L'avant-match de cette finale de Coupe du Monde entre la Nouvelle Zélande et l'Afrique du Sud en direct du Stade de France. Avec Alexandre Priam, Rémi Dos Santos, Quentin Cabanis, Nicolas Delage, Daniel Herrero, Romain Poite, Philippe Spanghero et Julien Tomas.
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00:00 moraleauto.fr véhicule neuf ou d'occasion
00:03 moraleauto.fr le choix des marques des services présents
00:07 Sud Radio au coeur de la mêlée Alexandre Priam
00:11 Nouvelle Zélande, Afrique du Sud, finale de la Coupe du Monde 2023 sur Sud Radio
00:16 on a vibré pendant deux mois, je place maintenant au dénouement avec Quentin Cabanis
00:20 Salut Quentin
00:21 Bonsoir Alexandre, bonsoir à tous
00:23 et hâte que ça démarque, qu'on sache qui est la meilleure équipe du monde finalement
00:28 Effectivement, et ça me fait un petit peu mal d'entendre ça, je dois te le dire Quentin
00:32 ça me fait un petit truc quand même de pas voir l'équipe de France ce soir sur la pelouse
00:37 du stade de France
00:38 Salut Rémi Dos Santos, comment ça va ?
00:39 Salut Alexandre, bah écoute ça va très bien, j'espère que toi aussi, mais contrairement
00:43 à Quentin j'ai hâte que ça se finisse, voilà
00:44 Je suis très déçu que la France ne soit pas en finale
00:48 C'est vrai que moi aussi, tu sais quoi, j'ai hâte du top 14 de demain
00:53 Pareil
00:54 C'est fou de dire ça ou pas ? Moi j'arrive pas à comprendre
00:56 Vous allez quand même vivre une finale de coupe du monde là messieurs
00:58 On va vivre une finale de coupe du monde, mais évidemment c'est extraordinaire
01:02 Non mais c'est extraordinaire, mais demain
01:04 J'aimerais bien retourner voir un bourgoin au RIAC
01:06 On va te parler de top 14
01:08 Déjà c'est plus possible, merci Quentin
01:11 Mais demain c'est la quatrième journée du top 14 sur Soudradio et WIC de 14h à 23h
01:15 avec toute l'équipe
01:16 On sera du côté de Perpignan, de Lyon, de Toulouse, de La Rochelle, de Bayonne, on sera
01:20 partout sur Soudradio pour cette quatrième journée du top 14
01:24 Mais évidemment on va prendre la direction du Stade de France dans quelques instants
01:27 Mais d'abord le journal de la coupe du monde, Rémi Dos Santos
01:30 Les fromages matoc, la fineur des Pyrénées au cœur de la mêlée présente
01:35 Soudradio, le journal de la coupe du monde
01:39 Le journal de la coupe du monde, Rémi Dos Santos avec évidemment l'occasion de connaître
01:46 ce soir le gagnant de la coupe du monde
01:49 Mais hier déjà on a eu un troisième
01:51 Oui, l'Argentine n'a pas réussi à prendre sa revanche battue par l'Angleterre en tout
01:54 début de compétition
01:55 Les Poumas se sont encore inclinés face aux 15 de la Rose
01:58 Succès court, 26-23 des hommes de Steve Borswick qui termine donc la compétition sur une très
02:02 bonne note
02:03 Le bilan est d'ailleurs plutôt flatteur, 6 victoires pour une seule défaite
02:06 De quoi satisfaire le manager anglais interrogé après la rencontre par Nicolas Delhache pour
02:10 Soudradio
02:11 Je suis vraiment ravi que les joueurs soient parvenus à gagner ce soir
02:16 Ils ont travaillé si dur
02:18 Sur les 7 matchs qu'on a joué ici, nous en avons remporté 6 et nous n'avons perdu
02:23 que d'un point contre les champions du monde qui sont actuellement numéro 1
02:26 Je pense que cela montre les progrès de l'équipe, qu'elle s'est construite tout au long du
02:31 tournoi
02:32 Je suis très content qu'ils aient remporté ce match mais aussi de la manière dont ils
02:36 ont obtenu ces résultats
02:37 Oui, avec donc à l'inverse forcément beaucoup de déceptions côté Argentin Rémi
02:45 Des Argentins qui rêvaient de réitérer cette troisième place conquise en 2007 par
02:49 les Pichottes Hernandez ou les Desmas
02:51 C'était déjà en France
02:52 Les Pumas se contentent donc de la quatrième place
02:54 Résultat des joueurs abattus à l'image de Julian Montoya, capitaine de cette équipe
02:58 d'Argentine
02:59 Toujours au micro Soudradio de Nicolas Delhache
03:01 La vérité c'est que nous sommes tous tristes
03:05 Ce match, cette défaite nous fait très mal
03:08 Mais ils avaient certainement plus d'expérience ce soir
03:11 Pour moi, en tant que capitaine dans cette Coupe du Monde, j'ai essayé de faire de
03:18 mon mieux
03:19 Mais on a commis des erreurs
03:20 Ce groupe est vraiment sensationnel
03:23 Mais il faut aussi rendre hommage aux entraîneurs, à tout le staff
03:27 Ce staff Argentin donc qui a encore un petit peu de travail
03:34 Puis rendez-vous donc je le disais dans moins d'une heure pour le grand rendez-vous, la
03:37 finale de la Coupe du Monde
03:38 Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud en jeu, ce fameux quatrième titre mondial pour le
03:42 vainqueur
03:43 Et un statut de recordman au nombre de succès
03:45 Alors Black ou Boxe, ce sera une revanche en tout cas pour les Néo Z
03:48 Corrigée il y a deux mois à Twickenham par ces mêmes Sudafs
03:50 Coup d'envoi 21h évidemment sur Soudradio, la radio du rugby
03:54 La radio du rugby, effectivement, Rémi De Santos
03:57 On prend la direction du Stade de France
04:00 Nicolas Delhache avec Philippe Spanguero
04:02 Bonsoir messieurs
04:03 Salut messieurs, salut salut
04:04 Bonsoir à tous
04:05 Il y a de la tristesse, il y a de la joie, qu'est-ce qu'il y a comme sentiments dans
04:10 votre petit coeur ?
04:11 Vous êtes le commentateur ce soir Philippe Spanguero et Nicolas Delhache
04:14 Bah dans nos gros coeurs parce qu'on a quand même, Nico et moi particulièrement, des
04:19 coeurs énormes par rapport au reste de cette équipe
04:22 Et dans nos gros coeurs
04:23 Et vous avez des cheveux là
04:26 Tu pourrais faire don de capillaires aussi
04:29 Hop hop hop hop
04:30 Bah t'avais la bouche Alex
04:31 Mais je trouve
04:32 Mais Philippe veut répondre quand même
04:33 Vous avez les cheveux avec leur feu ici
04:35 Oui, toi aussi, merci
04:36 Dans nos gros coeurs d'amoureux du rugby, il y a bien sûr un peu de tristesse, on s'était
04:47 tellement imaginé un scénario différent et on s'était, je l'ai dit plusieurs fois
04:51 ces dernières semaines dans nos émissions, mais un peu persuadés d'à quel point c'était
04:56 raisonnable d'y croire
04:57 Et là c'est un peu la douche froide mais par contre on assiste à une rencontre d'exception
05:03 où ce soir une des équipes va pouvoir affirmer qu'elle domine l'histoire du rugby mondial
05:09 On a trois titres de champion du monde de chaque côté
05:11 Ce soir il y aura une quatrième étoile pour un de ces deux pays qui sont deux immenses
05:17 pays de notre sport
05:19 Qu'on a enterré un peu vite quand même ces dernières années et qui nous montre que
05:23 l'hémisphère sud a encore de beaux restes
05:26 Oui je suis d'accord, un peu de tristesse mais sur le niveau de jeu on est sûr d'assister
05:31 à un match de très très haut niveau
05:32 Moi c'est personnellement ça qui m'excite ce soir
05:35 On est certain d'avoir deux équipes à leur apogée dans cette période de coupe du monde
05:39 Et petite info quand même, le public a priori sera black ce soir parce que les premiers
05:45 joueurs à être arrivés sur la pelouse il y a moins de dix minutes
05:48 C'était la paire de footballeurs, la Polard de Clercq parce qu'ils ont plus peut-être
05:52 joué au pied qu'à la main ce soir
05:54 Mais ils ont été sifflés largement par le public parce que vous savez c'est comme
05:58 hier au stade de France, un public un peu panaché, un public un peu comme aux Jeux
06:03 Olympiques, il y a des français, il y a des suddafs, il y a des anglais, il y a un peu
06:05 toutes les nationalités mais très clairement il y a une préférence pour les all black
06:08 Il y a des belges un peu ou pas ?
