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Mathieu Bock-Côté : «L'immigration qui transforme en profondeur la France depuis 40 ans est l'immigration légale»
CNEWS
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18/12/2023
Le sociologue, Mathieu Bock-Côté, était l'invité de Face à l'Info pour parler de la loi immigration : «L'immigration qui transforme en profondeur la France depuis 40 ans est l'immigration légale».
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Je vous avouerai, et je le dirai sobrement, que j'ai l'impression d'être plongé dans
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une pièce de théâtre qui se veut dramatique mais qui en fait nous sommes devant une comédie.
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Je m'explique.
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On est apparemment devant deux projets absolument contradictoires.
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Le projet du Sénat qui représenterait le projet de la droite dure, le projet ferme,
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le projet résolu.
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Et le projet de la Commission des lois, mais plus largement qui nous vient de Renaissance,
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Sacha Houlier et tout ça, et ce serait le projet plus libéral, plus laxiste et déshumaniste
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chez ces gens pour se donner un peu de noblesse.
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Donc on aurait deux projets qui seraient fondamentalement contradictoires.
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Et si vous votez pour, alors si vous étiez favorable au premier et que vous acceptez
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le deuxième, c'est comme si vous étiez en train de vous trahir et l'inverse.
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Or, bien franchement, je regarde ça et je me dis pourquoi tant d'émotions, pourquoi
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tant de théâtre, pourquoi tant de comédie alors que nous sommes finalement devant deux
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versions différentes d'un projet s'inscrivant dans la même philosophie.
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On n'est pas devant deux projets fondamentalement différents ici.
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Nous sommes devant le même projet avec d'un côté une inflexion un peu à gauche, de
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l'autre côté une inflexion un peu à droite, mais le même projet fondamentalement immigrationniste.
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Et si on n'est pas capable de voir qu'en ce moment le débat public est confisqué,
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le commun est mortel, fini par s'en rendre compte.
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On lui dit voilà le projet dont vous… si vous êtes ferme, si on vous prête une forme
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de fermeté, de radicalité sur l'immigration, voilà le projet du Sénat.
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Et si vous vous prenez pour un homme libéral, tout ça, vous aimez les services publics,
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vous pensez que France Inter c'est le sommet de la culture, alors vous dites ah ben ça,
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c'est mon projet, le projet Houllier.
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Mais pour vous clairement, les deux versions sont immigrationnistes.
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Oui bien sûr, mais avec des nuances, avec des nuances.
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C'est-à-dire du côté du projet du Sénat.
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On met de l'accent, par exemple, une plus grande vigueur pour reconduire les étrangers,
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les clandestins en fait, qui n'ont pas vocation à être ici.
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Très bien.
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Alors ensuite, je suis curieux, pourquoi on s'y opposerait?
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De l'autre côté, on se présente comme les défenseurs de l'état social appliqué
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aux étrangers.
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Bon, d'accord.
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Mais fondamentalement, on est dans la même matrice idéologique.
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Qu'est-ce que j'entends par là?
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On ne parle que d'immigration illégale.
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Fondamentalement, ce projet porte sur l'immigration illégale.
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Or, on oublie que l'immigration qui transforme en profondeur la France depuis 40 ans, ce
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n'est pas que l'immigration illégale.
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Ce n'est même pas d'abord l'immigration illégale, c'est l'immigration légale.
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Et c'est toute une série de systèmes qui provoquent un appel d'air immense, qui eux
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font en sorte qu'il y a une immigration qui rentre parfaitement dans les règles du droit,
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dans les règles de ce qu'ils appellent aujourd'hui l'état de droit.
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Donc, on est dans une situation où le projet de loi gouvernementale, que ce soit la version
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du Sénat ou l'autre, aucun ne remet en question fondamentalement la dynamique démographique
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qui transforme le portrait de la France.
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Et le premier à le reconnaître, et ça vaut la peine de le dire, c'est Éric Ciotti.
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Éric Ciotti, qui est l'homme fort sur l'immigration, c'est le futur ministre de l'Intérieur
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d'un gouvernement de droite, appelons-le comme ça.
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C'est celui qu'ils voudraient l'héritier de Charles Pasquoie.
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C'est un homme qui se veut fier, mais tout ça.
