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  • 02/02/2023

Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.mycanal.fr/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste

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Transcription
00:00 Il y a quelques mois, notre précieux ministre de la Santé,
00:03 qui doit savoir qu'il y a quelques hôpitaux en France qui galèrent,
00:06 nous avait expliqué qu'il fallait se faire vacciner tous les 3 mois
00:09 quand on était fragile, puis tous les 6 mois.
00:11 C'est dit, c'est G.G.E.Tex, c'est dit, c'est comme ça, il a écrit.
00:14 Là, tout à coup, on me parle d'un rapport annuel, d'un vaccin annuel.
00:17 – C'est François Brown qui a dit ça. – Hein ?
00:19 – C'est François Brown qui a dit ça. – Ouais, c'est Brown qui a dit ça.
00:21 – C'est bon. – En disant, effectivement,
00:23 il fallait se faire vacciner tous les 3 mois quand on était fragile,
00:25 tous les 6 quand on ne l'était pas.
00:27 Du coup, on passe à un rappel annuel.
00:29 Bon, ok, on a compris depuis longtemps que tout ça, c'était pas de la science.
00:32 On a compris depuis longtemps qu'il fallait faire un truc, donc on le fait.
00:35 On fait n'importe quoi, ça ne va pas s'arrêter maintenant.
00:37 On a compris, il n'y a pas de problème. – Comment ça va, toi ?
00:39 [Rires]
00:41 – Non mais c'est quand même incroyable.
00:43 – Quand tu as vu que le ministre de la Santé avait dit ça,
00:45 tu t'es dit "c'est bon, c'est Brown".
00:47 – Non, ce que je me suis dit, je me suis dit, en fait, vraiment,
00:51 ce poste est tellement sensible, il est tellement pourri,
00:55 le poste du ministre de la Santé, que tu mets le premier imbécile venu,
00:58 et ça marche. – C'est dur ce que tu dis, le pauvre.
01:00 – Non mais, François, je suis très honnête, c'est pas un médecin, excuse-moi.
01:03 – Non, attends, deux minutes, tu as vu l'état des services hospitaliers ?
01:06 Tu as vu où on en est ? – Moi, je l'adore,
01:08 tu sais que le nouveau ministre de la Santé, il est très bon, il est compétent.
01:11 Tu vois, on peut ne pas être d'accord sur des choses, c'est pour ça qu'on s'aime bien.
01:14 François Brown, je le trouve très compétent, je le trouve qu'il fait le travail,
01:17 il est discret, il fait des trucs, il bosse.
01:19 – Alors, ça m'intéresse, il fait quoi ? – Il bosse, je te dis, il bosse.
01:21 Il fait des infos, il bosse, je l'ai vu, il est allé à la bibliothèque
01:23 encore la semaine dernière. Non, non, à moi, on dit bosse.
01:27 Alors, toi, tu dis oui ? – Bien sûr, mais quel est le problème ?
01:29 Il faut que ce soit… – Tu vas faire combien de vaccins par an ?
01:32 – Un par an, c'est ça la question. – Tu ferais mieux de te faire vacciner
01:35 pour contre le CUR, je te jure. – Un vaccin par an, obligatoire,
01:39 contre le Covid, pour éviter que les hôpitaux et les services d'urgence
01:42 soient surchargés, voilà, je préconise ça, et je suis entièrement en phase
01:47 avec cette possibilité qui n'est pas encore un ordre, mais si c'est un ordre,
01:50 Monsieur Di Vigio, je suis légaliste, contrairement à vous,
01:53 je l'appliquerai sans scrupule. – Tu te calmes avec Fabrice.
01:55 – Moi, je ne suis pas légaliste, je suis naturaliste.
01:57 C'est-à-dire qu'en fait, pour moi, pardonnez-moi, mais je suis formel
02:00 à la culture d'Antigone et absolument pas à la culture de Robespierre.
02:03 – Oh, bah, dans ta gueule ! [Rires]
02:07 – Il est de retour. – T'as de la tête de ma mère.
02:09 C'est incroyable. – Il est de retour.
02:11 – Gérardine. – Bonsoir.
02:13 Écoutez, moi, je ne sais pas quoi vous dire.
02:16 À moi, rien, ce n'est pas moi qui fait le débat.
02:18 – Oui, voilà, en fait, moi, je trouve que la campagne vaccinale
02:21 a été un succès absolu. – À quoi ?
02:24 – Oui, oui. – Qu'est-ce qui a été un rappel absolu ?
02:27 – La campagne vaccinale a été un… – Laquelle ?
02:29 – La première, la deuxième, la troisième, la quatrième, la cinquième, la sixième ?
02:31 – La deuxième, on l'a vécu depuis le début de la crise du Covid.
02:33 – Non, parce que le rappel vaccinal, là, il faut sortir un peu.
02:35 – Calme-toi, bébé, calme-toi. – Pardonnez-moi, mais il faut juste
02:37 sortir un peu, quand effectivement, il n'y a plus de passe sanitaire,
02:40 il n'y a plus de contraintes, c'est fini, la quatrième dose, la poubelle,
02:43 personne n'en veut de la quatrième dose, vous peut-être, mais vous êtes la seule alors.
02:47 Les Français, quand on ne les contraint pas à travers un pass,
02:50 et quand effectivement on ne porte pas atteinte à leur liberté individuelle,
02:52 tout à coup, l'esprit de santé, tout ce que vous voulez,
02:55 la protection des fragiles, tout ce que vous voulez, ça n'intéresse plus.
02:57 Et curieusement, attendez, curieusement, il n'y a pas eu de rappel vaccinal
03:00 majeur pour la quatrième dose et il n'y a pas eu de saturation extravagante
03:03 des hôpitaux, même Martin Blachier, même Martin Blachier, le Martin,
03:09 Martin Blachier, qui effectivement, ici, est un fervent défenseur de vaccination
03:13 et du confinement et tout ce que vous voulez, a dit sur ses news
03:16 que bon, les pays qui n'ont pas majoritairement vacciné,
03:18 qui n'ont pas majoritairement confiné, qui n'ont pas porté le masque,
03:21 et bien finalement, ils sont sortis aussi bien que nous.