06:11 Probablement, ils sont partout comme les rotonds
06:12 Un peu de seum ce soir au stade de France, le seum est français
06:19 Le seum est français malheureusement désormais
06:21 Dans quelques instants sur Soudradio vous ferez gagner le ballon Gilbert, Soudradio
06:24 826, 300, 300, vous offriront aussi un maillot d'arbitre avec Weasel, d'ailleurs Weasel
06:29 on en parlera avec Romain Poit parce qu'on aura beaucoup de choses à dire ce soir sur
06:33 un homme qui sera au centre du terrain, un certain Wayne Barnes, vous allez voir, vous
06:37 allez comprendre, c'est un arbitre qui peut parfois paraître un peu austère comme ça
06:40 à la télévision alors que pas du tout, c'est un sacré spécimen
06:44 Mais d'abord petit tour du côté, autour du stade de France avec Antoine Mazac qui
06:51 est en train de s'installer, Antoine autour du stade de France avec, comme on le disait
06:56 avec Nicolas Delage, un public panaché aujourd'hui avec d'un côté des français évidemment
07:02 qui avaient pris leur place, qui croyaient comme nous à cette finale de coupe du monde
07:05 pour les bleus et puis de l'autre côté forcément un petit peu de déception
07:08 Oui Alexandre, le stade de France qui affichera guichet fermé bien sûr pour cette finale
07:16 de coupe du monde avec, comme tu le disais, énormément de supporters qui étaient là
07:20 déjà hier soir et notamment beaucoup de supporters sud-africains, on les a croisés
07:25 tout à l'heure dans la fanzone rugby, une Paris, du quartier Saint-Germain, ils mettaient
07:30 déjà l'ambiance et ils mettent l'ambiance également sur le parvis du stade de France,
07:35 ils sont quasiment près de 80% par rapport aux Néo-Zélandais donc c'est énorme, ils
07:41 vont pouvoir les joueurs sud-africains incluter sur ce soutien, sur cet appui des joueurs
07:45 sud-africains et c'est vrai que la pluie s'est calmée, la pluie a l'air de s'être
07:51 calmée et c'est peut-être un facteur qui va être très important pour cette rencontre,
07:57 la météo, on va avoir le temps d'en discuter mais c'est vrai qu'on sent qu'on a vraiment
08:02 une finale de coupe du monde qui va se discuter ici en France dans ce stade de France qui
08:09 a l'habitude de ces grands événements et on le sent ce soir particulièrement, on s'est
08:13 mis dans le son 31 et qui va accueillir peut-être la terre du rugby avec des supporters sud-africains
08:21 hollandais qui sont là.
08:22 Bonjour monsieur, bonjour en tout cas vous pouvez voir Antoine Mazer qui apparemment
08:28 a un mariage ensuite, vous pouvez le voir sur la chaîne Twitch de Sud Radio, un mariage
08:32 ou une réunion de copropriété, merci beaucoup Antoine Mazer, on se retrouve dans un instant
08:36 sur Sud Radio pour le qui-je-suis évidemment avec les auditeurs, avec deux auditrices qui
08:42 vont donc participer à ce magnifique qui-je-suis, à tout de suite.
08:44 Sur l'auto.fr, le choix des marques et des services présente
08:48 Sud Radio, au coeur de la mêlée, Alexandre Priam.
08:52 Vous êtes au coeur de la mêlée sur Sud Radio à quelques dizaines de minutes maintenant
08:56 du coup d'envoi de la finale de coupe du monde 2023, on est en train de monter un petit
09:02 peu en pression forcément, on a hâte et à la fois on est un peu triste de ne pas
09:05 avoir les bleus dans ce stade de France ce soir, nous serons quand même là pour vous
09:10 faire vivre un match qui s'annonce exceptionnel, Nouvelle Zélande, Afrique du Sud et puis
09:15 il va y avoir un autre moment exceptionnel dans un instant, ça va être le qui-je-suis,
09:18 Nicolas Delache, Philippe Esfandguiro, vous allez vous affronter puisque vous allez tous
09:21 les deux aider des auditeurs mais l'un face à l'autre et Philippe n'aime pas la défaite,
09:26 je te préviens Nicolas.
09:27 Excusez-moi, est-ce qu'on a un deal avec l'INA pour retrouver pour pas cher les archives
09:33 de ma dernière défaite ?
09:34 Dans ce cas-là je suis d'accord mais laissez-moi prendre avance alors, faut assumer.
09:42 Non, non, non, on peut pas faire ça, parce que je vais le mettre un peu en difficulté,
09:48 je sais quel genre de joueur il connaît, je sais quel genre de joueur il ne connaît
09:50 pas.
09:51 Il y en a qui ne connaît pas ?
09:52 Je vais le mettre un peu en difficulté ce soir, ça va être un affrontement exceptionnel
09:58 pour ce qui-je-suis, il y aura à gagner, je vous le dis, le dernier ballon Gilbert sous
10:03 radio de l'année, voilà, et c'est désormais le qui-je-suis.
10:07 Sud Radio au cœur de la mêlée.
10:10 Allo, puisqu'on ne se connaît pas, présentez-vous, présentez-vous, les gars, qui-je-suis ? C'est
10:24 moi ! C'est moi ! Je suis le monsieur ! Ça c'est se présenter !
10:35 Et oui, c'est comme ça qu'on se présente sur Sud Radio pour le dernier qui-je-suis
10:40 de cette Coupe du Monde de Rugby.
10:42 Extraordinaire moment, on s'est régalé depuis maintenant deux mois avec ces qui-je-suis
10:46 en accueil sur Sud Radio.
10:47 Sylvie, bonsoir Sylvie !
10:48 Bonsoir !
10:49 Sylvie, vous nous appelez d'où ?
10:50 De Montauban.
10:51 De Montauban ! Ah, très belle région de rugby ! On est aussi avec Magali, bonsoir Magali !
10:59 Bonsoir !
11:00 Bonsoir !
11:01 Vous nous appelez d'où Magali ?
11:02 Alors là, je suis en vacances en région parisienne mais je viens du Bocé.
11:05 D'accord, vacances en région parisienne ! Ah oui, on connaît bien, les Toulonnais sont
11:12 fiers, très très fiers de leur club et en même temps ils peuvent, ils peuvent évidemment.
11:17 Sylvie, Magali, vous allez jouer ce soir pour remporter le dernier ballon Gilbert Sud Radio
11:22 de cette Coupe du Monde.
11:23 Il y en a plus, ce sera terminé après.
11:24 C'est le tout dernier ce soir à gagner.
11:27 Et Sylvie, vous allez jouer avec Philippe Spanghiro ce soir.
11:32 Bonsoir Philippe !
11:33 Bonsoir Sylvie !
11:34 Bonsoir !
11:35 Vous allez faire équipe ?
11:36 Bah écoutez, honnêtement, ce serait vraiment pas de chance que ça perde ce soir parce
11:42 que je suis sur un gros, comme on dit à la table de poker, je suis sur un gros rush.
