"Astérix et Obélix" censuré en Angleterre ? Un journaliste "dénonce le wokisme ambiant" en écrivant une fake news virale

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00:00 Plus funky Frédéric Daby, quoique, Astérix, la dernière folie walkiste.

00:06 Alors, oui et non, c'est très intéressant.

00:08 C'est l'histoire d'un tweet.

00:10 Lucas Jakubowicz, un journaliste qui vient de temps en temps à Sud Radio chez notre ami Valéry Exper,

00:14 fait un tweet il y a maintenant 3 heures qui dit

00:17 "La maison d'édition qui publie Astérix et Obélix va retoucher les albums

00:25 pour cacher sanglier rôti et scène de chasse, symbole de maltraitance animale pour certains.

00:30 Elle juge également problématique le nanisme et l'obésité des deux héros."

00:35 Alors, énormément de réactions.

00:38 Moi, sincèrement, venant d'un journaliste sérieux, j'allais en faire mon coup de gueule

00:41 parce qu'il y a eu charlier et la chocolaterie, la réécriture des romans de l'auteur.

00:46 Que nous dit Lucas Jakubowicz ?

00:48 "Mon canular sur Astérix et Obélix, victime du walkisme, a bien marché.

00:53 Résonances politiques du RN, de l'ER, de Renaissance, économistes et confins, sont tombées dans le panneau.

00:59 France Inter revient sur un emballement qui a un peu dépassé son auteur."

01:02 Alors, on pourrait dire "Ah mais qu'est-ce que nous avons été pour certains bêtes de tomber dans le panneau ?"

01:10 Mais ce panneau a l'air tellement crédible, tellement vrai, que je comprends très bien,

01:17 venant d'un émetteur sérieux, d'ailleurs il est un peu gêné par rapport à cet emballement,

01:21 il se fait un petit peu tailler un costard sur Twitter, si je puis dire, un costard de brève.

01:27 Oui, un costard de brève !

01:29 Mais ça on dit non parce qu'on y croyait.

01:33 Quand on voit Charlie et la chocolaterie, l'enfant un petit peu, je dis le mot, gros, venant de Rue Seldorf,

01:39 on appellera plus ça un gros.

01:41 Donc tout ça, ça on dit non sur cette période où,

01:44 il y a eu aussi le papier dans le monde passionnant sur les élèves de la FEMIS

01:48 et on ne veut plus voir la fameuse scène du mépris entre Piccoli et Brigitte Bardot qui débranche l'écran.

01:54 On est dans un moment un peu de folie et donc on était prêt à croire quelque chose,

01:59 heureusement de faux, mais qui sonnait terriblement vrai.

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