Creed III : Michael B. Jordan réalisateur !

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Transcript

00:00 On a l'impression que c'était la meilleure chose pour moi.

00:05 Je pense que la lutte est plus difficile à articuler

00:10 parce que nous faisions quelque chose de différent.

00:12 J'ai pris beaucoup de coups de poing créatifs.

00:14 Et en tirant de l'inspiration non traditionnelle,

00:18 du japonais, de l'animation, de la culture, de la lutte,

00:22 je voulais que chaque lutte soit différente,

00:24 en se construisant à la base de ce surrealisme,

00:28 des rounds de fantaisie que j'avais.

00:29 Je devais introduire les choses lentement,

00:31 de la première à la deuxième lutte.

00:33 A la fin, l'audience accepterait.

00:36 Je pense que c'était le plus délicat.

00:39 On disait à tout le monde, "C'est ce qu'on va faire.

00:42 On va faire cette lutte, on va enlever tout le monde du stade,

00:46 on va mettre des barres de prison,

00:47 on va les faire vivre leur trauma de vie."

00:49 Ils me regardaient comme ça.

00:51 Et je leur disais, "Croyez-moi, on va le faire."

00:54 Je pense que c'était le plus délicat et le plus réciproque

00:57 de toute ma vie.

00:59 J'ai passé les 7 dernières années de ma vie

01:01 vivant mes rêves les plus folles.

01:05 Il a commencé à y avoir des conversations autour de Creed II.

01:08 J'ai créé Creed II.

01:10 Dès que le film était presque terminé,

01:12 on se demandait ce qui allait venir.

01:15 Où voulait-on que la histoire allait ?

01:17 C'était un processus de pensée naturel.

01:19 En parlant à Erwin,

01:21 et à d'autres producteurs,

01:23 et à moi-même et à Ryan,

01:25 on s'est dit que c'était le meilleur choix

01:28 pour m'assurer de prendre les règles.

01:30 Hey, mon gars, peux-je t'aider ?

01:32 Tu ne me souviens pas ?

01:34 Damien !

01:38 L'idée des liens, des relations, des amitiés,

01:43 et où était Adonis dans sa vie,

01:44 c'était la meilleure façon pour nous

01:47 de raconter une histoire d'origine

01:49 et une trilogie, et une séquence en un.

01:52 On devait retourner au passé.

01:54 Ces années transformatives,

01:56 quand on est enfant,

01:57 ces amitiés, ces relations,

01:59 la première fois que tu découvres le mal,

02:00 qui t'a protégé,

02:01 où as-tu appris à te battre ?

02:03 Beaucoup de choses ont eu de l'intérêt,

02:07 et il est devenu inévitable

02:08 que c'était la meilleure façon de raconter

02:10 l'histoire d'Adonis en allant de l'avant.

02:12 On devait y revenir.

02:14 Et ce qu'il était comme quand il était plus jeune.

02:17 Et les gens qui étaient autour.

02:19 Et ça a l'air comme le véhicule parfait pour un conflit.

02:22 Mais aussi, la masculinité,

02:25 la masculinité toxique,

02:26 en tant qu'homme,

02:28 qu'est-ce que ça a l'air

02:29 de raconter tes sentiments,

02:30 de raconter tes émotions ?

02:31 Et parfois,

02:33 ça ne veut pas dire que tu es faible,

02:35 que tu es moins de homme,

02:36 si tu parles de ces choses.

02:38 Et on voulait montrer qu'Adonis

02:40 allait partir de là sur scène.

02:41 On est passé à parler.

02:46 Peut-être que tu dois trouver un moyen.

02:49 Le temps.

02:50 Je pense que c'est le temps.

02:51 Le temps, le management,

02:52 et la communication.

02:53 De communiquer avec tous les chefs de département

02:55 et d'apprendre à écouter en vrai

02:58 était un grand défi.

03:00 Et juste le temps pour se préparer

03:02 physiquement, mentalement,

03:04 shot list,

03:05 créativement,

03:08 juste l'amount de choses

03:10 que tout le monde me pose des questions

03:12 et il faut avoir des réponses.

03:13 Et parfois, on ne le fait pas.

03:14 Parfois, on le réussit.

03:16 Mais je pense que le temps

03:16 était probablement le plus grand défi.

03:18 ♪ ♪ ♪

03:23 [SILENCE]

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