11:48 Il est très très fort en ce moment.
11:50 Il a un énorme potestime.
11:51 Et Magali va jouer avec Nicolas Delage, notre commentateur.
11:54 Voilà, Nicolas, Magali, allez !
11:56 Ça va Nicolas ?
11:57 Ça va Magali ?
11:58 Très bien, je compte sur vous hein !
12:00 Ah bah y'a pas de problème, pas de problème !
12:03 Alors les règles sont extrêmement simples.
12:06 Je vais vous donner des indices, il faudra donner votre prénom pour pouvoir répondre,
12:10 pour avoir le droit de répondre il faut donner son prénom.
12:12 Si vous donnez le nom du joueur avant de donner votre prénom, je ne peux pas accepter la réponse.
12:16 On est bien d'accord ?
12:17 Donc vous dites, par exemple, si Sylvie vous avez la réponse, vous me dites "Sylvie, Sylvie !"
12:20 Je dis "oui Sylvie" et vous me donnez la réponse.
12:22 Pas de problème !
12:23 Et bah vous êtes prêts ? C'est parti !
12:25 Allez, on attaque tout de suite !
12:26 Je suis né du côté de Soroka en 1983.
12:30 J'ai commencé ma carrière chez les seniors à Ponmoskovie, avant d'aller au Sail Sharks
12:36 de 2011 à 2016 et d'être devenu ensuite un joueur de l'Union Bordeaux Beigle.
12:41 Union Bordeaux Beigle, que je quitte cette saison, puisque j'ai terminé ma carrière professionnelle.
12:46 J'y étais depuis 2016.
12:48 Philippe a demandé la parole je crois.
12:50 Philippe !
12:51 C'est un petit cordero ?
12:53 Non !
12:54 Je suis Pellier.
13:00 Magali ?
13:01 Nico !
13:02 Tomate au cheli ?
13:03 Non !
13:04 Nicolas !
13:05 Nicolas !
13:06 Vadim Kovilas !
13:08 Vadim Kovilas, point pour Nicolas et Magali !
13:11 Non !
13:12 1-0 !
13:13 Ok, donc on est des joueurs de l'Union Bordeaux Beigle.
13:16 Ne connaissez pas !
13:17 Ah ouais ? Non !
13:18 Première arrivée à 3, on vous le rappelle.
13:21 Première arrivée à 3.
13:23 Je suis né en 1973.
13:28 Ça remonte un petit peu à Tulle.
13:31 J'ai commencé ma carrière chez les pros à Montferrand.
13:34 Avant d'aller au Castrolympique, puis à Bourgoin, enfin à Béziers, j'ai terminé ma carrière à Gaillac.
13:40 Philippe !
13:41 Philippe !
13:42 Arnaud Coste !
13:43 Arnaud Coste !
13:44 Très fort de la part de Julius Panguiro !
13:47 Ça fait 1 partout entre Magali et Sylvie.
13:51 1 partout.
13:52 Voilà, ça s'annonce très intéressant.
13:54 J'ai commencé ma carrière à Montpellier.
13:58 A Montpellier parce que j'y suis né en 1993.
14:01 A Montpellier, je joue 2 saisons.
14:04 Et je vais ensuite à Perpignan.
14:06 Je joue 4 saisons à Perpignan.
14:08 Je suis un titulaire indiscutable avant d'aller à Grenoble en Pro D2.
14:11 Et aujourd'hui, être un joueur de Pro D2.
14:14 Toujours un joueur majeur de mon club, de Provence Rugby.
14:18 Philippe !
14:19 Philippe !
14:20 Ah putain, le 10 !
14:22 J'ai des origines !
14:26 Il y a Nico qui a une réponse à ma question.
14:28 Nicolas !
14:29 Non !
14:31 C'est le 10 !
14:33 Sylvie, il y a des mots !
14:35 Mon prénom, c'est Enzo.
14:37 Non, non !
14:39 Comme...
14:41 Donnez votre prénom, s'il vous plaît.
14:44 Non !
14:46 Oui ?
14:48 Selponi !
14:50 Philippe !
14:52 Philippe Selponi, ça a été trouvé.
14:54 Philippe Selponi.
14:56 Ça fait donc 2 à 1 pour Sylvie.
15:00 Je vais faire l'étage sur Boudelalangue, j'arrivais pas à m'en sortir.
15:02 Ça fait 2 points pour Sylvie, c'est une balle de match pour Sylvie.
15:06 Je suis née à Buenos Aires.
15:10 J'ai commencé ma carrière au Pampas 15,
15:13 avant d'aller à Regattas de Bella Vista,
15:15 de jouer au Jaguares, à Exeter,
15:19 à l'Union Bordeaux-Belgues,
15:21 et désormais je suis un joueur de Connard.
15:22 Nicolas Delage.
15:23 Cordero !
15:24 Oui, Santiago Cordero.
15:26 C'est Nicolas Delage et Magali, vous êtes ensemble de toute façon.
15:29 Bon ben y a balle de match les amis.
15:31 Y a balle de match entre Sylvie et Magali, y a 2-2, balle de match.
15:34 Vous êtes prêts ?
15:35 Chaud, chaud, chaud !
15:37 Là, c'est maintenant que ça se joue.
15:39 Je suis née en 1981 à Cordoba en Argentine.
15:45 J'ai commencé ma carrière au Petrarca Padoue,
15:47 avant d'aller à Hoche 2005-2006,
15:50 puis à la Rive 2006-2007.
15:52 Magali, Enrique Rodríguez.
15:54 Non !
15:55 J'ai fait Hoche, Rive 2006-2011,
15:59 avant d'aller à Irony, en Italie, puis aux Zèbres, à Massy,
16:03 et j'ai terminé ma carrière à Nice.
16:06 Sylvie ?
16:08 Magali ?
16:09 Sylvie ?
16:10 Vous avez dit Sanchez ?
16:13 Non !
16:14 Ce n'est pas Sanchez.
16:15 Magali ?
16:16 Orchera.
16:17 Orchera, incroyable Magali !
16:20 Incroyable, Luciano Orchera !
16:22 Il sort de loin aussi là, incroyable !
16:24 Bravo Magali !
16:26 Merci !
16:27 Bravo !
16:28 Allez, va-t'en, tu finis super bien !
16:30 Je m'incline avec joie !
16:33 Quel travail !
16:34 Je vais dire 48 sélections avec la Squadra Azura, la Nacional.
16:39 Luciano Orchera !
16:40 Alors là, bravo Magali !
16:42 Celui-là était très difficile.
16:44 Oh, je suis bluffé !
16:46 On l'est tous.
16:47 Orchera, ils viennent de très très loin.
16:50 Pilou, pilou !
16:53 Encore une dictante pour le fils, pour Anguéro d'ailleurs en passage.
16:56 Non, c'est pour Nicolas !
16:58 C'est pour Nicolas et Magali, bien sûr, je dis des bêtises.
17:02 Bon, Magali, vous nous appelez de Paris,
17:05 mais on est tombé contre un gros morceau là.
17:08 Je suis désolé Sylvie.
17:10 On retire la dictante en finale lors de la dernière émission, non ?
17:13 C'est ça.
17:14 Désolé Sylvie.
17:15 Ah, Magali a été exceptionnel.
17:17 Bon, Magali, restez bien à l'antenne, restez bien au téléphone,
17:20 on va vous envoyer ce ballon le plus rapidement possible.
17:22 Et merci d'avoir joué.
17:24 Merci beaucoup, bonne soirée à tout le monde et bon match !
17:27 Et tiens, petit pronostic Magali,
17:29 Nouvelle-Zélande ou Afrique du Sud ce soir ?
17:31 Ah, Nouvelle-Zélande.
17:33 Nouvelle-Zélande, on est d'accord.
17:35 On est d'accord, Magali, décidément.
17:37 On est, nous sommes connectés entre Sud Radio et vous.
17:41 Il n'y a aucun doute à dessus.