03:23 Comme l'a dit notre ami.
03:24 Alors bon, ça va repartir. C'est bon, c'est bon.
03:27 Mais regardez l'état de la Suède, par exemple, ou la Floride.
03:29 Qui vous a donné la parole ? Peut-être un Américain qui est passé.
03:32 Qui t'a dit "vas-y, go on".
03:35 Je vais laisser Géraldine, elle va nous régaler.
03:38 On est sur deux voies parallèles avec Maître Divio.
03:41 Quelle voie parallèle ?
03:42 Non mais en fait, on ne sera jamais d'accord et on ne sera jamais réconciliable.
03:44 Non mais toi, tu es pour le rappel.
03:46 La durée, attendez, il y a une question que je voulais vous poser.
03:49 Pardon, non mais une question.
03:50 Combien de temps dure l'immunité ?
03:52 Combien de temps dure l'immunité ?
03:53 Non mais moi, je ne suis pas médecin.
03:54 Mais c'est un problème. Combien ?
03:56 Non mais je veux dire, ça ne veut rien dire, je ne suis pas médecin.
03:58 Combien de temps dure l'immunité ?
03:59 Moi, j'écoute mon médecin.
04:00 Pourquoi on est passé ?
04:01 Moi, j'écoute mon médecin.
04:03 Le vôtre ou celui de l'État ?
04:05 J'écoute le mien, celui de l'État qui est un médecin.
04:07 Parce que celui de l'État, il a dit il y a trois mois que c'était trois mois pour les fragiles, six mois pour les autres.
04:12 Comment on passe de six mois à un an ?
04:14 Peut-être que je me trompe, Maître Divio, mais je ne me considère pas comme une personne de plus de 60 ans encore,
04:17 puisque je n'en ai que 51.
04:19 Et je ne me considère pas comme une personne fragile.
04:21 Et donc ?
04:22 Tu es fragile dans ton petit cœur.
04:24 Dans ce cadre-là, dans ce contexte-là, vous sortez vos papiers, là.
04:27 C'est important parce que...
04:29 C'est tardé.
04:30 Vous croyez qu'on vient ici en général ?
04:32 On va vous faire des paquets à tes trucs, là.
04:34 C'est l'étude du massage sans sel.
04:36 Non, non, non, non, non, non.
04:37 Nous allons...
04:38 Attends, c'est François Braune. C'est bien, c'est bon, là.
04:40 Si on veut faire simple, les doses de rappel, c'est tous les six mois, a-t-il assuré.
04:45 Le ministre de la Santé admet qu'il explique qu'en particulier,
04:47 si vous êtes plus à risque et que vous avez une maladie, on va raccourcir ce délai à trois mois.
04:52 Et là, on parle d'un rappel annuel ?
04:53 Il sait que Seb était d'accord avec lui.
04:55 Non, mais on parle d'un rappel annuel, donc je ne comprends pas.
04:56 C'est trois mois, c'est six mois, c'est huit mois. Alors c'est quoi ?
04:59 Parce que vous, vous êtes d'accord avec le dernier qui parle.
05:01 Vous êtes d'accord avec trois mois et six mois, aussi ?
05:03 Moi, j'étais pour ma grand-mère, si elle est très fragile et très malade et très vieille.
05:07 Non, mais là, ça va être...
05:08 C'est vrai que c'est pas bon.
05:09 Parce que le problème, c'est que vous êtes d'accord, mais avec qui ?
05:11 Si on ne partage pas la gueule, ils ne sont pas d'accord avec toi.
05:13 Je vous l'ai dit.
05:14 Elle ne peut pas répondre, déjà.
05:15 Je suis d'accord. Je vous ai dit, je suis d'accord avec mon médecin traitant.
05:17 Je suis d'accord avec ma maman qui est médecin.
05:19 Je suis d'accord avec, globalement, la politique sanitaire qui a été établie dans ce pays.
05:22 Et vous êtes d'accord avec lui ?
05:23 Je trouve qu'on s'en est quand même...
05:24 François Braune ?
05:25 Globalement, non mais vous pouvez tergiverser avec vos statistiques,
05:27 mais je trouve que, globalement, on s'en est plutôt pas si mal sortis.
05:29 Non, mais vous êtes d'accord avec lui ou pas ?
05:30 Mieux que la Chine, en tout cas.
05:31 Est-ce que vous ne trouvez pas qu'on a quand même une vie globalement normale ?
05:34 Comment ça, qu'est-ce qui vient ?
05:35 Le Covid, c'est derrière nous.
05:36 Pardonnez-moi, mais il me semble quand même que les images qu'on a vues en Chine,
05:38 ce n'est pas les images qu'on a vues en France.
05:40 Alors ça, ça m'intéresse.
05:42 Là, là, là, là, là !
05:44 T'as titillé les glaces !
05:45 C'est le moment de demander qu'on parle de la Chine.
05:47 Je vais essayer de résumer.
05:48 La Chine est le pays le plus fermé au monde.
05:51 Il paraît qu'effectivement, c'est du cacu.
05:53 Mais curieusement, j'ai vu sur BFM, des images dont je ne sais pas par qui elles ont été tournées.
05:58 Mais, je veux dire, finalement, moi je le sais parce que j'ai vu les images.
06:01 Ah oui, d'accord.
06:02 Par Pariser, peut-être.
06:03 Peut-être.
06:04 Je voudrais juste comprendre.
06:05 J'ai l'impression qu'on a mis sur un point.
06:08 Laissez-la parler, laissez-le parler.
06:09 Je vais juste essayer de comprendre.
06:10 Vous m'expliquez que vous êtes d'accord.
06:12 Mais donc, je cherche à comprendre.
06:13 Vous êtes d'accord avec le rappel annuel ?