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Mais qu'est-ce qu'il dit?
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Il dit tant qu'on n'aura pas un référendum sur l'immigration.
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Qui permet de transformer fondamentalement nos institutions?
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Qui permettra aussi d'avoir, de multiplier les moyens et de nous donner les moyens de
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ne plus être débordés par cette question?
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Je cite ici souvent cette phrase de Marcel Gauchet, « La question de l'immigration
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pourrait être pour la 5e République, ce que la question de l'Algérie a été pour
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la 4e.
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Tant que nous ne réformons pas en profondeur les institutions, nous serons impuissants
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et nous ne pourrons pas, dans le cadre juridique actuel, arrêter l'immigration massive.
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Or, et on y reviendra dans un instant, ce que souhaitent les Français, pour peu qu'on
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prenne au sérieux les enquêtes d'opinion, on n'est pas obligé, mais pour peu qu'on
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les prenne au sérieux quand elles sont bien faites.
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Et franchement, je reviendrai, on a eu une très très bonne enquête ce week-end, les
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Français ne veulent pas réguler l'immigration pour qu'elle entre de manière légale plutôt
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qu'illégale.
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Ils veulent globalement stopper l'immigration massive et s'en donner les moyens.
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Est-ce que ce projet dans la version Sacha Houllier le permet?
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Non.
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Est-ce que ce projet dans la version du Sénat le permet?
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Non plus.
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Mais on fait semblant.
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Je reviens parce que c'est important qu'on est dans le grand débat entre deux options
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contradictoires.
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Nous sommes ici dans les nuances à l'intérieur du même.
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Alors, on va revenir sur ce sondage, justement, dans le journal du dimanche.
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Un sondage qui cherchait à comprendre en profondeur et qui explorait et précisait
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les attentes des Français en matière d'immigration.
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Et là, ça vaut le coup de s'arrêter.
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C'est absolument passionnant comme enquête parce que, vous savez, quelquefois, il suffit
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de poser la question adéquatement pour aller au-delà des catégories généralement entendues.
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Dans le discours médiatique.
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Et ce qui était intéressant dans ce sondage, c'est qu'il prenait l'immigration comme
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un phénomène global.
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Pas simplement légal, illégal, avec les subdivisions administratives qui sont importantes,
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évidemment, quand il est le temps de gérer ce phénomène, mais l'immigration comme
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phénomène historique.
05:00
L'immigration comme le, je dirais, le qui-dame, comme le commun des mortels l'aperçoit.
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Et là, c'est assez intéressant.
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On va y aller avec quelques chiffres qui viennent du sondage.
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Et chaque fois, j'insiste, les chiffres, ça témoigne d'un appui massif.
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66%, commençons par là, des Français souhaiteraient un référendum sur l'immigration.
05:19
Alors, c'est pas qu'ils veulent être consultés dans le vide comme ça.
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« En immigration, qu'est-ce que t'en penses?
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Ah, bien, j'aime bien.
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J'aime pas.
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» Non, ils ont compris que le référendum, c'est le moyen, aujourd'hui, de donner à
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l'État le pouvoir nécessaire pour stopper l'immigration massive.
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Parce qu'on l'a dit, dans la configuration juridique actuelle, on peut, il y a quelques
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leviers, mais on remet pas en question le cadre qui nous a conduit et qui nous a mêlé
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à subir l'immigration massive.
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Donc, les Français disent « Redonnez-nous le pouvoir, s'il vous plaît.
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» On veut se prononcer sur ça.
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Je note, j'y reviendrai, nous avons reçu au grand rendez-vous Éric Wörth dimanche,
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qui s'opposait, j'y reviendrai parce que c'est important, à un tel référendum.
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On verra pourquoi.
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De même, 67% veulent le primat du droit national sur le droit européen.
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Est-ce que c'est clair?
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Je me dis, est-ce que nos élites pourraient finir par comprendre?
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Près du deux tiers des Français considèrent que la France doit gouverner sa propre politique
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d'immigration et ne pas être soumise à une juridiction extérieure, étrangère,
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post-nationale.
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C'est plutôt clair, la préférence populaire ici.
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On n'est pas devant un 51-49, oh là là, le pays est divisé.
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Le pays n'est pas divisé.