17:43 Ah oui, c'est ça.
17:45 Le Sud vous parlait de Toulon.
17:47 Dans un instant, il y a Daniel Vérot qui arrive au micro.
17:51 Il est là, il se prépare.
17:53 Il se prépare, Daniel, dans la tribune presse.
17:56 On va vous offrir un magnifique cadeau dans un instant sur Sud Radio.
18:00 Un autre magnifique cadeau, c'est le maillot d'arbitre avec Weasel.
18:03 Un maillot magnifique d'arbitre.
18:05 Il est rouge et noir.
18:07 Il est très Sud Radio, il est très Weasel.
18:09 Il est aussi concocté par le maillot français.
18:12 On va vous l'offrir dans quelques instants sur Sud Radio.
18:14 On accueillera aussi dans quelques minutes Romain Poit pour parler de Wayne Barnes.
18:18 A tout de suite sur Sud Radio.
18:20 Bonsoir Romain Poit.
18:22 Bonsoir Alexandre.
18:24 Comment ça va ?
18:26 Eh bien, ma foi, bien, avec une finale qui s'annonce palpitante.
18:29 Donc on est prêt et puis on attend ça avec impatience.
18:33 On attend ça avec beaucoup d'impatience, effectivement.
18:35 Hier, parlons un tout petit peu du match de Nick Berry sur Angleterre-Argentine.
18:41 On a eu finalement assez peu d'écho post-match de l'arbitrage de Nick Berry.
18:46 C'est plutôt bon signe.
18:47 Qu'est-ce que tu as pensé de sa performance ?
18:49 Moi, j'ai trouvé assez sérieuse.
18:52 La mêlée du fait qu'il n'est pas arbitré dès le départ,
18:55 un petit peu comme Ben O'Keefe sur le quart de finale.
18:58 Ça s'est un petit peu retourné contre lui sur la fin.
19:02 Il y a eu quelques propos de Michael Schenker,
19:04 mais c'est assez récurrent et c'est souvent le cas avec lui.
19:08 Après, un match qui était bien sûr avec de la proximité entre les deux équipes.
19:14 Évidemment, sur une différence de trois points,
19:17 on va parler d'arbitrage sur certaines décisions.
19:19 Mais dans l'ensemble, je pense que les Anglais ont quand même bien mené leur barque.
19:25 Il y a beaucoup de questions sur l'essai argentin en première mi-temps,
19:29 sur une passe flottante.
19:31 Je pense qu'elle est en avant.
19:35 Après, il n'y a pas crié au scandale pour Sheikha
19:38 parce que si on enlève cet essai-là,
19:41 il y a un peu plus de différence au score.
19:44 Et puis, la dernière mêlée qui fait la gestion des mêlées à la fin,
19:47 qui pose des questions.
19:50 C'est toujours pareil quand on fait un choix de ne pas les arbitrer,
19:55 de les manager, savoir que ça peut se retourner contre nous à un moment donné.
19:59 C'est peut-être le cas pour Nick Berry sur ce match.
20:02 Mais dans l'ensemble, il n'y a pas eu de gros faits de match,
20:06 si ce n'est cette passe en avant, qui pour moi, elle était quoi.
20:09 On va parler maintenant de Wayne Barnes.
20:12 Ce soir, j'invite au micro Nicolas Delage,
20:14 qui l'a un peu croisé dans la préparation de cette Coupe du Monde de rugby aussi.
20:18 Wayne Barnes aurait peut-être pu ou dû arbitrer la finale de Coupe du Monde il y a quatre ans.
20:23 Sauf que les Anglais s'étaient qualifiés pour cette finale,
20:26 ce qui avait propulsé Jérôme Garcès à notre plus grand plaisir,
20:29 au sifflet de cette finale de Coupe du Monde.
20:32 Il a prolongé son aventure d'arbitre quatre ans de plus,
20:35 et la récompense est là.
20:37 Elle est méritée pour un arbitre qui aura marqué son temps, Romain.
20:42 Complètement, cinq Coupes du Monde, trois finales d'H-Cup,
20:47 trois finales de Challenge, sept finales de Premiership.
20:51 Et on peut en rajouter, parce que si mes comptes sont bons,
20:55 normalement c'est le chiffre, mais il a vraiment dominé.
20:59 Dès qu'il est arrivé sur les destinations, je me souviens, c'était sur un Italy-France,
21:04 il avait déjà marqué beaucoup les esprits.
21:06 Il a été présent sur toutes les phases finales des Coupes du Monde.
21:10 C'est vraiment la légende, parce qu'il est arrivé très jeune.
21:15 À 27 ans, en 2007, il faisait un premier quart de finale pour sa première Coupe du Monde.
21:19 Le quart de finale qu'on a connu, vainqueur pour nous, et heureusement.
21:23 Mais c'est vrai qu'au-delà de tout, c'est un bon animateur de rencontres.
21:28 C'est vraiment mérité pour quelqu'un qui a su se remettre en question,
21:32 parce qu'il a été challengé plusieurs fois par l'institution.
21:36 Je me souviens notamment en 2008, où il avait été challengé,
21:40 et qui a réussi à se maintenir, parce que souvent on dit que
21:44 les arbitres qui durent, ce sont les meilleurs.
21:47 Mais c'est vrai que d'y arriver, ce n'est pas forcément le plus dur,
21:51 mais de rester, c'est le plus compliqué.
21:54 Il a su le faire, avec beaucoup d'empathie et de maîtrise.
21:59 C'est incontestable, ce soir, de le voir.
22:03 Sincèrement, je suis vraiment content pour lui, parce que c'est mérité.
22:07 Il y a quatre ans, il n'a pas pu le faire, pour les circonstances qu'on connaît.
22:11 Il l'a mérité, déjà amplement.
22:14 Même tout au long de sa carrière, il a vraiment eu la maîtrise des débats.
22:18 C'est des moments un peu plus difficiles.
22:21 C'est quelqu'un qui a été constant sur la performance, et qui arrive aujourd'hui.
22:25 J'ai échangé avec lui par texto.
22:27 Il m'a envoyé un texto, en me disant que pour le dernier match,
22:30 je ne sais pas si c'est son dernier, mais en tout cas,
22:33 il a prolongé les quatre années qu'on a vues passer depuis la Coupe du Monde 2019,
22:37 pour se donner l'opportunité de faire une finale de Coupe du Monde.
22:41 C'était la seule chose qui manquait à son palmarès.
22:44 Aujourd'hui, c'est chose faite.
22:46 Une désignation, après, c'est une belle désignation, une bonne désignation.
22:50 On le sait après le match, donc à lui de remplir les cases,
22:53 et de faire un bon match pour qu'il puisse avoir la plénitude
22:57 de ce qu'il a fait sur toute sa carrière,
23:00 et notamment, de la finir en beauté avec ce match-là.
23:03 Parfois, pour nous, Français, on l'a souvent vu à la télé,
23:07 il a un côté un peu...
23:09 Cette espèce de flègue, un peu anglais,
23:11 parfois un peu détaché du match, parfois un peu dur.
23:14 On le sait qu'il est avocat à la base,
23:16 et c'est un sacré personnage en dehors des terrains.
23:19 Nicolas Delage, tu l'as suivi cet été lors de la préparation
23:23 de la Coupe du Monde de rugby.
23:25 C'est vraiment un personnage, c'est quelqu'un un peu à part, quand même.
23:30 - Oui, à part, très rock'n'roll en plus,
23:33 surtout si on part du principe que c'est un avocat.
23:36 Donc voilà, ça en rajoute aussi dans le côté flèguematique et sérieux.
23:39 J'ai eu la chance de passer deux jours, effectivement,
23:41 avec les arbitres de la Coupe du Monde, sur un stage de cohésion
23:44 que Joël Judge, le patron mondial des arbitres,
23:47 avait organisé pas loin de chez lui, dans le Lot, vers Roquiamadour.