06:15 C'est bon.
06:16 Très bien.
06:17 Pourquoi pas ?
06:18 Très bien.
06:19 Mais vous êtes d'accord, vous êtes d'accord avec le rappel de 6 mois ?
06:20 Mais si on est personne immunodéprimé et très malade.
06:22 Non, non, non, ça c'est 3 mois.
06:23 En population générale, c'est 6 mois.
06:25 Alors, je ne comprends pas.
06:26 En fait, vous êtes d'accord avec tout et avec rien.
06:29 Non, non, non.
06:30 Bah si, vous êtes d'accord.
06:32 Vous avez décidé du début qu'on nous empoisonne.
06:34 Je voudrais avoir l'avis de Guillaume, de Béatrice et...
06:39 Non.
06:40 Tout les produits vidéos.
06:42 Juste avant quand même, Sierra.
06:44 Non, non, parce qu'on les a entendus.
06:45 L'obéissance aveugle, c'est ça.
06:46 Ah, t'as vu comme elle a dit les produits vidéos.
06:48 T'as vu comme elle t'a parlé ?
06:49 L'obéissance aveugle, c'est le contraire.
06:50 L'obéissance aveugle, c'est quand moi je fais confiance.
06:53 Même quand effectivement on est capable de dire deux choses complètement contradictoires,
06:57 on fait confiance quand même.
06:59 Sans se rendre compte qu'en fait, on est juste en train de se faire enfumer.
07:03 Pourquoi vous pensez qu'on nous a empoisonnés ?
07:05 Non, pas du tout.
07:06 Pourquoi ? Qu'est-ce que vous me parlez de ça ?
07:07 Donc tout va bien.
07:08 On n'a plus de masque, on vit normalement, le Covid c'est derrière nous.
07:12 Gilles Verdez, toi tu es favorable et tu es contre Fabrice pour que déjà,
07:16 calmos, ramos, c'est bien.
07:18 Oui, je suis favorable et surtout, maître des visions,
07:21 quand vous énoncez des faits, vous êtes brillant.
07:24 Quand vous devenez complotiste, vous êtes dangereux.
07:26 Et là, tout à l'heure, vous avez parlé de la Chine et d'images de des chaînes infos,
07:30 détournerais, on ne sait pas lesquelles.
07:32 Là, vous êtes dans la sphère complotiste, maître des visions.
07:35 Vous accusez les chaînes infos de diffuser de fausses images venant de Chine.
07:40 Qu'est-ce que vous racontez ? Reprenez-le.
07:42 Laisse-le parler.
07:43 Ne vous prenez pas pour Olivier Véran, ça ne vous grandit pas.
07:45 Olivier Véran qui traite effectivement un journaliste quand même de complotiste,
07:51 ça ne vous grandit pas tant.
07:54 Vous n'abaissez pas au niveau d'Olivier Véran.
07:58 Ça ne vous grandit pas tellement de défendre Berkhoff non plus.
08:00 Non, ça me défend bien plus Berkhoff que Véran.
08:03 Je ne suis pas sûr.
08:04 Parce que pour l'instant, Berkhoff n'a tué personne.
08:07 Comment tu peux dire ça ?
08:10 Comment tu peux dire ça ?
08:11 C'est grave de dire ça Fabrice.
08:13 Olivier Véran a tué des gens.
08:14 Il peut dire des conneries.
08:16 Là, tu ne peux pas dire ça.
08:18 Si, je peux le dire.
08:20 La preuve que je peux le dire, c'est que je le redis.
08:22 C'est très grave de dire ça.
08:24 Véran, par ses décisions...
08:26 Pardonnez-moi, à un moment donné, quand vous êtes décideur public,
08:29 vous avez la vie de gens entre vos mains.
08:31 Ce que tu dis, c'est une honte.
08:32 Non, ce n'est pas une honte, c'est la vérité.
08:33 Mathieu, qu'est-ce que tu parles ?
08:34 Vraiment, là, c'est diffamatoire.
08:36 Je pense que tu vas trop loin.
08:38 Même si on parle de choses intelligentes,
08:40 mais parfois en riant dans cette émission,
08:42 je pense que là, il te reste encore 4 secondes pour te excuser.
08:44 Les décisions prises par ce gouvernement,
08:46 les gens sont morts.
08:47 C'est comme ça.
08:48 Tu ne peux pas dire ça.
08:49 C'est comme ça.
08:50 Le confinement a tué des gens.
08:52 C'est comme ça.
08:53 Vous pouvez nier tout ce que vous voulez, mais c'est comme ça.
08:55 Dans le monde entier, alors, maître.
08:57 Mais si vous voulez, et alors ?
08:59 Il fallait faire quoi de mieux ?
09:01 Vous auriez fait quoi ?
09:02 En quoi ça nous exonère de quoi que ce soit ?
09:03 Mais vous auriez fait quoi ?
09:04 On va en revenir sur ces choses.
09:05 Non, on va en revenir là-dessus.
09:06 Ils nous ont sauvés.
09:07 Je réponds à ce point.
09:09 Être complotiste, qu'est-ce que ça veut dire ?
09:11 Ça veut dire de vous dire que le pass sanitaire
09:13 n'était absolument pas un instrument de régulation de l'épidémie ?
09:15 Le Sénat l'a dit, je l'ai dit.
09:17 Ça veut dire que les masques ne protègent pas de l'infection ?
09:19 Je l'ai dit, une étude Cochrane vient de le dire.
09:21 Ça veut dire que les vaccins, effectivement, ne protégeaient pas de la transmission ?
09:23 Je l'ai dit et ça a été également dit.
09:25 Donc, revoyez vos classiques.
09:27 Mais quant à la Chine, on ne sait absolument pas ce qui se passe en Chine.
09:31 Et d'ailleurs, vous observez que opportunément, on n'en entend plus parler de la Chine.
09:35 Qu'est-ce qui s'y passe aujourd'hui en Chine ?
