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JO 2024 : comment Eurosport, le diffuseur exclusif payant, veut séduire de nouveaux abonnés
franceinfo
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01/03/2024
La chaîne sportive sera la seule à proposer l’intégralité de la compétition.
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News
Transcription
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00:00
Bonjour Géraldine Ponce, diffuseur des JO mais pas des paralympiques.
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Comment ça se fait ? Ça ne vous intéresse pas ?
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Non, ça nous intéresse.
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D'ailleurs on traite les sujets sur notre site ou dans des formats qu'on met dans nos
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émissions linéaires mais c'est tout simplement un budget aussi.
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C'est un gros budget d'acheter les Jeux et on a signé jusqu'en 2032 donc on ne peut
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pas tout s'offrir.
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Alors effectivement, Eurosport est détenteur des droits des Jeux Olympiques jusqu'en
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2032 et l'est depuis un peu plus de 30 ans.
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92 les premiers Jeux pour Eurosport.
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Quelle différence avec France Télévisions qui sera le diffuseur gratuit ?
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Alors la différence déjà c'est qu'on est payant et donc on a une offre totalement
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différente.
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Nous on fait la différence sur l'exhaustivité, c'est-à-dire qu'on va proposer l'intégralité
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des Jeux et on va pouvoir tout montrer.
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Ce ne sera pas le cas sur France Télé ?
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France Télé devra faire des choix parce qu'ils ont moins de canaux pour les diffuser.
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Ils ont deux chaînes linéaires et un canal numérique, digital, là où nous on a dix
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chaînes de télé linéaires classiques et tous les flux digitaux à disposition.
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Donc si vous êtes fan de tir à l'arc et que vous voulez voir les califs du tir à
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l'arc parce qu'il y a un tireur sloven que vous voulez absolument suivre, vous pourrez
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le voir et commenter.
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Dix chaînes alors que d'habitude vous en avez deux.
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Là vous créez des chaînes dédiées, thématiques ?
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Ce sont des chaînes thématiques.
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On avait les mêmes déjà à Tokyo, on les a reprises.
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Donc on a une chaîne sport de combat avec le judo et tous les sports de combat, la boxe
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etc.
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On a la chaîne de basket, de hand, de voler, la chaîne des sports artistiques.
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Au total, à Spawn des Chers, de raquettes avec le golf, le hand.
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Enfin voilà, on a toutes ces chaînes là.
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Il n'y aura aussi pas que les épreuves en elles-mêmes mais des émissions.
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Trois ou alors deux, il y en a une qui va se balader au fil de la journée.
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On va dire deux émissions et une continuité.
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Émission le matin pour mettre en place cette journée.
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Un réveil tonique pour vous donner envie de nous suivre et de regarder tout ce qu'on
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va faire tout au long de la journée.
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On a une émission le soir qui sera plutôt le débrief de la journée.
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On parle du lendemain mais qui sera dans un esprit un petit peu plus festif.
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On sera au Club France.
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C'est un gros plateau où on est sept avec tous les athlètes français qui vont défiler
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sur le plateau, des invités également.
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Et puis ce sera surtout co-présenté par Vincent Desania qui est un comédien qui a
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travaillé notamment avec Mickaël Younes.
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Vous savez que vous pouvez vous attendre à tout avec lui.
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Vous êtes prêts ?
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On s'attend à tout.
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Il nous a déjà donné un petit avant-goût à la conférence de presse qu'on a faite
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il y a 15 jours.
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Et puis sur des formats déjà qu'il a commencé à préparer.
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Oui, on sait qu'il peut très bien partir du plateau parce qu'il a vu un pote dans
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la foule et puis revenir en disant que ce n'était pas son ami.
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Mais on sait.
02:31
On le sait.
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On voulait justement aller sur ce créneau-là parce que c'est aussi ça, Eurosport.
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C'est une ambiance, c'est un ton.
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Et on voulait s'ouvrir au plus grand monde.
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Les Jeux de Paris, c'est quand même un événement exceptionnel pour le pays entier,
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pour les gens qui aiment le sport.
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Mais pas qu'eux.
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Et on s'est dit comment on va aller chercher des gens qui ont une petite appétence sport
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ou pas vraiment, mais qui vont se sentir bien chez nous, qui vont passer un bon moment.
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Et on va l'ouvrir à un public peut-être plus jeune, plus différent de ce qu'on a
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d'habitude.
02:57
Avoir des Jeux à Paris, diffuser des Jeux à Paris, c'est plus de pression que d'habitude
03:02
pour une chaîne comme Eurosport qui fait du sport toute l'année.
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Donc qui maîtrise normalement ?
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C'est plus de pression.
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De tous côtés.
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Moi j'ai quand même une bonne pression aussi de ma direction.
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Mais c'est normal, on est le pays hôte.
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Alors nous, vous savez, on diffuse dans toute l'Europe.
03:15
Mais le fait d'accueillir les Jeux chez soi, ça nous engage un peu différemment.
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Pourquoi ?
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Parce que vous avez envie que ce soit exceptionnel et que vous êtes des jeunes.
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Nous on est la plus grosse équipe sur place.
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Donc évidemment les autres pays d'Europe vont venir avec quelques journalistes, commentateurs
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pour commenter les épreuves on-site.
03:33
Mais ils attendent aussi beaucoup de nous un support, un soutien.
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On l'aura des équipes internationales.
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Mais c'est vrai que nous on va devoir expliquer où ça se passe, qu'est-ce qu'on peut faire
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quand vous avez nos collègues de Pologne qui viennent.