23:50 Donc c'était deux jours où il y avait du BTT,
23:53 un petit peu de sport, un petit peu de difficulté.
23:55 Et forcément, sur la partie sportive,
23:58 un garçon qui approche les 45 ans comme Wenmarth,
24:00 il s'échappait un petit peu, il était malin, il avait l'expérience.
24:03 Parce que, évidemment, c'est pas là qu'il va faire la différence
24:06 par rapport au Nick Berry et autres jeunes arbitres.
24:09 Mais il était vraiment adorable, très, très fun également,
24:13 très ouvert. Et ce qui m'a marqué, c'est notamment une soirée
24:16 qu'on a passée à la Belle Étoile, au cœur du Lot.
24:19 C'était le dernier à lâcher le micro.
24:22 Il y avait une espèce de karaoké, il chantait.
24:24 Il était vraiment très humain, très sympathique.
24:27 D'ailleurs, ce qui permet de dire deux choses,
24:30 c'est que ces stages de cohésion sont, je pense, très importants
24:33 pour que les arbitres restent concernés,
24:36 restent également motivés et forment une sorte d'équipe.
24:40 Parce que ça reste une sorte d'équipe.
24:42 Vous allez voir dans quelques semaines un documentaire
24:45 qui va sortir sur les arbitres, un peu dans l'intimité
24:49 de tous les arbitres de la Coupe du Monde,
24:51 y compris certains débriefings qui ont été filmés
24:54 pendant cette Coupe du Monde.
24:56 Et vous allez voir que ce sont des personnes assez méconnues,
24:59 qui sont très humaines, qui se disent les choses,
25:02 parce qu'il y a des débriefings parfois assez durs.
25:05 Mais tout ça pour dire que One Bounce est vraiment,
25:07 probablement parmi les arbitres de cette Coupe du Monde,
25:09 celui qui est le plus fun.
25:11 - Ça c'est sûr, et on sait en plus que ce n'est pas le dernier en soirée.
25:14 Romain Poste qui lui a parfois un peu joué des tours en plus.
25:17 - Oui, exactement.
25:19 C'est la remarque que j'ai faite à propos de 2008,
25:22 où il avait un as assez parpillé un peu,
25:25 et son image devenait plus ou moins bonne,
25:29 justement par ses sorties extra-terrains et nocturnes.
25:34 Il avait été rappelé à l'ordre,
25:37 je me souviens, par le comité de sélection,
25:39 il avait été convoqué alors que nous, on était à la Coupe du Monde
25:42 des mois de novembre, et ça avait été marquant,
25:45 parce que sur le terrain, il faut renvoyer une certaine image,
25:48 mais on véhicule une image d'une institution sur toute une saison.
25:54 Donc à nous d'être dignes de cette institution,
25:57 et d'avoir l'image la plus propre,
25:59 l'image que doit avoir un arbitre.
26:01 Mais ça n'empêche pas que ce côté un petit peu exotique de Wayne,
26:05 il est adorable, et franchement, j'en ai partagé certains,
26:09 et ça a toujours été des grands moments d'humanité.
26:13 C'est vraiment un tout.
26:15 C'est Wayne Barnes, c'est M. Barnes, et c'est un tout.
26:18 C'est l'homme et c'est l'arbitre aussi.
26:20 - Et un tout dernier mot rapidement, Romain.
26:23 Pour arbitrer une finale, est-ce qu'il faut arbitrer avec sévérité ?
26:26 Est-ce qu'on arbitre une finale de Coupe du Monde
26:28 avec plus de sévérité qu'un autre match ?
26:31 - Non, alors il y a deux critères.
26:34 Le premier, c'est confirmer tout ce qu'on a pu accomplir dans la compétition,
26:40 et être dans la continuité de toutes les attentes de World Rugby,
26:44 et notamment du staff d'arbitre.
26:47 Donc non, il ne faut rien changer,
26:49 parce que les équipes sont rodées aux arbitrages.
26:53 Et le deuxième critère, c'est évidemment ne pas se faire piéger
26:58 par rapport à une phase finale où on veut plus se manager qu'arbitrer,
27:03 parce qu'on l'a vu malheureusement sur certains matchs de cette Coupe du Monde.
27:07 Ça s'est retourné contre les hommes au sifflet.
27:10 Donc il faut rester équilibré, mais être dans la continuité.
27:14 De toute façon, le spectacle n'appartient pas à l'arbitre, il appartient aux joueurs.
27:17 Il en fait partie, c'est un dénominateur important,
27:20 mais il est là pour conduire une rencontre
27:23 et accompagner les personnes qui vont produire le jeu,
27:27 qui sont les joueurs et les entraîneurs avec la stratégie, la tactique.
27:31 Mais il ne faut rien changer, parce que là, les gens ne comprendraient plus.
27:35 Et évidemment que dans une préparation de match,
27:37 on prépare aussi le profit de l'arbitre, avec ses qualités et ses défauts.
27:44 Et si on l'échange le jour J, on ne se met plus à nager qu'à se subimer.
27:51 Comprendre le sport pour l'aimer plus fort, c'est le sondage.
27:55 C'est la phrase forte de Weasel.
27:59 On vous offre un maillot d'arbitre avec Weasel et le maillot français.
28:04 Et c'est pour Frédéric. Bonsoir Frédéric !
28:06 Salut toute l'équipe de Sud Radio, la radio du rugby évidemment !
28:11 Bonsoir Frédéric !
28:14 C'est la première fois que je peux passer comme ça à l'antenne, c'est que du bonheur !
28:18 Vous êtes au téléphone avec nous, en studio, et avec Romain Poitres, le plus grand arbitre français.
28:23 Monsieur Poitres, je voudrais vous féliciter,
28:28 toute l'équipe de Sud Radio et les commentateurs, parce que je suis une personne non-moyente.
28:33 Et donc ça me permet de suivre le rugby avec vous.
28:36 On le vit comme si on y était.
28:38 Vous commentez tellement bien, que sur la Pro D2, le Top 14,
28:42 je tenais à vous féliciter tous les commentateurs,
28:46 le jeudi et le vendredi c'est la Pro D2, et le Top 14 le week-end, je me régale !
28:51 C'est comme si on voyait quand vous entendez commenter les matchs,
28:54 on le ressent vachement bien, je tenais à vous le dire.
28:58 C'est vraiment adorable Frédéric !
29:01 C'est mon auditeur préféré !
29:04 La radio du rugby, c'est ça, parce que y'a que là qu'il y a du rugby, y'en a pas ailleurs,
29:08 y'a qu'à Sud Radio, ils sont bien commentés les matchs, on peut les suivre.
29:12 Les yeux fermés, avec un peu d'humour c'est bien aussi !
29:16 Oui, bah évidemment, c'est vrai, en plus on est pas les derniers pour dire des conneries,
29:21 ça nous arrive régulièrement, en tout cas, franchement,
29:25 ça nous fait grand grand plaisir Frédéric, que vous ayez ce réflexe,
29:31 ce réflexe Sud Radio, c'est vrai que vous voulez écouter du rugby,
29:34 immédiatement vous mettez Sud Radio, c'est comme ça que ça se passe pour vous ?
29:37 Automatiquement, déjà, quand je sais que demain il y aura le Top 14,
29:41 quand je sais qu'il y a ça, un petit peu avant, je mets directement Sud Radio,
29:46 et j'écoute parce que vraiment, vous nous faites vivre les matchs,
29:49 la façon que vous les commentez, tous, que ce soit la Pro D2 ou le Top 14, c'est que du bonheur !
29:53 Voyez, y'a pas besoin de divorcer, on ressent, vous nous faites vivre les matchs,
29:57 c'est comme si on y était !
29:59 C'est vraiment adorable, ça nous touche beaucoup, en tout cas, moi, personnellement, ça me touche énormément !
