Vincent Roy : «Ce n'est pas un fait divers, c'est un fait d'horreur»

Vincent Hervouët, au sujet de Donald Trump : «Là-bas il fait rire et ici il fait peur quand il ne fait pas horreur, c’est la grande différence»

Vincent Roy : «Nous avons un président qui est très bavard. Il nous raconte des histoires. Le problème, c’est que les histoires, c’est fait pour endormir les enfants, mais les Français ne sont pas dupes»

Jérôme Fourquet : «Ce fait divers devient un fait de société. C’est une allégorie du choc entre deux France»

Eric Revel : «Ce n'est pas un fait divers, c'est un fait de société»

Kevin Bossuet : «Ce n’est pas un fait divers, c’est un fait de société»

Vincent Roy : «Emmanuel Macron s'est chargé d'effondrer les partis traditionnels; c'est-à-dire ceux issus de la révolution : Parti Socialiste et maintenant LR. Et en effondrant les partis issus de la révolution, il fait lui-même monter les extrêmes»

Eugénie Bastié : «C’est un signal faible d’une colère qui peut monter en France, ce n’est pas un fait divers parmi d’autres»

Vincent Roy : «Ce n'est plus l'auberge espagnole, c'est l'auberge française»

Vincent Roy : «Ce qui est curieux, c’est que le vrai danger, c’était le Rassemblement national, aujourd’hui, l’ultra gauche radicalisé»

Vincent Hervouët : «Ce sont des choses qu'on ne fait pas pendant la guerre. C'est un crime de guerre»

Général Vincent Desportes : «La guerre ça se fait en fonction d'un objectif politique, là, je ne le connais pas. Ce que devrait chercher Israël, c'est de construire une situation d'où pourrait émerger la paix»

Vincent de la Morandière : «Ce que le Conseil constitutionnel dit, c’est qu’on ne peut pas, sur le seul fait de la présence d’un squatteur, priver le propriétaire de toute sa responsabilité»

Vincent Roy : «C’est notre affaire, c’est l’affaire de tous. C’est un gamin de 15 ans qui périt sous les coups de couteau. C’est l’affaire d’une société qui se défigure»

Ivan Rioufol : «Ce ne sont plus des faits divers, ce sont des faits de société»

Éric Revel : «C'est de la très vieille politique tout ça. Le Premier ministre sur le terrain, il a que 34 ans mais il donne l'impression d'avoir 60 ans. Il fait ce qu'on a toujours fait. Ce nouveau gouvernement c'est le changement dans la continuité»

Patrick Mahé : «Les faits divers sont mal nommés, en fait ce sont des faits de société»

Eric Revel : «Ces faits ne sont plus des faits divers mais des faits de société»

Gabrielle Cluzel : «C'est vrai qu'il y a une réintroduction d'une forme de préférence nationale et c'est ce que veulent les Français. Et le simple fait que ce soit réintroduit c'est insupportable pour certains»

Vincent Roy : «La gauche a une paix variable, c'est-à-dire que c'est toujours du même côté qu'on demande la paix»

Christophe Guilluy : «Ce qu'on nous fait croire c'est que toutes ces révoltes représentent les marges de la société. Mais elles sont la société elle-même. La réalité c'est que ceux qui font tenir la société sont ces gens ordinaires»

Nadine Morano : «Ce que j’ai vu, c’est la terreur, c’est l’horreur et je n’ai pas vu des gens qui voulaient se venger»

Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée à l'Industrie : « Ce mouvement citoyen de venir s’interposer entre des voyous et des jeunes filles c’est ce qui fait société et ce qui fait que nous sommes un grand pays » #LaMatinale

Ludovic Toro : «Ce n'est pas un fait divers, mais vraiment un fait de société»

Pierre Gentillet : «On doit essayer de distinguer ce qui est de l’ordre du fait divers et du fait de société»

Victor Eyraud : «Combien de faits divers faut-il pour qu’on dise que ce sont les faits [...] de cette immigration de masse qu’on n’arrive plus à contrôler ? Combien en faut-il pour voir le tableau d’ensemble ?»

Édition de la Nuit (Émission du 12/06/2024)

Attentat de Nice : le verdict du procès en appel attendu ce jeudi

Soir Info (Émission du 12/06/2024)

Pierre Lellouche : «Aujourd'hui, nous vivons la conjonction entre un vieil antisémitisme de gauche qui existait au début du siècle dernier et un antisémitisme musulman qui est né après la création d'Israël»

Philippe Doucet : «Le 9 juin, c’est la fin du macronisme, tout le monde est déjà passé à autre chose»

Céline Pina : «Le premier masque qui tombe, c'est le sien parce qu'il est en pleine contradiction»