Le consentement médical, une question complexe tant pour le patient que pour le soignant
- l’année dernière
#Leconsentement #médical #questioncomplexe
https://gotopnews.com/post/2430206
Pour pouvoir donner votre accord, vous devez toujours comprendre à quoi vous consentez. La loi de 2002 sur les droits du patient précise que praticien ou praticien doit d'abord utiliser un langage clair et compréhensible par patient ou patient, adapté à son niveau d'éducation, en se rappelant qu'être confronté à un soignant peut être une source de source destress et insécurité. Il est également nécessaire que le soignant soit conscient que sa langue reflète sa façon penser, souvent limitée à la biomédicale, et parfois très loin de la façon penser. En tant que soignant, il est donc nécessaire d'éviter tout jargon professionnel, devez traduire dans un langage quotidien, y compris non verbal, vous devez assurer que la personne a compris ce qui lui est proposé. "Nous essayons d'entrer un peu dans l'univers de ce patient, de cette famille, explique la sage-femme. Nous utilisons des mots qui ne sont pas non guéries et non pasLa soignante, sous prétexte, qu'elle serait impressionnée par son autorité. Mais certains osent toujours dire à leur patient, quand elle doute d'une recommandation «Mais enfin, madame, vous ne voulez pas que votre bébé meure!» C'est une contrainte, chantage, voire extorsion du consentement, basé sur la peur et l'autoritarisme ", a déclaré Aline Schoentjes.
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Pour pouvoir donner votre accord, vous devez toujours comprendre à quoi vous consentez. La loi de 2002 sur les droits du patient précise que praticien ou praticien doit d'abord utiliser un langage clair et compréhensible par patient ou patient, adapté à son niveau d'éducation, en se rappelant qu'être confronté à un soignant peut être une source de source destress et insécurité. Il est également nécessaire que le soignant soit conscient que sa langue reflète sa façon penser, souvent limitée à la biomédicale, et parfois très loin de la façon penser. En tant que soignant, il est donc nécessaire d'éviter tout jargon professionnel, devez traduire dans un langage quotidien, y compris non verbal, vous devez assurer que la personne a compris ce qui lui est proposé. "Nous essayons d'entrer un peu dans l'univers de ce patient, de cette famille, explique la sage-femme. Nous utilisons des mots qui ne sont pas non guéries et non pasLa soignante, sous prétexte, qu'elle serait impressionnée par son autorité. Mais certains osent toujours dire à leur patient, quand elle doute d'une recommandation «Mais enfin, madame, vous ne voulez pas que votre bébé meure!» C'est une contrainte, chantage, voire extorsion du consentement, basé sur la peur et l'autoritarisme ", a déclaré Aline Schoentjes.