09:37 Non mais c'est grave ce que tu as dit là.
09:39 Il se passe quoi en Chine ?
09:41 Qu'est-ce qui se passe en Chine ?
09:43 Je ne peux pas dire ça, mon Fabrice.
09:45 Vous savez tous ce qui se passe en Chine.
09:47 Si vous ne savez pas, on est d'accord.
09:49 Sauf que Fabrice, dans votre discours, il y a toujours un double niveau.
09:53 C'est-à-dire que là, vous venez de dire, en rétropédalant un peu, on ne sait pas ce qui se passe.
09:57 Alors que juste auparavant, vous aviez accusé les médias,
10:01 que certains d'entre eux appellent des merdias,
10:03 d'être en gros, pourvoyeurs de fake news pour aller inciter les gens à se vacciner.
10:09 Non, pas du tout. Je vous ai juste dit.
10:11 Je vous ai juste exactement dit.
10:13 Ne cherchez pas à me prendre en cours. Ça ne marche pas.
10:15 Je fais partie des rares personnes qui ont été constantes.
10:17 Tu peux dire deux ans de conneries, Fabrice.
10:19 Peut-être. Je veux dire, sauf qu'effectivement, j'étais constant depuis deux ans.
10:21 Et que pour l'instant, les fans me donnent raison.
10:23 La Chine, on ne sait absolument pas ce qui s'y passe.
10:25 On ne le savait pas en 2020.
10:27 Et on ne le sait pas plus en 2023.
10:29 Il y a des journalistes sur place qui documentent ce qui se passe.
10:31 Arrêtez avec ça.
10:33 Benjamin Castagnac.
10:35 Moi, j'étais très favorable au vaccin.
10:37 Et honnêtement, quand on va voir un médecin aujourd'hui,
10:39 sur la quatrième dose, ils sont à peu près tous unanimes.
10:41 Ils vous déconseillent de la faire.
10:43 On l'a dit. On l'a dit à beaucoup de gens sur ce plateau.
10:45 Mais honnêtement, et là, je ne suis pas toujours d'accord avec vous,
10:47 mais quand on dit trois mois, six mois,
10:49 en fait, comme ils ne savent pas,
10:51 je suis d'accord. Pourquoi faire un vaccin obligatoire
10:53 alors que, pour le coup, on n'a aucune réponse ?
10:55 Oui, ça a certainement sauvé des millions de gens,
10:57 mais là, dans ce cas-là, ça ne sert à rien.
10:59 – Non mais, sur Olivier Véran, vous avez été trop loin.
11:03 – Ah oui, je te lis.
11:05 – C'est une question individuelle.
11:07 – C'est grave.
11:09 – Il n'y a pas d'action en justice, Fabrice.
11:11 – Est-ce que la liberté…
11:13 – Non, non, c'est pas dans la liberté d'infamé.
11:15 – Il va attaquer.
11:17 – Il n'y a pas d'action sur les morts.
11:19 – Je vais rajouter une couche en disant que les décideurs publics,
11:21 par leur décision, ont conduit à la mort de centaines et de milliers de gens,
11:25 notamment…
11:27 – Mais vous aussi peut-être, alors ?
11:29 – Si vous ne voulez pas que j'explique, non.
11:31 – Il n'a jamais dit qu'il fallait pas.
11:33 – Si vous ne voulez pas que je développe mon propos, je ne le développerai pas.
11:35 – Non, mais alors développez.
11:37 – Parce que c'est grave ce que vous avez dit.
11:39 – C'est vrai, c'est vrai.
11:41 – C'est vrai, c'est vrai.
11:43 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
11:45 – Non, non, non, non, non.
11:47 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
11:49 – Non, non, non, non, non.
11:51 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
11:53 – Non, non, non, non, non.
11:55 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
11:57 – Non, non, non, non, non.
11:59 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
12:01 – Non, non, non, non, non.
12:03 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
12:05 – Non, non, non, non, non.
12:07 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
12:09 – Non, non, non, non, non.
12:11 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
12:13 – Non, non, non, non, non.
12:15 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
12:17 – Non, non, non, non, non.
12:19 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
12:21 – Non, non, non, non, non.
12:23 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
12:25 – Non, non, non, non, non.
12:27 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
12:29 – Non, non, non, non, non.
12:31 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
12:33 – Non, non, non, non, non.
12:35 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
12:37 – Non, non, non, non, non.
12:39 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
12:41 – Non, non, non, non, non.
12:43 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
12:45 – Non, non, non, non, non.
12:47 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
12:49 – Non, non, non, non, non.
12:51 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
12:53 – Non, non, non, non, non.
12:55 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
12:57 – Non, non, non, non, non.
12:59 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
13:01 – Non, non, non, non, non.
13:03 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
13:05 – Non, non, non, non, non.
13:07 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
13:09 – Non, non, non, non, non.
13:11 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
13:13 – Non, non, non, non, non.
13:15 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
13:17 – Non, non, non, non, non.
13:19 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
13:21 – Non, non, non, non, non.
13:23 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
13:25 – Non, non, non, non, non.
13:27 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
13:29 – Non, non, non, non, non.
13:31 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
13:33 – Non, non, non, non, non.
13:35 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
13:37 – Non, non, non, non, non.
13:39 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
13:41 – Non, non, non, non, non.
13:43 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
13:45 – Non, non, non, non, non.
13:47 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
13:49 – Non, non, non, non, non.
13:51 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
13:53 – Non, non, non, non, non.
13:55 – Vous avez dit que c'était pas la liberté d'expression.
13:57 – Non, non, non, non, non.
13:59 – Est-ce que pour vous le monde s'est trompé ?
14:01 – Le monde entier. – Non, c'est pas le monde entier.
14:03 – Le monde entier. – Non, non, laisse-moi répondre.
14:05 Il me pose une question. Je pense qu'ils ont tous été conseillés par les mêmes personnes.
14:09 Tous les pays qui ont fait cette politique ont été conseillés par McKinsey.