30:03 Je suis lourdé, je vais voir l'Ordre, je vais voir l'Ordre tous les 15 jours,
30:07 j'ai quelqu'un qui me le commente comme il peut,
30:09 mais on arrive à suivre les matchs, c'est super, on est comme tout le monde,
30:14 y'a pas d'handicap, handicap ou pas, on est comme tout le monde,
30:16 on essaye de faire comme tout le monde, c'est pour encourager les personnes handicapées aussi,
30:20 vivre le sport qu'elles aiment, et voilà, moi je le vis pleinement,
30:25 même si c'est en fédéral, moi je suis tout, la fédérale 1, la fédérale 2,
30:29 où l'Ordre est en fédérale 2, avec Grenade sur Garonne et tout ça,
30:33 et qu'alors, bon, mais je suis tout ça, ça me plaît, il fallait que je vous le dise,
30:37 je prends un peu de temps, mais il fallait que je vous félicite !
30:39 Non mais vous avez raison Frédéric, vive vous, vive vous Frédéric,
30:42 et on est très heureux, vraiment, ce maillot, on vous l'envoie avec un immense plaisir,
30:47 du côté de l'Ordre, et merci de nous écouter, merci de votre fidélité !
30:50 Merci, et continuez comme ça à nous faire voir le rugby, c'est super,
30:53 je vous promets, il n'y a pas d'autre mot.
30:55 Et bonjour à monsieur Herrero, lui aussi, il a une face...
30:58 Ah bah Daniel il est là, attends, est-ce que Daniel tu es là ?
31:02 Je suis là, mais...
31:04 Alors attends, on va brancher Daniel Herrero, il faut lui mettre le micro de Daniel les amis.
31:11 Ah, micro de l'âge, et Daniel Herrero s'est en train de s'installer en tribune presse,
31:15 Frédéric, est-ce que... ce qu'on va faire déjà aussi Frédéric,
31:20 c'est qu'on va évidemment garder ton numéro, et on te fera intervenir dans les après-matchs,
31:24 toute la saison si tu veux, de Top 14, de Pro D2, avec grand grand plaisir,
31:28 parce que vraiment, voilà, un auditeur fidèle comme toi...
31:32 Est-ce que Daniel est là, Nicolas ?
31:34 Et oui, je suis là, j'ai entendu Frédéric, je vous ai entendus à tous...
31:39 Frédéric voulait absolument te parler, notre auditeur non-voyant, malvoyant,
31:43 qui vibre grâce à toi notamment.
31:46 Non mais non, il a une fidélité à la maison qui est admirable, Frédéric,
31:53 et nous sommes très contents de l'entendre, et nous sommes très contents aussi
31:57 de l'avoir en perspective future.
31:59 Voilà, il a une expertise incontestable ce citoyen.
32:01 Merci monsieur Herrero de nous faire vivre les matchs comme vous nous les faites vivre,
32:06 vraiment, avec vous, on sent le match, c'est comme si on y était,
32:09 vous décortiquez, vous expliquez vachement bien,
32:12 alors ça, il n'y a pas besoin de voir, en écoutant, c'est comme si on voyait, c'est super !
32:16 Bon, écoute, juste en remerciant, j'estime que c'est un très gentil compliment.
32:19 Voilà, citoyen, bon, alors ce soir, on a des choses à te dire...
32:22 Merci beaucoup Frédéric.
32:24 On aura des choses à dire, sans doute, beaucoup de choses à dire,
32:26 et puis on aura sans doute, ce qui m'apparaît être le nec plus ultra de l'hypothèse de ce match,
32:32 de cette finale du championnat du monde, de la Coupe du monde,
32:35 c'est que chaque action, probablement, est une énigme intellectuelle et une énigme morale.
32:41 Dans ce genre de match, chaque action, il y a quelque chose.
32:44 Ces deux équipes ne peuvent pas faire la moindre action sans qu'elle ait un sens, une intention.
32:51 Et à partir de là, on s'attend, évidemment, quelle que soit la qualité du rugby produit,
32:58 à quand même une intensité très particulière et une subtilité technique et stratégique de très haut niveau.
33:07 Voilà, là, on est sûr, de toute façon, hormis la déception de ne pas avoir l'équipe de France,
33:14 on est clairement sur une finale de rêve.
33:18 Enfin, je veux dire, on ne pouvait pas forcément rêver mieux qu'un Nouvelle-Zélande après du Sud.
33:24 Alors, le jeu est différent, le jeu sera peut-être au rendez-vous, peut-être pas,
33:28 mais l'affiche, ce ne sont que deux drapeaux et deux noms de pays sur un papier
33:32 et des compositions d'équipes qu'on égrainera dans quelques instants.
33:35 Mais ça nourrit cette envie de notre part de voir du grand rugby, un grand match,
33:41 parce que cette Coyonne, elle n'a pas toujours été très grande dans le jeu.
33:45 Daniel aussi, c'est un peu ça.
33:47 Oui, c'est vrai, Alex.
33:49 La première idée, c'est qu'elles ne sont pas là par hasard, c'est probablement les deux meilleures.
33:54 Et on sait en même temps qu'elles, depuis 2007, 2011, 2015, 2019,
34:00 ces deux équipes-là ont raflé les titres, se sont installées sur le trône,
34:04 ont dominé le rugby mondial, elles se retrouvent en 2023 encore au bout.
34:08 Voilà, on sent à la fois que c'est légitime, que c'est peut-être un petit peu, non pas pénible,
34:14 mais enfin quand même qu'ils attestent la régularité du très très haut niveau.
34:18 On est aussi quand même très excité parce qu'on sent qu'elles sont, dans cette Coupe du Monde,
34:24 elles sont en mouvement vers l'avant.
34:27 On n'est pas certain, on pense qu'ils vont être aujourd'hui au mieux de tout, au mieux de tout.
34:33 Ces deux équipes-là, qui sont les plus fortes, elles sont probablement aujourd'hui,
34:37 avec l'intégrité de leur potentiel, tu vois, dans le sens du combat, et on sait que ça sera très haut,
34:42 dans le sens de l'affrontement de groupe, on sait que ça sera très haut,
34:46 dans le sens peut-être du jeu au pied, on sait que ça sera très haut, au sens propre, comme on s'en figurait,
34:51 tu vois, qu'il y en aura beaucoup.
34:53 On sait même que le potentiel offensif, il ne germera pas en permanence,
34:58 mais qu'il peut germer de façon sublime, et donc on est évidemment très en bouche.
35:04 Il me semble quand même, et je ne sais pas, moi j'en fais une œuvre d'art du match qui arrive là,
35:10 je le ressens comme une œuvre d'art, ce ne sont pas des artisans ça, non ce ne sont pas des artisans.
35:14 Ils ont bataillé à des degrés divers, pour faire respect des artisans.
35:18 Non non, ils sont dans le champ des artistes de très très haut niveau, rubistiques quoi.
35:22 Les 30 meilleurs ou les 45 meilleurs joueurs de rugby du monde qui sont devant nos yeux,
35:28 dans ces deux équipes qui raflent et qui dominent.
35:32 Et à partir de là, j'ai la sensation que ça serait peut-être le sommet du rugby traditionnel.
35:39 Le jeu de rugby a, on dirait un siècle et demi d'âge, ou même un petit peu plus,
35:44 et bien aujourd'hui on peut voir peut-être la plus belle partie jamais réalisée par deux équipes dans ce rugby là.
35:50 Par contre, les collègues, si vous attendez des innovations, si vous attendez un rugby de l'an 2050,
35:56 il se peut que vous attendiez un grand petit moment.
35:58 Nicolas quand même, c'est vrai qu'on ne s'attend pas forcément à des grandes innovations aujourd'hui,
36:04 mais on attend un rapport de force entre deux équipes qui n'ont pas exactement eu la même coupe du monde,
36:09 même plutôt très différentes.
