Filmé en train de frapper son chien sur la tête, Pierre Ménès répond aux internautes furieux et ulcérés : "Vous êtes vraiment des cons !"
  • il y a 8 mois
Alors que la SPA et la Fondation Bardot sont interpellées sur les réseaux sociaux par plusieurs internautes qui demandent de porter plainte contre lui, Pierre Ménès répond à la polémique dans une nouvelle vidéo en insultant les internautes : "Puisqu’il faut se justifier de tout, c’est quand même pas les cons qui manquent ici . Vous êtes vraiment des cons..."

Tout a commencé quand l’ancien consultant de Canal+ effectuait son traditionnel débriefing de la journée de Ligue 1 sur YouTube. On y voit Pierre Ménès, en train de caresser machinalement son chien qui est contre lui. Un chien qui visiblement a un moment donné, fait un petit bruit... Visiblement agacé, Pierre Ménès le frappe alors sur la tête en lui demandant de se taire !

Cette courte séquence que vous pouvez voir dans la vidéo ci-dessus est rapidement devenue sur les réseaux sociaux, où le geste du chroniqueur est fortement critiqué. Il faut dire que l'on ne comprend pas vraiment pourquoi il le frappe directement plutôt que de lui demander simplement de se taire, comme aurait fait toute personne qui à l'habitude des chiens. De plus il le frappe directement sur la tête, sur le crâne pour être précis...
Nos confrères de la Dépêche ont listé une série de tweets très agressifs contre le journaliste : ""Je n'ai jamais apprécié ce Monsieur, mais c'est de pire en pire" écrit un internaute. "Quel fumier celui-là !" embraye un autre ; "Ce mec est vraiment infâme. Il n'a absolument rien pour lui" peut-on encore lire. Un autre, beaucoup plus grinçant, pose la question : "Il a cru que c'était le c*l d'une collègue ou quoi ?" faisant référence aux récents démêlés judiciaires du journaliste."
Sur Voici cette fois, on peut lire : ".« Totalement honteux de porter un coup sur un chien ! », « Pauvre chien », « Honte à toi Pierre Menes », « Le chien, il voulait juste jouer en plus »"
Dans l'immédiat, en ce 15 août, aucune des associations interpellées n'a réagit...
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