14:12 C'est un fait, c'est un fait. – J'attendais le mot.
14:14 – C'est vrai. – C'est un fait.
14:16 Tu peux dire ce que tu veux, c'est un fait. – Bien sûr.
14:18 – Ben, conseille-toi. – C'est sûr que t'es…
14:20 – Voilà, et McKinsey, le but… – Valérie, répond lui.
14:23 – Le problème, c'est qu'un conflit d'intérêts…
14:25 – Ok, en McKinsey… Non mais juste laisse-moi finir la phrase.
14:27 – Non mais t'as pas fini. – En McKinsey, conseil des gouvernements
14:31 sur une politique sanitaire et dans le même temps, a pour client
14:34 des laboratoires pharmaceutiques qui vendent les produits qu'ils imposent aux populations,
14:40 c'est problématique quand même, ça pose une question.
14:42 – Ça veut dire, bien sûr, que pour toi, McKinsey et les laboratoires pharmaceutiques
14:45 auraient un complot mondial pour gouverner… – Pourquoi un complot ?
14:48 – Pour tuer… – Donc tous les conflits d'intérêts sont bien complots ?
14:50 – Non, non, non, non, non. – Pourquoi ? Pour gagner de l'argent ?
14:52 Et donc tuer impunément ? – Ça fait poser des questions.
14:54 – En manièvrant les gouvernements comme des marionnettes…
14:56 – Chut, Fabrice, Fabrice, Fabrice, Fabrice, d'abord Fabrice.
15:00 – Pourdu Pharma, est-ce que vous connaissez ? – Qui ça ?
15:02 – Pourdu Pharma ? – Oui, ça.
15:03 – Vous connaissez ? – Oui.
15:04 – Pourdu Pharma, c'est aux États-Unis.
15:05 – Pourdu Pharma, pourdu Pharma, poundou Pharma, plus précédemment.
15:08 – C'est effectivement… – Bouscoutou Pharma.
15:10 – Les laboratoires, elles sont à l'origine de la crise majeure des opioïdes aux États-Unis.
15:15 – Oui, des opioïdes. – Alors c'était quoi leur intérêt ?
15:17 Pourquoi ils ont donné des opioïdes majoritaires, n'importe comment ?
15:21 C'était quoi leur intérêt ? Pourquoi on a découvert ensuite…
15:23 – Parce que c'était des calmeurs. – Pourquoi on a découvert que finalement,
15:25 aujourd'hui, il y a autant de morts civiles aux États-Unis par l'excès d'opioïdes
15:29 que la guerre du Vietnam ? – Des olives.
15:30 – Est-ce que vous pouvez m'expliquer ? Quel était leur intérêt ?
15:32 – Là, ce qui s'est passé, c'est que les gens sont devenus accros à ces médicaments.
15:35 – Non, non, non, est-ce que vous savez ? – Non, mais, je ne peux pas poser une question.
15:38 – Pourquoi ils ont donné des olives, ces gens ?
15:40 – Est-ce que vous savez qu'on a découvert aux États-Unis que les labos,
15:44 enfin que McKinsey en l'occurrence, a proposé aux labos pharmaceutiques
15:47 de venir doubler les doses, de venir vendre aux doses maximales le traitement
15:51 parce qu'on le savait pharmacodépendant ?
15:53 – Vous n'apprenez à personne que les laboratoires font de l'argent.
15:56 Alors, McKinsey fait de l'argent, bien évidemment.
15:58 – Moi, il m'a juste appris un truc, je ne savais pas qu'il faisait des olives aussi.
16:00 – Il se trouve qu'ils font de l'argent en sauvant des gens.
16:02 – Mais, enfin… – Pardonnez-moi, mais moi, quand je suis malade,
16:05 je prends des médicaments et ils me sauvent. Ils me font aussi du bien.
16:08 – Non, ce qui est très grave avec Béatrice et Avery, c'est que vous laissez entendre,
16:12 non pas que les labos gagnent de l'argent, puisque ça, on le savait,
16:16 mais qu'ils gagnent de l'argent et que finalement, cet argent sert
16:19 à refinancer certaines campagnes électorales et c'est tout le but de cette collision.
16:23 C'est ce que vous dites. – Moi, ce n'est pas ce que je veux dire.
16:25 – Attendez, ce que vous dites, aux États-Unis, il y a effectivement en moyenne
16:29 6 lobbyistes de l'industrie pharmaceutique par sénateur américain.
16:32 Enfin, relu sur terre les compagnons. – Et donc en France.
16:34 – Mais c'est pareil. – Donc en France, c'est pareil.
16:36 – Qui a dit que les lois de financement de la Sécu sont rédigées
16:40 avec le stylo des laboratoires pharmaceutiques ?
16:42 – Qui a dit ça ? – Qui l'a dit ?
16:44 – On ne sait rien. – C'est Karl Marx.
16:46 – Olivier Véran. – Eric Cantona.
16:48 – Olivier Véran, Olivier Véran, tout a dit.
16:50 – Tu as un problème avec Olivier Véran, il est sympa.
16:52 – Olivier Véran a dit… – Tu es en train de nous dire
16:54 que Macron, aujourd'hui, a pris toutes ces décisions parce qu'il voulait
16:56 l'argent des laboratoires pharmaceutiques pour financer sa campagne.
16:59 C'est ce que tu dis. – Tu peux tout me dire.
17:01 – C'est ça ? – Non.
17:03 – Alors, attendez, on n'a pas entendu Guillaume là-dessus.
17:05 – Ce qui arrive, c'est ce qu'on craignait depuis des mois.
17:07 On avait peur de se taper le vaccin à vie, là on y est.
17:09 Ça y est, c'est le passe-navigo du vaccin.
17:11 On va recharger tous les ans, bientôt tous les mois.
17:13 Et c'est ce qu'on craignait, voilà.
17:15 Et moi, je ne veux pas faire le complotiste de bas étage, mais pardon.