36:11 Oui c'est très différent effectivement, parce que dans leur poule, les Sud-Africains ont bataillé jusqu'au bout contre l'Irlande,
36:17 et puis ils ont perdu contre l'Irlande.
36:19 Quant à la Nouvelle-Zélande, moi je dirais qu'ils avaient plutôt comme objectif cette phase finale.
36:23 C'est pour ça peut-être qu'ils ont pris une fessée contre les boxes au mois d'août,
36:26 c'est peut-être aussi pour ça qu'on peut trouver les raisons de la défaite contre l'équipe de France.
36:30 Elle est montée en puissance cette équipe de Nouvelle-Zélande pour être prête à battre l'Irlande en quart de finale,
36:35 avec un jeu qui a été assez éblouissant contre des petites équipes,
36:40 mais qui a surtout été très efficace en quart de finale contre l'Irlande,
36:44 et qui a été très efficace contre l'Argentine pour leur mettre quand même plus de 40 points en demi-finale.
36:49 Et les voilà avec désormais une confiance qu'ils n'ont pas connue depuis peut-être même plusieurs années.
36:54 Quant aux Sud-Africains, eh bien eux, tout de suite, sur la première phase,
36:58 il fallait qu'ils soient prêts à être compétitifs contre l'Irlande.
37:02 On a senti qu'ils étaient même peut-être compétitifs avant les Néo-Z,
37:06 c'est-à-dire dès le mois d'août à Twickenham, quand ils ont fessé les All Blacks,
37:09 mais on les retrouve à chaque fois avec ce génie tactique de Rassi-Rasmus, de Jacques Néhilaver,
37:15 qui s'adapte à chaque équipe parce que l'air de rien,
37:18 ils n'avaient pas les mêmes stratégies, que ce soit contre l'équipe de France,
37:21 ou que ce soit contre l'Angleterre, ou même aujourd'hui avec Desbens, par exemple,
37:25 qui disent beaucoup, Daniel, des stratégies différentes des Sud-Africains.
37:29 Oui, alors, les Sud-Africains, malgré tout, on pourrait dire que 90% de leurs stratégies sont connues,
37:35 répertoriées, analysées et disséquées.
37:38 Et elles sont claires puisqu'en même temps elles sont infiniment simples.
37:42 Il n'y a quand même rien de bien compliqué.
37:44 Par contre, il y a 10% où le talent, le génie peut-être,
37:49 l'adaptation subtile des coachs s'exerce.
37:52 On a vu, par exemple, aujourd'hui, il y a un truc.
37:55 Le truc, c'est qu'il revient à une formation d'équipe extrêmement traditionnelle.
37:59 Celle qui a été championne du monde il y a 4 ans,
38:02 elle avec son paquet d'avant très expérimenté, sa paire de demi très expérimentée,
38:07 sa ligne de 3/4 très expérimentée, tu vois.
38:09 Il y a du champ de l'expérience, il y a de la culture, il y a de la robustesse,
38:13 bon, tout ça c'est gardé.
38:14 Et en même temps, il en met 7 sur le banc.
38:16 Vous savez qu'il a droit à 8 remplaçants, appelons-le comme le nom qu'il mérite vraiment.
38:23 Enfin, des suppléants, des accompagnants, des finisseurs, peu importe.
38:26 Ils ne sont pas sur le terrain avec beaucoup d'embois.
38:29 La grande majorité s'approchait du terrain à la 50ème, 55ème, 60ème.
38:33 Il peut y avoir des exceptions.
38:35 Et là, ils en ont mis 7.
38:36 Jamais on n'a vu ça.
38:37 7 avance sur 8.
38:38 7 avance sur 8.
38:39 Jamais au monde, on n'a vu ça.
38:41 C'est vrai que l'Afrique du Sud a lancé ça depuis maintenant quelques semaines.
38:45 On se retrouve dans un instant sur Show World Youth pour continuer la grande match
38:48 avec Daniel Herrero et Nicolas Dolage en direct du Stade de France.
38:51 L'ambiance monte au Stade de France pour la finale de cette Coupe du Monde 2023,
38:55 cette édition qui aura eu lieu intégralement en France.
39:00 Et Sud Radio est mobilisé depuis des dizaines d'années sur le rugby,
39:05 mais à plein poumon sur cette Coupe du Monde 2023
39:08 qui s'achèvera ce soir à minuit sur Sud Radio.
39:11 Rémi Dos Santos avec un après-match qui s'annonce exceptionnel avec les auditeurs.
39:15 Exactement.
39:16 On vous donne rendez-vous dès 23h,
39:18 dès le coup de sifflet final de cette finale que vous aurez suivi avec nous sur Sud Radio.
39:23 On va débriefer ce match, on va se projeter évidemment sur ce qui se passera après,
39:27 mais on va bien kiffer pendant une heure avec évidemment toute l'équipe.
39:31 Julien Thomas qui nous rejoindra, Nicolas Dolage depuis le Stade de France,
39:35 toi Alexandre et évidemment tous nos auditeurs qui viendront nous appeler
39:39 pour débriefer cette magnifique finale entre la Nouvelle-Zélande et l'Afrique du Sud.
39:43 Vous voulez participer au débrief ? 0826 300 300 0826 300 300.
39:48 Dans un instant, de retour au Stade de France pour la rencontre,
39:51 pour le coup d'envoi, pour ce grand moment de rugby, la finale de la Coupe du Monde.
39:55 Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud, à tout de suite.
39:57 Sud Radio, au cœur de la mêlée.
40:00 Avec MoralAuto.fr, véhicule neuf aux occasions.
40:04 MoralAuto.fr, le choix des marques et des services.
40:08 Vous avez du mal à faire respecter vos droits ?
40:10 Le Défenseur des droits vous écoute et vous aide gratuitement, partout en France.
40:15 Pour être conseillé et orienté, rendez-vous sur Défenseurdesdroits.fr
40:19 ou au 09 69 39 000 00.
40:22 Appel confidentiel pris d'un appel local.
40:25 Défenseurs des droits, pour que le droit n'oublie personne.
40:28 Sud Radio Lourdes.
40:29 102 2.
40:30 Sud Radio.
40:32 Alors, tout est prêt ?
40:33 Évidemment !
40:34 Et Justin ?
40:35 Tu m'as pris pour qui ?
40:36 Y'a pas de rugby sans Justin Bridou !
40:38 Ils sont tellement à croquer, les mini-bâtons de berger.
40:40 Et en plus, pas besoin de couteau ni d'enlever la peau !
40:44 Match ou apéro, c'est avec les mini-bâtons de berger Justin Bridou.
40:48 Justin Bridou, le vrai goût du partage.
40:50 Pour votre santé, bougez plus !
40:52 Sud Radio, LA radio du rugby.
40:55 Alexandre Priam.
40:57 Vous êtes sur Sud Radio pour l'instant, c'est un concert au Stade de France,
41:00 mais en quelques instants, ce sera du rugby, Daniel.
41:03 On fait la fête avant de fêter le rugby du côté de l'enceinte lyonisienne.
41:09 Exactement, c'est Mika, le chanteur, qui a 5 minutes de show avant match.
41:14 Juste avant, on a vu la présentation du trophée dans une magnifique boîte,
41:19 une mallette de cuir de luxe, de marque française, pour célébrer le concert.
41:25 C'est Laurent, on peut le dire, tranquille, ça fait partie de...
41:28 C'est l'autre !
41:29 C'est Huiton, je crois.
41:30 C'était Huiton, je vois !
41:32 C'était une maladresse volontaire, comme ça on ne pourra pas nous accuser
41:37 de balourdise, de cirage de pompe, ou encore plus de confort publicitaire, Bruno Ma.
41:43 De sur le lieu, l'endroit, la chasse, le coffret dans lequel se trouve la Coupe du Monde.
41:54 Il est un peu dame française, il est exactement très esthétique,
41:57 ce qui est très joli, c'est la Coupe du Monde encore au cul,
41:59 mais c'est quand même une grosse marseille d'or.