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On va essayer de les aiguiller en disant "ça c'est mieux que tu fasses ceci, que tu ailles
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là".
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Et puis faire des formats aussi, partager les formats qu'on va faire avec eux.
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Et puis nous on a des reporters qui vont pouvoir nourrir tous les autres pays.
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Donc quand on a une zone mixte, et c'est ça notre force aussi, c'est qu'on est présent
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dans toutes les zones mixtes pour avoir la réaction immédiate de l'athlète, de l'entraîneur.
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Donc voilà, sur l'athlée, on a plusieurs personnes sur l'athlée.
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Mais sur la natation, il y aura un Français qui va pouvoir nourrir tous les pays avec
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les premières actions de tous les athlètes.
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Et ce n'est pas seulement les Français.
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Parce qu'Eurosport appartient à un géant américain, Warner Bros Discovery, qui va
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envoyer ses filiales à Paris pour couvrir ses Jeux.
04:22
Est-ce que vous allez faire des échanges de consultants et du coup avoir des consultants
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hyper prestigieux et étrangers ?
04:27
Alors on en a, on attend.
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Ça sera une communication qui sera donnée prochainement.
04:31
On donne aux comptes-gouttes les informations.
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Mais il y aura très certainement des talents internationaux qu'on pourra utiliser sur
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nos plateformes aussi.
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Et puis l'idée c'est aussi de faire des partages avec les différents pays.
04:46
Alex Correccia qui est un talent espagnol, qui commence le tennis exactement, qui parle
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bien le français.
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Il pourra aussi venir dans nos plateaux, dans nos émissions pour faire certains formats.
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Je sais que l'Italie travaille avec un consultant qui est francophone en rugby, qui va aussi
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venir chez nous.
05:08
Et nous on fait des échanges.
05:10
On a Alain Bernard, on a Christine Arand.
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Ces gens-là sont aussi intéressants pour l'international.
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Donc on les prête.
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Je les prie.
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Généralement pour les JO, est-ce qu'il y a un afflux d'abonnements à Eurosport ?
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Oui, les audiences sont beaucoup plus élevées.
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On fait 200 millions de pages vues.
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Donc oui, il y a beaucoup plus de monde.
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Les gens s'abonnent.
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Et la plupart du temps restent parce que l'expertise d'Eurosport est notable.
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Quand on goûte, on ne peut plus s'en passer.
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Souvent.
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On a fait de très bons abonnements sur le mois de janvier grâce à l'Australian Open.
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Au ski aussi.
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Parce qu'en plus, quand les français réussissent, ça marche plutôt bien.
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Cyprien Sarrazin a remporté des efforts.
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On a fait beaucoup d'abonnements dans ce mois de janvier.
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On a fait de gros progrès, notamment sur la vidéo.
06:00
On a fait plus de 9 millions par rapport à 2023, rien que sur le mois de janvier.
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Donc quand on vient, on est bien.
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On y reste.
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Et c'est vrai qu'on est en train de faire évoluer notre stratégie vers un produit
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d'excellence.
06:14
On travaille beaucoup avec les journalistes sur le commentaire, sur la façon dont on
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met en avant nos consultants.
06:20
Le casting qu'on a eu pour les consultants a pris beaucoup de temps.
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Parce qu'on voulait le meilleur.
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Ce n'est pas forcément.
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On a de très grands noms, évidemment.
06:26
Mais dans tous les sports, vous n'avez pas de grands noms connus de la France entière.
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Mais c'était important de voir ce qu'ils donnaient.
06:31
Quelle analyse ils vont apporter.
06:32
Quel complément.
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Et puis l'état d'esprit qu'ils amènent.
06:35
Parce qu'ils vont tous passer dans nos émissions.
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Donc voilà, ça c'est important aussi.
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2023, c'était une très belle année pour Eurosport.
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Un meilleur audience depuis 10 ans.
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Pourtant, depuis quelques temps, vous perdez des droits de diffusion.
06:47
Je pense notamment à Roland Garros au profit d'Amazon Prime.
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On en a récupéré.
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C'était ma question.
06:52
Vous en avez récupéré.
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Et allez-vous en récupérer d'autres dans les mois qui viennent ?
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Alors là, on se concentre sur les jeux.
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C'est un gros projet.
07:00
On travaille régulièrement.
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Les droits travaillent régulièrement.
07:04
Aux droits disponibles.
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Voir ce qui nous intéresse ou pas.
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Nous on a quand même une vision très pan-européenne.
07:09
Donc les droits locaux, on en a.
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On a tout l'ATP quand même qu'on a re-signé pour 3 ans.
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Donc ça c'est un droit très fort.
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Et qui nous amène justement sur ces grands temps forts que sont les grands chèmes.
07:21
La Ligue 1, vous vous positionnez ? La Ligue 1 de foot ?
07:24
On avait regardé.
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On travaille.
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Mais après, c'est pas de mon ressort.
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Évidemment, moi si je devais donner mon avis, il y a plein de choses que je voudrais acheter.
07:30
Je pense que je plomberais un peu les comptes de l'entreprise.
07:32
Donc on fait des choix.
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Et puis on fait des choix raisonnés aussi.
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Parce que je pense que la bulle spéculative autour des droits, à un moment donné, elle
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va s'arrêter.
07:41
On ne peut pas payer des droits aussi chers et ne pas s'y retrouver.
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Il faut que ce soit un cercle vertueux pour tout le monde.
07:46
Donc on étudie pas mal de choses.
07:49
Merci beaucoup d'être venue Géraldine Pons.
07:50
Bon jeu à l'EuroSport.
07:52
Merci beaucoup.
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