17:17 – C'est bien que tu reviennes au sujet, Antoine.
17:19 – Voilà, mais on n'arrête pas de nous dire que le Covid c'est terminé,
17:22 qu'il n'y a plus de masques, on enlève les restrictions sanitaires
17:24 et comme par hasard, on vient de le dire, le seul truc pour lequel
17:26 il y a des gens qui s'enrichissent de manière exponentielle,
17:28 on nous l'impose. Pourquoi, si on nous dit que le Covid c'est derrière nous,
17:31 laisser-nous tranquille et arrêter de nous faire chier avec le vaccin, en fait ?
17:33 Non, c'est surtout que moi, j'ai un propos un peu plus nuancé.
17:36 C'est dire au vaccin, si vous avez envie de le faire, faites-le.
17:38 – Voilà. – En soi, on s'en fout.
17:40 Simplement, venez pas argumenter en nom de la science.
17:43 Parce que tout ça, ce n'est pas de la science, c'est de la croyance,
17:45 c'est de la foi, c'est du dogme, c'est du commerce, c'est ce que vous voulez.
17:47 – D'accord, d'accord. – Mais on peut pas.
17:49 – Chut, on n'a pas entendu des gens, là, s'il vous plaît. Delphine.
17:52 – Moi, je voulais dire que je suis très contente que Fabrice Eviseu soit de retour
17:56 et on devrait l'accueillir. – Il vacaine tout le monde, lui.
17:59 – On va manger un dîner.
18:00 – Et on devrait vraiment l'accueillir comme le messager,
18:02 parce que, excusez-moi, dans les faits, tout ce qu'il a dit,
18:04 – Mais il a la teco. – Mais ce qu'il a dit,
18:06 – Le messager. – était toujours juste.
18:08 Donc voilà, écoutez-le, parce qu'il est un peu visionnaire dans ce qui va se passer.
18:13 – Attendez, non, Gilles Verdez. – Non, mais il est visionnaire de quoi ?
18:16 – T'es jaloux parce qu'il a la cote avec les meufs.
18:18 – Non, mais arrêtez, vous savez ce que ça fait.
18:21 – T'es jaloux parce que toutes les meufs veulent le pécho, arrête un peu.
18:23 – Ça fait deux ans qu'il sort trois feuilles froisses et ton tas de boudoirs est là.
18:27 Non, mais c'est toujours les mêmes feuilles.
18:29 – Il sort les feuilles, mais il a la cote, en tout cas.
18:31 – Non, mais c'est pas sympa de critiquer mon blouson.
18:33 – Il devrait encore prouver qu'à chaque fois qu'il dit, c'est juste.
18:35 – Mais ce qu'il dit est faux à chaque fois.
18:37 – Non, non, non. – Je m'insure, c'est parce qu'il a critiqué mon blouson.
18:40 – Oui, c'est vrai, t'as raison.
18:41 – Il parle de croyance à propos du vaccin. Non, mais c'est du délire ce qu'il dit.
18:45 Là, vous tombez dans le délire. – C'est un trait de représentatif.
18:48 – Il a raison, c'est du délire. C'est du délire de dire que je vais me faire vacciner
18:52 tous les six mois, puis un an, puis trois mois, puis quatre mois.
18:54 Du coup, c'est quoi la vérité ?
18:55 – Mais le vaccin n'est pas une croyance. Le vaccin sauve des vies, bordel, Fabrice.
18:58 Arrêtez un peu.
18:59 – J'ai une question, Gilles. Vous êtes vacciné combien de doses ?
19:01 – Trois. – Ben, pourquoi pas la quatrième ?
19:03 – Mais je vais le faire. – Quand ?
19:04 – Dès que je peux, dès qu'on me le donne, dès que je peux.
19:07 – Vous croyez tellement dans le vaccin que finalement, vous vous en prestez pas sur la quatrième.
19:11 – Je vais le faire très bien. – Tu te penses que c'est faire la quatrième ?
19:13 – Non, mais si, avec moi. – Qui, autour de la table, est vacciné quatre doses ?
19:16 – Parce que j'étais pas éligible, directement. – Qui, autour de tout, à ce plateau, est vacciné quatre doses ?
19:19 – Alors, juste, Géraldine, c'est 20 doses.
19:21 – Oui, et donc, vous êtes vaccinée… – Bien sûr.
19:23 – Vous êtes vaccinée quatre doses. – Non, trois doses.
19:25 – Ah, comment ça ? – Parce que je crois qu'elle a reculé
19:27 à un mec au labo. – L'éligibilité.
19:28 – Voilà, pareil. – On n'est pas éligible, Fabrice.
19:30 – Et enfin, tous les six mois. – Non.
19:32 – Non. – Non.
19:33 – Non, je n'étais pas éligible. – Mais oui, pourquoi ?
19:35 – Parce que je suis trop jeune. – Trop jeune ?
19:37 – Oui. – Non, mais non, mais non.
19:38 – On m'a dit. – Votre ministre que vous aimez…
19:39 – Oh, qu'on respecte là. – Non, mais François Braun, qui, effectivement,
19:42 travaille beaucoup. – J'adore, j'adore François Braun.
19:44 – Parce que François Braun, il ne ment pas. – Ah, bah c'est bon.
19:45 – François Braun, il a dit tous les six mois. – Oui.
19:47 – C'est cette fois qu'il a fait la base. – Maître de vidéo.
19:49 – Désolé, il a dit tous les six mois. – Non, il a dit tous les six mois
19:52 pour les personnes fragiles et immunodéprimées.
19:54 – Tous les trois mois pour les autres. Non, mais il faut écouter,
19:56 on va donner ce qu'il dit, quoi. – C'est bon, c'est bon.
19:58 – Excusez-moi, il a exactement dit… Alors, je vous donne…
19:59 – Mais tu l'as déjà lu, ta feuille, tout à l'heure.
20:01 – Non, non, non, non, non. Des trois mois après la dernière injection
20:04 pour les personnes âgées de 31 ans et les personnes immunodéprimées.
