L’Algérie se serait retirée , Starbucks d’Oran ferme , Saïda Neghza
  • il y a 7 mois
CAN 2025-2027 : L’Algérie se serait retirée face aux candidatures du Maroc et du Sénégal
Scandale Starbucks en Algérie : le faux café-shop d’Oran ferme brusquement
En Algérie, un comité interministériel qui semait la terreur chez les patrons finalement « gelé »
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le commentateur sportif algérien hafid derradji a annoncé, dans un tweet, que l’algérie va retirer sa double candidature pour l’organisation de la coupe d’afrique des nations de 2025 et de 2027.
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L’histoire de l’ouverture d’un faux café-shop de la firme américaine Starbucks à Oran, qui a enflammé les réseaux sociaux, a pris fin. L’établissement a finalement décidé de fermer ses portes. Découvrez tous les détails dans la suite de ce numéro du mardi 26 septembre 2023.

En effet, l’ouverture la semaine dernière de ce qui semblait être un café de la franchise du géant américain a créé une véritable controverse. Recréé à la lettre, l’établissement a attiré de nombreux clients curieux de découvrir les lieux. Cependant, après avoir été dénoncé par les créateurs de contenus ainsi que les internautes, le Starbucks ouvert récemment à Oran en Algérie a finalement décidé de baisser le rideau.

Logo à la sirène couronnée, tabliers verts, boissons et gâteaux similaires, gobelets imprimés avec le logo et le prénom du client, décoration ressemblant fortement aux vrais, les Algériens y ont cru. Cependant, cette simulation n’a duré que très peu. Pour cause, le tiktokeur aux milliers d’abonnés, Oumnia Online, a fait découvrir l’établissement dont l’enseigne affichait clairement « Starbucks ». Suite à la diffusion de cette vidéo, de longues files d’attente se sont créées devant le coffee shop.
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Après le coup de colère de la présidente d’un important syndicat patronal, le président Tebboune a suspendu une structure chargée d’infliger de lourdes amendes à des importateurs peu scrupuleux.
Dans un pays marqué par une quasi-extinction de la vie publique, l’échange de politesses détonne d’autant plus qu’il découle d’une critique directe du régime. Avant d’être vilipendée par l’agence de presse officielle, la présidente de la CGEA a en effet adressé, le 7 septembre, une lettre au président Abdelmadjid Tebboune sur la « situation socio-économique du pays » plombée, selon elle, « par un marasme » et un « climat des affaires souffrant du manque de confiance et une surenchère presque généralisée des prix »
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