42:01 En tant que telle, elle vaut assez cher, mais sans doute dans sa symbolique.
42:04 Elle manifeste quand même l'idée que ceux qui vont l'accueillir, la caresser, la soulever,
42:09 ce seront les meilleurs joueurs de rugby du monde de cette année 2023.
42:14 Nicolas, il n'y a aucune chance que ce match commence à 21h, on est bien d'accord ?
42:20 Pourquoi ? Quelle heure ? Il est 48h ?
42:22 Ah, c'est pas sûr, parce qu'on a les hymnes, le haka...
42:24 Je confirme, mais c'est la finale.
42:27 On a pris le temps, on a pris nos institutions sur ce radio, on a fait les pauses nécessaires.
42:30 Maintenant, c'est autoroute jusqu'au couloir.
42:33 Je me permets quand même de dire, là aussi, historiquement,
42:36 à travers le temps maintenant, depuis deux siècles, le sport commence toujours à l'heure
42:40 et le rugby absolument toujours à l'heure.
42:43 Nulle part au monde, nous avons joué un match de cette importance-là,
42:49 tu vois, avec cinq minutes de retard.
42:51 Donc, moi, je pense qu'ils vont tenir.
42:53 Mais là, tu sens quand même qu'il y a le feu.
42:56 Je ne sais pas qui est Michel, apparemment c'est un bon chanteur,
43:00 mais ils ne vont pas nous le faire chanter pendant trop longtemps.
43:02 Cinq minutes, cinq minutes.
43:03 Oui, parce que là, moi, l'échauffement, ça nous a intéressés, honnêtement.
43:06 La qualité des Springboks dans la préparation du match me passionnait.
43:09 La façon dont les Blacks ont utilisé, j'allais dire,
43:14 tous leurs joueurs dans des préparations déjà très technicisées,
43:18 sur des hauteurs d'intensité très, très élevées.
43:21 Nous sommes curieux quand même, parce que là aussi, même au niveau des échauffements,
43:24 il y a quand même les meilleurs du monde.
43:26 Ce qu'ils font là, ça annonce aussi l'ensemble de leur culture.
43:31 Pour l'instant, pendant que je vous parle, Micka, il chante toujours.
43:33 Oui, il reste encore quelques secondes avant le cérémonial de sortie des équipes et les hymnes.
43:39 Alors, pour vous donner une idée, la scène, elle n'est pas au milieu de la pelouse, évidemment.
43:43 La pelouse, il n'y a personne dessus.
43:44 On est dans un coin, un coin du Stade de France,
43:47 un coin qui d'habitude sert à faire sortir les supporters.
43:51 C'est aménagé avec une scène assez étonnante.
43:55 Et lui, Micka, le chanteur, il est avec un costume comme une espèce de boule à facettes.
44:00 En fait, il est en reflet, il est en lumière, il fait des feux d'artifice.
44:06 Il est brillant.
44:07 Il est brillant, il est brillant.
44:09 Ça ne te plaît pas, je le sens.
44:12 Non, j'aimerais y voir une modernité.
44:16 Je ne la vois pas radicalement, mais enfin, c'est petit, c'est lumineux.
44:20 À chaque fois qu'il y a un peu de couleur dans la lumière,
44:22 on a l'impression de tomber sur la route de quelque chose qui pourrait être heureux.
44:25 C'est la finale de Coupe du Monde.
44:27 Bien sûr, les joueurs dans le couloir, ça me passionne plus.
44:31 Et supposer, tu vois, essayer de m'infiltrer quelques secondes dans le cœur de ces joueurs
44:40 qui vont dans quelques minutes comme ça,
44:44 batailler sur ce terrain pour la finale de Coupe du Monde.
44:46 Ça aussi, ça m'intéresse.
44:48 Qu'est-ce qu'il peut y avoir en termes de concentration,
44:51 en termes de vagabondage onirique ?
44:54 On va chercher où les ultimes forces ?
44:57 Dans la maman, dans l'histoire du pays, dans la boue de la cour,
45:01 dans l'âme de nos frères et sœurs.
45:04 Où tu vas chercher dans ta compétence technique, dans ton froid émotionnel ?
45:12 Non, plus rien.
45:14 Dans ce monde-là, tout ça, ça active le cœur des joueurs qui sont maintenant dans le couloir.
45:20 Le stade se rallume, effectivement, s'en est terminé avec un immense cœur qui montait,
45:25 un cœur un peu comme un ballon de gaudruche énorme qui montait à la fin du concert de Mika,
45:29 mini-concert, un showcase.
45:31 Éventuellement, ça y est, on y est avec les joueurs.
45:33 On est en couloir avec un Siakol ici, capitaine, sud-africain agité.
45:37 Lui qui est capitaine depuis 5 ans, il a pris brassard un an avant le titre de 2019.
45:42 Derrière lui, Kichov.
45:44 Je n'ai pas vu les Blacks, mais c'est normal parce qu'ils arrivent.
45:46 Alors, regardons la tête de Sam Kane. Oh, il a le même visage qu'avant l'Irlande.
45:50 Il est fermé, son visage, il est motivé.
45:52 Oui, il a quand même de la tradition depuis qu'il est petit.
45:55 Lui, l'allure de l'austère, ce garçon, tu vois.
45:57 Il est capitaine de l'équipe de Nouvelle-Zélande.
46:01 Tu vois, une des plus grandes, sinon la plus grande culture rubistique de l'histoire,
46:06 la plus grande équipe de l'histoire.
46:08 Là, il sourit quand même parce qu'il a une petite fille qui lui prend la main pour la rentrer sur le terrain,
46:14 vous le savez. Maintenant, traditionnellement, les joueurs sont accompagnés d'un enfant masculin ou féminin,
46:22 jeune, souriant le plus souvent.
46:25 Donc là, où ils ont la septembourine dans le stade, la septembourine dans les cœurs,
46:28 les hommes sont concentrés.
46:30 Simplement, on sait que l'excès de concentration, c'est une pression régressive
46:34 et que la beauté de la concentration, c'est que ça peut t'amener à aller vers ce qu'on pourrait appeler le dépassement de soi.
46:40 - On y est ! Et là, les joueurs montent sur la pelouse !
46:42 - Championnat du monde, finale, les 32 acteurs rentrent sur le terrain.
46:47 Le stade est superbe !
46:49 Il semblerait qu'il y ait encore quelques gouttelettes d'eau qui zèbrent les espaces lumineux du haut du stade.
46:57 Mais pour l'instant, la sensation qu'on peut avoir, c'est que le terrain, lui, n'a pas souffert
47:02 et que Pluvieux sait incontestablement, en espérant que ce seuil de pluie ne soit pas un trouble pour la qualité du rugby pour lui.
47:13 - Spectacle son et lumière, avec des jets lumineux qui jaillissent dans tous les sens.
47:19 C'est la première fois que l'on voit ça. C'est pour la finale, avec Zim qui se prépare.
47:24 - Il y a une pyrotechnie, oui.
47:25 - Exactement.
47:26 - Zim avec d'abord l'île néo-zélandaise, il y aura le sud-africain et il y aura le Haka,
47:32 avant enfin le début de cette finale de Coupe du Monde 2023.
47:36 - Oui.
47:37 - Il pleut moins, je crois. Mais quoi que si, il pleut encore.
47:39 - Il pleut encore un peu, mais il ne pleut pas énormément.
47:41 Juste pour dire quand même que, bon, ils sont alignés, les joueurs titulaires et les joueurs remplaçants,
47:46 les trois arbitres à l'évidence, autour de Weinbach, l'arbitre central.
47:50 Donc il va y avoir des hygnes.
47:53 - Le Néo Zed, tout d'abord.
47:55 - Et je dirais que je me serais quasiment volontiers mis un maillot noir sur le pale-tôt et un maillot vert autour du cou.
48:04 - C'est un peu comme un film.
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