20:07 Six mois pour les autres. – Il a raison.
20:09 – Assurez-moi, vers les autres. – Merci.
20:10 – Et même les soins. – J'aimerais qu'on entende Raymond
20:12 prendre un bon mot. – Oui, mais 80 ans, donc on n'est pas égilibre.
20:15 – Ce n'est pas Daniel, c'est Géraldine. Raymond, Raymond, Raymond.
20:18 – C'est lui qui a raison sur les trucs des six mois.
20:20 Pourquoi les gens ne vont pas faire la quatrième dose ?
20:22 Et moi, ce que je ne veux pas, c'est qu'on donne un pass sanitaire avec ça.
20:24 – Tu as pris tes cachets, toi, aujourd'hui ?
20:25 – Si, les gens. Parce que ça m'a endormi. Dans tous les sens, ça m'a endormi.
20:28 Moi, je suis plus con que tous les autres, ici. J'ai du mal à me dire…
20:31 – Tu n'es pas plus con, non. – Non, je suis très con.
20:33 Mais si, parce que j'ai du mal à me dire qu'il va falloir aller faire un vaccin,
20:36 un rappel d'un vaccin qui n'empêche pas de contaminer les autres et qui ne me défend pas.
20:40 – Voilà. – Moi, je suis plus con que tous les autres.
20:42 – Mais tu ne vas pas en rire. – Pourquoi tu veux que je cours ?
20:43 – Tu ne vas pas en rire. – Comment tu le sais ?
20:44 – Parce que c'est vrai. – Qui te l'a dit ?
20:45 – Parce que les réactions sont vides. – Qui te l'a dit ?
20:47 – Arrêtez, les réactions sont vides. – Et là, on te dit maintenant…
20:49 – On ne peut pas dire ça. – On te dit maintenant…
20:50 – Excuse-moi, on ne peut pas dire ça. – Mais attends, attends.
20:52 – On peut laisser parler Raymond, là, qui n'a pas parlé ?
20:54 – On te dit maintenant qu'il n'y a plus besoin de…
20:56 tu n'auras plus d'arrêt de travail si tu as le Covid, tu n'auras plus de trucs,
20:58 tout est lisse, il n'y a plus de Covid nulle part.
21:00 À qui profitent ? Moi, je me dis, à qui profitent ?
21:02 On a appris ce qu'ils ont absolument besoin de vendre leurs putains de vaccins aux gens.
21:06 Pourquoi ? Il a raison, Monsieur Diviseau.
21:08 Pourquoi tous les gens qui sont là, qui ont reçu les trois doses,
21:10 pourquoi vous ne courrez pas faire la quatrième dose ?
21:12 Vous avez le droit, là, moi j'attends demain.
21:14 Pourquoi vous n'y allez pas ? N'attendez pas d'être légible.
21:16 Enfin, en vérité, vous attendez le pass sanitaire
21:18 et qu'on vous prive des restaurants pour aller vous piquer.
21:20 Allez-y maintenant, si vous voulez y aller.
21:22 Moi, j'espère que je veux que ce soit libre.
21:24 Je veux que les gens aillent se vacciner librement.
21:26 Voilà, alors, vous montrez un peu ce que c'est que l'intelligence.
21:30 Pardon.
21:31 Alors, qui va parler, alors ?
21:33 (Rires)
21:35 (Applaudissements)
21:40 J'étais pour le vaccin et j'ai toujours été pour le vaccin
21:44 et je considère qu'il a sauvé des vies et qu'il a sauvé le pays.
21:47 En revanche, aujourd'hui, je suis contre ce vaccin obligatoire.
21:50 C'est bien vous dire, si je réfléchis un petit peu,
21:52 je ne suis pas pour, pour, contre, contre systématiquement.
21:54 Vous y allez juste 1000 temps, quoi.
21:55 Non, je n'ai pas 1000 temps.
21:56 C'est parce que je considère qu'aujourd'hui, en revanche,
21:58 effectivement, ça ne tue plus, il n'y a plus de masque
22:00 et on connaît les effets et on sait qui ça touche.
22:02 Donc, à partir de là, c'est comme la grippe.
22:04 La grippe, c'est mortel pour certaines personnes, les personnes âgées.
22:06 Pour autant, le vaccin contre la grippe n'est pas obligatoire.
22:08 On savait dès le début qui ça touchait.
22:09 Donc, je pense qu'il ne faut pas que ce vaccin soit obligatoire.
22:11 On sait qu'il existe pour les personnes fragiles,
22:13 mais qu'il ne soit pas obligatoire.
22:14 Sinon, le vaccin contre la grippe doit être obligatoire aussi.
22:16 C'est ce qu'on dit.
22:17 C'est ce qu'on dit, non.
22:18 C'est intéressant ce qu'il dit.
22:19 Alors, vas-y, dis-moi ce qu'il a dit tout à l'heure.
22:20 Il a dit, le vaccin pour les personnes fragiles.
22:22 Tu n'as plus tellement envie de te faire vacciner tout à coup.
22:24 Je me suis rendu compte maintenant qu'effectivement,
22:26 moi, ça ne me tue pas.
22:27 Tu n'as pas tellement envie.
22:28 Mais non, on ne savait pas il y a deux ans.
22:29 On ne savait pas.
22:30 Non, tu ne savais pas.
22:31 Parce que moi, je ne savais pas.
22:32 Parce que tu es un génie.
22:33 Tu es le maître des visions du connaissait-tout sur le monde.
22:54 Je ne suis pas un génie.
22:55 Mais si tu veux, on déjeune ensemble.
22:56 Je sais que tu me dois encore.
22:57 Et on va effacer.
22:58 Bravo, bravo.
22:59 Tu vois, on ne se repasse tes extraits.
23:00 Parce que pendant que tu dormais, je parlais.
23:01 Tu as entendu ce que j'ai dit ?
23:02 Tu ne veux pas te faire vacciner.