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Le pays se prononce massivement pour un primat du droit national.
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Autrement dit, il n'associe plus de confier à la juridiction bruxelloise, à l'oligarchie
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bruxelloise, aux commissaires politiques bruxellois, aux commissaires…
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Il ne faut plus leur confier la politique d'immigration.
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On a parlé, rappelez-vous, sur ce plateau il y a quelques jours, de Mme Ylva Johansson,
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la commissaire aux affaires internes de l'Union européenne, qui présente l'immigration
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comme un projet.
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Pour elle, c'est un projet l'immigration massive.
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Les Français manifestement disent non, ce n'est pas à vous, Mme Johansson, ancienne
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députée apparentée communiste suédoise, de dire aux Français comment vous devez organiser
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votre politique d'immigration.
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Je poursuis.
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60 % contre l'acquisition automatique de la nationalité.
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Qu'est-ce que ça veut dire?
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Qu'on comprend très bien que la nationalité ne saurait plus être simplement un résidu
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administratif.
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Une nationalité, c'est une culture, c'est une langue, c'est une mémoire, c'est une
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adhésion.
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Quand on nous dit, comme on a pu l'entendre…
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Ça se mérite.
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Oui, ça se mérite ou alors ça s'irrite.
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Parce que c'est aussi la continuité des générations.
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Or, qu'est-ce qu'on voit ici?
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On nous dit de plus…
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On nous dit français de papier, c'est une expression d'extrême droite.
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Un instant.
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Est-ce qu'on a une dissociation de plus en plus marquée entre la nationalité existentielle
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et la nationalité strictement administrative?
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Oui, tout le monde le sait.
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Et le fait est qu'il faut finir par le nommer, ce que disent les Français ici.
07:49
Je vais plus loin.
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Rupture de l'accord avec l'Algérie de 68.
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71%.
07:54
Pas 51, pas 52, pas 53.
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71.
08:00
Ça veut dire que globalement, les Français veulent en finir avec le privilège algérien.
08:03
Ils veulent en finir avec ce privilège accordé à l'Algérie qui permet aux Algériens
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finalement d'avoir un passe-droit immigrationniste pour s'installer en France.
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C'est plutôt clair, encore une fois.
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Ceux qui nous disent « nous sommes à l'écoute du peuple, nous voulons comprendre ce que
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veut le peuple », ils le disent assez clairement.
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Vous avez le droit de vous débloquer les oreilles, c'est permis les enfants.
08:20
Je vais plus loin.
08:22
Quelle est la réaction, et ça c'est important, quelle est la réaction de nos élites globalement,
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des grands partis qui s'opposent là-dedans?
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D'un côté, vous avez la droite libérale, appelons-la comme ça.
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J'ai cité M.
08:33
Wirt, qui est un homme de qualité, la question n'est pas là, mais qui disait dimanche
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au rendez-vous, puis représentait le point de vue de la droite libérale patronale ici,
08:41
la France a besoin d'immigration.
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Pas les immigrants ont besoin de la France.
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La France a besoin d'immigration, et c'est le discours aussi de l'association des restaurateurs,
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qui dit…
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C'est pas le seul, effectivement.
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Je le mentionnais parce que c'est un homme de qualité, donc c'est pas n'importe qui
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qui dit ça, mais il y en a de nombreuses, elle a besoin.
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Donc même si les Français disent « c'est assez, on n'en peut plus, on suffoque, ce
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n'est plus possible », eh bien on dit « on va continuer », parce que certaines catégories
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économiques, certaines milieux économiques en ont besoin pour leurs intérêts catégoriels
09:12
à court terme, sans même se rendre compte qu'ils plombent le pays économiquement à
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moyen et non terme avec cela.
09:17
Donc on leur dit « on sait ce que vous voulez, on le sait ce que voulait les Français, mais
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on ne vous le donnera pas, parce qu'on pense, nous, on a une vision supérieure de l'intérêt
09:24
économique de la France là-dedans ».
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M. Wirt pense de la même manière que M. Mélenchon.
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C'est important.
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M. Mélenchon, qui hier répondait, je reviendrai en deuxième édito, à Marion Maréchal, il
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dit, c'est formidable, « sans l'immigration, le pays s'arrête ». Il demande à Marion
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Maréchal « qu'en dira-t-elle merci aux immigrés qui font vivre le pays ? ».
