayfay,

08:13 président. Alors, ce premier discours-là ne peut pas être un baromètre pour juger la qualité d'un vrai

08:20 président. Ça c'est Bakary Domingo Mané, BDM, journaliste, analyste politique et aussi spécialiste

08:28 de la communication politique. C'est ça son domaine de prédilection. Il est même enseignant dans le domaine.

08:34 Alors, vous avez Mamadou Sialder, chroniqueur et analyste politique, qui soutient qu'un premier discours

08:40 ne fait pas un président de la République. Un premier discours, c'est pas ça! Maintenant, on va juger l'homme

08:46 à l'œuvre. Mais à l'œuvre, vous avez les chantiers du président. Il y a des chantiers, hein? Il ne va pas là-bas

08:53 pour voir s'il y a des cafards et des souris. Les choses sérieuses. Non! Mais dans les choses sérieuses...

Recommandations

8:45

À suivre