23:03 C'est toi qui décide.
23:04 Et tu te fais vacciner si tu considères qu'elle peut te tuer.
23:06 Moi, la grippe, je ne suis pas vacciné à mon âge aujourd'hui.
23:08 Et pourtant, elle tue des personnes âgées.
23:09 Idem pour le Covid.
23:10 C'est tout.
23:11 C'est du bon sens.
23:12 Mais le bon sens, c'est de l'intelligence.
23:13 Et quand on n'a pas de culture, il faut du bon sens.
23:14 C'est ce que j'ai.
23:15 Et c'est ce qui te manque.
23:16 Et quand on a la culture et le bon sens, c'est quoi ?
23:17 Mais ce n'est pas toi, en tout cas.
23:18 Parce que moi, je suis désolé, mon cher ami,
23:19 mais depuis deux ans, je dis ce que tu dis.
23:20 Depuis deux ans, ce que tu sembles découvrir aujourd'hui.
23:21 Non !
23:22 Non, mais tu as regardé les émissions.
23:23 Non !
23:24 Bravo !
23:25 Non, mais il a fait un truc.
23:26 Moi, je dis que le vaccin, en revanche, a sauvé.
23:27 Non !
23:28 Tu dis qu'il a tué.
23:29 Tu es débile.
23:30 Laisse parler, Fabrice.
23:31 Il a regardé les émissions où je suis intervenu.
23:32 Mais il est un délire.
23:33 Bravo !
23:34 Je te félicite.
23:35 Parce que ce que tu viens de dire, ça fait deux ans que je le dis.
23:36 Tu vois, je te dis, il a regardé deux trucs.
23:37 Toi et les pélissards.
23:38 Il me fait dire un truc que je n'ai pas dit et ça m'agace.
23:39 Ça m'agace.
23:41 Je suis en train de dire que le vaccin, en revanche, le vaccin a sauvé ce pays.
23:42 Il t'a sauvé qui ?
23:43 Alors arrête avec ça.
23:44 Alors toi, tu viens de dire qu'on est contraire.
23:45 On a du sang sur les mains.
23:46 On ne dit pas la même chose.
23:47 Attends, attends, attends.
23:48 Tu es devenu débile, Fabrice.
23:49 Il y a un instant, le vaccin sauvait des gens.
23:50 Pardon !
23:51 Il est en train de dire qu'on a du sang sur les mains.
23:52 Je dis la même chose que lui.
23:53 Il y a un instant, le vaccin sauvait des gens.
23:54 Maintenant, il sauve des pays.
23:55 C'est extraordinaire, quand même.
23:56 Et bientôt, il sauvera des pays.
23:57 Et ça, c'est une bonne nouvelle.
23:58 C'est une bonne nouvelle.
23:59 Le problème de votre vaccin, cher ami, c'est que ça fait effectivement maintenant deux
24:17 ans que vous lui prêtez des vertus qu'il n'a pas.
24:19 Qu'est-ce que vous en savez ?
24:20 Mais enfin, excusez-moi, il faut lire autre chose que Picsou Magazine.
24:24 Il t'a éteint.
24:37 Ce pays meurt des gens.
24:39 Il t'a éteint.
24:40 Je ne l'ai pas éteint.
24:41 En interrupteur.
24:42 En fait, je suis désolé, je ne l'ai pas éteint.
24:47 Tu l'as éteint en langue de fiche.
24:49 Mathieu, je t'aime beaucoup, Mathieu.
24:50 Mais ça fait deux ans qu'il est éteint.
24:53 Il t'a ré-éteint.
24:54 Il t'a ré-éteint.
24:55 Il t'a ré-éteint.
24:56 Il t'a ré-éteint.
24:57 Il t'a ré-éteint.
24:58 Il t'a ré-éteint.
24:59 Il t'a ré-éteint.
25:00 Il t'a ré-éteint.
25:01 Il t'a ré-éteint.
25:02 Il t'a ré-éteint.
25:03 Il t'a ré-éteint.
25:04 Il t'a ré-éteint.
25:05 Il t'a ré-éteint.
25:06 Il t'a ré-éteint.
25:07 Il t'a ré-éteint.
25:08 Il t'a ré-éteint.
25:09 Il t'a ré-éteint.
25:10 Il t'a ré-éteint.
25:11 Il t'a ré-éteint.
25:32 Il t'a ré-éteint.
25:58 Il t'a ré-éteint.
26:05 Il t'a ré-éteint.
26:06 Il t'a ré-éteint.
26:07 Il t'a ré-éteint.
26:08 Il t'a ré-éteint.
26:09 Il t'a ré-éteint.
26:10 Il t'a ré-éteint.
26:11 Il t'a ré-éteint.
26:12 Il t'a ré-éteint.
26:13 Il t'a ré-éteint.
26:14 Il t'a ré-éteint.
26:15 Il t'a ré-éteint.
26:16 Il t'a ré-éteint.
26:17 Il t'a ré-éteint.
26:18 Il t'a ré-éteint.
26:19 Il t'a ré-éteint.
26:20 Il t'a ré-éteint.
26:21 Il t'a ré-éteint.
26:22 Il t'a ré-éteint.
26:29 Il t'a ré-éteint.
26:30 Il t'a ré-éteint.
26:31 Il t'a ré-éteint.
26:32 Il t'a ré-éteint.
26:33 Il t'a ré-éteint.
26:34 Il t'a ré-éteint.
26:35 Il t'a ré-éteint.
26:36 Il t'a ré-éteint.
26:37 Il t'a ré-éteint.
26:38 Il t'a ré-éteint.
26:39 Il t'a ré-éteint.
26:40 Il t'a ré-éteint.
26:41 Il t'a ré-éteint.
26:42 Il t'a ré-éteint.
26:43 Il t'a ré-éteint.
26:44 Il t'a ré-éteint.
26:45 Il t'a ré-éteint.
26:46 [Musique entraînante diminuant jusqu'au silence]

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