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Donc la France est un pays assisté.
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La France est un pays qui est incapable de rien faire par lui-même, on l'a bien compris
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dans leur esprit.
09:50
Pour eux, la France n'a pas été capable de se libérer par elle-même.
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Ce sont les forces venues des colonies qui ont libéré la France.
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La France n'a pas été capable de se reconstruire par elle-même.
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Ce sont les travailleurs étrangers qui ont reconstruit la France.
10:00
Dans l'esprit de M. Mélenchon, la France est incapable de faire par elle-même quoi
10:04
que ce soit, et l'immigré est vu comme une présence salvatrice.
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C'est le rédempteur extérieur.
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Ce que je note, c'est que la majorité libérale, ou la majorité centriste, et M. Mélenchon
10:14
ont la même lecture de l'immigration.
10:16
Ils veulent la réguler différemment, mais fondamentalement pour eux, il faut poursuivre
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l'immigration massive.
10:22
Il faut continuer une politique d'immigration massive.
10:25
On pourrait y voir une forme de coup d'état démographique en quelque sorte, une entreprise
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où on change sur le moyen et le long terme la composition fondamentale d'un peuple.
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On pourrait y voir aussi une immense entreprise d'ingénierie identitaire, mais dans un cas
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comme dans l'autre, la rupture est claire entre la classe politique et la population
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parce que les Français, je le redis, ne sont pas divisés pour l'essentiel sur cette question.
10:47
Il y a simplement leurs élites qui ont décidé de ne pas tenir compte de leur préférence
10:50
collective.
10:51
On se souvient de l'édito de Charlotte Dornelas qui parlait justement de la communauté algérienne
10:58
la semaine dernière.
10:59
Le maire de Marseille, Benoît Payon, a affirmé que Marseille était la première ville algérienne
11:05
de France.
11:06
Comment comprendre cette phrase dans le présent contexte ?
11:10
À tout le moins, les hommes de gauche ont le droit de dire des choses que d'autres n'ont
11:13
pas le droit de dire.
11:14
C'est-à-dire, quand de mémoire, Éric Zemmour avait qualifié je ne sais plus quelle ville
11:19
de ville islamisée, on avait dit « c'est inacceptable, c'est un propos qui relève
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du grand emplacement, M. Zemmour ». On l'a poursuivi pour ça.
11:27
Il s'en est tiré, soit dit en passant, parce que de temps en temps, les tribunaux
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évitent de faire du zèle idéologique.
11:31
Pas tous, mais ils en font souvent.
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Quoi qu'il en soit, ce que nous dit le maire de Marseille, c'est tout simple.
11:38
Si vous avez une population de plus en plus algérienne à Marseille, si cette population
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transforme profondément l'identité de la ville, si fondamentalement le référent algérien
11:48
– parce que lorsque les gens arrivent en France, ils n'oublient pas d'un coup la
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référence algérienne – si le référent algérien est de plus en plus présent à
11:55
Marseille, Marseille devient une ville algérienne.
11:58
Ce n'est pas Mathieu Bocoté qui le dit, c'est le maire de Marseille.
12:02
C'est la plus importante, la plus grande ville algérienne en France.
12:06
On comprend donc par cette phrase qu'il y en a d'autres.
12:08
Il y a d'autres villes algériennes en France, mais d'autres qui sont de moindre importance.
12:14
C'est important comme propos.
12:15
La question qu'on peut poser, c'est est-ce que de ce point de vue, Marseille peut être
12:19
à la fois une ville française et algérienne, selon le pape François probablement.
12:23
Mais sur le fond des choses, est-ce qu'à moins de croire qu'elle est juridiquement
12:27
française et culturellement algérienne, ce qui est certain, c'est qu'un peuple
12:31
s'installe, un peuple progresse, un peuple s'installe en réclamant son nom, en changeant
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la culture du pays où il s'installe.
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À l'échelle de l'histoire, il y avait des termes pour nommer cela, mais vous le
12:42
savez, les autorités proscrivent de l'usage de tels termes.
12:45
Donc on dirait simplement que c'est une évolution démographique indésirée.
12:49
Merde.
12:49
[Musique]
12:52
[SILENCE]
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