En matière d'atteintes à la liberté de la presse, il y a la méthode brutale, à coups de poings et de pieds. C'est ce qu'a subi la semaine dernière, à Nanterre, notre photographe Khanh Renaud, passé à tabac pour avoir fait son travail : informer. Et puis il y a des procédés plus insidieux, sournois, mais pas moins dangereux. C'est ce qui vient d'arriver avec la censure de notre Palmarès des hôpitaux, interdit - avec la complicité du gouvernement - par la haute administration française.